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Info:
Quand deux Grands Officiers se marient...

[RP] Mariage de Sindbad et d'Akane Giffard - De Clairval

Akane
1





Petites indications RP préalables :

Du temps : Journée ensoleillée, température aux alentours des 22 -24 °.
Pour ceux qui n'auraient pas le lieu des festivités, celui-ci sera indiqué à la fin de la cérémonie religieuse.

Si question mp et je vous répondrai sans soucis.
Les invités peuvent commencer à arriver. Bon jeu et merci à toutes et tous !

Translation :

Small indications :

Weather : Sunny day, temperature around the 22 -24 ° celsius.
For those who have not the place of celebration, it will be indicated at the end of the religious ceremony.

If question send me a private message and I will answer you without worry.
Guests can start to happen. Good game and thank you to everyone !

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Semper Paratus Servio
Anya_de_puycharic


[Jour J : debout tout le monde !! ]

Ils étaient arrivés la veille afin de passer une nuit "reposante", pour être "frais" et dispos le lendemain. Anya adorait toujours autant les mariages, et celui-ci était encore plus important car après celui du frère de coeur, celui-ci était celui de sa soeur de sang. Et en plus... elle l'avait choisie comme témoin.
Avec Lucie et Aeglos, ils avaient préparé au mieux ce jour, selon les disponibilités et les possibilités de chacun. Maintenant, restait à aller auprès de sa soeur pour l'aider à se préparer.
Une chose était bien, au final, avec tous ces mariages, les autres le faisaient pour elle, car oui, Anya avait décidé de faire comme ses frères, rester célibataire. Le seul homme dans l'environnement de la blondinette était le Vicomte, mais lui c'était particulier, il était celui qui maintenait les beaux parleurs et autres intéressés, à distance. Comme armure pour se préserver, il n'y avait pas mieux que lui. Certains même allaient jusqu'à leur prêter une liaison, ce qui les faisait rire et ils aimaient à en ajouter une couche en multipliant les taquineries.
Et en parlant de taquinerie...mhh... le plan de vengeance de la Blonde n'était pas terminé. Un sourire de peste s'afficha sur son visage.

La Blanche se tourna vers sa Petite Perle qui avait partagé son lit pour la nuit dans les appartements familiaux.

- Ma chérie... il nous faut aller préparer ta tante, mais avant toute chose... prend un air pensif. Tu sais que le Vicomte nous a accompagnés et qu'il dort dans la chambre d'à côté. Il a trouvé mon réveil de la dernière fois un peu... enfin... qu'il manquait de douceur. Peux-tu aller le réveiller en douceur, mon ange, s'il te plait ?

Elle adressa un sourire à sa fille qui ne se fit pas répéter deux fois la demande, puisqu'elle partait déjà en sautillant, vers la chambre du Vicomte. Pour sûr... les deux là s'a-do-raient.

Anya quitta la chambre pour rejoindre celle de Akane, y frappant doucement à la porte.

- Soeurette ? C'est moi... Je peux entrer ?

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Geoffroy.le.menestrel


Il était une fois, car toutes les histoires commencent ainsi.

Il était une fois l’histoire d’un homme et d’une femme. Un homme et une femme qui à force de se côtoyer dans le cadre des leurs charges, se sont rapprochés petit à petit. Tous deux traversèrent des épreuves, qui jour après jour renforçaient un peu plus leur amour.

Un soir, l’homme respectueux des traditions et coutumes, demanda la main de sa tendre au frère ainé de la famille. Celui-ci accepta la demande et se proposa de les unir devant le Très-Haut.

Et le jour de la tant attendue union arriva.

Les rues parisiennes grouillaient de monde tant le soleil était au rendez-vous. Des badauds remarquèrent que Notre-Dame semblait déjà en effervescence, et s’attroupèrent alentour. Ah, Notre-Dame ! Notre –Dame qui s’élevait majestueuse, resplendissante.

