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[RP] En salle du trône, on ne gît pas!

Zezinho
~~ Ellipse temporelle ~~


Les jours ont passé. Les savoyards, après quelques intéressantes péripéties qui s'étaient bien terminées, chez eux rentrés.
Mais le Duc Ardarin von Habsbourg, le Porte Parole Zé, et l'ensemble des élus ducaux demeuraient à la disposition de la communauté en ces lieux. Il suffisait de demander, et donc de venir causer !
Alors, à l'entrée de la salle du trône, afin que d'éventuels curieux mais qui n'osaient pas, osent franchir le pas, le Bavard s'écria, dans un large sourire communicatif :


Allez les lorrains, "viendez" ! "viendez" causer avec vos élus ! on ne va pas vous manger !
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_ Qui êtes-vous ?

_ Qui ? « Qui » n'est autre que la forme qui résulte de la fonction de « Qu'est-ce que », et ce que je suis c'est un homme sous un masque.
Stella_di_favara
[Charogne Escort'girl and Co']

C'est pas tout de laisser le Magnifique chez les moines.
Car oui tout homme normalement constitué ne résiste pas plus de 6 mois à la Charogne.
Certains parlent d'épuisement sexuel, d'autre de mort subite, parfois même, elle les ferai sécher au grenier avec les autres jambons de Milan.

Mais que faire pendant ce temps là?
Champagne terre devenue hostile et putride depuis que la Truie y est aux commandes.
Ne sachant même pas gérer ses propres mensonges.
Un refus viscéral pour la Sicilienne que de ployer le genou devant cette raclure de basse cour.
Des courtes "vacances" s'imposaient alors à elle.

Mais aller ou?
Ce n'est pas comme si, elle pouvait aller à l'autre bout du royaume...Le Magnifique se reposerai quelques jours, 15 à 21 jours tout au plus.
Puis ce froid, qui n’arrangeait en rien les périples.
Foutu bête à sang froid que la Charogne.

Puis, la Lorraine, mot doux glissé à ses oreilles par le Zé, Grand Khan de Crimée,enfonceur de portes devant l’Éternel...membre de son propre membre par excellence.
Pourquoi pas...Puis Yuni devait se faire Lorrainiser en plus.
D'une pierre de coup,la voilà à escorter le beau monde, incluant elle même, et à rendre visite, au Zé.
Rose blanche vissée à la chevelure, atours rouge sous l'épaisse armure de fer.
Rénato la suivant dans ses déplacements, les bras chargés de pâté de Truie,Truie sauvage, Truie domestique,Truie Ducale, de différents vins et raisins sous toutes formes de dégustation.
En compote, à croquer, à s'en flanquer sur la frimousse, bref du raisin en veux tu en voilà.
De quoi elle l'espère,faire quelques heureux.


C'est qu'elle venait d'entendre brailler au vent, la Sicilienne,approchant des portes ouvertes, la senestre sur le pommeau de sa spadone, c'est face au Zé qu'elle termine.
Manquant de le charogner au passage.


    Disgraziato!
    Zé!!!


Et de lui sourire malgré le fait qu'il lui ait coupé la marche. S'assurant de ne pas l'avoir trop bousculé, posant sa dextre sur son épaule.

S’inquiétant toute fois. Lui confiant au creux de l'oreille pendant qu'elle remettait en place l'atour du Grand Khan, le défroissant du plat de la main.

    Je ne suis pas Lorraine...je peux viendre quand même?

Zezinho
Le Bavard fut interrompu dans son élan communicatif.
Bam ! C'est-y-pas une Charogne qui venait de le percuter en pleine bi... face ?
Mais siiii ! c'était bien la mi-Champipi, mi-Siciliana que v'là !
Encore une femme de grande qualité qui par dessus tout était plus 'ouillue que la plupart des mecs des Royaumes qu'il avait croisé depuis des temps immémoriaux.

Son lobbying pro-lorraine commençait à porter ses fruits. Même si tout ceci prenait beaucoup de temps à mettre en place ("Rome ne s'est pas faite en un jour" ma pauv' Lucette), petit à petit les actifs futés comme Zé les aimait venaient faire un tour dans notre duché, histoire de tâter le pouls... avant de s’installer quand ils voient not' bit' pourfendant l'air de tous les cons dans le concert des na-tions.
Et ouais, ICI on se marre et on déconne sans limite, on envoie se faire voir au diable les boulets, qu'ils se prennent pour des grecs, ou autres, en attendant p'tèt d'en balancer certains du haut de la "roche tarpéienne" - si tant est que le Tout Puissant nous en laisse encore à exterminer après le passage de ses brasiers- ou pas.

