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[RP super méga ouvert]La moitié de Bourges est en flammes !

Imotep
Une goutte humide sur son visage, puis d'autres à profusions. Il ouvrit les yeux doucement. Le regard dans le vague. Le voilà sur une civière, allongé.

Il tourna légèrement la tête, sa nuque était endolorie. A dire vrai son corps entier criait souffrance . A côté une dizaine d'autres blessés étaient disposés comme lui.

L'intempérie lavait le sang sur son visage. Le sang... il se demandait quelle quantité de ce précieux fluide il avait pu perdre. Il leva sa main avec difficulté. Sa pâleur intense lui fit comprendre qu'il n'était même pas la peine de songer à pouvoir se mettre debout avant plusieurs jours.

Sa JennL et ses compagnons devaient encore se battre contre le fléau Bourguignon qui avait frappé la ville. Peut-être ne s'en étaient-ils pas sortis vivant d'ailleurs... Il se sentit bien seul et bien inutile à ce moment là. On l'avait dévêtu de son armure et paré à la va-vite de sommaires bandages. Son épée, Ankou, était à quelques mètres de son brancard. Il songea un instant à se laisser emporter par sa lame... Puis se ravisa, lui aristotélicien, lui amoureux de la vie... Il ne pensa plus qu'à rentrer à son village Sancerrois.

Cette nuit là avait été sa guerre, et il l'avait perdue. Les yeux grands ouverts il adressa tout de même une prière silencieuse au très-haut pour le remercier, lui ainsi que ses sauveurs humains. Il supplia aussi Aristote pour que le Berry se relève de cette calamité.
Kateline
L'Ebène retrouva l'espace d'un instant le plaisir familier d'être au contact d'Olivier, et elle se laissa docilement faire. Elle avait une totale confiance en lui, et en ses capacités.
Leur relation avait évolué au fil des semaines, des mois. Et si l'impétueuse n'était pas du genre guimauve, lorsqu'elle était en compagnie de son pirate, elle se faisait obéissante sans aucun état d’âme. Presque naturellement.
Il avait réussi à la voir telle qu’elle était et en douceur savait la mettre face à ses propres vérités, mais ne la brusquait en rien.

Et même si elle semblait mal en point, il n'y avait pas de réelles raisons de s'inquiéter. Elle était forte, ça oui, parce qu’elle avait vécu tellement pire au cours de sa vie...
Olivier lui apporta de l’eau et lui rinça le visage, déjà ses yeux ne la gênaient plus. Premier soulagement auquel vint s’ajouter la délivrance de sa gorge lorsqu’elle but. Elle respirait déjà mieux.
Elle croqua le morceau de bois que lui présentait son compagnon puis se concentra sur ce qu’il fit de sa main et de son bras. Cherchant à apprendre de ses gestes plutôt qu’à ressentir la souffrance qu’engendraient ces derniers.
Un soupire de soulagement s’échappa des lèvres de Kateline lorsque les soins furent terminés et le bout de bois rendu à son propriétaire.


Olivier, merci…

Elle croisa le regard de son amant une fois que ses lèvres quittèrent son front. Ses prunelles étaient empreintes d’une immense tendresse et d’une sincère reconnaissance. Elle aurait voulu l’étreindre mais l’instant ne s’y prêta pas.
Alors qu’il questionna Asterie sur la marche à suivre, elle se redressa. Sa blessure était douloureuse mais ne l’empêcherait certainement pas de soigner les blessés. C’eut été mal pensé de la croire capable de rester allongée à ne rien faire.


Pendant que vous papotez je m’y mets !

Elle n’attendit aucune réaction et commença à s’affairer près des personnes étendues au sol.
Elle chercha Sebastian des yeux, habituée à l’avoir près d’elle pour travailler. Mais ses émeraudes ne virent que la désolation, la détresse et la mort.
La pluie, battante maintenant, éteignait peu à peu les derniers foyers.

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Maelrhys
Maelrhys venait de rentrer de Nevers, toute contente du travail accomplit pour l'OST.
La jeune fille imaginait déjà être accueillie à Bourges la mine réjouie et fière de son oncle, mais les faits furent tout autres. Du haut de ses 15 ans, elle n'avait jamais vu le moindre mort et, et... C'était quoi, ça ?
Du noir encore fumant, tout partout. Tout n'était plus que boue noire dans ce quartier de la ville, et ça semblait s'étendre bien plus loin encore. Avec de la fumée lugubre, qui se dégageait de cet humus funèbre.

La gamine se mit à courir, dans des "flocs" précipités. Chaque respiration lui déséchait un peu plus la gorge, et l'odeur de la chair brûlée lui hurlait d'aller se cacher quelque part, le temps que tout disparaisse, le temps de se convaincre qu'il ne s'était rien passé. Mais Oncle Imotep était là-dedans, elle en était sûre, alors c'était hors de question.

