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[RP] La compagnie des ravis

Sofio
Alors que vogue....

D'autres plaisirs surement, comme celui de sentir la brise douce du matin inonder de sa fraicheur. Comme celui des yeux, quand ils parcourent l'étendue bleutée de cette immensité.

La vie à bord était rythmé par la paresse. Les cartes trainaient partout, alors que certains préféraient vaquer sur les cordes ficelées pour servir de 'lit de sieste' La pêche à défaut d'être prolifère avait pour mérite d'être amusante, mais ne suffisait pas à nourrir l'équipage. Heureusement que bon nombre de denrées comblait la cale. Le marmiton en chef avait été désigné d'office en la personne de Constance, engagée volontaire, elle avait promit mont et merveille dans sa cuisine ....

Un peu de flatterie et....


Constance? nous avons du gibier encore et quelques légumes, tes douces mains et ton imagination fertile pourraient t'ils.....


Et quand l'envie est grande de dire "nous préparer un diner pour s'en foutre plein la panse, la retenue est de mise pourtant"


Nous préparer un diner convivial?
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Max_de_la_louveterie


Et pendant que d'autres s'activaient, Maximilian restait torse nu, la tete posée sur les genoux de son epouse, a prendre le soleil en mode gros feneant. Fallait dire que la mer ca fatigue , enfin surtout ses nuits endiablées avec son epouse, mais gardons cela secret. Il etait donc la en bronzette comme une star, laissant sa femme s'occuper de sa coiffure . Et c'est fou comme il aimait ca. Sentir ses doigts fins peigner sa blonde et longue chevelure, sentir ses ongles lui griffer tendrement le cuir chevelu, ca l’émoustillait de façon surprenante. Parfois il tendait ses lèvres un peu paresseusement afin d'avoir un baiser . Le paradis sur mer en fait . !

Pourtant ce petit moment de paradis trouva une fin un peu abrupte


Constance? nous avons du gibier encore et quelques légumes, tes douces mains et ton imagination fertile pourraient t'ils.....
Nous préparer un diner convivial?


Ouvrant un oeil vers la rouquine .. ah oui l'heure du repas etait venu.

MMmm oui il fait faim c'est vrai . M'amour tu sauras nous faire un festin ? et une tarte ? un gros gateau avec de la crème ... et des fruits , tu veux bien mon amour ?... Puis plus bas : Je viendrais te rejoindre un peu .. toi .. la farine .. graou ..

Et son sourire charmeur pour sa femme, tentant de la convaincre , qui sait ce soir il aurait la surprise de gouter le plus delicieux gateau qui soit .

Constance_d.orsenac
"Auprès de mon blond, qu'il fait bon, fait bon, fait bon.. auprès de mon blond, qu'il fait bon dormir." Voilà ce que chantonnait la jeune épouse assise sur un tabouret, les cheveux au vent, et oui diantre, elle ne les avait pas attachés malgré son statut d'épouse et de mère. Mais que diable, ils étaient sur un bateau, en pleine mer pour un long voyage, et entre amis. Pas de réception à l'horizon, pas de tenue correcte exigée, pas de "faut se faire bien voir", ici tout était au naturel et à la joie de vivre. Un peu de légèreté n'a jamais fait de mal.
Donc l'Orsenac Louveterie était assise sur son tabouret à chantonner, la tête de son époux reposant sur ses genoux, les mains caressant et se perdant dans sa belle chevelure blonde. Il avait vraiment de beaux cheveux pour un homme.. son homme. Un baiser déposé de temps à autre sur les lèvres aimées et quémandeuses. Il faisait beau, la mer était calme et le vent soufflait dans les voiles du bateau, les rapprochant petit à petit de leur destination finale. Bref le paradis en mer ! Qu'il faisait bon de voyager avec les Valmonte.
...Sauf quand la rousse avait décidé qu'il fallait préparer le repas... Réveil brutal.. la popote ! C'est pas qu'elle n'aimait pas cuisiner un peu, mais c'était différent là, ils étaient sur un bateau. Fallait faire avec ce qu'il y avait de disponible sur celui-ci.


