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[RP] Mariage de Elisa de Malemort et Rotule Baccard

Arta.gardacan
Arta arriva devant l'Eglise avec Naluria, ils étaient partit plus tot que le reste de la famille car Naluria voulait être la bien en avance !

Et justement ils tomberent sur Carra qui lui aussi était a l'heure il ne manquait donc que sa femme qui ne devrait pas tarder.

Il salua rapidement se qu'il connaissait en trainant sa petite soeur qui refuser de lacher sa main.


Bon j’attends un peu avec toi Naluria mais ensuite je te laisserais dehors pour que tu rentre avec les mariés et moi j'irais devant d'accord ?

oui oui d'accord !

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Elisa.baccard
[Et si on jouait à « ni oui, ni non » ?]



[J-2]



Germaiiiiiiiiiiiiine !! Germaine, avez-vous eu un retour de la couturière ?

- Non Ma dame, pas encore…

- Comment ça pas encore ? Mais je me marie dans deux jours Germaine ! Deux jours ! Vous imaginez ? Non mieux, vous m’imaginez sans robe ? Me présenter à l’église devant tous nos amis et notre famille, devant lui habillée comme une gueuse car vous ! Oui vous Germaine !! Vous n’avez pas été capable de prévoir plus à l’avance ma tenue et la couturière… Sortez de ma vue ! Sortez et allez donc vérifier que la robe soit prête à temps.

La pauvre dame de compagnie disparait alors des appartements de la future mariée. Des pas qui résonnent de nouveau dans la pièce, agacée, la Malemort tourne la tête en direction de la porte d’entrée, prête à faire comprendre à la demoiselle que lorsqu’on lui dit dehors elle doit aller dehors… La bouche déjà ouverte, la future mariée se stoppe tout à coup, aucun son ne pu sortir de sa bouche… Et le silence de la pièce fut coupée par la petite tête brune qui venait d’entrée et s’approchait de sa mère pour venir se blottir tendrement dans ses bras.

-Maman a grondé Maimaine ! Vilaine Maimaine !

Et la petite se met alors à ricaner dans les bras de sa mère en se rappelant la scène qui vient d’avoir lieu. Les bras protecteur d’Elisa viennent doucement envelopper sa fille contre elle la soulevant contre elle pour un câlin maternel. La petite se calme tout à coup, nichant son petit visage d’ange dans le creux du cou de sa mère et venant y déposer un baiser. Les lèvres de la Malemort mère viennent tout à coup s’illuminer, comment ne pas réussir une si belle journée après un tel moment ?

- Ma petite princesse, comme tu es belle, Maman est très fière de toi tu sais. Vous êtes avec ta sœur et ton frère les enfants les plus beaux de tout le Royaume et au-delà. Et tu sais que je serais toujours là pour toi ma fille, toujours quoi qu’il puisse advenir, je veillerais toujours sur toi.

- Maman à moi.

Comme quoi parfois il suffit juste de quelques mots pour ravir le cœur d’une mère. L’étreinte est encore prolongée. Dans deux jours, la mère Malemort offrirait à sa fille la famille qu’elle avait toujours voulue avoir. Un père, une mère, des enfants, de l’amour et beaucoup de complicité. Lors de son premier mariage, la vie en avait décidé autrement, enfin… le père d’Emelyne surtout. Il ne s’était jamais préoccupé de son enfant dès l’or qu’il fut conçut. Au plus grand désespoir de la Malemort, et puis il était parti dans les bras d’une autre. La Malemort n’avait pas tardé alors à ouvrir son cœur à cet homme qui maintes fois avait été là pour elle. Quittant son lyonnais pour rejoindre le Limousin et venir visiter la matriarche. Petit à petit les deux êtres s’étaient rapprochés jusqu’à, au final, ne faire plus qu’un… Mais le final cela n’était que dans deux jours…



[J-1]



Veille du grand jour. Les domestiques s’activaient dans le Duché de Clermont en Viennois afin de préparer l’évènement pour accueillir tous les invités. Le cE hâteau et les jardins étaient nettoyés et rangés, les domestiques lavés et préparant leur plus belles tenues, car oui, leurs maîtres allaient découvrir l’une des plus belles journées de leur vie. Cette vie qu’ils avaient décidé de passer l’un à côté de l’autre jusqu’à leur retour auprès du Très-Haut, se promettant bientôt, de continuer, ensuite, à veiller l’un sur l’autre.