La garde personnelle de la future épouse qui d’ordinaire se trouvait affectée sur ses terres se trouvait présente. La normande avait conscience qu’elle ne pouvait assurer seule sa sécurité et celle de son époux, hospitalière qu’elle était malgré tout, et dravidienne dans les parages.

Mais maintenant, place ! place ! A l’arrivée des invités !


*****

Once upon a time, as all stories begin this way.

It was once the story of a man and a woman. A man and a woman force to mingle within the their charges, have approached gradually. Crossed both tests, which strengthened every day a little more love.

One evening, a man respects traditions and customs, asked the hand of his loving older brother to the family. He accepted the request and proposed to unite them.

And the day came the long-awaited union.

Parisian streets teeming with people as the sun was at the "rendez-vous". Onlookers noticed that Notre-Dame appeared already in turmoil, and flocked around. Ah, Notre-Dame! Notre Dame was majestic, resplendent.

The personal guard of the bride who usually stood on the land affected was present. The Norman was aware that she could not only ensure his safety and that of her husband, she was still hospitable and Dravidian around.

But now, place ! The guests arrive !
Helene.blackney
[Le Rocher et le gato]

-Père pourquoi vos amis normands se marient tous ?

La remarque était tout à fait justifiée, nous avions déjà assisté à un précédent mariage d’un ami normand. Pas que je sois contre le mariage puisque j’avais accepté que mi padre accepte de me fiancer. Enfin, j’avais déjà refusé de me marier par deux fois, la troisième serait la bonne. Je refusais également d’avoir des enfants ahem bref une vraie perle blonde. Je donnais un dernier coup de peigne à mes cheveux. Je me levais, déposant une bise sur la joue de mon père. Nos chiens me suivirent, Nougat s’étant habitué à Réglisse, ma camériste ronchonnait derrière moi car ils laissaient tous les deux des poils sur ma robe. Je dis avec le sourire :

-Ce ne sont que des poils, je les enlèverais avant que nous partions

Nougat fit un aboiement pour confirmer. Je sais que la camériste avait horreur que les chiens soient au logis, mais pour le moment, j’avais décidé que c’était ainsi. Mi parraing m’enseignait encore le dressage. Nous nous pressâmes un peu, même si un Blackney est toujours en retard. Paris la puante, je détestais cette ville et pourtant j’y étais née. La Seine était encombrée mais le voyage fut plutôt calme.

Les bateaux, comment père ancien Amiral de la flotte française pouvaient les supporter ? Arrivés à bon port, je criais à haute voix :


-Aristote soit loué, le voyage s’arrête, que l’on fasse une halte dans une auberge. Engin de malheur!

Je prenais le bras du gato et nous nous installèrent dans une auberge de bonne réputation. Mère avait un hostel il paraitrait mais je n’avais aucunes idées d’où c’était.

Une journée après et un repos bien mérité, nous étions sur le parvis de l’église Nostre Dame. Je dis avec une moue agacée:

-Je trouve que nos messes manquent de chants!


Allez savoir pourquoi cette parole était sortie de la sirène mais elle devait lui avoir échapper.
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Alcalnn
C'était une véritable épidémie matrimoniale. Heureusement, le duc était bien vacciné, il l'avait déjà contractée et ne risquait pas faire une rechute. Quoiqu'une jeune beauté, bien roulée et obéissante, maitresse de son corps et souple.... M'enfin pour l'instant, il n'avait pas rempilé, ce qui n'effrayait pas la Tornade. Donc, à la question de pourquoi, le Chat avait bien envie de répondre que ce n'était pas une question de pourquoi mais de pour qui? Le nom, exotique, ne lui était pas inconnu, mais la mémoire n'avait jamais été le fort du duc, aussi se satisfaisait-il d'avoir la surprise en découvrant le sacrifié sur l'autel venteux.