Elle avait eu beau s'époumoner en criant son nom, il ne lui répondit pas. Mais quand elle le vit enfin, elle le lui pardonna bien vite.

« Oncle Imotep... »

Maelrhys allait devoir déplacer le brancard toute seule, mais elle se débrouillerait. Elle s'en saisit de chaque côté de la tête de son oncle, et commença l'évacuation.
Zelgius
« Quels yeux nous faudra-t-il et quelle patience, ou quelle cécité plutôt pour soudain voir le jour. » de Giuseppe Ungaretti

Alors qu'autour de lui tout s'écroulait, le Champlecy plongeait toujours plus dans l'inconscience. Son esprit partit vagabonder dans les souvenirs de son enfance.

Trois ans. Prudence et Zelgius jouant dans les champs entourant la maison de leur mère. L'une courant après son petit frère pour l'attraper. Un jeu du loup en somme ; bien qu'ils l'étaient tous les deux devenu avec le temps. Le temps, ce jour là, avait défilé aussi vite qu'une...

Une pendaison. Voilà à quoi se résumait cette journée dans l'esprit du Champlecy. Celle de Grâce de Champlecy. La mère de Prudence. La mère de Zelgius. La mère de toutes leurs folies.

Le caniot était entré dans la maison en premier, courant pour aller à retrouver la chaleur de sa mère et évitant de subir les réprimandes dues à des vêtements trop rapidement salis à la force de courir dans les champs.

Il s'était arrêté net. Son rire aussi. Avez-vous déjà entendu un enfant rire ?
La joie à son summum !
Avez-vous dans la seconde suivante ce même enfant hurler tout ce qu'il pouvait ?
Toute la tristesse que vous entendriez à la suite de cela ne représenterait alors qu'un pénultième de ce hurlement.

Et Prudence était arrivé. Tout ce dont il s'était souvenu à la suite de cela furent ses mots alors qu'ils courraient à nouveau dans les champs comme pour fuir la Mort elle-même.

Surtout, tu ne me lâches pas la main.

Elle lui avait dit de ne pas lâcher sa main... Alors pourquoi n'avait-elle pas senti lorsque son frère avait trébuché et qu'il s'était retrouvé au sol ?

Prudeeeeence ! Prudence ! Prudence...

Les larmes n'avaient cessé de se répandre le long de son visage ce jour-là. Le dernier jour où le Champlecy avait pleuré. Le dernier jour où le Champlecy avait eu un sentiment "normal" sans avoir à le travail pour qu'il paraisse presque parfait aux yeux des autres.

Ce jour-là, la vie de Zelgius de Champlecy avait été détruite et, bien qu'il ne s'en rendrait compte que quelques années plus tard, le Dément était né.

Pourquoi avait-il mal à la joue ? Pourquoi se sentit-il être tiré et traîné au sol ?
Et pourquoi ne voyait-il plus que l'obscurité ?

Un quinte de toux pour toute réponse et cette toux lui fit l'impression de trois lames au rouge allant et venant le long de sa gorge. Puis ses joues lui rappelèrent qu'il venait de se prendre des baffes. Des baffes !


Kat... ?

Et aussi vite que le nom de sa filleule eut quitté ses lèvres, il réalisa qu'elle n'aurait pas pu le traîner seule. Pas comme il était actuellement traîné du moins. Mais il connaissait la voix qui l'avait tiré de ses souvenirs. Si ce n'était pas Kat... Qu'il n'y avait pas cette odeur d'amande ni de hurlement pour le sortir de sa torpeur...

Seb ? Qu...

Le Dément fut évidemment arrêté en pleine phrase par une nouvelle quinte de toux alors que le voile sur sa vue ne voulait toujours pas se lever. Il pensa tout d'abord à un souci avec ses paupières. Mais il n'y pensa que rapidement, d'autres questions arrivant au devant de celle-ci.

Un homme... Dans les décombres... L'incendiaire.

Il économisait ses mots. Sa gorge lui semblait prête a exploser à chaque mot prononcé. Il tenta de remonter sa main droite jusqu'à cette gorge sèche, il n'y arriva pas. Il ne la sentait plus et son bras bougeait à peine mais le lançait à l'en faire hurler de douleur.

Mais le Dément ne hurle pas. Il n'y avait que Zelgius pour faire parler des sentiments incompris.

Il n'avait pas remarqué que ses jambes avaient retrouvé un semblant d'aplomb et qu'il tenait à nouveau dessus. Du moins jusqu'à ce que son pied droit bute sur quelque chose et qu'il ne manque tomber au sol.


Va voir. Il doit... Mourir !

Le Champlecy tenta de se dégager de la prise de Sebastian, bien trop faiblement pour être efficace. Il tourna la tête vers ce qu'il sentait être le visage de son "sauveur" et, sans le savoir, déposa un regard voilé sur ce dernier.