Les aller et venues, les ordres, les actions, le domaine n’avait jamais été aussi actif qu’en cette veille de noce. Jusqu’à ce qu’on vienne frapper à la porte des appartements de la Malemort qui était assise devant son bureau traitant quelques missives.


- Ma dame, un pli pour vous de la Princesse de Montmorency.

- Pardon ? Qu’avez-vous dit ? La… la princesse… Ma Princesse ?

La future mariée se lève et d’un bond elle atterrie à l’autre bout de la pièce pour récupérer rapidement la missive scellée des armes de la Carpadant-Deneré dans les mains de la domestique. Un regard furtive vers elle, puis un signe de la main accompagné d’un « Disposez ». La domestique s’efface, la porte se referme et le seul bruit audible dans la pièce est le craquement du sceau qui s’enlève.

Les onyx parcourent avec une grande attention les écrits de la belle Carpadant. Que rajouter de plus ? Existait-il si parfaite femme dans le monde entier ? Non, elle était bien la seule et par bonheur elle était à Elle ! Personne ne pourrait leur enlever cela, tout comme personne ne pouvait expliquer ce sentiment qui pouvait les unir, inexplicable, indescriptible, et pourtant si nécessaire pour l’une et pour l’autre. Une surprise l’attendait… Mais quelle surprise, connaissant la jolie Princesse, on pouvait craindre le pire... Oh ça oui, on pouvait vraiment craindre le pire… Péchot un jour, péchot toujours !!


Germaiiiiiiiiine !!

La domestique rapplique alors dans la pièce, tandis que le pli est posé dans un des tiroirs du bureau. La Malemort s’approche de sa dame de compagnie.

- Germaine, faites donc quérir la Princesse de Montmorency. Dites lui qu’elle est réquisitionnée au Duché de Clermont en Viennois pour la nuit à la demande de sa vassale…

- Si elle refuse, Ma dame ?

- Elle ne refusera pas.

Un fin sourire sur les lèvres de la Malemort. Heureuse ? Plus que jamais, c’était certain. Demain, elle serait une Baccard, et ce soir, elle serait à elle… Juste à elle pour la nuit… Une dernière nuit…
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Lanfeust86
C'était la première fois que Lanfeust se dirigeait vers la cathédrale de cette province, à vrai dire, il fréquentait bien plus les chapelles de ses fiefs.
Aussi il avait sorti une tenue pour l'occasion, un pourpoint d'azur brodé d'or et de perles, une véritable petite merveille qu'il avait fait confectionné à Paris.
Pas de couronne mais un chapeau du même acabit et dernier outil qu'il venait d'acquérir, une canne en bois précieux recouverte de feuille d'argent.
Bref le Duc s'était mis à la grande mode parisienne pour assister au mariage de deux personnes qu'il connaissait bien à présent depuis son emménagement à Lyon.

Pénétrant dans l'édifice il le contempla au son des cloches, l'homme se chargeant de la cérémonie il le connaissait de nom pour avoir enregistrer sa fiche familiale.
Il ne restait plus qu'à prendre place en attendant l'arrivée possible de ses filles et le début de la cérémonie.
Elisa et Rotule, deux régnants du Lyonnais Dauphiné, un peu comme Laure et lui, il l'avait épousé alors duc du Bourbonnais Auvergne, elle lui succéda juste après.
Il les apprécié pour leurs convictions et leur vision des choses qui lui rappelait fortement celles de son parti Volcan.
Bref tout ceci pour dire que le rouquin était là.

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Alix_de_montestier


[Au Lyon d'or - Gaïlen et Alix]

Elle était tellement heureuse de pouvoir visiter l'auberge ou ses parents avaient fait connaissance. Elle avait si souvent entendu parler de ce lieu qu'elle avait tenu à y loger le temps de son séjour lyonnais.

Aussi avait-elle vivement insisté quand le tenancier, à sa grande surprise, avait voulu l'empêcher de prendre une chambre. Il avait finalement dû céder devant son obstination.

