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[RP] Allégeances à Antonio Licors – la cérémonie

Olivier1er
Il prit la plume.

- Merci votre Grace pour ce symbole fort plaisant. Que le tres haut me foudroie si je venais a manquer a mon present serment.

Il fit un geste de la main en direction de son page, et celui s'approcha portant une petite boite.

Comme quoi les grands esprits se rencontrent, permettez moi en retour de vous offrir cette patte de lapin qui porte chance afin que votre volonté de paix rencontre la chance necessaire a sa realisation.
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En Deuil d'un Grand Roy qui était avant tout un Grand Bourguignon...et un ami. Funeste jour d'une tristesse affligeante.
Ingeburge
Et la suite vint, sommaire, car à dire vrai, Ingeburge en parlant de petits pâtés s'était totalement désintéressée de tout ce qui n'était pas petits pâtés, ayant l'impression d'en humer le parfum suave et épicé, regrettant de ne pouvoir en goûter, condamnée qu'elle l'était à devoir l'ouvrir toutes les deux secondes, comme maintenant :
— Que se présente désormais Son Altesse Royale Charlemagne von Frayner-Castelmaure, pour les terres du Nivernais, de Chastellux, de Chablis et de Laignes.

Ça aurait été bête de cracher des miettes, quoique, soyons honnêtes et réalistes, il était évident qu'Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg ne postillonnait pas. Jamais.
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Charlemagne.


L'aveu du dauphin, malade comme un chien, donc, ne rebuta pas le Prince. N'était-il pas persuadé d'avoir été doté de la thaumaturgie des souverains à la naissance. Et, plaisanterie ou non, il avait choisi de prendre la première réponse de Sancte comme une immuable vérité : le Resplendissant ne souffrait que de ses absences et des angoisses peinées qu'elles lui procuraient.
Non seulement, il en avait l'ego flatté, mais in petto, il était persuadé que son aîné l'aimait assez pour penser ce qu'il avait dit avec un charme badin.
Acquiesçant avec indolence à la diatribe politico-médicale, il s'était trouvé un nouveau commentaire à offrir, incisif, à son frère.
L'Aiglon prenait un air de chuchoteur, amuseur et sans être jovial, plaisant reporter de la décrépitude bourguignonne.


Ceci n'est autre qu'Uruk de Margny-Riddermark. Deux noms qui ne signifient, en fait, rien. L'un a été oublié par l'Histoire, l'autre est un sombre sang qui essaie de subsister en Empire mais dont la représentante la plus éloquente a davantage l'allure d'un caniche que d'un lévrier. Mais dans cette maison, on ne fait pas grand cas du sang, et je crois même que l'on se passe l'héritage sous la manche plutôt que sous la ceinture : alors que ce prince - car hélas, il l'est, mais de ce qui ne devrait être qu'une petite seigneurie - nous avait toujours semblé en quête d'une descendance et d'une épouse, il s'est trouvé un héritier auquel on a trouvé une mère légitime, défunte, parce que c'est commode de se marier à un cadavre. Pourtant, j'ai su dans les documents de ma feue mère qu'il avait longtemps cherché de quoi assurer sa lignée. Mais voici qu'il parait que c'est fait, et de longue date. Si vous voulez mon avis, il y a là dessous quelques belles magouilles.
Du reste, c'est le genre m'as-tu-vu et bourgeois. N'a jamais mené une entreprise à terme mais se présente au commencement de chacune comme le divin sauveur. Désagréable, et son hypocrisie ne dupe que quelques femelles bourguignonnes qui trempent leurs cottes et surcottes à la moindre apparition d'une altesse. Parasite.


La face marmoréenne se détourna un moment, puis se posa sur Jehanne Elissa qui revenait de son allégeance, que Charlemagne n'avait pas écoutée une seconde.

Voici Jehanne Elissa de Volpilhat. Sudiste.

Comprendre : pécore.

Amie de ma mère, je crois. Je ne me souviens pas lui avoir jamais parlé. Elle est assez...

