Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6, 7   >   >>

[RP] Mariage de Elisa de Malemort et Rotule Baccard

Rotule.baccard
[ Pourquoi toujours attendre ? Et plus j'attends, plus je sens le poids du temps. Plus j'attends, plus je me sens condamné. Condamné à attendre. ]
De Jean-Louis Aubert


Son seul petit palliatif au manque ressenti de son Eden lui étant confisqué par son adorable fillote en cet instant ou le temps semble figé et l’attente s’étirer à l’infini, dans ce contexte temps particulier, nul temps pour Rotule de contester puisqu’un autre impatient haut comme trois pommes, s’approche de lui et le bombarde de questions.
S’accroupissant pour être à hauteur du petit chevalier Carra, le future marié avec tendresse pour le môme répond à cœur ouvert.


Quesque j’ai fait à ta tatie ? Regarde… doucement il fait tourner le gamin et lui montre la nourrice qui contre elle berce le petit Emery Barahir Desbossons Baccard de Malemort, le dernier né de la famille. En plus de lui offrir un fils j’ai fait vibrer le cœur de tatie, j’ai tout fait pour être chaque moment être proche d’elle, j’ai tout fait pour que tatie soit à toujours mon Eden, j’ai tout fait pour être ce jour, ce jour que j’ai rêvé et rêvé plus d’une fois car mon être tout entier ne pourrait se passer d’elle.

Toujours accroupit le Baccard rit quand il entend Carra rouspéter comme quoi les filles sont toujours longues à se préparer et en l’occurrence sa Tatie Elisa.

Gamin Oui c’est ainsi que le tonton nomme le petit… ta tatie est une femme, une femme coquette, et toute femme coquette c’est se faire désirer, et crois-moi gamin que ta tatie est très douée pour cela. De plus tu apprendras avec le temps mon grand, que les femmes sont toujours, toujours, plus ou moins en retard. C’est ainsi et cela depuis la nuit des temps et je doute qu’un jour cela change un jour sans l’action divine du tout puissant ! Relevant les épaules pour montrer que c’est comme cela, il ricane puis fait aller Carra à l’entrée de la Cathédrale… va mon grand elle ne devrait plus tarder maintenant… Enfin je l’espère dit-il plus bas pour lui-même alors qu’il se redresse.



[ Il y a en amour la grâce d'une certitude.]
De Iris Murdoch


Tel un shoot de pur bonheur directement envoyé en dose massive dans les veines envahir l’entièreté de son être, son corps vibre, sa respiration cesse, son cœur explose littéralement quand figé sur place tel une statue de marbre blanc, l’amoureux Baccard voit enfin le cortège des petites qui ouvrent la marche en parsemant le sol de pétales blanches et roses de fleurs de cerisier.

Ses prunelles s’enivrent de découvrir la beauté de sa Malemort, son Eden.

Rotule soumit au vertige de l’amour dont l’esprit gravite entre bonheur et fierté tel une étoile tournant en satellite autour de l’astre lunaire, a la sensation que son cœur vient battre en osmose avec celui de sa belle Princesse…

Second shoot de bonheur quand son regard s’abaisse sur l’angelot Emelyne qui vient de sa petite main potelée tirer sur le tissus du pantalon pour réclamer un bisou de son Lulu. Comment résister au charme de la petite Princesse Malemort ? Ce petit trésor qu’il aime au point qu’il concéderait sa vie pour épargner la sienne si le tragique venait a tourner autour d’Emelyne, tout comme il le ferait avec sa crapule d’amour Lizzie, qui comme chacun de leur enfant faisait que le Baccard s’estimait être l’homme le plus chanceux de la terre.


Tu es magnifique ma petite Princesse d’amour Dit Rotule tout en bisant le front de l’enfançon qui toute fier, sourit et montre ses quenottes.