Cependant, la nuit avait été mauvaise. Il y avait eu du tapage dans la grande salle toute la nuit, des bruits étranges et incongrus, et Riccardo, lui avait, elle ne savait pourquoi, formellement interdit de sortir se plaindre aux propriétaires. En fait, il lui avait formellement interdit de sortir avant que Gaïlen ne vienne la chercher.

La perspective de se montrer dans une belle toilette au milieu d'une prestigieuse assemblé lui avait vite fait oublier les désagréments de la nuit. Sa robe or et rouge avait pu être reprisé après la malheureuse affaire du camelgate. Par-dessus, elle avait enfilé une longue cape sombre qui la protégerait de la boue le temps du trajet.

Quand Gaïlen arriva, elle était prête, et descendit aussitôt, ravie de pouvoir enfin sortir. Le temps de descendre précautionneusement les marches pour ne pas marcher sur le bas de sa robe, et là voilà devant le jeune homme et l'aubergiste, lançant joyeusement :

Bonjour à vous votre Grandeur! Comment allez-vous?

Et d'enchaîner sans attendre :
Je suis prête à partir, souhaitez vous que nous nous rendions de suite à l'église?
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Eleanna
[A Clansayes - Clansayes, mon beau Clansayes, dis-moi qui est le plus beau ! ]


Eléanna partit dans un grand éclat de rire à l'explication de plus inextricable de son Parrain... L'essentiel était bien qu'il se comprenne, et que les alliances soient entre de bonnes mains, parce que la brunette, elle n'avait pas suivi grand chose !
Et puis....

C'est vrai hein Eleanna??

May ! Imprévue au programme, mais oui, elle n'avait pas tord, toutefois, elle parlait de son frère... Et respirer profondément, encore fallait il qu'il s'en laisse le temps... N'est point Impatient qui veut !

Et quand le Duc commençait à s'emméler largement les pinceaux !


- Oui, tu as raison May, mais aujourd'hui, ça va être difficile de le faire rester calme !

Elle adressa un clin d'oeil complice à la belle rousse avant de suivre son Parrain, manquant de se prendre les pieds dans ses jupons tant l'allure était soutenue... Et pour courir, y a pas à dire, mais les braies sont largement plus indiquées qu'une robe ! Elle en avait la démonstration !

A peine le dernier peton dans la voiture, que celle-ci démarre sous les mots emmêlés du Baccard, qui déclenchant immédiatement l'hilarité moqueuse de la jeune femme.
Fallait quand même la faire celle-là ! Et l'espiègle ne se prive pas de rajouter :

- Et que ça vienne vite ! Mais pas à Sotte... A Vienne !

Et devant le regard incrédule de son Parrain qui ne s'était même pas rendu compte de l'inversion de ses mots, Eléanna sortit une flasque d'Abricotine et elle lui tendit, repensant que lorsqu'ils avaient eu un tel échange, tous les deux dans un carrosse, c'était pour son baptême... Et depuis, bien des choses avaient changées... Mais la brunette n'avait rien perdu de son sourire, et surtout pas en ce moment où elle allait avec son Parrain vers Vienne afin que celui-ci épouse son Aimée.

[Car j'étais sur la route... ]


Les paysages défilaient tout comme les discussions que Parrain et Filleule échangeaient. Elle tentait de modérer celui qui devenait totalement électrique, un Edison en puissance !
Le carrosse décéléra afin de ne pas entrer en Vienne avec les chevaux au galop, ce qui eut le don de faire se dresser le Baccard presque hystérique. Eléanna demeurait d'une zénitude absolue, contre balançant étrangement avec l'humeur épicée du futur marié.
Et puis la porte s'ouvre, laissant les marches de la cathédrale de Vienne se dérouler sous les azurs de la brunette. L'instant d'après, le sourire amusée sur les lèvres, ils se portaient sur son Parrain en lui lançant :


- Ça se passe comment maintenant ? Je sors d'abord pour te prêter mon bras et t'aider à descendre ?

Sourire en coin, mine mutine et amusée en direction de l'Impatient.