Mais le duc du Nivernais fut coupé, parce qu'une voix avait appelé son nom, et l'avait invité à prêter son allégeance. Il quitta son siège, donc, mais pas sans avoir assuré Sancte de son retour. Cela valait pour ses ombres silencieuses. Le duc de Bourgogne n'avait rien de dangereux.
Il l'approcha et, droitement planté, n'esquissant pas la moindre marque de déférence et ne s'inclinant pas davantage que la vicomtesse de Cauvisson l'avait fait, il chercha du regard de son père celui d'Antonio.
Bien sur, pas un mouvement, pas un mot ne lui imposerait la génuflexion. Jamais il ne s'était incliné. Et si c'était arrivé, devant un roi ou un empereur, il l'avait oublié. Mais suzerain lorrain comme suzerain bourguignon lui étaient résolument inférieurs en rang et en dignité. D'une voix assez ferme sans être sévère, il plaça son serment.


Votre Grâce, je vous prête ce jour serment d'allégeance. Recevez alors mes promesses de fidélité, d'aide et de conseil, pour mes terres ducales du Nivernais, vicomtales de Chastellux, et baronniales de Chablis et de Laignes.
Je me réjouis que la Bourgogne ait de nouveau un duc sur son trône, et un chef pour sa couronne. Puisse votre règne nous faire sortir de l'abîme.


Comme s'il croyait que deux ou quatre mois pouvaient suffire à redresser le Grand Duché d'Occident.
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Angelyque
C'est les yeux soulignés de vilaines cernes que la duchesse du Charolais se présenta dans la salle du Trône du Palais des Ducs de Bourgogne. Elle avait eu beau rester plus longtemps qu'à l'accoutumée dans son bain, se faire masser par Riccardo, revêtir une nouvelle robe tout droit arrivée de Venise, elle n'avait qu'une haête c'était retourner se coucher.

Le matin-même, elle avait prit pris la plume pour rédiger une missive d'allégeances et éviter ainsi une ènième cérémonie mais s'était ravisée à la dernière minute. Son devoir était d'être présente à la cérémonie d'allégeances, peu importait le fait qu'elle aurait largement préféré rester au chaud sur ses terres devant un bon feu, elle devait prêter allégeance en personne au Duc Antonio.

Adressant quelques saluts aux personnes présentes, elle se rapprocha de Lilianna et de son frère dont elle appréciait particulièrement la présence et attendit d'être appelée à son tour
.

Je suis ravie de vous vous revoir messire Gomeric Gaborn, demoiselle Lilianna, vous êtes très en beauté.
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Antonio
Après avoir repris une gorgée de vin, et remercier le Baron pour son présent très... original mais non moins attentionné, le Duc se tourna vers le nouvel appelé, le jeune Prince. Ce dernier avança sans le moindre signe sur son visage, la nuque bien droite, ce qui ne surpris absolument pas le Duc. Les princes étaient les nobles les plus prétentieux, les plus fiers et celui-ci ne faisait pas office d'exception bien au contraire.
Pas de problème, il savait très bien s'adapter à chacun de ses vassaux, et ce qu'il préférait, c'est les taquiner dès qu'il en avait l'occasion. Qui aime bien châtie bien dit-on. Le Duc écouta donc le sobre serment de son vassal princier. Une fois celui-ci terminé il le regarda de son trône, tout en caressant son menton.

-Dîtes moi, mon cher vassal, vous me semblez peiné. Sachez que votre suzerain sera toujours là pour écouter vos déboires et si possible pour les arranger. Quoi s'il en soit, j'aurais aimé vous voir sourire, vous voir vous présenter devant moi gaiement. N'êtes vous pas heureux de voir enfin un Duc sous cette splendide Bourgogne, un suzerain pour votre protéger ?
Soit. J'entends votre serment. En retour, Nous Antonio Licors, Duc de Bourgogne, vous promettons subsistance, justice et protection pour vos fiefs du Nivernais, de Chastellux, de Chablis et de Laignes. Voilà un bon patrimoine pour un jeune Prince, nul doute que vous en prendrez grand soin.