Bousculé donc par une "masse d'arme" phénoménale, un caractère peut être plus fort encore que la légendaire Enorig, celle-ci le "remit en place" non sans le tripoter au passage ! Bien sûr, Zé se laissa faire, personne ne dira des lorrains qu'ils n'offrent pas leur "hospitalité" à une femme qui la réclame.
Bref, trêve de galéjade.

Fit un petit pas de chat en arrière, la salua et lui répondit :


Olà Stella a siciliana ! C'est un plaisir... percutant que de te voir ici. Évidemment, tous les gens remarquables des royaumes, tous les amis de la Lorraine sont acceptés les bras ouverts et traités comme dé véritables lorrains en ces terres, tout le temps, au moins, où Ardarin et moi-même serons dans les parages.

La regarda avec un petit regard et sourire charmeur digne d'un geai moqueur, puis :

Je t'en prie, n'hésites pas à venir voir et parler à notre Duc, je suis certain qu'il se fera un plaisir de te recevoir.

Petit clin d’œil.
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_ Qui êtes-vous ?

_ Qui ? « Qui » n'est autre que la forme qui résulte de la fonction de « Qu'est-ce que », et ce que je suis c'est un homme sous un masque.
Zezinho
Quel dommage il semblait y avoir plus de savoyards et de Champi-pi actifs en gargote que de lorrains d'origine... mais tant pis ! détermination toujours à fond ! Provocation pour réaction ? miam.

Allez, allez ! venez échanger et poser vos questions à vos élus ducaux ! Vous êtes en Lorraine, ici la liberté d'opinion et d'expression est garantie comme un droit fondamental inaliénable !
Même que si ça vous dit on pourra disserter et se marrer à propos du, je cite : "vieux tromblon usé" et l'engeance d'incapables aux esprits corrompus autour d'elle qui ne supporte pas la critique, mais prétend commander à l'intérieur de notre État.

Ici, si certes tout n'est pas permis, en revanche parler de tout, c'est FREE.

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_ Qui êtes-vous ?

_ Qui ? « Qui » n'est autre que la forme qui résulte de la fonction de « Qu'est-ce que », et ce que je suis c'est un homme sous un masque.
Stella_di_favara
[ Aparté avec le Grand Khan]

Remarquant son geste, prenant conscience qu'elle était entrain de l'ajuster comme une épouse ajusterai son époux avant qu'il ne parte au labeur,la Sicilienne se figea un instant, posant son regard sur cette main bien trop familière et décida que de la poser nonchalamment sur sa hanche ferai passer le geste pour inaperçu.

Olà Stella a siciliana ! C'est un plaisir... percutant que de te voir ici. Évidemment, tous les gens remarquables des royaumes, tous les amis de la Lorraine sont acceptés les bras ouverts et traités comme dé véritables lorrains en ces terres, tout le temps, au moins, où Ardarin et moi-même serons dans les parages.

Je t'en prie, n'hésites pas à venir voir et parler à notre Duc, je suis certain qu'il se fera un plaisir de te recevoir.

Dans ce cas mon ami, je te remercie encore pour cet accueil et vais de ce pas saluer sa Grasce.

Ajoutant sur le ton de la confidence.

De plus j'ai de quoi le remplumer un peu...c'est que ça manque de viande.

Désignant d'un léger mouvement de la tête le Duc qui trônait fièrement.

[Direction le Régnant]

Se redressant, ajustant d'un mouvement de la main sa longue chevelure indomptable.
Puis tournant au trois quart son visage, comme pour regarder en arrière.
Geste qui indiquait à Renato qu'il y allait avoir du mouvement.
Marmonnant entre les dents.


Andiamo*

Son regard perçant se posant à nouveau sur Zézinho, se voulant remerciant et respectueux.
Elle n'y ajoutera pas la parole.
Ce n'est pas là le fort de la Sicilienne.
Et la voilà en marche vers le trône Ducal, ses yeux glissant sur le décor de la pièce.
Découvrant certaines subtilités, retenant certains détails plaisant, avant de finir sa course sur le Régnant.