A nouveau l’Amoureux qui il est, Amoureux avec un grand A, se redresse, déglutie tout en se mordant inconsciemment la lèvre inférieur en voyant son aimée à deux pas de lui…
Dieu qu’il est difficile de ne pas faire un pas pour venir enlacer sa promise… A cet instant Rotule voudrait la prendre dans ses bras pour lui dire tout bas, des mots d'amour, des mots de tous les jours, lui dire qu’elle est entrée dans son cœur. C’est une Certitude, elle est-elle pour lui, lui pour elle, il lui a dit, ils ce le sont juré pour la vie.
Son âme qui danse ivre d’amour fait que l’Impatient répond de façon quasi enfantine au cousin d’Elisa qui laisse maintenant la belle Malemort au coté de son futur époux…
Merci Monsieur …

Pour à nouveau plonger son regard aux envoutantes prunelles noires de son Eden, lui témoignant ainsi qu’il est heureux à en mourir, qu’ils veux encore et encore des nuits d’amour à plus finir, des nuits d’amour ou les ennuis et les chagrins passés s’effacent…

Sa main vient chercher celle de sa moitié, pour avec délicatesse venir porter celle-ci a hauteur de sa bouche et embrasser le dessus de sa fine main.


Il y a en amour la grâce d'une certitude. Je t’aime Elisa Sophie Matilde de Malemort, et tu es merveilleusement magnifique. Mon Eden c’est avec certitude que je te le dis, je t’aime de tout mon être… Exprime celui-ci alors que les témoins prennent place autour du couple de Malemort Baccard.
Bellabs
Le couple prêt entre dans la cathédrale et s'assied pour voir leurs amis s'unir devant le très-haut. Quel moment extraordinaire! Bella ne pouvait s'empêcher d'imaginer ce qu'elle pourrait ressentir à leur place bien qu'elle sache qu'elle en était bien loin d'être là. Encore ces histoire de noblesses qui posaient problèmes. Bien assise sur le banc du milieu et le sourire jusqu'aux oreilles la rouquine ne perdra rien de la cérémonie. Saluant de la tête ceux qu'elle connaissait déjà et qu'elle appréciait beaucoup à savoir MAy, Arta, et le petit garçon Carra. Dès que son regard croisa celui de Rotule son sourire s'agrandit un peu plus lui signifiant ô combien elle était heureuse pour lui et Elisa.

Ils méritaient le bonheur ces deux là, toujours une main tendu vers la rouquine, toujours un geste agréable, et des mots réconfortants. Elle se retrouvait dans l'impulsivité de Rotule et dans la sagesse d'Elisa. Cela la faisait d'ailleurs beaucoup rire. Plus un mot, juste des azurs qui parcourent la cathédrale buvant chaque faits et gestes et observant le déroulement de la cérémonie avec allégresse.

_________________
Gailen_d_arduilet.


[arrêt sur la colline avant la messe]

Il l'emmena dans les ruelles et la fît monter en voiture.Le coche se mit en route et le trajet fût bref. Pas trop de circulation à cette heure matinale. Il profita du voyage pour faire un peu de voyeurisme, essayant de découvrir sa robe sous cette cape qui cachait si bien la surprise. Une fois arrivé il descendit le premier et lui tendit la main pour l'aider à le rejoindre.

Ils s'approchèrent du point de vue, L'Arduilet était impressionné, s'il n'avait été aussi macho il aurait presque pu sentir un élan de romantisme qui se dégageait de l'endroit.


Votre famille sait-elle que vous allez assister à une noce à mon bras ?
Que penseraient-ils s'ils vous savaient vous promenant aussi mal accompagnée dans un endroit comme celui-ci?


Il évita de lui dire qu'en plus elle était mineure.



Aloara.carpadant


[Elle en est certaine, cette fois Sa Moitié sera heureuse !]

A ne plus en douter, Sa Musclorette était plus épanouie et amoureuse que jamais... Un pur bonheur pour la Princesse de la voir aussi heureuse alors que tant de mauvaises épreuves avaient traversées sa vie... Un sourire étira ses lèvres lorsqu'elle vit tous les invités sur le parvis de la Cathédrale... D'un ton quelque peu taquin, elle dit à Sa Douce :

Ma Douce, je vais finir par croire que vous épousiez ce jour, le Roy en personne ! Voyez toutes ces personnes venues spécialement pour vous...

Un doux baiser sur sa joue et elle précéda la sortie de la Mini Princesse, avant que Sa Belle ne descende à son tour dévoilant alors ses atours de Reyne du jour...
Elle était juste magnifique et la Montmorency ne se fit pas prier pour le lui redire une fois le baiser retourné...