Constance? nous avons du gibier encore et quelques légumes, tes douces mains et ton imagination fertile pourraient t'ils..... Nous préparer un diner convivial?

Enfin valait mieux que la blonde accepte sinon Sofio risquerait bien de leur ressortir ses doonut's verdis... Léger sourire, avant de poser un baiser sur les lèvres adorées.


MMmm oui il fait faim c'est vrai . M'amour tu sauras nous faire un festin ? et une tarte ? un gros gateau avec de la crème ... et des fruits , tu veux bien mon amour ?...

Arf... dur retour à la réalité. Et voilà que l'adorable époux s'y met aussi. Naméo ! ça va bien vous deux ? Pourtant la promesse lancée à voix basse par son époux lui donna soudain envie de se rendre immédiatement au coin cuisine... Quoi ? quoi ? quoi ? Ben oui, elle est complètement folle amoureuse, totalement éprise de son merveilleux époux. Repoussant la tête blonde de son Aimé pour se lever, il se retrouva cheveux aux vents. Ce qui donna une idée à la jeune femme en pensant aux rubans qu'elle confectionnait pour la future décoration du bateau.
Lui volant un dernier baiser en lançant à sa moitié un
"si tu me cherches, je serai en cuisine !!" laissant sous entendre un "t'as intérêt de venir m'embrasser". Puis elle partit direction la cale toujours en chantonnant afin de voir les vivres qui s'y trouvait.

Alors, alors... La blonde regardait ses trouvailles posées sur la table en chêne. Choux, carottes, navets, haricots blancs, oignons, ail, confit d'oie et de porc. Parfait ! Elle avait là tout ce qu'il fallait pour réaliser une garbure.

Elle entreprit tout d'abord la cuisson des haricots blancs dans une marmite avec de l'eau. Pendant cette cuisson, elle se mit à l'épluchage des légumes.
Toujours chantonnant elle prit une autre marmite plus grande cette fois dans laquelle elle mit les ingrédients nécessaires... confit d'oie et de porc, graisse d'oie, le chou vert coupé en julienne, les haricots blancs cuits aux 3/4, les navets, l'oignon haché, l'ail haché. Poivre et une petite poignée de sel.
Elle resta près de la marmite quelques instants pour mélanger un peu, des larmes pleins les yeux à cause de des oignons coupés précédemment.

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Morphey.de.valmonte



Quelque part en méditerranée, Mars MDCLXII

La fonction de Capitaine était chose ardue.
Il y avait le cap à maintenir et les quarts à assurer toutes les deux heures durant des mois et des mois de voyage, mais il devait aussi maintenir la cohérence à bord du navire et veiller à ce que chacun soit à son poste.
Et justement depuis qu'ils avaient quitté Montpellier, de Valmonte fulminait : il avait faim !
Et on le sait, ventre affamé n'a pas d'oreille, aussi, bien que Sofio eut tenté de calmer son époux, et de le détourner par des moyens d'elle seule connus, vint le jour où l'envie de manger fut la plus forte.
La nuit avait été agitée dans la cabine de commandement et l'estomac du capitaine hurlait d'une fringale peu commune lorsqu'il entra dans la cambuse. Constance avait été désignée maistre coq. Et c'est dans la cambuse qu'il la trouva, seule, à découper quatre légumes et touillait une mixture pour l'heure inodorante.
L'Impétueux avait encore à l'esprit les derniers mots de Sofio : "Ô ils sont amoureux ! Ils sont si mignons ! ". Si mignons ? Tu parles !!!! Il avait faim et n'aurait rien trouvé de plus mignon qu'un plat de lentilles au petit salé !

Il grimaça à l'idée de remonter travailler le ventre vide et fouilla jusqu'à dégoter une tranche de jambon, s'excusant d'un laconique : J'ai grand faim !

Avant d'ajouter :

- Alexandrie est en vue. Viens profiter de l'approche sur le pont !

Et sans même vérifier qu'elle obéirait à l'injonction de son Capitaine, il quitta la cambuse en coup de vent force 10 sur l'échelle de Beaufort.


- Sofio ? Faites réunir l'équipage sur le pont, immédiatement.