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--Argawaen_


[Cosnac-Limousin]

Des pas rapides se faisaient entendre dans le couloir, des pas rapides se rapprochaient de ses appartements, l'on frappa...

ENTREZ !

Il vit son homme de main entrer, lui donnant un message.
Le vétéran le prit et le parcouru avec soin, il souriait doucement, sa cousine Elisa se mariait, mais il fallait aller en Dauphiné pour cela, son épouse ne voudrait pas partir avant la fin des élections du Périgord.


Fait préparer ma garde et ma tenue Aarhon.

Puis il laissa un mot à son épouse.

Citation:
Patt,

Je suis invité au mariage de ma cousine Elisa, sachant que tu ne voudras venir tant que les élections en Périgord ne seront pas terminées, je prends la route sans toi.

Ton époux.


Il déposa le mot sur le lit puis s'empressa d'aller se préparer.



Une fois présentable le Dehuit de Malemort se rendit dans la Cour, laissa le soin à son homme de main de prendre la tête de la colonne et la petite troupe prit la route du Dauphiné...

[En approche du Lyonnais et Dauphiné]

Combien de temps n'avait-il pas revu son Duché natal ? Combien de temps était-il partit ? L'homme ne comptait plus, sa Valence natale lui manquait, tant de souvenirs malgré son départ à un jeune âge.
L'homme avait grandit ici, son père l'avait élevé ici, il avait une légère boule au ventre, même après tout ce temps...
Argawaen fit arrêter la troupe à la frontière, il passa en tête et entra en territoire Dauphinois en premier.

Au loin il pouvait apercevoir Lyon, cette capitale fantôme à l'époque, il se demandait ce qu'il en était aujourd'hui, dans tous les cas, il s'en fichait, il devait se rendre à Vienne, et peut-être que s'il aurait le temps, il se rendrait à l'ancienne boulangerie de son défunt père Jerem Dehuit. Il se souvenait y avoir enterré une épée, après avoir brûlé la boulangerie, peut-être y était-elle toujours...


[Vienne-Cathédrale]

La troupe s'arrêta devant la Cathédrale, le vieux vétéran descendit de sur sa monture, arborant fièrement les étendards de Lugan, de Cosnac, de la Force et des familles Dehuit, Malemort et Canéda.
Il s'avança lentement jusqu'au parvis, saluant les invités.


Liz.baccard.malemort
Lizzie avait revêtu ses vêtements du dimanche. Les plus beaux qu'elle avait. Pour le mariage de sa mère et de son père elle se devait d'avoir l'air d'une jolie princesse. Elle avait donc noué ses cheveux et les avais remonter en chignon.Un sourire ornait ses lèvres en pensant au bonheur de ses parents. Un grand jour tant attendu par son père. Il allait prendre pour épouse Élisa pour le meilleur et pour le pire jusqu'à ce que la mort les sépares. La crapule ne pouvait qu'être heureuse, elle les aimaient tant. Elle termina de se préparer et sortie pour se rendre à l'église de Valence avec le coché que ses parents avaient mis à sa disposition.
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Aloara.carpadant


[Un avant jour J pas comme les autres : Juste Elles... Rien qu'Elles...]

Elle tournait en rond et faisait les cent pas dans la suite qu'elle avait loué... Déjà quelques heures que son pigeon était parti et toujours aucune réponse... Si d'ordinaire elle savait se montrer patiente ou encore même cacher son impatience en présence de monde ou encore même de Son Mini, cette fois ci, elle ne put que se faire entendre...


Rah, mais pourquoi n'ai je aucune réponse ! C'est impossible... Le pigeon a du servir de repas au rapace du coin... Qu'allons nous faire ? Réécrire une lettre serait une sacrée perte de temps !

Et comme d'habitude les neurones de la Brunette ne mirent pas de temps à partir en ébullition sous le regard quelque peu amusé de Son Tendre Epoux...

J'ai trouvé !!!
Gardeeeeeeeeeeeeee !!!! Gardeeeeeeeeee !!!


Et voilà Musclor qui rappliqua tout essoufflé devant une Princesse qui allait s'amuser à jouer la dramaturge...

Musclor !!! A l'aide !!! L'heure est grave !!!

Hin ? Qué passa !? Yé votre espousito qué vous a tapé ? Yé vé lé troussider !