Ma Mie, point de merci entre nous... Cela fut un réel plaisir que de vous sublimer pour ce jour inoubliable...

L'accompagnant jusqu'au marche de la Cathédrale, elle délaissa son bras pour la confier à son cousin, déjà croisé dans les tavernes limousines quelques années plus tôt...
Baiser tendre sur son front, elle rentra dans le Saint Edifice, et prit place au premier rang auprès de son Epoux déjà présent... Un regard sur le Futur qu'elle ne connaissait point encore, elle esquissa un petit sourire en voyant son impatience...

Les cloches tintaient dans toutes la ville et ce fut en prenant la main de son Tendre Mini, que la Princesse attendit que Son Autre fasse son entrée...


Nefertianne

Nef était comme d'habitude un peu en retard pour le mariage de Tule et Elisa. Aprés s'être habillée et avoir habillé les jumeaux, elle monte dans la calèche qui les attendait devant leur domaine. Space était absent , aussi il ne pourrait les accompagner.
Arrivée devant le parvis de l'église, elle descend avec ses crapules et entre aussi discretement que possible. Tenant Alienore et Titouan par la main, elle s'assied, écoute et regarde la cérémonie qui est déjà commencée
Elo_la_vagabonde
La vagabonde était partie de Limoge à toute vitesse. Le pigeon des invitations était arrivé à elle bien amocher. Du coup elle était en retard en laissant juste un message à Naho :

« J'ai pris la route avec Théo, rattrape-nous. Direction le mariage à Tul ! »

Une fois en Lyonnais Dauphiné Elo entendit les cloches retentir... elle ronchonna :

« Didiou, ça commence déjà ! »

Elle ajusta au coin de la rue ses braies noires et sa chemise blanche... mais bon elle venait de traverser tellement de nœuds sans repos qu'elle avait une drôle d'allure pour arriver à un mariage. Une fois qu'elle avait remis ses vêtements peu convenables en place, elle en fit de même pour son fils. Au pire elle ferait comme d'habitude, fidèle au pilier du fond de l'église à regarder le mariage donc sans personne pour la voir. »

D'ailleurs c'est ainsi que la vagabonde fit... mais Théo en décida autrement en courant et hurlant :


MARRAINE !

Il avait repéré May.... houlàlàlà...
La vagabonde resta tout de même dans l'ombre son fils était déjà peu présentable, mais si on la voyait elle. Pauvre Tul il aurait la honte et les gens se demanderait qui sont ses fréquentations. Le petit lui était tellement heureux de revoir son monde à lui...
Pattricia_
[Périgord-Angoumois, Domaine de La Force]



Après avoir navigué entre le château, la caserne et réglé quelques affaires avec ses commis qui devaient repartir sur Sarlat, la rousse prend le chemin de La Force, son Domaine se trouvant sur les hauteurs du Bergeracois. Quand elle arrive enfin dans la grande cour, Mélie l'attend de pied ferme sur les marches du perron. La Dame des lieux saute de sa monture dont elle tend les rênes à un palefrenier, grattouille entre les deux yeux sa jument et rejoint sa nounou/intendante et sa mine des mauvais jours.

- Bonsoir Mélie, que me vaut cette impatience à me voir ?
- Un vélin de ton époux en provenance de Cosnac
- Hum... A tous les coups il ne rentre pas.
- Mieux que ça figures-toi !
- Parce que tu lis ma correspondance maintenant ?
- C'est juste un mot, même pas scellé.
- Ah ? Bizarre... Donne !


Mordillant sa lèvre inférieure comme à chaque fois qu'elle sent venir l'agacement, Pattricia La Canéda Dehuit de Malemort prend connaissance du mot griffonné à la hate.

Citation:

Patt,

Je suis invité au mariage de ma cousine Elisa, sachant que tu ne voudras venir tant que les élections en Périgord ne seront pas terminées, je prends la route sans toi.

Ton époux.