Ainsi posté devant lui, Rénato non loin d'elle les bras encore chargés.
Elle esquisse un sourire franc avant de s'incliner dans un bruit métallique -oui l'armure-
sa senestre sur le pommeau de sa Spadone, sa lourde cape venant glisser pour recouvrir l'épaule gauche.
Ajoutant cette fois la parole au geste.


Vostre Grasce.
Il est un honneur pour moi que de me présenter à vous en ce jour.


Et de se redresser, ouvrant son bras droit vers un Rénato bien trop silencieux.


Voici pour vous et vostre conseil quelques mets et boissons de Champagne.
En espérant que tout ceci ravira vos palais.


Posant à nouveau son regard sur celui du régnant, espérant qu'elle n'ait pas trop écorché le protocole.
La Diplomatie... chose que Stella ne maîtrisera jamais.



*Allons y
Ardarin
Le Duc se leva pour accueillir la visiteuse champenoise à bras ouverts.

Mieux que l'or, les joyaux et les blasons multicolores, c'est bien le boire et le manger qui ravissent un vrai Lorrain! Il fit une aparté en prenant faussement l'air de réfléchir. Cela dit une catapulte, un poney, un nain et une cible vicomtoise auraient été des plus agréables également... Mais peut importe!

Le plaisir sera plus grand si vous êtes à notre tablée pour les partager! J'espère donc vous voir à notre table ce soir pour partager cela à l'heure du souper!

Mais avant cela parlons peu mais parlons bien. Que nous vaut le plaisir de votre visite?


Et il se rassit, tout sourire pour la dame.
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Stella...
[Après quelques longues semaines, voici qu'elle honore enfin de sa présence...]

Salle des doléances ouvertes, elle avait beau eut se dire depuis au moins cinq bonnes semaines qu'il fallait qu'elle s'y rende pour parler Contrat avec le Duc, elle n'en fit rien ! Entre la surcharge de travail qu'il lui demandait, la Mairie à gérer, le temps passé à échanger avec les Ritaliens sur les prochaines Impériales, elle n'avait plus eut une minute à elle, ni même pour son petit ange. Chose qu'elle comptait remédier désormais étant donné qu'elle n'avait plus en charge la Mairie. Non pas que son temps de disponibilité allait être considérable mais au moins le temps qu'elle considérait à Vaudémont, elle pourrait le considérer ailleurs, pour aider Vaudémont à ses heures perdues, mais aussi pour rendre e-n-f-i-n visite au Duc. C'était pas tout de bosser pour lui, mais elle avait quoi en échange ? Car là, c'était plus de deux mois d'exploitation gratuite qu'elle venait de faire ! Et ça ! Ca allait se payer cher surtout si vous y ajoutez les majorations !

[Si elle avait su, elle serait venue un autre jour !]

Se dirigeant d'un pas assuré vers le lieu de réception avec un vélin dans sa besace, elle songea au comment elle allait aborder le sujet. Le tout c'était de ne pas entrer comme une furie en se disant qu'après tous ces mois, IL aurait pu, LUI, prendre quelques minutes pour venir la voir et parler négociations. Après tout, l'on sait tous que les Régnants mènent une vie de Pacha sur leur joli fauteuil doré et que ce sont les Conseillers qui fournissent les travaux en question ! Bouh quel vilain cliché ! Quoiqu'il en fut, une fois devant les grandes portes, elle inspira un bon coup et entra.

A peine ses jolis escarpins posés sur le sol de l'autre côté du seuil, qu'elle nota qu'il y avait là bien trop de monde à son goût. Bon c'était pas la foule non plus, mais pour une fois elle aurait aimé s'entretenir en privé avec Sa Gracieuse Vilainie. Parler de Contrat et Négociations ne regardait personne si ce n'est Elle et Lui. Sauf que là, ben il y avait Mossieur le Cureton et, à entendre cet accent bien familier de la blonde au fond, sa collègue de travail ritalienne surnommée La Charogne. Bon ça allait encore, puis avec un peu de chance, une fois la requête de la sicilienne entendue, elle s'en irait avec le Porte-Parole au confessionnal pour parler d'autres choses plus secrètes !