Mains derrière le dos, il arpentait le pont arrière se délectant pour la énième fois de l'exotisme de cette ville aux portes du désert.


* Edit à la demande de LJD Constance
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Dict l'Impétueux
Max_de_la_louveterie


Sa blonde à peine partie, et le monde semblait dépeuplé, pourtant c'etait pour la bonne cause, mais etre éloigné d'elle quelques minutes, et le Maximilian devenait triste à en battre les blés . Il resta un moment allongé sur les cordages réfléchissant à bien des choses, avant qu'un bâillement ne finisse par le faire se lever . Il agit etrangement ? mais non c'est naturel ! . Il lui fallait aller s'appreter pour faire honneur à sa blonde toujours si parfaite, meme avec les mains dans la tambouille .

Un regard aux uns et aux autres, tout le monde s'affairait sur le ponton, une petite lueur dans le regard, Sofio et Morphey toujours très serieux , Laure qui apparaissait, ce moment parfait pour prendre une grande inspiration de cet air pur et loin du vice des hommes. Ici tout etait si vrai . D'un signe de main il désigna a Sofio sa cabine ou il irait se changer, mais avant tout cela un petit tour en cuisine .

Sa blonde pleurait . Dans d'autres circonstances, il se serait precipité vers elle, la consolant, et toussa, mais vu l'odeur forte d'oignon se dégageant de la pièce, il avait trouvé le coupable . Les bras croisés, accoudés a l'encadrure de la porte, il observait son épouse qu'il aimait tant.


Ne pleure pas mon Amour, je suis sur qu'il reviendra.

Ca c'etait lui, toujours a plaisanter , enfin sauf quand on l'enervait, mais la, il n'avait aucune raison de l'etre. Nerveux peut-etre, mais cela est une autre histoire. Un sourire taquin venant embrasser son petit cuistot a lui, glissant ses bras autour de la taille encore fin de Constance malgré une future nouvelle maternité qui venait de s'annoncer a eux

Graou tu es à croquer !

Joignant le geste à la parole, il vient grignoter un peu son cou, mais non il ne devait pas craquer ! le repas n'attendrait pas et nul doute que les capitaines non plus .

Je vais rejoindre ma cabine mon coeur, et passer un vetement plus confortable pour ce soir. Il fait faim la haut, j'espère que tu as bientot fini.

Le gargouillis du ventre finit de cloturer ce petit discours . Son regard posé sur elle dans le genre "tu vois je ne mens pas"Je vais te laisser te concentrer on se rejoint sur le ponton a moins que .. je repasse après te dire combien tu es .. craquante !

Un dernier baiser et il partit aussi rapidement qu'il etait arrivé. Dans la cabine il revetit un vetement digne de ce nom, c'est pas le tout, mais quand on est le plus charmant marié à la plus belle, faut tenir son rang ! Des voix semblaient s'elever un peu plus loin, . Ca allait chauffer !

Sofio
Tout comme prévu, Constance avait cédé face aux demandes insistantes, surtout celle de son époux. En cuisine à présent, il n'y avait plus qu'a....

Adieu veaux, vaches et poulet...

De retour sur le pont du navire, elle croisa son époux qui semblait être dans ses mauvais jours, l'attrait d'une promesse dinatoire devait le rendre impatient. Mais ce qui devait suivre allait forcement encore retarder ripaille.

Quelques mots chuchotés à son oreille devait lui permettre de saisir la situation, attirer Constance sur ce pont, il savait s'y prendre, celle ci allait surement se demander à quelle sauce elle sera mangée.

Elle chercha Maximilian , tout en recrutant les personnes du navire, Laure se devait d'être présente, elle la trouverait forcément en train de compter ses dentelles.

Sur le pont à présent, il ne restait plus qu'a attendre les intéressés.