Où sont-ils ?
Kateline ?
Andhara ?
Nathan ?
Alleaume ?

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Asterie
Après avoir éteint le feu qui commençait à se propager sur les vêtements de Kateline elle leva la tête et reconnu Olivier levasseur .

Merci enfin de l’aide, non ça va je ne suis pas blessé, j’ai juste respiré un peu de fumée mais cela devrait aller, occupe-toi plutôt de Kateline elle a été brûlé.

Elle prit l’eau qu’il lui tendit cela faisait du bien c’était un peu particulier tout de même une drôle de sensation sa gorge était très sèche se passa un peu d’eau également sur le visage. Elle devait avoir une allure …De la fumée sur le visage, des vêtements sales …Il est vrai que ce n’était pas le lieu pour faire un défilé de mode.Elle sourit ...
En regardant partout autour elle pouvait apercevoir des gens sortant des maisons en hurlant, d’autres étaient aider et soutenu comme ils pouvaient par d’autres …
Elle se tourna vers Olivier levasseur .


Organiser mais comment veut tu que je le sache, je n’étais passé ici que pour rassurer Sœur Bénédict qui s’inquiétait pour une des femmes qui l’aide à l’Orphelinat et je suis tombée sur une enfant qui hurlait le nom d’une certaine hermane, qui c’est avérer être une espèce de bestiole poilu une …comment ça s’appelle déjà, une norf ! De norf ! La fumée a fait plus de dégâts que je ne pensais. Une hermine! voilà un homme avait été à sa recherche et une poutre ou je ne sais quoi lui ai tombé dessus je l’ai dégagé.

Au dispensaire nous avons une salle commune pour justement accueillir du monde en cas de catastrophe mais là. Je pense que Sœur Hariette doit organiser cela, la connaissant elle a dû ameuter tout le quartier et fait préparer ce qu’il faut.
Comment ça a pu arriver qui a fait cela ? Les Bourguignon dis-tu ? Mais pourquoi ! Surtout dans cette partie de Bourges cela n’a pas de sens, si attaque avait dû avoir lieu cela aurait dû être plus vers la mairie ou au palais jacques cœur.


Elle reprit un peu d’eau. Il ne faut pas rester ici nous ne servons à rien. Kateline je vais en avant et aider au dispensaire.

Elle partit dans les rues de Bourges un foulard mouillé sur la bouche pour éviter de trop respirer de la fumée, elle avait les yeux qui piquaient...

Attention !! Elle se recula d’un bond un étale venait de prendre feu, un homme passa devant elle en feu elle se mit à hurler. Voyant le pauvre bougre s’écrouler un peu plus loin il n’y avait plus rien à faire pour lui.
Elle entendit une femme hurler à l’aide, n’y prêta pas attention, il y avait tellement de personne qui criaient à l’aide. Il lui était impossible de s’arrêter à chaque.
Mais quand elle entendit " à l’aide elle va accoucher !" Asterie se dirigea vers la femme qui hurlait elle la trouva avec une femme dans une Bérouette qui tenait son ventre en soufflant.


Je vais vous aider à pousser !


Il ne manquait que ça une femme qui était sur le point d’accoucher dans un brasier pareille ! S’il s’avérait que c’était bien les Bourguignons la causent de cet incendie…Elle sentit de l'eau sur elle leva la tête la pluie elle sourit mère nature était venu aider les Berruyers ! Après un très léger moment de contentement elle soupira endentant la femme dans la Bérouette hurler de douleur.

Tenez le coup ce n'est pas le moment entre le feu et la pluie maintenant, ce n'est pas le moment pour accoucher!

Mais qu'est que je suis venue faire ici ! , je ne pouvais pas rester au dispensaire, pourquoi il a fallu que je passe dans ce quartier ! Et maintenant j'ai droit à une femme sur le point d'accoucher ! Ce n'est vraiment pas ma journée, ils vont me le payer si je trouve celui qui a fait ça, il va passer un mauvais quart d'heure !

Allez pousser ! On ne devrait pas tarder et vous là-bas aider nous !

Débrouille-toi toute seule ! J’ai à faire ! J'vais pas y rester pour deux gazoutes ! Et une grosse !

Espèce de sagouin ! Norf ! de Norf ! je vais lui faire ravaler ses paroles!

Ahhhhh je ne peux plus j'ai mal !

Bien sûr c’est quand on a besoin d’aide qu’il y PERSONNE !
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Sebastian
Des baffes encore, une toux et le Dément reprit vie, Sebastian était complètement paumé.
Il ignorait les gestes de premiers secours, car même si il assistait souvent Kateline dans ses travaux il n’avait pas la prétention d’en connaître les rouages.
La médicastre en herbe, c’était elle.


Kat ?

Un nom que le blessé prononça, et qui arracha un sourire à l’angloys. Il connaissait le pari que Zel avait perdu face à Kateline, il lui semblait que cela faisait des années.
Il ne se vexa pas qu’il les confonde du coup, bien que sa voix soit un poil plus grave que celle de l’Ebène.