Mains qui devenaient légèrement moites, la démarche un peu moins assurée mais toujours gracieuse, elle s'avança lentement vers les trois interlocuteurs et si elle se voulait discrète sur le moment, ses pas raisonnèrent dans l'immensité de la pièce. Dans d'autres circonstances, avec un peu plus de monde, pour sûre ses pommettes se seraient mises à rougir mais là, c'était juste un peu de rose qui vint teinter ses joues, et lui donner bonne mine au passage, une fois qu'elle arriva à leur hauteur.

Regard aussi vif que furtif qui se porta sur ceux en train de converser, puis sur le Mari de la Lorraine, elle décida de ne pas déranger la conversation en cours et salua le Conseiller délaissé se disant qu'elle aura tout le temps ensuite de saluer et discuter avec les autres.

Bien le Bon Jour Monseigneur Zé ! Comment allez-vous ?
Je note qu'il n'y a pas foule en ces lieux, c'est bon présage en ce qui concerne le mandat de Notre Duc.


Elle espérait ne pas être la seule à venir "râler". Parce qu'en plus de son statut de Pestouille, elle prendrait celui de Chieuse en prime. Que c'était moche d'être une Etoile parfois. Elle veillait régulièrement sur le bien des autres, mais qui veillait sur elle pendant ce temps là ! Personne ! A défaut de cela, on l'exploitait à sa juste grandeur ! Elle était-y pas belle la vie stellaire !!!
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Stella.di.favara
[ La Légende! ]

Alors qu'il se levait, ouvrant grand les bras, la Charogne de sa petite envergure comprit plusieurs choses. Fin en déduit certaines.

De un : A ouvrir ainsi les bras, voulait il un gros câlin Charognien? Non pas que ça la dérange. Mais elle ne sait pas faire. La douceur et le réconfort c'est pour les mômes. Et comme elle n'en a pas...

De deux: Il n'est pas si frêle qu'elle le devinait. Non il n'est pas gras comme un moine non plus. Mais il rentre dans la catégorie : bel animal.

Troisièmement: Bon sang! Il est hors d'âge!
Mais, il paraît que c'est dans les vieux pots qu'on fait la meilleure souplette. Puis si ça ne dérange pas la promise, soupirante, fiancée...

Alors hésitant entre s'approcher pour tenter un câlin réconfortant et rester figée.
Le minois de la Sicilienne pourtant froid, se fendit d'un large sourire aux paroles ducales.
L'écoutant avec toute attention.
Continuant de l'observer comme si elle cherchait à percer ses secrets.
Pour le coup restant sur place.


Ainsi, elle acquiesça quand il posa son offre.
Et déjà le moment de répondre à THE questions.


C'est que la Sicilienne n'est pas de nature bavarde. Mais quand il le fallait...elle affiche alors un minois des plus sérieux et répond sur un ton posé.
S'éclaircissant la voix avant de commencer sa tirade.


    Il se dit, par delà vos frontières, en pays Champenois, qu'ici en Lorraine, siège un régnant beau comme un Dieu, rayonnant comme le soleil, charismatique... et qu'en plus d'exceller dans ce qu'il fait,serai capable de faire chavirer le cœur des femmes.
    Je suis une femme d'action et de terrain, il me fallait le voir par moi même.


Alors que sa dextre argumente son récit, cette dernière vient à se poser sur sa hanche dans un bruit métallique, et déjà le sérieux s'envole.
Le regard scrutant,des fois qu'une horde de groupie, soupirantes ou pire l'épouse du Duc n'en vienne à vouloir pourfendre la Charogne pour ses paroles.
Mettant fin à cette boutade, elle ajoute.


    Non, je suis venue sur invitation de nostre cher Zé, j'ai aussi aidé ma chère amie Yunab à se rendre en vos terres.
    Et je me suis dis qu'il aurai été impoli de ma part que de ne pas vous saluer.
    Toutefois j'accepte avec grand plaisir vostre invitation à souper.
    Si elle est encore d'actualité.


Alors que son regard est toujours posé sur le sien,l'oreille se tend et perçoit une voix presque "chantante", un sourire se dessine à nouveau.
Puis reprend.