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Constance_d.orsenac
Toute à sa popote, la blonde aux yeux rougis penchée au dessus de la mixture ne remarqua même pas le passage rapide de Morphey, trop concentrée à touiller dans le chaudron. Un délicieux fumé commençait à s'en échapper doucement, cela lui mettait l'eau à la bouche.
Puis l'arrivée de son époux d'amour lui fit monter le rouge aux joues. Ben oui, il avait toujours cet effet là sur elle, et la voici qui se retrouve prisonnière volontaire des bras de son blond..
Qu'est-ce qu'il est beau, qu'est-ce qu'elle est chanceuse la Constance, qu'est-ce qu'elle l'aime.. Elle ferait tout pour lui. Sauf que pour le moment il lui fallait finir de préparer le repas pour Lui, mais également pour les autres. Pfff qu'elle idée d'avoir accepter de préparer le repas.. Bon, même si elle avait été désignée d'office.


Tu sais quoi ? Je te préfère sans vestures qu'avec... Petit sourire coquin à son époux avant de lui voler un baiser et qu'il l'abandonne là avec ses cuillères en bois, louches, marmites et chaudrons.

Après le départ de son époux, la belle blonde laissa sa garbure mijoter dans le chaudron et prit quelques mesures de farine dans un sac, du beurre de la jatte, une pincée de sel et commença à faire sa pâte rajoutant de temps à autre de l'eau pour préparer une bonne tarte. La pâte prête, elle s'apprêtait à étaler de la farine sur son plan de travail lorsqu'elle entendit la voix tonitruante de Morphey s'élevait sur le pont et résonner dans l'antre de la Cambuse... Ce qui la fit sursauter et elle se retrouva éclaboussée de cette poudre blanche malgré le drap dont elle s'était enveloppée afin de protéger sa belle robe...


Berdoool !

Elle laissa là sa préparation et remonta en rougnassant d'avoir sali sa robe à cause de Morphey, elle n'avait pas prévu des malles et des malles de vestures ne voulant pas surcharger le bateau.
Arrivée sur le pont, elle croisa les bras en attendant les autres, sa robe couverte de taches de farine.

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Max_de_la_louveterie


Pendant ce temps

Bon sang tu vas te fermer espèce de braies à la noix
*le reste est censuré pour les oreilles sensible*

Non il n'avait pas grossis, ni fortifié depuis des mois, non il ne se gavait pas en meme temps que son epouse pendant qu'elle etait enceinte, il etait beau, il etait frais, il etait .. Max . Bon après cette éloge des plus véridique, .. ou pas, il fallait bien avouer que ses anciennes braies du dimanche ne lui allait plus trop . Heureusement qu'il en avait d'autres et que sa belle etait couturière , sinon il se promenerait NU au soleil, completement NU au soleil.** Meme si cela ne dérangerait pas Constance qui le preferait .. devetu.

Mais braies a moitié forcées, dur de les enlever ! Et on ressaute dans l'autre sens pour faire choir ce tissu a la mort moi le noeud, ca craque, ca craque et le Max se retrouve a terre dans un boum des plus caracteristiques d'un sac tombant de tout son saoul sur le parquet . Une jambe levée, l'autre sous le lit, un bras par ci et l'autre par la, un Max ronchonnant "je hais les vetements" pour enfin se depaitre de ses braies qui apprirent a voler en meme temps qu'a nager.

Soufflant sur une meche blonde lui barrant le visage, il reprit quelques instants pour se remettre de son terrible combat contre des braies vicieuses au possible . Puis un regard qui fait le tour de la chambre. personne en vue l'honneur est sauf ! La délicate voix de Morphey fit raisonnance dans les coursives. Il etait grand temps de se rendre sur le pont, meme si le Max tentait de faire cela depuis 10 minutes, mais nous dirons pour l'histoire qu'il venait juste de tenter .

Se relevant, il prit un des plus beaux costume que Constance lui avait fait, (d'autres viendraient après mais cela est une autre histoire) et y entra avec cette fois ci bien plus de facilité . Comme quoi, c'etait bien la faute des braies ! Puis la chemise, et enfin les bottes qu'il finit de passer en courant dans les coursives afin de rejoindre le ponton, Il ne fallait surtout pas etre en retard, ca vaudrait le coup d'oeil.