-Ma filha, le mariage n'est rien d'autre qu'une alliance, un contrat entre deux familles. Par le partage de la couche, on scelle ad vitam eternam, normalement, deux lignées, deux dynasties pour le futur, le futur étant représenté par des enfants. Bon après, d'aucuns doctes clercs parlent d'un fumeux sentiment qu'on nomme l'amor. M'enfin tu t'en ferras une idée toi même lorsque ton tour, qui ne tardera pas, viendra.

Sur cette sentence patriarcale, padre e filha embarquèrent sur la nave qui les mena jusqu'au continent, via la Seine. On débarquerait à Rouen pour prendre un navire plus petit, une anguilha, qui gagnerait doucement mais surement Paris. On sentait et entendait Paris avant de la voir. D'ailleurs, le trafic sur le fleuve s'encombrait de plus en plus, entre les pêcheries, les biefs des moulins et les ponts branlants ou majestueux.

Débarquant à nouveau, les Blackneys logèrent dans un hostel pour l'occasion. Alcalnn n'avait plus ses habitudes tant il rechignait à fréquenter la cour et la capitale. Aussi n'avait-il pas prévu de rester et une suite la plus réduite possible les hourdait. Frais et dispos le lendemain, ils allèrent donc à la rencontre de la messe et de la cérémonie. Il n'aimait toujours pas la Cité et l'Hostel Dieu qui rouvrait en lui de difficiles souvenirs et vieilles navrures. Sa filha, elle, jouait la râleuse:


-Allons, de toute manière, les chants, il y en aura, tiens-toi bien maintenant.

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Akane
[ A Rosny… la veille et le jour J... ]

La veille, la future mariée eu une longue discussion avec son frère, très longue. Elle en avait besoin, nerveuse qu’elle était. Ils avaient donc parlé de son mariage et son ainé s’était voulu rassurant… Oh bien évidemment, ils ne parlèrent pas que de ça, mais le sujet de la soirée était cet événement très important pour la tempête.

Il l’avait sur le coup tellement rassuré qu’elle lui demanda quand songerait-il à prendre épouse, et lui suggéra d’essayer d’avoir un petit Giffard après une éventuelle union pour rééquilibrer un peu la famille : Deux hommes, un petit garçon, et un absent, pour trois femmes et trois filles, il y’avait souci, surtout qu’il n’avait eu que des filles d’ailleurs, il affirmait taquin comme il était qu’il semblait avoir que la recette pour concevoir des demoiselles.

Heureusement que la soirée se trouvait bien avancée. Il alla se coucher après une bise à sa petite sœur. Il n’avait donc pas rebondit sur le sujet l’encourageant elle à avoir une descendance masculine. Tout allait bien dans le meilleur des mondes. La famille résiderait pour l’occasion en le Marquisat.

Quand il fut partit, ce fut une petite brune qui arriva. Sa fille, Loryane.
Cela faisait un bout de temps qu’elle ne l’avait pas vu. Séquence émotion en perpective, embrassades. Elle avait grandi, changé, muri du haut de ses onze ans, mais marquée par un épisode tragique qui lui aurait dû être épargné. Elle avait contribué à ce que Anya survive. Beaucoup de courage pour son âge, trop, mais toujours autant de réserve.

Les retrouvailles terminées, c’est ensemble qu’elles prièrent. Des prières afin que la journée du lendemain se déroule parfaitement, des prières pour la protection des leurs. Et des pensées pour les proches disparus : Bulvai, Julik, et Edeline, l’autre fille de l’épouse, décédée, et deux petits anges, morts en couche.

Au moment du coucher, car il était question qu’elle partage sa couche pour la nuitée, La mini Giffard – De Clairval – Tintagel lui indiqua qu’elle était appliquée sur la question de la foi, qu’elle souhaitait être baptisée. Décidément, cette particularité se trouvait être vraiment de famille. Bien évidemment en mère protectrice, Akane accepta cette demande lui promettant de faire le nécessaire quand ceci sera envisageable.

Les conversations allèrent bon train, jusqu’une heure bien avancée de la nuit dans le lit maternel qui deviendrait le lendemain soir l’espace d’une nuit un lit conjugal provisoire.