    Vostre Grasce, je crois que vous êtes demandé.
Zezinho
Zé s'était contenté d'un sourire entendu avec La Charogne. Clair que toutes les bonnes volontés, d'où qu'elles viennent, étaient les bienvenues en Lorraine. Mieux ! encouragées.
Lorraine est Mère de Tolérance, de culture et de protection de la pluralité des opinions... et plus prosaïquement la viandasse à miamer est également bien reçue, uhuh !
~~~~~~~~~
Puis, plus tard, c'est une autre Stella qui débarqua, bien qu'à sa connaissance ces deux là n'avaient aucun lien de parenté entre elles.
Bien qu'ayant fait un mandat de Maire, elle avait été discrète depuis son arrivée en nos Terres. Et voilà que celle-ci débarquait dans la salle du trône, en donnant du "Monseigneur" à Zé, rien de moins ! Avait-elle fumé un truc pas net ? ou l'avait-elle confondu avec quelqu'un d'autre ?
Néanmoins, passées quelques secondes de surprise, le temps que l'esprit du Bavard reprenne le dessus, celui-ci lui répondit :


Bien bon le jour... Stella de la "Vieille Maison". Je vous remercie de vous enquérir de ma santé, celle-ci se porte aussi bien que faire se peut à ma connaissance. Et vous-même, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes ?

Puis :

Pour ma part, je trouve que le silence dans un duché, est un signal de dépopulation, de je-m'en-foutisme, d’abattement face aux tyrans stupides et autistes qui s'imaginent pouvoir commander par diktat la Lorraine depuis l'extérieur. Adoncques, l'écho du silence, raisonne avec la mort. Et la mort annoncée pour notre duché après tant d'années de laisser-aller, c'est exactement ce que nous essayons de combattre pour la sauver. Car sans Lorraine, point de salvation.
Mais je vous rassure, je devine ce que vous vouliez dire... pas de critique proférée, donc on en déduit logiquement le contentement populaire vis à vis des actions politiques de notre légendaire Duc élu 4 fois de suite, Ardarin.


Après un petit silence :

Notez enfin, qu'il vous est loisible de simplement m'appeler par mon surnom, Zé.
Je ne suis qu'un humble vétéran de ce vaudeville que sont les Royaumes, identifié comme le vilain ou le vertueux en fonction des vicissitudes et des nécessités de la vie politique occidentale.


Et enfin, taquin :

Mais si vous désirez de votre derechef me donner du "Mon Seigneur"... et bien, soit ! il n'y a dans ce duché aucune loi pour vous empêcher de vous exprimer librement. Je suppose alors qu'afin de vous remercier de cette courtoisie, je me verrais en position de vous con-fesser, n'est-il pas ?

Ne put s'empêcher de sourire.

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_ Qui êtes-vous ?

_ Qui ? « Qui » n'est autre que la forme qui résulte de la fonction de « Qu'est-ce que », et ce que je suis c'est un homme sous un masque.
Stella...
S'il y avait bien quelques chose qu'elle aimait faire, c'était jouer à la flatterie avec les hommes. On savait tous que ledit "sexe fort" s'emballait dès qu'une ou plusieurs jolies dames s'intéressaient à lui. Et quand bien même elle ne connaissait que très peu personnellement le Zé, elle avait légèrement entendu parler de son amour pour la Lorraine et de l'appréciation qu'il avait pour la femme sauf exception de certains cas.

Alors que la Pestouille commença son élocution de manière plutôt taquine, très vite elle manqua de s'étouffer en écoutant les premières paroles de son interlocuteur. S'il y avait bien une chose qui déplaisait aux femmes et surtout à l'Etoile c'était que l'on parle de ses jolies rondeurs et surtout de son âge. Et en cherchant à traduire son patronyme voilà pas qu'indirectement il insinuait qu'elle était vieille ! Nomého !!! Il n'y avait rien de plus frais... ou presque... que la Pestouille et elle comptait bien le lui faire entendre.