Le voici debarquant sur le ponton finissant de remettre sa chemise dans ses braies, sous le regard de sa blonde à qui il offrit un sourire toujours charmeur et charmé d'ailleurs, lui glissant a l'oreille "graou la farine* avant de rejoindre Sofio , se posant à ses cotés .La suite serait des plus interessantes sous le regard de l'equipage et de Morphey, co-maitre du Navire



**Brigitte Bardot,

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Sofio
A présent que le plan était ficelé à défaut du gigot que son époux espérait tant, la non diacre, se remémorait quelques phrases tant entendues dans les sacrements. En écartant celles qui faisaient bien trop conventionnelles, elle se récita mentalement quelques mots d'usage. Quand Constance débarqua, non pas à terre, mais sur le pont.

L'époux amoureux à ses cotés, fringuant comme si il devait mourir dans l'heure de quelques beaux vetements dont Laure devait en envier la texture. D'ailleurs ou était passée la belle mère ?

Un regard sur Constance et sa maculation blanchâtre en levant les yeux au ciel.


Diantre quelle tenue !


Bon , zou c'est l'heure, le moment est solennel, l'heure est grave. Voulez vous bien vous ranger? fin... vous tenir côte à côte , de ce coté ci du pont, la proue en arrière . Merci!

Si nous sommes réunis ce jour, sur le pont de l'Averne, en ce beau jour de printemps de l’année 1463. avec pour témoin l’immensité des flots, ce n'est pas pour un dernier hommage , mais c'est à la demande de Max.


Un regard vers les cabines, un autre vers les tourtereaux.

On attend encore du monde?
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Max_de_la_louveterie


Gniark gniark le plan était en place, plus question de reculer ! C'est que malgré sa belle gueule d'ange il etait totalement machiavelique le Maximilian . Surtout avec les surprises qu'il aimait faire pour son epouse . Bien que le plus souvent c'etait elle qui le surprenait, il etait temps la, de marquer un grand coup. Se redressant fièrement au compliment de Sofio, c'est vrai qu'il etait a tomber le Max, en tout modestie !!

Avec la complicité du Haut Commandement et des marins de l'Averne, tout c'etait emboité avec precision . Rentrant un peu le ventre pour tenter de reprendre son souffle, il observa avec tendresse son epouse qui semblait des plus circonspectes aux paroles de Sofio .A la question de cette dernière, il secoua simplement la tete

Les enfants arriveraient sans doute avec Laure, et tout le reste de l'equipage etait la, devant eux, en attente de ce qui allait suivre . et S'avancant vers son epouse,il posa un genoux a terre prenant les mains enfarinée de sa dulcinée entre les siennes. ca elle lui en voudrait peut-etre de ne pas lui avoir fait mettre une jolie robe, mais il prenait le risque. Il saurait bien vite comment lui faire oublier ce petit tracas .


Mon Amour pardonne moi pour ce vil complot . Comme tu remarques le navire s'est paré de ses rubans de fetes, nos capitaines sont la, et tout l'equipage aussi , nous avons vilement comploté afin de te faire partir du ponton et te retenir au loin .. Mon Amour, si nous sommes ici ce jour, ce n'est pas pour un repas, mais pour une cérémonie .

Cela fait maintenant quelques mois que nous sommes mariés et je vis un reve chaque jour à tes cotés . Tu es l'Ange de ma vie, mon Amour eternel, la mère de mes enfants, et je ne peux m'empecher vouloir te combler par tout les moyens possible . Je t'avais promis voici quelques mois, de faire ce pour quoi j'ai menti avec tant d’effrontément .. enfin menti .. pas menti, mais pas tout dit quoi .. Bref .. je t'avais promis qu'un jour nous renouvellerions nos voeux, et en voici l'occasion .. Acceptes tu mon Amour, ici sur ce ponton de renouveler nos voeux de mariage . ?