Mais non, mais non ! J'ai besoin de vous pour retrouver mon pigeon ! C'est une question de vie ou de mort ! Ma mort ! Vous voyez ?!

Rétrouver oun' pigeonne ? Ya pas lé choix yé présoume !

Non point de choix ! Il s'est envolé par là !

Elle montra du doigt la direction par la fenêtre et posa son regard sur un Musclor très perplexe et pas convaincu de retrouver le volatile parmi les millions du Royaume... Plissement de nez en voyant son garde et Son Mini qui se retenait de rire, elle fit entendre :

Bon... On va faire autrement... Trouvez où est la Demoiselle Elisa et dites lui que je suis ici... Vous avez trente minutes top sablier si vous ne voulez pas perdre votre tête !

Vous êtes encore là ???! Dehors et vite !!!

Et à l'instant même où il sortit en courant, elle entendit un brouhaha pas possible dans le couloir de l'étage...

Misère !!!! Musclor !!! Il n'en râte pas une !!!

Elle sortit à son tour et s'en alla retrouver un Musclor sur une pauvre dame...

Mais relevez vous espèce d'âne, vous l'écrasez !

Et sitôt le garde se releva pour laisser respirer...

Germaine !!!!!!!!!??

C'était la Germaine de Sa Mie à n'en pas douter... Fronçant les sourcils en regardant Musclor, elle lui fit comprendre qu'il ne payait rien pour attendre... Aidant à relevant la Dame de compagnie de la future mariée, elle demanda légèrement intriguée et anxieuse :

Que faites vous là ? Un souci est arrivé à ma Douce ?

Non, Votre Altesse, elle m'envoie vous chercher. Elle souhaiterait que vous passiez la nuit au Duché de Clermont en Viennois.

Fort bien ! Laissez moi prévenir mon époux et je vous rejoins au plus vite !

Point la peine d'en parler à Son Cher Mari qui avait assisté à toute la scène, qu'il acquiesça pour la laisser partir et rejoindre Elisa... Un sourire, un baiser volé et elle dit :

Musclor, préparez la malle où est enfermé ma toilette pour le mariage et apportez là, au Castel de Clermont en Viennois...
Mon Mini, nous nous retrouverons demain sur le parvis de la Cathédrale... A très vite...


Les dernières recommandations faites, elle arriva en moins de temps qu'il le fallut dans la demeure ou l'attendait Son Autre...
Très vite Germaine la guida jusqu'à Ses appartements... Profonde inspiration pour calmer ce cœur qui battait la chamade et elle entra sans frapper pour un effet de surprise encore meilleur...

Là, face à Elle, la Femme de sa vie, la Reyne de son cœur... Celle pour qui elle était là ce soir, pour qui elle serait là demain et à tout jamais...


Gailen_d_arduilet.


[Auberge du Lion d'or le matin des noces]

Très vite, elle lui apparût. Vêtue d’une cape sombre il ne put admirer sa tenue mais aurait bien l’occasion de le faire plus tard. La jeune femme semblait heureuse de le voir ce dont il n’était jamais certain quand on connaît la nature de leur « relation ». Le bonjour, comment allez vous semblait formel mais néanmoins sincère, il y répondit par coutume. La phrase suivante l’interpella plus. Il était tôt et il n’aimait pas trop arriver le premier aux mondanités. Pour être honnête, il n’aimait pas du tout les mondanités mais s’y habituait, son rang l’obligeant à cette gymnastique. La proposition de la jeune fille lui arriva donc comme une bouffée d’oxygène.

Eh bien, ma foi, il est encore tôt et nous ne sommes donc pas pressés. Si vous voulez me faire visiter un peu la ville avant, ce sera pour moi un réel plaisir de le faire à votre bras.



[/quote]
Zol75
De retour de voyage et après un repos bien mérité, Laly, Zol et les enfants avaient revêtu leurs plus beaux habits pour la cérémonie. Tôt le matin, ils avaient prit la route pour Vienne. Le temps maussade et bruineux leur glaçait les os mais pour leur grand ami et parrain de Richard. C'est donc le coeur léger que leur carriole les emmenait sur les chemins.