S'apprêtant à rétorquer à ses propos, il reprit la parole et c'est attentive et la bouche scellée qu'elle l'écouta. Ses paroles avaient du vrai et pourtant elle n'était guère totalement d'accord avec lui. Il est clair que la Lorraine était un Duché mort, mais comme dans toutes contrées quelles qu'elles soient, vivantes ou mortes, il y avait toujours deux ou trois boulets pour contredire, se plaindre et faire chier leur monde et surtout le Duc. Pourtant là, depuis son arrivée, elle n'avait entendu aucun mal sur le Von Hasbourg en question. Et c'était ça qu'elle voulait qu'on retienne. Le reste, tout le monde y mettait un peu du sien pour réanimer le Duché, mais il était bien plus facile de le dire que de le faire.
Sacrée politique, elle n'était pas de tout repos et ça, elle le savait mieux que quiconque pour avoir habité et visité plusieurs endroits. Cela dit, en Lorraine c'était encore particulier. Ils avaient des idées, de l'ambition et cela lui plaisait. Bien pour cela qu'elle avait répondu positivement à l'offre d'emploi dont elle était venue parler ce jour avec le Duc.

Et alors qu'elle buvait ses paroles et tenta au passage de trouver un moyen pour redynamiser le Duché, il mentionna son surnom. Au premier abord, elle crut qu'il n'appréciait guère le fait d'être appelé Monseigneur (ou Mon Seigneur) mais quand elle nota son sourire taquin, ce qu'elle pensa dès le début se confirma surtout lorsqu'il parla de Con-fesse, et le jeu de la flatterie pouvait donc reprendre puisque oui, elle comptait bien l'appeler ainsi au moins jusqu'à son entrevue avec le Duc.

Mon cher Seigneur, tout allait bien et dans le meilleur des mondes jusqu'à il y a cinq minutes. J'ai cru manquer d'air en écoutant une certaine traduction, qui plus est... incorrecte. Il va de soi que l'italien n'est pas votre fort et c'est pour cela que je vous pardonne presque, mais en aucun Casaviecchi signifie "Vieille Maison" !

Elle aurait bien rajouter un "la prochaine fois que vous me dites ça, je vous étripe !" mais elle se retint et continua :

Pour en revenir à vos propos concernant la tranquillité des mandats de notre Duc, je plussoie... Mais bon, vous savez comme moi, qu'une contrée fusse-t-elle habitée ou dépeuplée, possède toujours en son sein des crétins qui trouvent toujours à redire. Je suis sûre que par chez nous nous en avons aussi et pourtant, je n'ai entendu aucun mauvais écho sur notre Duc si ce n'est qu'il a des idées extravagantes. Ce qui n'est point mauvaises choses en ce qui me concerne bien au contraire.

Regard et oreille discrète sur la conversation qui se déroulait à côté et elle reprit :

Monseigneur, si je puis aider dans les missions du Duc Ardarin, soyez certain que ce sera avec plaisir. A noter que ma présence ici n'est pas due au hasard et la discrétion dans mon travail ne signifie pas que je me tourne les pouces. Je crois qu'une bonne partie de ma première mission est remplie, ne reste qu'à remplir les autres tout aussi dignement.

Et voilà qu'à son tour elle sourit mutine :

Enfin, vous l'avez dit vous même, je suis libre de m'exprimer comme je l'entends... Bien que votre surnom vous sied à merveille, à mon oreille cela provoque des pensées étranges... Puis, Mon Seigneur vous va si bien même si vous n'êtes qu'un humble habitant au service de la Lorraine et des Royaumes. Tutut, je maintiens de vous surnommer comme ça ! Pour ce qui est de votre proposition, dites moi l'heure et l'endroit, ma foi, je crois bien avoir besoin d'une petite Confesse ! Cela fait une éternité que je ne me suis confier à personne ! Reste à savoir si vous êtes une personne de confiance... Après tout... Je ne vous connais pas...

Pas folle la Witternesse ! Elle avait réussi à détourner ses propos pas Saints du tout par d'autres plus Sains en l'occurrence ! La Con-Fession tiendra-t-elle toujours pour le coup ? Elle allait vite le savoir...
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Zezinho
Il écouta sa réponse religieusement. Tourna le regard vers le Duc pour vérifier où est-ce qu'il en était de son entrevue avec la Charogne. Puis il reprit :

Écoutez, que vous vous soyez trompée sur un "i" dans votre nom ou que je puisse glisser sur lui, c'est un peu comme vouloir criser sur le nom de la charge suprême d'une institution : il faut savoir lâcher du leste, personne n'en mourra, je crois ! J'admets en revanche bien volontiers que si du sang latin coule dans mes veines, celui-ci ne provient pas de la péninsule italique mais bien ibérique. Je n'ai presque logiquement jamais testé les nuances italiennes de la langue, mais je gage que vous vous ferez fort de démontrer votre dextérité en la matière, n'est-il pas ?