Tada , la question qui tue !
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Ldtdo
Attendez-moi… Attendez-MOI… ATTENDEZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZ…

Et une blonde qui arrive, essoufflée au possible, sur le pont du navire, pour sûr qu’elle a conservé sa fière allure… Vêtue d’une robe de velours vert, quelques pierreries minables, la coiffure qui tient comme par magie vu l’étendue de la complexité des liens… Glissant même quelques plumes d’autruche ou de mouette dans son chignon… Oui ben on fait avec les moyens du bord !! Zieutant les fanions qui volent purée les superbes rubans !!! Mission vol de ruban !!! Puis l’azur qui chavire vers la rousse et le capitaine… Mais sortent d’où leurs tenues eux !! Depuis qu’ils avaient quitté le port, la duchesse avait passé ses journées à la recherche de ses malles en vain… Au final elle en avait conclu qu’un garde meuble avait été loué et que ses robes n’étaient pas de la partie mais bien en France… En sécurité… Au final juste une avait atterrie dans la suite… Enfin la cabine… La couchette voilà de la blonde ! Celle contenant que très peu de robes de gout mais les autres…

Un sourire au marié puis à la mariée… Avant d’ajouter !

MERDUM !! Les enfants !!! Ne bougez pas ! ATTENDEZ-MOI !! Constance si tu réponds avant mon retour c’est simple je te déshérite !!

Et la voilà qui repart en relevant ses robes et jupons en direction du pont arrière… Elle avait zappé les gamins et les avait laissé seuls de l’autre côté... Si si surveillés… Par l’autre cruche là euh… Bref à ben non elle est de l’autre côté… Ben sont sages ses gamins … Espérant au fond qu’aucun des deux n’ai fait un plongeon !

HEY MERDE !!! ERMELINE !!! NON !!!!

Ni une ni deux voilà la blonde qui se jette au sol pour attraper la gamine qui voulait nager avec les requins et les autres « animaux »… Beurk sauter dans la mer mais t’es folle !

C’est degueulasse en plus les poissons baisent dedans* !! C’est pas moi qui le dis ! Mais en ma pauvre enfant ! Enguerand, viens voir Grand-Mère ! Viens ici ! Ici grrrr… fout le camp Plume tu me fatigues !!! Non Ermeline !!! WAAAAHHHHHH

Du coup, une envie, simple et rapide… Les jeter par-dessus bord ! Hop ni vu ni connu jt’embrouille… Les enfants ? Quels enfants ? AHHH Les enfants… Ben plouf ! Oui désolée faudra en refaire pas grave ! Et un éclat de rire à ce merveilleux fantasme…

Bon allez je vous tiens… Retournons voir vos parents, ils nous attendent… Bande de monstres !

Et de leur coller une bise sur la joue… Et de retourner vers la festivité !

Bon alors Constance t’attends quoi encore ?! On a la dalle !! On t‘écoute !

Citation:
* Renaud

_________________
Paim.
Quelque part en Poitou.

C'était bien noté sur ses tablettes, alors, Paimbohé, capitaine sans bateau, ne pouvait pas rater cette date.

Déjà, en vue de l'envoi en mer, il avait bien mis de côté, un de ses poissons volants qui lui servait de messager.
Ensuite, il avait contacté un peintre auquel il avait commandé un œuvre qui resterait, à coup sur, dans les mémoires des marchands de tableaux.



Celui là, pour facilité l'expédition n'aurait pas de cadre mais, comme l'ivresse dont la qualité ne dépend pas du flacon, ce n'est pas la moulure qui fait la peinture.
Sur un autre vélin, le marchand de poissons poilus inscrivit ces quelques mots.




De Moi, Paimbohé, Capitaine de la rouge charrette à poissons

A

Toi, Capitaine Morphey à bord de l'Arverne



Je t'ai apporté du poisson
Parce que les fleurs c'est périssable
Puis le poisson c'est tellement bon
Bien que les fleurs soient plus présentables
Même si l'poiscail donne des boutons
Je t'ai apporté du poisson

Reçois, pour ton anniversaire
D'un ami des plus sincères
Mes meilleurs vœux pour l'an à venir
Et mes plus beaux souvenirs
Alors avec cette p'tite chanson
Je t'ai apporté du poisson

Salue, de ma part, M'dame Sofio
Ainsi qu'les gens des équipages
Qui navigue sur ton rafiot
Tout ceux qui font parti du voyage
Et ils verront, à l'horizon
Que J't'ai apporté du poissons



Et en bas de la feuille, juste avant sa signature, Paimbohé rappela :



Encore bon anniversaire, l'Ami !