- Pfff !
Non seulement il se barre en L.D. sans la moindre concertation avec moi, mais en plus il m'appelle "Patt" et signe "Ton époux" !!!
- Ben... en même temps c'est ton prénom et c'est bien ton mari...
- N'en rajoute pas, j'ai zéro humour là... Depuis quand on n'adresse pas un mot charmant à la soit disant femme de sa vie et depuis quand il m'appelle par mon prénom ! Pas un mot tendre, rien !!!
- Ouais... Il était peut-être pressé, ça peut se comprendre...
- Pressé de se barrer oui !
Ben je répondrai pas, et j'arriverai quand j'arriverai !
- Je vois... Et en attendant ? On fait quoi ?
- Mais sort donc mes robes de cérémonie que je choisisse et prépare-moi une malle enfin ! Je vais pas aller à un mariage Malemort en guenilles non plus !


Mélie se marre et lui prend le bras. Ce qu'il y avait de bien avec la môme au loup, c'était sa capacité à vouer le monde entier aux enfers tout en réfléchissant à la parure qu'elle allait porter.
Les deux femmes pénètrent dans le vestibule et grimpent les marches du grand escalier en courant, c'est qu'une garde-robe les attendait...



[Cathédrale de Vienne]


La vindicative, boudant l'ours et ses manières de rustre, avait embarqué marmaille et personnel de maison, comprenez par là, les triplés, Mélie et la soubrette Linette pour prendre le chemin du L.D. Venait ensuite Souffredoul et la garde personnelle de la rousse. Évidemment, par provocation, ce petit monde était habillé aux couleurs des La Canéda. Petit sursaut de rancoeur qui passerait inaperçu puisqu'une fois au mariage, son attelage serait forcément aux triple couleurs qui les représentaient son époux et elle-même. Tout au long du voyage, pas une missive, rien de rien. C'est que cette femme là avait la rancune tenace et laisser son époux sans nouvelle était pour elle le minimum pour se venger.

La veille du jour J, cette équipée avait fait escale dans une auberge des plus avenantes de Vienne pour prendre un repos mérité après un tel voyage. Le lendemain, tout le monde s'était fait beau, et l'équipage au grand complet avait pris le chemin de la cathédrale où le mariage devait avoir lieu.
Une fois les enfants aux côtés de Mélie, Patt prend la tête, grimpe les marches menant au parvis, salue pieusement l'Archevêque et pénètre dans l'édifice. Le temps d'un clignement de ses jades pour s'habituer à la pénombre du lieu et elle repère immédiatement l'ours debout devant les sièges réservés à la famille de la mariée.

Relevant le menton un peu par défi, la vindicative avance dans l'allée centrale, suivie de la fratrie et la nounou et vient se mettre près de son époux, ne lui adressant qu'un discret signe de tête pour tourner ensuite son visage vers les époux, ne révélant au regard de l'ours que son profil.



_________________
--Argawaen_


[Dans la Cathédrale]

Le vieil homme inclinait la tête légèrement face au futur époux de sa cousine puis répondit sur le même ton.

Je compte sur vous pour veiller sur elle, sinon vous aurez de mes nouvelles...

Le vieux vétéran fit un rapide clin d'oeil à sa cousine et la laissa donc au bras de son futur époux. Pendant ce temps il alla s'installer à sa place et il souriait légèrement en voyant débarquer la tribu, et Patt était des plus resplendissantes.
Le vieil homme fixait son épouse, voyant une certaine rancoeur sur son visage, à tous les coups c'était pour ce mot froid et sans sentiments qu'il lui avait laissé, mais au bout d'un moment, il était peut-être temps de se bouger un peu plus l'oignon. Il y allait lui aux mariages de ses amis, et elle avait traîner en Périgord pour Sarlat, alors il fallait bien qu'il montre son agacement.

Le plus beau dans ce couple, c'est qu'ils étaient constamment en train de se chamailler, mais ils ne pouvaient pas être loin de l'autre plus de cinq minutes, bon aujourd'hui était une exception mais le temps lui avait paru interminable jusqu'à son arrivée.
Hésitant à faire le premier pas, sachant que son épouse ne le ferait certainement pas, par fierté, et ce petit air provoquant qui avait le don de l'agacer, l'homme décidait malgré tout de prendre sa main discrètement, de se pencher et de lui murmurer...


Tu es magnifique mon amour...

Ses doigts caressaient doucement le dos de sa main et il regardait ensuite la cérémonie comme ci de rien était. Sachant d'avance qu'il ne gagnerait pas aussi facilement...