Sourit de sa bêtise, puis au chapitre de la dénomination :

A votre bon plaisir ! appelez moi comme vous voulez après tout, je ne me formalise guère du protocole. Pour moi ce n'est que de la branlette intellectuelle. Et la branlette intellectuelle, si elle dispose d'un certain charme, tout comme les querelles byzantines si prisées depuis toujours en ce duché par nos politicards, ne vaut néanmoins pas quelque con & fesses ; je vous tiendrai donc au courant en temps et en heures utiles afin que vous puissiez vous agenouiller devant mon "hôtel" : vous pourrez alors disposer de toute mon attention !

C'est à présent une mâchoire carnassière qu'il laissait deviner. C'est qu'il appréciait déconner pour désarçonner ses victimes féminines, le bougre !

Pour l'heure ne soyez point trop gourmande si vite, comprenez qu'en tant que Porte Parole icelieu, je suis au service du duché. Même si, certes ! la plupart des gens sont habitués aux PP qui ne font qu'écrire avec plus ou moins de bonheur certaines annonces de leur Duc, je ne suis pas tout à fait de cette espèce là, c'est le moins qu'on puisse dire...

Petit clin d'oeil

Et sachez que malgré l'emploi du temps d'Ardarin et la quantité halluuuuucinante de demandes de fans ou "d'enquêtes" plus ou moins folkloriques qu'il doit supporter de la part des sempiternels mange-cacas qui ne savent qu'étaler leur ignorance et leur intolérance crasses, au mépris du plus élémentaire instinct de survie - ne dit-on pas d'ailleurs qu'il "ne faut pas insulter l'avenir ?" surtout lorsqu'on se distribue des titres de prince-machin indus sur un territoire qui ne leur appartient pas ?- je suis sur que celui-ci pourra bientôt vous recevoir... Ma dame de la Vieille Maison, avec le "i" en moins.

Mouhahahaha. Il n'avait pas pu s'en empêcher, mais vu le potentiel de la "bête", ça restait tout de même gentillet.
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_ Qui êtes-vous ?

_ Qui ? « Qui » n'est autre que la forme qui résulte de la fonction de « Qu'est-ce que », et ce que je suis c'est un homme sous un masque.
Stella...
L'intonation de l'amusement était là ! Le Porte-Parole ducal avait la réplique et ce n'était guère pour déplaire à la ritalienne. Pour une fois, depuis longtemps, elle prenait plaisir à converser avec un... homme. Une Espèce qui l'intimidait et qu'elle craignait un peu en temps normal, sauf que là, il se dégageait dans la discussion une simplicité bien explicite qui la mettait en confiance. Bref, il reprit la parole et là, un sourcil se leva. Comment lui dire qu'elle avait déjà lâché du leste puisqu'elle ne l'avait pas encore étranglé sur place ? Et comment lui dire aussi, que c'était le "vieille" qui la gênait ? Un homme ne pouvait comprendre ! Bref, mieux valait ne point s'attarder sur ce sujet et s'intéresser davantage aux propositions qu'il lui soumettait implicitement.

Mon humble Seigneur, je n'ai pas choisi mon patronyme alors ce "i" en plus je n'y suis pour rien. Quoiqu'il en soit, puisqu'il est présent, et que cela ne veut rien dire, nommez moi juste Stella ça fera l'affaire, je vous assure ! Après, loin de moi de criser pour si peu voyons, il est évident qu'après quelques leçons de langue, vous en ressortirez presque aussi doué que je ne le suis et jamais plus vous ne commettrez cette erreur !

A cette pensée, elle sourit, car si la Confesse se devait être gratuite, les cours à venir, eux, allaient être payants !
Et si elle ne perdait pas le Nord, son futur Cureton et Con-Fesseur attitré, non plus ! D'ailleurs, les propos qu'il tint la firent légèrement rougir et pour si peu la mirent quelque peu mal à l'aise un instant. Mais non, il fallait se reprendre et détourner ses paroles à son avantage à elle et non au sien...