Toile et vélin furent roulés autours de la nageoire caudale de l'exocet qui après avoir pris son élan sur Le Clain s'envola en direction de L'Arverne. L'expéditeur espérait bien que le porteur garderait quelques écailles pour remplir sa mission d'estafette…
Et comme on se dit dans le milieu des poissons volants :

Estafette ?
Non, c'est mon anniversaire !
Constance_d.orsenac
La blonde Orsenac Louveterie vit son époux arriver finissant de s'habiller correctement. Qu'est-ce qu'il était craquant, beau... Et pas seulement parce qu'il portait une de ses créations, mais parce que c'était.. Lui. Son coeur fit un bond dans sa poitrine le voyant sourire, de ce sourire charmeur qui la faisait craquer et son murmure concernant la farine lui amena un léger rougissement aux joues... Souvenir, souvenir...

Ce qui fit passer sa déception du moment de ne pas avoir fini la tarte qu'elle préparait pour Lui faire plaisir. Puis il se plaça aux côtés de Sofio, qui déclara que le moment était solennel.. Tiens ? Maximilian allait être nommé Vice Capitaine ? Mousse en chef ? le plus beau de tous ?.. Bon ça elle le clamait déjà haut et fort..
Non ça y est ! Elle avait deviné ! Morphey ne disant mot, ils allaient subir le supplice de la planche !!! Puis une levée des azurs au ciel se rendant compte que cela était chose impossible vu son état, jamais son Ame n'aurait permis cela.

Que pouvaient-ils bien mijoter ? Il avait demandé quoi Maximilian ? Regard interrogatif à son blond tentant de lui transmettre par la pensée les questions qui lui passaient par la tête. Tout d'abord... Une question très explicite "gné ?".. puis "il se passe quoi ?" et "tu sais de quoi il en retourne ?" pour continuer avec "je fais mal à manger ?", et pour finir un sourire plus tard le dévisageant avec tendresse "tu sais que je t'aime ?".

Puis Il s'approcha d'elle, et elle vit son bel Epoux lui prendre ses mains enfarinées après avoir posé un genoux à terre.. Un rosissement se fit de nouveau visible sur les joues de la jeune amoureuse et elle remarqua alors les rubans qu'elle avait regardé sans les voir.
Au fur et à mesure qu'il parlait, ses yeux brillaient d'émotion. C'était donc un complot ? Tout cela pour qu'elle ne voit pas les préparatifs etc ?... Là pour une surprise, c'était une surprise, elle ne s'était doutée de rien la blonde.. pourtant elle était loin d'être bête, mais là, rien, elle n'avait rien vu.

Et à sa demande de renouveler leurs voeux ici dans ce cadre idyllique, son coeur fit un bond, battant la chamade à n'en plus finir, les azurs au bord de la noyade sous le coup de l'émotion, elle restait là, muette, sans voix, la tête dans les nuages, sur leur petit nuage de bonheur... Quand, une bouffée de chaleur et un sourire béat plus tard.... Sa Mère arriva en courant avec les deux petites terreurs dans les bras qui aimaient se faire les dents sur les tenues de leur ... mémé ? vieille branche ? ancêtre ? non bien sur que non... leur superbe et magnifique mère grand ! C'est qu'elle est belle sa mère à la Constance, belle et grande dame dont elle était tellement fière et voulait lui ressembler.
C'est connu, les pierreries et autres broderies sont parfaites pour se faire les dents.


"Bon alors Constance t’attends quoi encore ?! On a la dalle !! On t‘écoute !"

Retour à la réalité.. Regard amusé à sa mère.. Oui bon ce sera peut-être mémé en fait. On arrête de voler dans un océan de nuages tout... bleu, oui le rose elle n'aime pas trop. Et on redescend sur terre. Les azurs plongeant dans ceux de son Epoux, serrant fort ses mains, la blonde d'acquiescer vivement, sourire béat toujours au lèvres bien sur, murmurant : "Cachotier.."