Elisa.baccard
[ Il est l'heure mon Seigneur...]





L’avenir… Pouvait-elle l’envisager autrement que dans ses bras ? Non. Il faisait parti de sa vie, de son être, de son soi intérieur. Alors ses onyx étaient désormais noyés dans le brun des yeux de son futur époux. Comme seul pendant cet instant la Malemort n’entendait plus que sa voix qui résonnait dans l’édifice. Un frisson alors qu’elle sent le contact de leur peau, comme pour la première fois, comme chaque fois. Elle est envahie par une brûlante envie, un courant électrique qui part de la pointe de son doigt, remontant le long de ses côtes, passant autour de sa poitrine puis faisant le tour de son cou, jusqu’à arriver à sa nuque et redescendre le long de sa colonne vertébrale, glisser le auc creux de ses reins, puis ses cuisses, le pli de ses genoux, ses mollets et enfin ses talons jusqu’à s’enfuir ensuite dans le sol. Des joues qui rougissent légèrement, oui… malgré les années qui passent, elle ressent toujours autant d’amour pour lui, comme au premier jour.

Elle l’écoute parler tandis que sa main resserre légèrement la sienne.


Rotule Baccard, je t’aime bien plus que tu ne puisses l’imaginer aujourd’hui et durant toute la durée de cette vie que nous passerons l’un auprès de l’autre…

Elisa reste une femme, une femme parfaite, soit… Mais une femme quand même alors ne pu s’empêcher de dire…

…Mais…

Et PAF ! ça c’est fait… continuons…

laisse donc l’Archevêque faire ce pourquoi il a été nommé et invité ce jour… Laisse le nous marier officiellement, devant l’amour du Très-Haut, personne ne pourra en douter ensuite.

Tendrement la Malemort vient de sa main libre caresser la joue de son presque époux. Un moment de tendresse accompagné d’un doux sourire qui se veut rassurant… Autant dire qu’il n’y avait aucune surprise du côté de la mariée… De toute évidence, quand le moment serait venu, elle pourrait lâcher un grand et énorme « Oui »…

Un regard dans l’assemblée, la Malemort observe sa plus grande fille, Lizzie, assise près de son frère et de sa sœur. Elle lui sourit tendrement et lui adresse, à elle et sa sœur, un baiser volant comme elle fait chaque soir à Emelyne pour lui souhaiter de jolies rêves… Puis revenant vers l’archevêque, la Malemort lui sourit… Ils étaient désormais prêts… Prêts à s’unir et personne ne pourrait aller contre cela… Espérons-le !


Monseigneur, Bonjour… Nous sommes prêts…

Sa main toujours glissée dans celle de son fiancé, la Malemort puissait à l’heure actuelle un peu de force pour rester droite et digne devant eux… Eux, sa famille et ses amis. Et pourtant son cœur battait à tout rompre au creux de sa poitrine.
_________________
Jackouille
Et une surprise de derniére seconde avant le début de la céremonie , en effet Jack arriva sa fille dans les bras pour l ' union de ces amis .

Tout le monde étaient déjà entrés en l ' édifice et Jack poussa discrètement la porte pour ne pas attirer l ' attention , il se signa et alla se mettre sur un banc posant sa fille sur ces genoux .

La cérémonie allait commencer au fond de lui il était heureux pour ces amis , il fit un sourire à sa fille qui grandissait à vue d ' œil , une dent avait fais son apparition et c ' est avec ce nouvel attrait visible que sa fille lui rendit un sourire .
Endymion
Du beau monde. Voila ce qui passait les portes de la cathédrale, le parterre d'invités était de grande qualité, à l'image des fiancés que l'archevêque devait marier.
Il saluait tout ce petit monde au fur et à mesure que les gens pénétraient dans la cathédrale puis arriva le futur marié.