Petit pause, regarde le Prince et continue.

-Approchez mon jeune vassal.

Un baiser ? Que nenni ! Une accolade d'hommes, franche et bien efficace. Puis le Duc tendit une plume au Prince.

-Prenez cette plume de colombe, pour une Bourgogne en Paix.

Et un check vers Montjoie.

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Lilouanne
Comment cela? Pas de cracheurs de feu, de lancées de pétales de roses sur son passage ni de trompettes annonçant l'arrivée de la Mirandole? Lilianna était presque déçue mais en voyant la mine de la Duchesse, elle eut un pincement au cœur et se demandait ce que pouvait bien cacher ce teint triste.

Cependant, elle lui adressa une révérence digne d'une reyne et un sourire des plus chaleureux.


Votre Grasce! J'attendais votre arrivée avec impatience! Je suis très heureuse de vous revoir.

Regardant la foule autour d'elle, elle papillonnait des cils, désireuses de tout connaitre et attendait surtout avec impatience le tour de son oncle, fière comme un petit paon. Elle posa son regard vert enjouée sur la Duchesse et espérait que celle-ci ne lui en veuille pas être d'aussi bonne humeur. Puis, se penchant vers elle, lui adressa sur le ton de la confiance:

C'est la première fois que j'assiste à la cérémonie...
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Charlemagne.


Charlemagne avait-il seulement de quoi se trouver peiné ? Non. Seule une vague nostalgie l'étreignait à la pensée de l'angevin Melchiore dont il ne gardait l'odeur que dans un flacon d'air évaporé, souvenir d'adolescent transi d'amour et qui aurait décidé de ne plus se laver la main serrée par la Buse s'il n'avait pas été maniaque et trop soucieux de sa santé et de ses propres parfums.
Jamais, toutefois, l'Aiglon ne se trouvait mal en Bourgogne. Certes, il l'avait fuie, cette terre sombre, mais c'était elle, la terre de Nevers où il tirait sa force. La terre, c'est la seule chose qui compte, c'est la seule chose qui dure. Eut-il tout perdu qu'il lui resterait encore une raison de vivre : Nevers. Et Bolchen, et Chablis, et Baudricourt, et Thuillières, et Chastellux, et Laignes. Là restaient dans une paix sans troubles les corps spectraux de Béatrice, de Lhise, de Guise, de Charles, Morphée, et d'autres illustres fantômes qui, tous, ne devaient que se construire en amas autour du Prince qui n'était qu'un héritage. Et lequel ? Palais, châteaux, collines et nids d'aigles, champs et vignes, élevages, armées, artisans et serfs, gardes, offices, ateliers de luxe. Ne lui manquait que le Lauragais maternel, échu à Franc Claude, et les pigments bleus du Sud lui auraient assuré une rente supplémentaire. Assez pour deux vies. Alors, de quoi se plaindre ? De quoi se peiner ?
La solitude, il la chérissait. C'était son amie la plus fidèle : une solitude toute pleine de grâce et de raison, calculée, et qui n'était en somme qu'une réserve sage et austère. Alors non.


Mon suzerain, je ne ressens aucune peine, car j'aime l'infinie Bourgogne, grand duché d'occident façonné par les miens, parmi d'autres. Dans mes veines, elle coule, et en dépit de ses guerres et de ses meurtrissures, elle survivra au monde. Vous portez la couronne de ce qui est la graine d'un royaume. Et je suis heureux qu'elle ne soit plus aux mains de la Régence, blanche, noire, rouge, qu'importe le nom ridicule dont on l'affublera, cette fois. Une régence est toujours une honte pour une terre noble.

Il ne sourit pas. Sa gaieté ne passe pas par le sourire, de toutes façons. Il la réserve pour quelques privilégiés, et il ne se trouve pas beau quand ses lèvres dessinent un arc trop expressif. Pincé, résolument, il continue.