La nuit passée, elles furent réveillées par une servante. Loryane se vêtit rapidement et de façon sommaire pour se rendre en cuisine prendre un en-cas matinal, tandis que la normande prenait son bain, se savonna avec énergie et nervosité, se lavait les cheveux et les rinça avec une décoction de feuilles de noyer pour accentuer leur reflet de jais. Point le temps de se prélasser que la camériste l’attendait avec des étoffes pour se sécher et un onguent à base de rose. Frictionnée, vêtue d’une simple chaisne, on lui démêla sa longue chevelure.

On frappait à la porte, la camériste prit congés après son ouvrage. La tempête se laissa aller à un sourire malgré la peur qui lui serrait le ventre de plus en plus. Elle reconnaissait la voix de sa sœur, et lui répondit :

- Entre, voyons entre ! Je t’attendais avec grande impatience, je crois que nous avons du travail !

Ainsi, la Blanche entrait et sa sœur de filer l’embrasser et l’éteindre ravie de l’avoir auprès d’elle en ce grand jour.


- As-tu vu Lucie ? Et où est ma future filleule ? En cuisine avec sa cousine ? Vas-tu bien ? Où se trouve ma robe ? Et ses accessoires ?

Un vrai moulin à paroles… Normal vu son état…
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Semper Paratus Servio
Mamaion
[Le matin du jour J]

Vite vite, Mamaion alla aux premières lueurs du jour chercher ses tenues pour la journée à l'atelier "Les fées tisserandes". Sa coturière Valeryane était une vraie fée! Les robes étaient prêtes à temps.

Elle retourna à son auberge et se prépara avec l'aide d'une servante.


[Sur le parvis de la Cathédrale]

Et voilà Mamaion était prête, vêtue d'une magnifique robe rouge et or. Elle arriva sur le parvis de la Cathédrale. Elle entra dans la fraicheur de l'édifice et en attendant les autres invités, elle alla prier quelques instants.
Anne_blanche
Et c'était reparti pour un tour. Encore un mariage, encore une cérémonie à laquelle Anne ne pouvait se soustraire. Et pourtant... Avec quel plaisir se fût-elle découvert une fièvre quarte, ou quinte, ou tierce, enfin peu importe du moment que ça la laisse clouée au lit. Hélas, pas le moindre menu frisson à se mettre sous la dent, pas la moindre gouttelette de sueur au front, pas de semblant de début de douleur, nulle part, pas même aux dents.

Il fallait donc se résigner à Notre-Dame...

Et là, surprise ! Un parvis vide, au centre d'une marée humaine : le menu peuple accouru dans l'espoir de récolter piécettes ou grains de blé. Était advenu ce qui devait : à force de se contraindre à l'idée d'aller dans le monde, Anne y était allée ... trop vite, trop tôt.
Droite comme un i, tout de blanc vêtue comme une mariée du XXème siècle, elle traversa le parvis et se réfugia dans l'édifice, sur un banc qu'un chasse-Dieu lui désigna comme un de ceux réservés aux Grands Officiers de Sa Majesté. Une dame vêtue de rouge se recueillait non loin. Ce ne pouvait cependant être la mariée, aussi Anne la laissa-t-elle à ses dévotions, et se mit-elle aux siennes, avec une ferveur décuplée par un horrible sentiment de culpabilité à l'idée d'être là à contrecœur.

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Sindbad
Réveil...Si tant est que ce mot ait une signification dans l'esprit de la dravidienne qui servait au Grand Ambassadeur Royal de France de garde du corps.

Sindbad n'avait pas été ménagé lors du mariage de Pitt avec Harpège, il ne le serait pas davantage pour celui ci. Et qu'il soit le futur marié n'y changerait rien.