Après un voyage cahotique vu l'état des routes, ils arrivèrent enfin à Vienne. Ils cherchèrent l'église puis laisssèrent leur embarcation devant le grand édifice où de nombreux invités étaient déjà arrivés.

Ils saluèrent leurs amis. Une bise par ci, une poignée de main par là et ils attendirent d'entrer. Zol prit la main de son épouse se rappelant leur mariage quelques mois auparavant. Depuis ils vivaient heureux avec leurs enfants.


Bon les enfants, je veux pas vous entendre. Ici on écoute et on se tait. Le premier qui bouge goutera de ma botte d'accord ?

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Alienore_


Alors voilà, déjà qu'on avait pas trop bien voyagé que Popa râlait. Z'avait rien dit et Rissard avait pas arrêté de me tirer les cheveux que Moman m'avait bien coiffés. Je pris la main de Moman et me pressait contre elle. J'avais ma belle robe blanche et j'en étais fière. Il y avait des filles qui en avaient de plus belles mais la mienne ze la trouvait superbe car c'est Moman qui me l'avait faite en plus le matin elle m'avait mit du sens bon.

Moman, Moman ? on attend quoi ? Y fait froid et z'ai envie de pipi. Ze tiens plus.
Richard_


Bin voila, à peine arrivés que ma soeur se faisait remarquée et moi j'attendais de voir mon parrain et son amoureuse. Je donnais des coups de pieds dans des cailloux tant le temps me semblait long. Les mariages c'est bien mais moa je voulais m'amuser. Vu la tête de Popa, je voyais bien que c'était pas le moment de rigoler. Dommage car les mariages c'est fait pour rigoler, je sais po mais là il était sérieux comme un pape. L'était marrant Popa. Soit il plaisantait tout le temps soit il était sévère mais je savais qu'ils nous adorait comme Moman donc je décidais de me tenir tranquille.

Popa ? il vient quand parrain 'Tule avec sa fiancée ? Et pis va y'avoir à manger ? J'ai faim Popa t'as pas un morceau de pain hein ?

Je voyais bien qu'il était occupé à saluer ses amis et je n'insistais pas plus longtemps de peur de me faire botter le céans.
Zol75
Ca commençait bien. Richard avait faim et Aliénore ne tenait plus. Il fallait faire au plus vite.

Chérie, emmène la derrière l'église il doit bien y avoir un endroit tranquille quant à toi Richard voila 10 deniers pour aller dans une boulangerie mais tu reviens vite.

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Laly
Laly s excusa auprès de leurs amis et emmena Aliénor derrière l église, tout en jetant un œil a Richard qui allait a la boulangerie. Elle se dis qu il ressemblait bien a son père un vrai ventre sur pattes.

Ca y est ma puce tu as fini, il nous faut retourner vers papa, je pense que Tule et Elisa ne devraient pas tarder a arriver.

Elle l aida a remettre sa robe correctement puis elles retournèrent auprès de Zol.

Voilà mon cœur on est là.
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Lightwarrior
C'était seul chez lui avec quelques pages qu'il se prépara pour le mariage de ses amis. Il s'était bien vêtu et sortit de sa maison, direction la maison de la nouvelle Valentinoise qui serait sa cavalière après qu'elle ait accepté avec un grand "OUIIII". S'était-il bien habillé pour faire honneur aux mariés ou pour faire honneur à sa cavalière? Seul Aristote pourrait le deviner. Au moins là, les Lyonnais-Dauphinois auraient matière à faire courir les rumeurs et l'idée l'amusait. Surement même qu'en public, il jouerait de cette rumeur qui courrait entre les deux vassaux du Duché.

Tristan arriva donc devant la maison de Bounette et toqua à la porte. Il passa un dernier coup la main dans ses cheveux pour remonter une mèche tombante. Il espérait qu'elle était prête, car il se doutait que Bounette serait longue à se préparer. Certes, elle avait vécu dans la crasse sans se laver plusieurs jours avec Bourbaki mais là, elle serait longue à se pouponner. Il espérait qu'ils ne seraient pas en retard.

Il cria depuis l'extérieur


Boubou??? Tu es prête???? Je voudrai pas qu'on soit en retard!!
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