Mon patrimoine est vaste et riche, et je sais l'administrer, je m'efforce de le faire grandir et résister aux heurts du temps et des hommes. Il faut avoir le souci de respecter un lignage et ses legs. Si mes parents ont régné sur la France, je puis régner sur le vaste Nivernais, la riche Chastellux, et les fructueuses Laignes et Chablis. Merci, votre Grâce.

Il accueillit l'accolade, qui était, selon lui, le scel des fillettes qui avaient peur de croiser des lèvres. Charlemagne se trouvait toujours dégoûté de devoir coller son corps à un autre corps, alors qu'il pouvait très simplement se limiter aux quelques millimètres de parcelle buccale que fait une bouche. Et, somme toute, un baiser vassalique est un symbole vieux comme le monde, que chacun s'échange sans forme de sensualité, une sensualité qu'il faudrait chercher loin dans le coeur glacé du Prince. Surtout en cet instant.
Et puis, n'était-elle pas amusante cette distinction ? Aux hommes, on épargne les baisers. Aux femmes, on fait l'offense de désirer leurs lippes, et de les saisir sans trop se demander si elles, elles y trouvent à redire. Hypocrisie des hommes. Pourquoi Jehanne Elissa, Ingeburge, Aryanha ou même la peu farouche Angélyque voudraient embrasser Antonio ou tout autre suzerain davantage que Charlemagne, Olivier, Niall ou Uruk le désiraient ? Rustres.


Il se saisit de la plume.

Pour une Bourgogne en paix.

Répéta-t-il, simplement, avant de tourner les talons pour rejoindre son frère. Arrivait la Charolaise, qu'il faudrait donc, bien inutilement, présenter à son Altesse le Dauphin.
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Ingeburge
« La fructueuse Laignes », ce qu'il ne fallait pas entendre, indubitablement certains avaient décidé de jouer les plaisantins et donc, après le raison au début du printemps, c'était Laignes et sa fructuosité. Ah. Pourquoi pas. Ce fut donc une aimable, riante, respirant la joie de vivre, débordante de bonheur Ingeburge qui procéda à l'appel suivant :
— Que se présente maintenant Sa Magnificence Aimbaud de Josselinière, pour les terres de Corbigny.

He oui, Ingeburge était aussi pleine d'hilarité et d'alacrité que Laignes était « fructueuse ». Sacré Charly, qui aurait pu croire qu'il possédait un tel humour?
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Maathis
Mellecey parut, et vint discrètement prendre sa place.
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Aimbaud
Rajustant encore une fois son col, dérangé par l'infernale descendance des Montréal, Aimbaud s'en vint ployer devant le nouveau régnant. Il ne goûtait guère le ton paternaliste qui avait poussé, sur la langue d'Antonio, aussi vite que les herbes mauvaises et les champignons, au lendemain de sa nomination, lui qui s'était d'ordinaire toujours comporté de façon formelle et simple envers les nobles du duché, sans fausses manies ni condescendance... Aussi lui adressa-t'il un serment sans fioritures. Il était bon à chacun de savoir rester à sa place.

Antonio Licors, pour mes terres de Corbigny, je jure ce jour à votre Grâce de lui être fidèle, bon conseiller et de lui prêter mon bras armé en cas de pépin.
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Antonio
Le Duc de Bourgogne regardait s'avancer à présent le jeune Duc de Corbigny qui simplement mais surement s'approchait de lui. Il écouta le serment on ne peut plus court de son vassal qui avait sans doute du parier avant la cérémonie qu'il serait le noble qui prononcerait son serment avec le moins de mot possible. Toujours était il que c'était réussi. Aussi, le Duc ne fit pas non plus de long baratin, alla directement au but et répondit simplement.

-Nous entendons votre serment et l'acceptons. En retour, Nous Antonio Licors, Duc de Bourgogne, vous promettons subsistance, justice et protection pour votre fief de Corbigny.

