Lavava
Et voilà, on y était ! Larmée avait pris place en dehors des remparts à bonne distance toutefois. Tout le monde avait lair rompu mais on sactivait encore. Logistique parfaite, bien huilée : les différents corps darmes opérationnels, les chevaux pansés, les armes inspectées,nettoyées ; le ravitaillement distribué ; les derniers ordres donnés. Bientôt le calme régnerait.
La nuit était tombée. Les feux de camps brulaient, les soldats de gardes faisaient leur ronde pendant que les autres prenaient un repos bien mérité.
Les étendards ondulaient doucement, dans la lumière des torches. Tout paraissait si tranquille. On ne pouvait présumer que bientôt des hommes et femmes souffriraient.
Armée de Savoie du Général White.
Lav était de garde, ce soir-là. Sa tente avait été montée, les ordres reçus et la plupart de ses camarades maintenant dormaient, enfin essayaient. C'était plutôt calme et la Lav faisait le tour du campement à l'affut du moindre bruit suspect.
Plutôt dur ! Les bruits, ça manquaient pas. Sous les tentes et autour des feux de camps ce nétait que ronflements et incongruités intestinales (il faut dire que les rations de l'armée ça n'avait jamais été très digeste). Les braies dun soldat avaient même failli senflammer, à passer trop près dun feu de camp ! Lavait eu chaud aux fesses celui-là. Lav se rappela de ne pas manger dans la gamelle qui mijotait sur le dit feu.
'tention voyons ! T'as même pas combattu que tu vas te retrouver chez le bouch' euh, l'infirmier.
Oups, sa langue avait fourché. C'était pas le moment de faire peur aux soldats !
Lav donc, parcourait le camps, vérifiant que tout était en ordre. La tranquillité s'installait doucement. Si ce n'est ces deux points lumineux qui grossissaient venant des remparts. Alerte, quelque chose approchait...Hum...la dame scruta la nuit s'approchant doucement de l'endroit où la chose se faufilait. Un chat ! Et quel chat ! Un catas genevois, et sûrement pouilleux avec ça ! Il essayait de grimper, on ne sait pourquoi sur le pal de l'étendard Savoyard. Eh bien, si c'était là leur première attaque...
Le soldat appela ses compagnons de garde.
Hé lieut', lieut', les gars, venez par-là !
Et d'attendre que la petite troupe entoure le chat agrippé maintenant à l'étendard, griffes incrustées dans le tissu, feulements de terreur. En tout cas, hargneux le félin !
Et de se retourner vers tous
Qui le déloge ?
Et de tous se regarder en chien de faïence
Bon ! Jy vais, bougez pas je vais chercher mes gants
Et la dame d'enfiler une bonne paire de gants pour attraper la furie qui tenue par le col, feulait sans bouger tel un chaton dans la gueule de sa mère. Mauvaise posture pour un minon !
Et il avait eu le temps de se soulager sur les couleurs de Savoie le monstre !
On en fait quoi de cette sale bête pouilleuse ?
Et de tous se regarder encore l'air pas très sûr.
Bon je sais... Je m'y colle !
La dame soupesa l'animal, avant de le poser à terre et de le tenir sous sa botte. Feulements encore, pipi, caca, sûrement la terreur ! Pfiouu ça pue !
Un grand arc, une grande flèche avec embout rond couvert de chiffon, (elle ne voulait pas faire mal, c'était pas l'heure). et un catas ficelé plus tard,La blonde calcula la portée, le vent, visa l'intérieur des remparts et... décocha. Espérant que le sauvage animal n'atterrirait pas trop durement.
FRREEEEEEEEUUU...MAOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu !!!....
Chpoc !
En plein dans le mile !
La nuit était tombée. Les feux de camps brulaient, les soldats de gardes faisaient leur ronde pendant que les autres prenaient un repos bien mérité.
Les étendards ondulaient doucement, dans la lumière des torches. Tout paraissait si tranquille. On ne pouvait présumer que bientôt des hommes et femmes souffriraient.
Armée de Savoie du Général White.
Lav était de garde, ce soir-là. Sa tente avait été montée, les ordres reçus et la plupart de ses camarades maintenant dormaient, enfin essayaient. C'était plutôt calme et la Lav faisait le tour du campement à l'affut du moindre bruit suspect.
Plutôt dur ! Les bruits, ça manquaient pas. Sous les tentes et autour des feux de camps ce nétait que ronflements et incongruités intestinales (il faut dire que les rations de l'armée ça n'avait jamais été très digeste). Les braies dun soldat avaient même failli senflammer, à passer trop près dun feu de camp ! Lavait eu chaud aux fesses celui-là. Lav se rappela de ne pas manger dans la gamelle qui mijotait sur le dit feu.
'tention voyons ! T'as même pas combattu que tu vas te retrouver chez le bouch' euh, l'infirmier.
Oups, sa langue avait fourché. C'était pas le moment de faire peur aux soldats !
Lav donc, parcourait le camps, vérifiant que tout était en ordre. La tranquillité s'installait doucement. Si ce n'est ces deux points lumineux qui grossissaient venant des remparts. Alerte, quelque chose approchait...Hum...la dame scruta la nuit s'approchant doucement de l'endroit où la chose se faufilait. Un chat ! Et quel chat ! Un catas genevois, et sûrement pouilleux avec ça ! Il essayait de grimper, on ne sait pourquoi sur le pal de l'étendard Savoyard. Eh bien, si c'était là leur première attaque...
Le soldat appela ses compagnons de garde.
Hé lieut', lieut', les gars, venez par-là !
Et d'attendre que la petite troupe entoure le chat agrippé maintenant à l'étendard, griffes incrustées dans le tissu, feulements de terreur. En tout cas, hargneux le félin !
Et de se retourner vers tous
Qui le déloge ?
Et de tous se regarder en chien de faïence
Bon ! Jy vais, bougez pas je vais chercher mes gants
Et la dame d'enfiler une bonne paire de gants pour attraper la furie qui tenue par le col, feulait sans bouger tel un chaton dans la gueule de sa mère. Mauvaise posture pour un minon !
Et il avait eu le temps de se soulager sur les couleurs de Savoie le monstre !
On en fait quoi de cette sale bête pouilleuse ?
Et de tous se regarder encore l'air pas très sûr.
Bon je sais... Je m'y colle !
La dame soupesa l'animal, avant de le poser à terre et de le tenir sous sa botte. Feulements encore, pipi, caca, sûrement la terreur ! Pfiouu ça pue !
Un grand arc, une grande flèche avec embout rond couvert de chiffon, (elle ne voulait pas faire mal, c'était pas l'heure). et un catas ficelé plus tard,La blonde calcula la portée, le vent, visa l'intérieur des remparts et... décocha. Espérant que le sauvage animal n'atterrirait pas trop durement.
FRREEEEEEEEUUU...MAOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu !!!....
Chpoc !
En plein dans le mile !