Heureusement pour lui - ou malheureusement - sa nuit avait été courte. Ce mariage tournait et retournait dans sa tête. Non pas qu'il ne le souhaitait plus. Sa décision était, sur ce point, arrêté. Mais il pensait à tous ceux qui ne serait pas présent en ce jour de bonheur pour lui : sa filleul Saradhinatra, dont il n'avait plus de nouvelles : était-elle encore vivante ? Et le Comte de Cognac, qui, le premier, lui avait laissé sa chance en tant qu'Ambassadeur. Et le fidèle Theobald, le ménestrel à qui il devait d'avoir survécu à l'immonde Graziella, et qui avait disparu après son voyage avec Aiguemarine. Mais, par dessus tout, le grand absent serait son père. Qu'aurait-il pensé de ce mariage ?

Tout à ses pensées, le constantinopolitain se serait bien contenté de se préparer en enfilant la tenue de mariage qui lui avait été livré quelques jours auparavant. Mais son garde du corps avait poussé de hauts cris, protestant que l'on célèbre une union sans invoquer cet étrange homme à tête d'éléphant. Puis, ce fut l'absence du collier de fleurs, symbole du bonheur conjugal, qui fit l'objet de ses critiques. Et qui conjurerait le mauvais oeil ?

Décidément, tout partait d'un mauvais pied...

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Grand Ambassadeur Royal de France | Ambassadeur d'Orléans auprès des Comtés d'Angleterre | Baron du Chêne Doré & Seigneur d'Epieds en Beauce
Anya_de_puycharic
[Dans la chambre de la future épousée]

Anya entra et une tempête fila sur elle pour l'embrasser. Mhh... cela sentait la tension, tout cela. C'était bien palpable. Une raison de plus, pour la Blanche, de ne jamais se marier !
Un flot de questions, demandant un lot de réponses qu'Anya donna plus calmement.
Le tout, ne pas affoler davantage sa soeur.

- Lucie ne va pas tarder, ne t'en fais pas. Il est encore tôt. Je n'arrivais plus à dormir, alors je suis venue te tenir compagnie puis t'aider à te préparer. Quant à Margot, elle a eu la lourde tâche d'aller réveiller le Vicomte.

Ta robe et tout le reste est dans cette malle, avec mes affaires. Tout est là, ne t'inquiète pas.
As-tu bien dormi ? enfin...

Question bête... pour sûr que la nuit n'avait pas dû être bien terrible. As-tu vu nostre frère ? J'entends par là Julien, car Alexandre était en mer il y a encore peu, je ne sais d'ailleurs s'il a accosté ou non.


Anya sortit les robes qu'elle déposa délicatement sur la couche. Un sourire s'affichant sur son visage.

- Elle est vraiment très belle, cette robe... Et comme tu as vu, j'ai apporté celle que tu voulais me voir porter. De mémoire, elle rappellera un peu les origines de Sin, non ?

Puis regardant sa soeur avec un sourire plus franc, elle sortit des feuilles de menthe fraîche.

- Tiens. Mâchouille ça. Cela calmera tes nausées. Car je suis sûre que tu en as.

Petit clin d'oeil compréhensif. Pas besoin d'être enceinte pour avoir des nausées, l'estomac noué. Un mariage suffisait. Ouais ouais ouais... éviter le mariage à tout prix...

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Aurore87
La jeune rousse arriva à l’hôtel d’où son amie résidait avant la cérémonie. La petite femme un peu nerveuse de même cogner a une porte ou de l’ouvrier. Elle se décide d’avancer près de l’entrée son voyage fut des plus agréables. Dans le couloir elle remarque un objet au sol. Ses yeux de jade observe bien cette objet d’argent, se pencha pour le prendre en main elle remarque un symbole de fleur quelle na pas pue décerner.
La jeune Blésoise ce fit indique le chemin vers la chambre d’un homme remarquable.

Une fois arriver devant la porte elle cogne le bruit fut Toc Toc… Puis une drôle de fait entendre aurore sursaute d’un coup par ce bruit, c’est à ce moment-là qu’un garde l’appréhende.


Vous allée me lâché non mais..