Approchez cher vassal.


Puis l'accolade vassalique, et le Duc tendit à Corbigny un plume.

-Et voici une plume de colombe, signe de la Paix que je souhaite voir durer en Bourgogne durant mon mandat et au-delà.

Suivant !
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Cuche
Confortablement installé, le Chambellan assistait à la suite de la cérémonie. Les terres avaient été distribuées et les premiers serments avaient déjà été prononcés depuis un bon moment.
Difficile de dire si chacun pensait réellement à ce qu'il disait, les engagements, les promesses... Combien de fois avaient-ils été rompus? Et ce ne serait pas la dernière non plus.
Essayant de se remémorer le nombre de nobles déjà passé, il se rappela alors le discours d'introduction de Montjoie.
"La cérémonie se passera en deux temps. Le premier verra ceux destinés à recevoir un fief appelés; le second ceux devant renouveler leur serment et ce, dans l'ordre d'arrivée."


Perplexe, il passa machinalement sa main sur son menton, comme s'il avait une tâche de vin à faire disparaitre.
Se pourrait-il que... ?

Désireux d'en savoir plus, il se pencha vers Angelyque, non loin de lui.


Dis moi... On garde toujours le meilleur pour la fin?

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En deuil de son Roy.
Ingeburge
Mister coupe-au-bol ayant prêté serment puis reçu réponse de son suzerain, le Roi d'Armes de France continua à dérouler sa liste qui suivait une logique... logique mais qui devait s'adapter aux circonstances. L'appelée suivante fut :
— Que dame Jusoor Blanc-Combaz s'avance, pour prêter serment pour ses terres d'Uchon et pour celles, Digoin et Mâlain, de son pupille le prince Lionel Blanc Combaz.

Une allégeance deux en un, ça allait faire gagner du temps sur le programme, ça.
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Jusoor_de_blanc_combaz


Voila c'était son tour. Sûr que c'était toujours un peu long les allégeances, mais au moins elle, contrairement au Régnant, avait cet avantage, assise là, d'être exemptée d'autant d'embrassades qu'il y avait de vassaux. A son nom donc, elle quitta son siège et se présenta devant le Duc.

Votre Grasce, c'est d'une seule voix que je jure à la Bourgogne devant votre personne, fidélité, aide, service armé et conseil, pour mes terres d'Uchon et pour la tutelle que j'exerce pour mon frère son Altesse Lionel Parfait de Blanc-Combaz et ses terres de Digoine et Mâlain.
Que ce jour augure d'un rêgne serein et garant d'une stabilité certaine pour la Bourgogne.
Antonio
Ce fut le tour de la Baronne d'Uchon de se présenter devant le trône ducal. En plus de prêter allégeances pour sa Baronnie, elle prêterait serment au nom du fils du Roy, de son frère, le jeune Prince de France. Le Duc de Bourgogne la regarda arriver jusqu'à lui, puis écouta son serment.

-Baronne, nous entendons votre serment et par votre intermédiaire celui de Son Altese votre frère, et nous l'acceptions avec joie. En retour, Nous Antonio Licors, quarantième Duc de Bourgogne, vous promettons subsistance, justice et protection pour votre fief d'Uchon, et par votre intermédiaire, à votre frère, pour ses terres de Digoine et de Mâlain.
Je vous remercie.


Puis il se leva et déposa un baiser sur les lèvres de sa vassale, accompagné cette fois d'une accolade vassalique en prime. Deux pour le pris d'un en gros. Au cas où cela n'aurait pas été assez clair le Duc précisa.

-Le baiser c'est pour vous, l'accolade pour votre frère.

Et le Duc sortit du sac posé à côté de son trône non pas une plume, mais deux.

-Recevez deux plumes, l'une pour vous chère vassale, l'autre pour mon autre vassal votre frère, signe de Paix pour la Bourgogne.

Et il conclut l'échange par un sourire, avant de se tourner vers Montjoie pour écouter le nom de la personne suivante.
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