Non c’est Seb…

Seb ? Qu...

Et il le reconnut enfin, il pensa qu’il devait être sacrément dans le coltard tout de même.
L’intendant posa une main rassurante sur son épaule.


Je viens de te sortir de là, reste tranquille !

Un homme... Dans les décombres... L'incendiaire.

What ?!* Il est là-dessous ?! Mais tu es sûr que c’est lui ?...

Seb se redressa et jeta un coup d’œil à l’intérieur de la maison. Alors ce gémissement qui l’avait interpellé plus tôt venait de l’incendiaire ?...
Il connaissait la confiance sans limite que portait Kate à son parrain, mais lui se méfiait tout de même du Dément.
Et si Germigny était à nouveau en plein crise ?! Pouvait-il porter crédit à ses paroles ?


Va voir. Il doit... Mourir !

Le regard noir se posa sur le Dément. S’il fallait tuer le bourguignon à l’origine de cette tragédie, il le ferait, et sans sourciller.
Après tout il avait blessé la personne en qui il tenait le plus sur cette terre.
La dernière question de Zel l’empêcha encore à aller fouiller les décombres.


Kateline se trouve sur une place, elle se faisait soigner par Olivier, pour les autres je n’en ai aucune idée !!
Maintenant reste calme, je vais aller chercher cet homme là-dessous… s’il est toujours vivant…


Il ne réalisa pas que le Dément venait de poser sur lui un regard éteint et qu’il avait su le voir en se guidant de sa voix très certainement.
Il abandonna le blessé un moment, et commença à fouiller les ruines, prenant garde à ne rien voir d’autre s’effondrer, cette fois sur lui.
Et il finit par trouver un cadavre, l’homme qu’il était encore quelques minutes plus tôt ne ressemblait plus qu’à une poupée de chiffon.
Complètement disloqué. Il chercha par acquis de conscience un battement de cœur à son cou. Évidemment le geste fut vain.


Ton incendiaire, il est mort…

Une fois ce constat établit il revint s’agenouiller près du Dément.

Il ne risque pas de se sauver, je vais aller chercher de l’aide. Seul j’peux pas te transporter, j’risque de te blesser encore plus. I’ll be right back !**

Il courut comme un dératé jusqu’à retrouver Olivier et Kate qui était déjà à soigner des blessés.

J’ai besoin d’aide ! J’ai trouvé Zel dans les décombres ! Il est blessé, gravement on dirait ! Et l’incendiaire se trouve là bas ! Mort !

En même temps qu’il criait ces informations il s’était emparé d’une civière et d’un badaud.
Et déjà il courait vers l’endroit où le Dément attendait, avec lui nombre de berruyers en colère qui n’avaient pas manqué les cris de l’angloys.

Sebastian aidé de l’homme mirent Zelgius sur la civière et le transportèrent vers la place, en sécurité, afin qu’il soit soigné.
Les villageois quant à eux, prirent le corps sans vie de Skorm et l’emmenèrent en brouette avec eux.


*Quoi?!
**Je reviens tout de suite !

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Andhara_velvet


Du monde allait en tous sens. La fumée, noire et épaisse, emplissait parfois certaines zones des rues de la ville et, restée sur le côté, elle commençait à ne plus rien voir.
Elle se déplaça donc, avançant vers ce qui ressemblait à la grande place. De ses yeux félins, scrutateurs, ses jades aux reflets de flammes observaient, le plus calmement possible, pour tenter de ne pas passer à côté d'un détail important.
Et le détail fut in fine plus auditif que visuel.
Quelqu'un criait, semblait appeler quelqu'un à l'aide et elle put reconnaître la silhouette de la filleule de Zel.
En les voyant, elle s'approcha davantage mais d'un coup, ce fut comme un coup de poignard qu'elle reçut en l'entendant s'exclamer :


J’ai besoin d’aide ! J’ai trouvé Zel dans les décombres ! Il est blessé, gravement on dirait ! Et l’incendiaire se trouve là bas ! Mort !

La main déjà portée sur sa bouche, se baissa à cette annonce et sans attendre, aussi vite que pouvait le permettre sa grossesse bien avancée, elle se dirigea, passant devant Kate et les autres sans même les voir, vers l'ombre de celui dont elle était l'ombre.
Essoufflée, elle s'agenouilla enfin près de lui en l'ayant retrouvé sur une civière et l'appela avant de le prendre dans ses bras.