La Vice regarde l’homme qui la tient par le bras. Il l’éloigna de la porte. Elle n’est pas aussi fort il ne semblait pas savoir que la jeune femme est là pour le Constantinople. Soudainement le garde la relâche près d’une chaise de couleur rouge velours patte de bois bien moulé. Il la bouscule sur cette chaise.


S’il vous plait laissé moi me rendre au seigneur qui doit ce marié, je suis son témoin.

Aurore ne s'enflammait que très rarement mais là ses joue devienne rouge, elle se dit personne mais personne ne la ferra manqué cette évènement. La femme cette relève de la chaise l’homme qui la surveille de près la regarde avec attentions. La petite sournoise se glisse a peine quand qu'il a le dos tourné, elle part a courir vers son but. Arrivé à la porte elle replace ses cheveux tout en cogne à nouveau sur la porte, essoufflée par cette mise aventure.

Jglth
[La veille du Jour J, Rosny]

En raison de préparatifs qui s'accéléraient, de domestiques qui s'affairaient et d'une effervescence d’œstrogènes à la mode Giffard à l'approche de l'heure fatidique du mariage, Julien commençait à avoir douloureusement mal au crâne.

Il avait passé la fin de journée et une bonne partie de la soirée avec Akane et Sindbad à discuter avec eux du déroulé de la cérémonie et de ce que signifiait cet engagement devant le Très Haut.

Alors qu'il songeait à aller se coucher, il gagna ses appartements, nerveux à l'idée d'officier demain pour la première fois, d'autant plus à Notre Dame, pour une de ses soeurs et devant une telle assemblée. Il réalisa qu'il ne réussirait certainement pas à dormir et poussa un petit soupir.

Il décida finalement de revêtir son tabard de l'Hospital, prit ses armes et sa cape et gagna les écuries sans avoir oublié de laisser un petit mot pour informer de ses intentions.

Il chevaucha rapidement, gagnant Notre Dame de nuit, se répétant ce qu'il aurait à faire demain comme un mantra. Une fois arrivé, il confia son cheval ainsi que ses armes à quelques frères et soeurs de son ordre déjà arrivés pour sécuriser l'évènement du lendemain. Après quelques paroles échangées avec eux, Julien entra dans l'édifice.

Il s'installa non loin de l'autel afin de passer la nuit en prière.



[Notre Dame, Jour J]


Quelques personnes commençaient à entrer dans l'édifice. Bien peu certes mais assez pour que Julien réalise que l'heure avançait dangereusement et qu'il allait bientôt devoir préparer la cérémonie.

Il réalisa que les fleurs avaient déjà été livrées et commença alors à les disposer. Dans son parcours, il aperçu Anne qu'il n'avait plus revu depuis son départ de la Curia. Celle ci semblait être en train de se recueillir et il ne souhaita pas la déranger en cet instant. Il serait toujours temps de lui parler après, durant les festivités.

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Helene.blackney
Pourquoi me faisait il la morale sur le mariage? Avais je l'air dubitative devant l'engagement? Je me mordis la joue, mon impression était trop transparente. A présent, il me demandait de bien me tenir comme si c'était mon style. Je notais juste qu'en oblate j'appréciais les chants. Misenhor m'avait toujours encouragée à chanter. Je soupirais au grand damne de mon père. Je lui fis une tendre bise sur sa joue fraîchement rasée. Il m'entraîna à l'intérieur de l'édifice, je me laissais guider lpensant que se serait bientôt à moi d'être pendue.
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Aparajita


Des coups frappés à la porte retentirent.

D'un bond, et avant que
Ganapati n'ait pu l'arrêter, la dravidienne se trouvait devant la porte. Mariage ou pas, elle restait en charge de la sécurité.

Elle l'ouvrit et se figea.

Cette femme, devant elle...Comment osait-elle se présenter, après ce qu'elle leur avait fait.
La-Cité-Sous-Les-Flots, la Cité des Tailleurs de Pierre, et maintenant ici ?