Rotule.baccard a écrit:
Monseigneur Endymion d'Abbadie le Baccard se courbe et embrasse l’anneau cardinalice en signe de respect et de salut… Monseigneur j ai le cœur gonflé de joie ! il cogne comme une horde de chevaux galopant sur la terre des chemins sec d’un mois d’août. Monseigneur, est il pêcher si en ce jour je tente à calmer mon enthousiasme débordant par une petite larmichette d’Abricotine ? Et pour plaider sa cause, le Baccard poursuit … Vous savez mon père c’est une eau de vie alambiquer par des moines d’un couvent de Sion… enfin bon, Monseigneur voici Eleanna mon témoin qui comme demandez viendra lire a vos coté un extrait du Livre des Vertus.

Allez-y mon fils, il n'est jamais pêché que d'avaler comme vous dites une larmichette d'Abricotine, surtout en ce jour ! Tant que vous restez lucide au moins jusqu'à la fin de la cérémonie,dit-il en souriant. Puis il salua la lectrice du jour et échangea quelques mots avec elles, avant qu'elle n'aille à son tour s'installer.
Voyant que la mariée arrivait le prélat alla lui aussi s'installer à sa place, en haut des marches menant au chœur, puis regarda la future épouse traverser la nef centrale. Une fois devant lui il lui rendit son salut en souriant, la cérémonie commençait.

Il leva les bras et déclama solennellement,

Mes bien chers frères, mes bien chères sœurs, nous sommes aujourd'hui réunis en cette magnifique cathédrale de Vienne pour un évènement des plus heureux, l'union devant le Très Haut de deux êtres qui s'aiment, Elisa et Rotule.
Avant toute chose, car nous ne sommes que des créatures faillibles, confions nos pêchés au Très Haut et demandons-Lui pardon, silencieusement.


Endymion joignit ses mains, baissa la tête et dans le silence qui planait sur l'assemblée récita, en murmurant, le confiteor. Il repensa aux fois où il s'était détourné de Dieu, où il s'était détourné un peu du chemin de la Vertu, mais c'était déjà trop. Il laissa une minute de plus aux fidèles et continua.
Je vous rappelle que la seule façon d'accéder au Paradis Solaire est de suivre le chemin de la Vertu, enseigné par les Prophètes et la Sainte Église Aristotélicienne, mais il est dans notre nature de pêcher, d'où l'importance de la confession. Si vous souhaitez vous confesser, absoudre vos pêchés afin de revenir sur le chemin de la Vertu, il ne faut pas hésiter à venir me voir.

Ce petit rappel étant fait, après avoir demandé pardon au Très Haut il était temps de lui montrer leur foy en Lui, en récitant le Credo.
Clamons maintenant avec ferveur notre fois en Dieu, récitons tous en chœur le Credo !

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.
Amen

_________________
Cardinal-Archevêque de Vienne & Primat du SRING
Pattricia_
La vindicative sourit en son fort intérieur lorsqu'il lui fait son compliment, mais le profil reste fixe et les jades posés sur le couple dont c'est un des plus beaux jours aujourd'hui. Évidemment, elle ne peut s'empêcher de frissonner quand il effleure sa mains, mais les lèvres restent immobiles.

L'officiant débute la cérémonie et la rousse, plutôt que de se repentir de quoi que ce soit, se contente d'avoir son monologue habituel avec Ari. "Merci pour la route sans encombre, pour le vilain ours qui partage désormais ma vie et pour cette marmaille haute en couleur qui nous apporte joie et angoisse. Fait en sorte de m'aider à être une bonne mère pour la petite Jade et que la fratrie trouve son chemin sans trop de difficultés." Son habitude de s'adresser à Ari en le tutoyant et en lui parlant comme si il était un quidam quelconque avec du pouvoir était bien enracinée en elle. Elle ne se confessait jamais, pas qu'elle ait honte, juste que le Très Haut étant ce qu'il est, elle voyait juste pas la nécessité d'aller lui répéter ce qu'il s'avait déjà.

La caresse oursesque se fait insistante, alors toujours boudeuse, elle croise ses doigts aux siens, refusant toujours de lui accorder plus d'attention. On est vindicative ou on ne l'est pas après tout...


Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.
Amen

_________________
Alix_de_montestier
[Gaïlen et Alix, sur la colline]

Elle regardait distraitement le paysage, trop préoccupée par l'état de sa tenue. Elle avait déjà remarqué que son cavalier lorgnait dessus, et s'était amusée à resserrer les pans de sa houppelande autour d'elle pour le faire mariner quelque peu.