Zel ! Zel ! Réponds-moi !
Elle dégagea les cheveux qui lui barraient le visage et put constater ses brûlures mais son premier réflexe fut de l'embrasser, trop heureuse de le retrouver et apparemment en vie.
Zel ! Bon sang ! mais quand est-ce que t'arrêteras tes conneries ?! Ben oui elle l'engueulait. En bonne et due forme, s'il vous plait.
C'est qu'elle tenait à lui et il était pas question, comme elle le lui avait déjà dit, que quelqu'un d'autre qu'elle le tue. c'était sa façon à elle de l'aimer et il se comprenaient là-dessus.
Elle prit un pan de sa jupe et l'utilisa pour lui essuyer le visage puis regarda autour d'elle. Ils ne pouvaient pas rester ici. La chaleur dégagée autour devenait insupportable et la pluie qui tombait, alimentait le feu grégeois qui se répandait.

C'est alors qu'elle le regarda dans les yeux et s'aperçut que quelque chose n'allait pas. Passant sa main devant ses saphirs noirs, il n'y eut aucune réaction et, à cette découverte, elle devint blême.
Elle serra les dents et rassembla ses forces pour ne pas flancher. Elle regarda, autour d'eux tous les blessés qu'il y avait mais ce qu'elle voyait c'est que selon elle, Zelgius, à la fois lumière et ombre de sa vie, n'avait pas sa place parmi les autres hommes. Non.
On ne peut pas rester ici, il faut rentrer et on te soignera. Termina-t-elle, déterminée.

_________________
Orian



Évidement ce qu'il souhaitait le moins venait de se produire.
Croiser quelqu'un qu'il connaissait, et pire que tout croiser son frère qui aime tellement les belles choses,
mais belle chose s'il le fut il ne l'était plus à présent. Secouer comme un prunier il mit un temps avant de reprendre ses esprits.
L'angevin leva ses yeux sur son frère en se demandant s'il devait lui répondre ou s'enfuir.
Mais comme j'ai envie d'écrire il va rester un peu.
Un doigt tremblant pointé vers la ville en feu tendis que l'autre main rabat un peu plus sa capuche sur la tête.


Le....le feu... Je... Ramponneau.

Il aurait voulut tout lui expliquer,
il le souhaitait tellement que touts les mots tentaient de sortir
en même temps de sa bouche ce qui donnait ce que j'ai écris plus haut.
Doucement il se releva tout tremblant qu'il était.
Et porta de nouveau son regard azuré sur son frère en prenant bien soin
de cacher la partie calcinée de son visage avec sa main et sa capuche.


Je m'en veux tellement ! Je voulais pas faire ça ni rester... Jamais je n'aurais du...

Bien sur dans sa panique il ne pensait absolument pas que ses paroles le rendrais suspect aux yeux de tous.
Tout ce que le blond cherchait à exprimer c'était des remords d'avoir tranché les doigts de Billy,
de ne pas avoir fuit comme toute personne censée quand on l'as prévenu et encore d'avoir empêché ses compagnons de fuir,
et surtout, car il serait légèrement égoïste l'Orian, surtout que tout cela ai fini ainsi et qu'il soit sans doute à jamais défiguré.
A présent et n'ayant cure de la fierté qui d'origine l'animait, des larmes coulaient en abondance sur ses joues.

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Kateline
Kateline soigna les blessés, les uns après les autres.
Elle constata des décès, beaucoup, et fit transférer les gens qui pouvaient être sauvés au dispensaire d'Asterie.
Elle ne vit et n'entendit rien de ce que Sebastian cria sur la place, ni l'arrivée de Zel sur une civière, ni l'arrivée théâtrale d'Andhara.
Elle le découvrirait bien plus tard...

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Olivier..levasseur
Régulièrement un malheur s’abattait sur les villes , la peste bubonique, le choléra et pour Bourges aujourd'hui, le feu.
Aristote devait semble t-il contenir la folie des hommes en infligeant une épreuve régulièrement, permettant de créer à nouveau de l'empathie, de l'entre aide,
afin de faire en sorte que les âmes puissent oublier du moins quelques instants les choses qui n'ont finalement pas d'importance, les faire oublier leur petite personne, leurs vices et égoïsme pour se consacrer au bien être d'autrui.

Cette fois ci, c'est le feu, épreuve qui marque les chairs, comme pour laisser une trace de l'absolution des pêchés...
La pluie salvatrice se faisant plus forte, laissa un immense nuage de vapeur, de fumées et cendres au dessus de la ville, un peu comme lorsque l'on tente d'éteindre un feu de camps avec un sceau d'eau.

Les rues déjà sales et boueuses se tapissaient d'une mélasse noirâtre qui laisserait longtemps encore le douloureux souvenir de cet épisode incendiaire.

Kate commençait à soigner et réconforter les blessés, Astérie s'occupait parfaitement bien d'une jeune femme qui allait donné la vie.
La vie... La vie est ainsi faite, un ballet incessant de départs et d'arrivées d' âmes au bon grès d'Aristote...


Kate, pense à boire régulièrement, tu dois être déshydratée.
Je vais t'aider à soigner, à deux nous serons plus efficace.