Puis tirant un peu sur ses mains pour qu'il se relève, la jeune femme éperdument amoureuse dépose un doux baiser sur les carmines de son Aimé.

Bien sur, bien sur que je le veux. C'est un merveilleux cadeau, une superbe surprise.

Regard ému à sa mère et aux autres genre "vous avez vu comme il est merveilleux ?"
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Max_de_la_louveterie
Après la question qui tue, voici le silence qui tue . Ce silence beau mais loooong tellement long, cherie bon sang tu attends quoi pour dire oui, tu me fais peur, tu ne m'aimes plus c'est ca ? Tu me deteste ? tu veux divorcer ? Amour ? Mon Coeur, repond. Cherie mon Amour, repond. Constance depeche toi j'ai mal aux genoux et on ne fait pas attendre son epoux. Mais tu attend quoi ?? Cons...

Attendez-moi… Attendez-MOI… ATTENDEZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZ…

Quoi ?? Attendre ?? encore non mais ca va pas la Mamie ??? J'attend dejà depuis une minute, tu pousses mauricette dans les orties ! Et ils sont ou mes Morpions ?

MERDUM !! Les enfants !!! Ne bougez pas ! ATTENDEZ-MOI !! Constance si tu réponds avant mon retour c’est simple je te déshérite !!

Ah quand meme on pense aux Morpions ? Mamie indigne qui oublie ses petits enfants, c'est l'age, je vous le dis ! Un regard a Constance implorant On s'en fout des titres, "dis moi ouiiii Dis moi Ouiii ♪♫"**Et Mamie Gateau qui repart . Si jamais elle a laissé Ermeline avec ses robes elle etait bonne pour une cure de bave pour les prochaines semaines, c'est vrai quoi ce n'est pas un bateau 5 etoiles !

Et pendant ce temps il attendaiiiiiit . Mal aux genoux et ca tangue, . Tenant la main de sa femme , tentant de ne pas tomber d'un coté ou l'autre avant qu'en Messie Belle Maman ne reviennent avec leurs angelots . Temoins de leur union, qu'elle plus belle famille pouvait-il rever.

Et tout les regards se posent sur Constance, amusé par son ptit murmure, le sourcil levé, taquin à souhait. Il attends encore avant que Youpiii Hourraaaaa elle a dit re-oui !!Se relevant, il vient saisir doucement ses levres , rassuré, heureux, amoureux . Avant de se tourner fier comme tout vers Sofio, allez capitaine au travail !

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Sofio
Alors le pont, les mouettes, le ciel et la mère.... Le poisson volant aussi...

La mère, belle-mère, grand-mère et reine de son état dans une allure assez.... Rien que de le penser la ferait sortir de ses gonds!

Bon le ton était donné, la future était présente, alors que le marié s'impatientait .


Allons-y ! Gentes dames étudiants et étudiantes de Belr..... Matelots!
Si nous sommes réunis sur ce pont , ce jour, sain et sauf, d'esprit presque lucide, sauf pour celui qui s'est pris une cuite à la taverne hier soir et à laissé des traces! D'ailleurs, j'ai un doute sur le nom...


C’est pour célébrer le remariage de Constance et de Maximilian. Ni diacres, ni évêque en ce lieu, quoique voir surgir Ivrel des flots n'étonnerait personne... Mais j'officierais en ma qualité de Capitaine.

Que celui qui s'y oppose se lève aussitôt et prenne la planche ou se taise à tout jamais!

Cette demande faite par Max, le fut dans l'amour qui le porte, l'élève , le soutient, le rend si radieux pour sa douce, d'ailleurs ils dégoulinent parfois de miel et c'est irritant!
Un regard sur Laure, elle comprendra certainement....


La mariée sent le poisson, le marié la dévore des yeux, c'est l'amour . Celui qu'on ne connait qu'une fois dans sa vie, tant qu'on pense encore que Cupidon est bon, puis on se rend compte que l'amour ressemble à une étoile, déjà mort quand on peut le palper.


Maximilian? Constance? Voulez-vous échanger vos vœux et promesses à présent?

Oui Max venait de lui demander sa main en quelque sorte, toute façon elle n'allait pas dire non? si? non!

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