Un flot de colère submergea la dravidienne, tandis que des images passaient devant ses yeux :
Vidashara la traînant par les cheveux, Vidashara la poignardant dans le dos, Vidashara empoisonnant Ganapati avec ses propres plantes médicinales...Quoiqu'à ce moment là, elle n'était pas présente.

Mais l'heure de la vengeance avait sonné. Et sous peu,
Vidashara se présenterait devant le Dharmaraja pour répondre de ses actes.

Elle tenait son poignard bien en main, le poison qui avait manqué de tuer
Ganapati enduisait encore la lame. Sa main serait celle d'une vengeance implacable. L'agonie serait longue et douloureuse. Et la dravidienne se délecterait des hurlements et gémissements de celle qui l'avait tant fait souffrir. Les yeux réduits à deux minuscules fentes tandis que tous ses muscles étaient prêts à entrer en action, elle ne put réprimer un feulement, révélant d'un rictus sa dentition d'une blancheur immaculée, comme un éclat de lumière sur sa peau d'ébène.

A cet instant précis, la bête avait refait surface, prédateur impitoyable. Sa proie était déjà morte. Simplement, elle ne le savait pas encore...



Aparajita,
Mi-femme, mi-bête
Protégée de Ganapati
entraînée au combat par l'Ordre de la Pierre-Dieu
Akane
[ Chambre de la mariée... ]

La brune écoutait la blonde qui la rassurait.
Pour le moment, tout était sous contrôle. Elle avisa les malles, les robes, et ne pu s’empêcher de sourire à l’évocation de la toilette de sa frangine qui rappelerait les origines du futur époux, et qui lui plaisait.

Maintenant, c’était la cadette qui posait un tas de questions. Décidément, les soeurettes…


- Je te remercie pour ma robe. Vrai qu’elle est très belle. Clarinha a fait une fois de plus des merveilles, et encore il y’a la seconde…Je vois aussi que tu me fais un extrême plaisir, et, je suis sûre que mon futur mari remarquera l’originalité de ta tenue.

A l’évocation des deux frères, elle ajouta :

- J’ai eu l’occasion de parler longuement à julien hier, dans un premier temps pour préparer le mariage avec Sindbad, dans un second temps, pour lui confier ma peur viscérale. Il a essayé de me rassurer sur le coup mais tu te doutes qu’une fois reparti et face à moi-même, cela a recommencé. Loryane est ensuite arrivée, nous avons prié et parlé jusque tard dans la nuit et j’ai peu trop peu dormi, enfin… Si on peut appeler ça dormir…

J’espère qu’Alexandre aura accosté, je ne le connais pas vraiment… C’est étrange comme sensation, je sais qu’il est mon frère mais pour l’instant, le lien affectif reste à créer.


Sa petite sœur avait pensé à tout, vraiment tout. Elle se saisit de quelques feuilles de menthe qu’elle mit dans sa bouche et qu’elle commençait à chiquer.

- Tu es un ange, ma sœur. J’ai oublié la chose la plus basique pour lutter contre mes nausées, cela va me faire du bien.

Elle prit ensuite un ouvrage emprunté à la librairie royale, car elle avait une idée en tête. Une surprise en quelque sorte.
Il lui fallait aborder le sujet de sa récente blessure au coude d’autant plus qu’elle avait oublié ses onguents, onguents qu’elle appliquait pourtant avec soin depuis sa chute aux joutes du Tournel.


- Aurais-tu quelque chose pour les coudes blessés ? Je suis tombée dessus durant les joutes. Il n’est pas cassé, mais il me fait encore quelque peu souffrir. Rien de comparable à ce que j’ai pu déjà vivre mais c’est ennuyant.
Que fait-on ? On commence donc à se préparer et Lucie se joindra à nous ?


Elle constatait que le temps passait, qu’elle était toujours en chainse, les cheveux lâchés. Une pensée à son constantinopolitain… Que faisait-il de son côté à ce moment précis ?

- Pourvu que rien ne gâche cette journée... Pourvu qu'il ne fasse pas marche arrière, et si il le faisait ?

Panique à bord !
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Semper Paratus Servio
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