Il ne voulait pas la laisser seule, meme si elle faisait preuve d'un courage remarquable, ses blessures étaient importante et sous la douleur elle pouvait perdre connaissance à tout instant.
Il avait aussi besoin d'être auprès d'elle, dans cette incendie ravivant ses souvenirs les plus acres, elle était son phare dans cette océan de désolation

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Alleaume
* Notre liberté était en péril, il aurait pu tout perdre en ce moment même, que se soit sa fortune acquise en moins de trois mois, sa vie peut être même, mais il ne voulait pas perdre sa liberté, pas maintenant, après l'avoir acquise avec force et conviction. Ils n'allaient pas laisser la Bourgogne mettre en péril le rêve Berrichon. La rétention de nos envies, pour la liberté de tous. Il ne fallait pas être égoïste pas maintenant.. Pourtant, il prédisait un destin funeste pour la Bourgogne. La Bourgogne se moquait souvent du Duc le caricaturant comme un enfant excessif.. Mais dans quelques jours ils pleureront aussi. La vérité ferait mal au réveil de certains notables et nobles de ce duché de bouffon.
Il attendait, sans réagir à la provocation qui venait d'outre tombe, il était si facile de faire les beaux en ayant pas le courage de traverser la frontière. La provocation avait été forte par lettre privée, par déclaration publique au sniper. Il fallait savoir raison gardé, surtout lorsque justement, nous avions raison. Il n'était pas une blanche colombe, mais la bave des crapeaux mirandolesque ne l'atteindrait pas.

Il courait, courait, encore et encore, il n'en pouvait plus de courrir. Il se retournait toute les dix secondes vers Nathan, afin d'être sur qu'il soit encore bien accroché à sa main. Il ne voulait pas le perdre en cours de route, imaginez qu'il perdre le prétendant au trône ducal, quel comble cela serait.. Alleaume savait où il allait, il voulait rejoindre la place publique, comme convenu avec Le Dément il y a peu de temps avant. Ils allaient tenter de fédérer le peuple dans cette épreuve des plus difficile.. Les gens ne se rendaient pas compte que c'était une véritable attaque extérieur contre la sureté du Berry !
Soudain alors, qu'il avait la tête de nouveau tourné sur le Duc, il se prit quelqu'un dans la foulée, tomba à terre à son tour et roula sur le côté, un peu plus et il finissait écrasé par la foule hystérique. Son bras lui faisait mal, un bout de bois avait percuté l'avant-bras droit, et lui avait fait une énorme plaie qui lui prenait de la main à la moitié de l'avant-bras.. Le sang fuyait, il ne se relèva pas tout de suite, il avait mal, mais il se demandait où était Nathan, qui était le fol qui les avaient bousculés..

Il se leva au bout de quelques bonnes minutes, et retrouva Nathan, avec l'homme en question, le visage brulé par les flammes, il ne le reconnu même pas. Il s'approcha alors, et entendit Nathan l'appeler.. Orian ? Orian Sidjeno d'Ambroise ? Qui était autrefois un beau jeune homme selon ses souvenirs, on pouvait dire à présent qu'il ne ressemblait plus à rien, c'était épprouvant de voir ça, Alleaume ne dit toujours rien. Que dire de toute manière. Son estomac se serra subitement, il avait la nausé, envie de vomir, pas possible de voir un carnage pareil. La douleur de son bras le lança, et il chancela, et vomit son repas, il vomit de nouveau jusqu'à ses tripes. Il fallait qu'il fasse soigner son bras au plus vite. Asterie ? Elle devait être aussi à Bourges, déjà occupé à s'occuper des bléssés, comme toujours la main sur le coeur.
Tant bien que mal il se releva avec l'aide de Nathan, et il se tourna vers eux. *

Il faut aller sur la place publique, c'est le seul endroit où le feu ne prendra pas. Zelgius nous y attend. Tout le monde doit converger par la bas !
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Capitaine des armées du Berry
Zelgius
Le feu. Ce feu. Quelle merveille. La plus belle de toutes, ou presque !
Et qu'est-ce que le Champlecy avait vu avant de mourir ?

Tout de suite ? Comment le Champlecy arrivait-il à comprendre ce que Sebastian lui disait dans une langue qu'il n'avait pas souvenir d'avoir apprise un jour ?

Sa main, voilà ce qu'il avait vu en dernier ! Sa putain de main ! Pourquoi avait-il poursuivit Skorm dans les décombres fumantes de Bourges ?

Mort ? L'intendant de son amie lui avait bien dit que Skorm était mort ? Comment le Champlecy pourrait-il s'en assurer ? En tâtant le sol de sa main gauche jusqu'à trouver le corps du traître. Se traînant dans l'obscurité de cet handicap qui le prenait.

Une amie ? Oui. Elle était devenue plus qu'une filleule. Plus qu'une conseillère. Kateline de Sierck était devenue l'amie du Champlecy avant que les berrichons ne le nomment "le Dément". Avant que sa folie n'empirent à ce qu'elle était devenue en cette nuit de flammes et de morts.