Elle fronça les sourcils, étonnée par la réflexion de son cavalier. Et éclata de rire.


Seigneur, vous avez raison, je n'y avais pas pensé.

D'un ton tranquille, elle imagina :
Et bien je présume que Floriane gronderait mon imprudence et m'enverrait dans un couvent jusqu'à mon mariage. Qui se ferait très vite puisque mon père prendrait tous ses hommes d'armes pour vous faire enlever et traîner jusqu'à l'église la plus proche pour célébrer notre union.

J'imagine que cela ne plairait pas à votre marraine, et que tout ceci finirait en conflit diplomatique.


Et mi-amusée, mi-sérieuse :
Je crains qu'il ne faille tenir cet épisode sous silence.

Et soudoyer grassement Riccardo pour qu'il n'en dise rien, songea-t-elle in petto.
Et vous, qu'en dirait votre marraine?

Après tout, il n'y avait pas de raison qu'elle soit seule à être embarrassée!
Gailen_d_arduilet.


[Sur une colline, deux jeunes nobliaux font l'église buissonnière]


Au moins, pour une fois, son propos avait fait mouche. Le courtisan égocentrique et maladroit avait réussi à amuser la jeune femme. Pire, elle se prenait au jeu et lui conta une rocambolesque fin à leur petite escapade. C'était l'Alix qu'il appréciait, celle qui oubliait sa bonne éducation et sa façade de jeune fille de bonne famille pour laisser paraitre son intelligence capable des meilleurs traits d'esprit. L'Arduilet se surprit même à se dire que s'il avait croisé cette partie de la jeune fille avant les arrangements maritaux il aurait presque pu en tomber amoureux ou, du moins, être tenté de lui faire la cour spontanément.
Il tenta donc de participer à ce roman, mimant la peur puis la souffrance quand elle évoquait les soldats de son père venant l'enlever et le trainant de force vers l'autel.

Esquissant un sourire il répondit :


"Donc en vous épousant sous la contrainte des armes je vous sauverait du couvent ? Somme toute un vrai chevalier blanc ?"

Mais elle le lançait déjà sur un autre sujet, plus sérieux celui là, surtout pour Gaïlen qui avait un grand respect et une grande admiration pour la sœur de son père.

"Oh, vous savez, ma marraine; je pense qu'elle préfèrerait encore cela à l'histoire que nous lui avons servi jusque là. Elle croit fermement a l'amour et ne conçoit pas le mariage sans cela. Je suis certain qu'elle préfèrerait me voir m'enfuir et renoncer à mes titres au bras d'une bergère que j'aime plutôt que d'apprendre que je vais épouser une princesse de sang par souci politique. Donc, que penserait-elle si je déshonorait une jeune femme par trop d'empressement amoureux et que je réparait cette faute en l'épousant ? Sans doute me dirait-elle que si j'aime vraiment cette damoiselle et que cet amour est réciproque nous avons sa bénédiction."


Il prit un temps de réflexion, puis arborant à nouveau son plus beau sourire provocateur :

"Mais il n'en est rien puisque nous ne nous aimons pas, que je ne vous courtise pas et que vous n'avez pas envie de me séduire au point de cacher votre magnifique robe sous cette cape."


Argawaen
Il sentait que son épouse ne lui donnerait pas la satisfaction de la victoire, chose qu'il s'attendait depuis son entrée dans ce lieu.
Le vieil homme se contentait de sourire, de marmonner la prière et d'attendre la suite des événements.
Argawaen regardait les futurs époux, sa cousine était magnifique, combien de fois il avait pu la serrer dans ses bras afin de la réconforter, combien de fois ils avaient discutés d'un certain " mâle " qui n'en avait pas.
Il était fier d'avoir pu l'accompagner jusqu'à l'autel, et aujourd'hui, il n'était pas là seulement en tant que cousin, mais également un peu en tant que père.

Elisa méritait l'attention de son futur époux, et à en juger par le regard de ce dernier sur elle, cela ne faisait aucun doute. Mais le Dehuit de Malemort ne ferait pas de cadeaux au moindre faux pas de ce dernier. On épouse pas un/une Malemort seulement pour le nom.
Argawaen souriait doucement.

_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6, 7   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)