Et il n'eut guère le temps de trouver confirmation de la mort de son ennemi. Il entendit à la place des berruyers s'affairaient autour de lui.

Les flammes. Ohh ces flammes ! Elles brillaient encore dans l'esprit du Dément, entourant sa main droite de leur chaleur traîtresse. Il avait vu, oui il l'avait vu, sa main calcinée où la chair disparaissait en certains endroits. Endroits où il ne restait plus que les os...

Et alors arriva l'amande. Et la voix l'accompagnant. Il ne la reverrait plus. Il ne verrait pas non plus l'enfant une fois né. Resterait-elle avec lui maintenant qu'il était diminué au point de ne plus voir ?

A ses dires, oui. Le soigner ? Pourquoi faire, qu'y avait-il à soigner ? Une main qu'il ne sentait plus ? Des yeux qui ne voyaient plus ? Il n'y avait plus rien de bon à prendre en la personne du Champlecy. Si tant fut qu'il y eut du bon à prendre.

Et pourtant, il se redressa, non sans l'aide d'Andhara. Mais il fut vite debout, du moins pour un tout fraîchement infirme.


Tourne-moi vers eux. Tourne-moi vers le peuple.

Et il tourna légèrement la tête vers ce qu'il sentait être l'origine du souffle Andharien. Il se demanda un instant si Sebastian était toujours présent.

Et alors, il se sentit pivoter, toujours en appui sur elle. Il sut alors qu'il était dans la bonne direction pour prendre la parole. Il ne voyait plus. Mais il lui restait des choses à faire en cette nuit. Était-ce toujours la nuit d'ailleurs ? Ou le soleil entamait-il une nouvelle fois sa course dans le ciel.


Cette nuit, frères berruriers, vos maisons ont brûlé ! Nos corps ont été meurtris alors que nous nous battions entre nous pour savoir qui devait être puni ou non.

Sa gorge le brûlait, il n'avait rien bu depuis le début de l'incendie et la fumée était entrée dans ses poumons... Dans tout son corps.

Nous avons notre réponse ! La Bourgogne a tenté de nous brûler ! Elle a tenté de nous réduire au silence. De nous diviser.

Qu'il aurait aimé voir si ses paroles étaient écoutées... Il ne le saurait qu'à la répercussion qu'elles auraient.

Mais nous sommes berrichons ! Nous ne nous laisserons jamais pisser dessus par des gueux se cachant dans les jupons de la catin Parisienne !

Ils ne veulent voir que nous sommes libres. Ils ne l'acceptent pas. Aucun Homme ne peut accepter ce qui lui est étranger, il en a peur.


La douleur commença à arriver. Le choc était passé, son sang ne bouillonnait plus. Mais il n'en fit rien. Il continua à parler.

Allez-vous laisser des pleutres s'en tirer de la sorte ? Allez-vous laisser le crime commis, contre vous, impuni ? Allez-vous laissez nos forêts, nos désirs et nos coeurs tomber à nouveau sous la coupe de quelques pantins ignorants !

Un sourire s'esquissa sur son visage à mesure que sa voix s'élevait par delà la douleur croissante.

Non... Nous ne laisserons rien de tout cela se produire. La Bourgogne a su profiter d'une période où nous nous battions pour savoir quoi faire, avec qui, pour quelles raisons... Ils nous ont permis de forger l'âme du Berry Libre dans les flammes du Paradis Solaire et le Très-Haut nous en a purgé de tous les doutes !

Bien sur qu'il n'en croyait pas un mot... Lui. Le Dément. Celui qui avait vu ce que ce Très-Haut faisait véritablement... Rien. Absolument rien... Jamais.

Nous sommes vivants ! Nous sommes Berrichons ! Mais surtout : Nous sommes libres et nous allons apprendre à la Catin Française ce que ce mot signifie !

Si il n'avait été soutenu, il serait tombé... Mais il était soutenu... Oui, il l'était, même parmi ceux qui l'avaient écouté. Pourtant, il n'y avait pas qu'eux qui le soutiendrait
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Andhara_velvet


Et il se releva. Il ne voyait plus, il était faible, la main brûlée à en voir même l'os à un endroit. Elle avait eut envie de vomir à cette vue et à l'odeur qui s'en dégageait.
Oui, elle s'était battue toute sa "tendre" jeunesse pour ne pas terminer sur un bûcher et ce qu'il l'avait principalement déterminée à ne pas se laisser faire, c'était le souvenir de l'une d'elles. Une femme rousse. Banale. Ni sorcière ni ange.
Elle l'avait vu se débattre pour ne pas qu'on l'attache, l'avait vue pleurer de savoir sa fin proche, l'avait vue rire aussi en voulant maudire ceux qui lui infligeaient tel sort. Mais elle n'était que rousse. Pas une sorcière. Et elle ne put maudire personne.
Et le souvenir, cuisant d'une douleur sourde, de l'odeur de la chair humaine brûlée accompagné des cris… s'estompèrent.


Tourne-moi vers eux. Tourne-moi vers le peuple.

Sa voix la ramena à la réalité et elle s'exécuta, sans mot dire, réprimant la nausée qui l'avait assaillie quelques secondes plus tôt.
Il avait été fort pour elle, pour eux. Elle le serait aussi à son tour, se redressant le plus noblement possible, altière, derrière lui et dans son regard, on pouvait y lire qu'elle ne tolèrerait que quiconque lui fasse de mal.
Apparemment aveugle, il ne perdit pas pour autant sa verve pour ce qui était de crier vengeance. Et il avait raison. Est-ce que les gens l'écoutaient ? Le silence s'était soudainement fait au milieu des cendres et des ruines encore fumantes sous cette pluie d'orage.
Elle l'observait, autant qu'elle le surveillait, le sachant particulièrement affaibli et elle n'eut pas à attendre longtemps, alors qu'il semblait animé d'une gouaille plus forte que jamais, c'était le signe qu'il avait donné toutes ses forces.
Il vacilla, légèrement, mais ce fut suffisant pour qu'elle comprenne qu'il fallait le retenir puis le soutenir.
Il était plus grand qu'elle mais avec le peu qu'il avait l'habitude de manger, il n'était finalement pas si lourd et elle se plaça sous son épaule, à présent entourée du bras zelgiusien encore valide mais pendant mollement.

"Viens mon lynx, on rentre à la maison. T'en as assez fais pour aujourd'hui je crois…" lui dit-elle à l'oreille alors qu'elle le faisait déjà pivoter pour rentrer chez eux.
Le couple avait encore la chance d'avoir un toit où s'abriter, se reposer et panser les blessures… La ville mettrait sans doute longtemps à se reconstruire après cette horreur…


(Mouvement du personnage de Zel avec l'accord du joueur bien-sûr)
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Carmelina
Elle arriva tant bien que mal à porter son amie et la mettre dans une bérouette, c’était difficile d’avancer avec le monde qui courrait de tous les côtés, elle avait failli perdre l’équilibre, mais se rattrapa au dernier moment.
Elle s’arrêta le temps de reprendre son souffle .Elle regardait son amie se tenir le ventre hurlé qu’elle allait accoucher. Comment pouvait-elle lui faire ce coup-là accouché dans la rue pendant que Bourges s’enflamme.
Ce qui la perturbait également c’était son frère elle se demandait ou il pouvait bien être, s’il été piégé par cet incendie.
Elle cria demandant de l’aide qui n’arriverait surement pas. Mais elle avait besoin de hurler pour enlever cette peur qui lui tenaillait le ventre et surtout cette envie de laisser Ana là sur place après tout pourquoi risquerait ‘elle sa vie pour quelqu’un, la seule personne qui comptait pour elle c’était son frère Skorn, il l’avait toujours défendu.
Elle avait parfois été en colère contre lui lorsqu 'elle restait un peu trop longtemps auprès de l’homme que l’on surnommait le dément. Pour elle il représentait la force, la beauté et un certain prestige. Il lui avait toujours accordé des petites gentillesses, elle s’avait bien qu’elle n’était pas grand-chose juste une pauvre fille , lui qui fréquentait de belle femmes , bien toiletté et parfumé…Elle s’arrêta dans ses pensées en entendant


Citation:
Je vais vous aider à pousser !


Elle regarda la femme qui se trouvait devant elle la reconnu que faisait ‘elle ici dans ses quartiers et….
Ce n’était pas le moment de rêvasser, elle poussa la Bérouette comme elle le pouvait. Puis elle aperçut un silhouette qu’elle connaissait non ce ne pouvait pas être …
Elle lâcha la bérouette et couru voir l’homme qui était allongé sur la civière ce ne pouvait être lui ! Non ce n’était pas possible pas son frère


Skorn !

ARRÊTER, ARRÊTER !!Elle plaça ses mains sur le visage de l’homme allongé c’était bien lui il était brûlé mais reconnu son frère.
NONNNNNNNN !! Ce n’est pas possible pas lui, Skorn, Skorn réveille-toi dit moi que tu m’entends, parle-moi c’est Carmélina, Skorn je t’en supplie répond moi. Mais malheureusement l’homme resta inerte …

Elle fût écartée sans ménagement par les hommes qui portait la civière. Elle se retrouva là au milieu de la rue on la bousculait mais elle ne réagissait pas.
Son frère non ce n’était pas possible. Elle fut entraîner par quelqu’un se retourna et vit Jojo la fouine qui entraînait au loin.


Vient Carmélina il ne faut pas que l’on te voit là viens te mettre en sûreté…

Elle se laissa faire suivit l’homme …laissant Ana ….
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