Votre bonté et générosité mérite amplement votre surnom ! J'attendrai sagement vos disponibilités à savoir cependant que je ne suis pas du genre à m'agenouiller lors d'une Confesse. M'enfin, je ne doute pas que vous trouverez endroit plus propice que devant votre "Autel" pour ça. Un Con-fess-ionnal ça doit bien se trouver non ?

Sourire en coin, elle comptait bien lui montrer qu'il fallait bien plus pour la mettre mal à l'aise et surtout qu'elle n'était pas de ce genre soumise à poser genoux à terre à tout va... Elle continua naturellement :

Monseigneur, je suis à la fois surprise et émue de voir à quel point vous êtes préoccupé par mes potentiels péchés. Ne vous inquiétez point plus, j'arrive encore à contrôler ma gourmandise et toutes les pulsions qu'elle peut provoquer parfois...
Ne vous donnez donc pas plus de travail que vous en avez déjà en tant que Conseiller Bavard !

Petit tirage de langue, parce qu'il le mérite bien, elle finit par reporter son regard sur le mentionné overbooké tout en écoutant son Vil Con-Fesseur. Il est clair que le Duc avait du travail en ce moment, surtout lorsqu'elle écoutait certains échos concernant une gente féminine sans cervelle et avide de pouvoir. Dommage qu'il ne faisait plus aussi froid pour allumer de grands bûchers. C'est lorsqu'elle entendit le "Vieille Maison" à nouveau qu'elle se mit à ronchonner :

Suffit oui ! Le "i" n'est pas en moins ! Il est en plus ! Grrr ! Je vais finir par sortir la cravache si vous continuez !

Consciente de ses dires, elle lui fit bien comprendre du regard que c'était pour son fessier à lui et non pas pour le sien. Nomého ! Puis, reportant son regard sur l'intéressé et reprenant un air légèrement amusé, elle finit par ajouter :

Sinon, pour en revenir à l'entrevue avec le Duc, je ne suis pas pressée. Cela a attendu plus de cinq semaines, quelques minutes ou heures en plus, je ne suis pas à cela prêt !


Il est un Bougre, elle est une Pestouille, pourtant le courant avait l'air de bien passer et ne pas faire trop d'étincelles ! Le temps de cette conversation, tout n'était qu'amusement ou presque, il se pouvait que la prochaine fois les palabres échangées soient bien plus sérieuses que cela...
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Zezinho
~~ Ellipse temporelle ~~



Le temps a passé. Le mandat de 6 mois du von Habsbourg s'était achevé dans la joie et la bonne humeur. La course au sauvetage de l'empire à travers l'élection impériale occupait désormais Ardarin.
Un nouveau Duc élu siégeait à présent sur le trône ducal de Lorraine : le bon Gertruden.
Un nouveau PP aussi, se tenait à sa droite, Yunab.
Pourquoi pas bibi ? bah c'est que le Bavard était occupé à de multiples endroits qui exigeaient toute son attention également. Ne pouvant pas être sur tous les fronts, et la politique nécessitant un renouvellement des visages et des personnalités, il était sain que les charges puissent tourner.
Mais le Zé, bien que n'ayant pas le temps d'agiter la gargote, n'en demeurait pour autant jamais très loin.
Comme la Lorraine recevait des invités exceptionnels depuis ce matin, venus délivrer en personne des précieux biens commerciaux, il trainait dans l'coin, à remettre un peu d'ordre.
Ma fois, avoir de l'influence, du pouvoir n'apportait que plus de travail et de responsabilités lorsque l'on essayait d'être un Homme d’État et non pas un pourri égocentrique : or pour rester humble il faut savoir mettre la main à la pâte.

"C'est un petit coup de balai que le Zé passait ohé ohé !"

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_ Qui êtes-vous ?

_ Qui ? « Qui » n'est autre que la forme qui résulte de la fonction de « Qu'est-ce que », et ce que je suis c'est un homme sous un masque.
Zelha
En passant par la Lorraine avec mes sabots
En passant par la Lorraine avec mes sabots
Rencontrai trois capitaines, avec mes sabots dondaine
Oh, oh, oh ! avec mes sabots


Car l'amitié était importante pour la rousse, il n’était pas question de venir à Toul sans passer voir Zezinho. Un homme qui malgré la distance entre leur pays croyait en elle et la soutenait. Il faut dire que Chlo avait parlé d'elle en sa faveur, vantant ses louanges chose qui la mettait mal à l'aise. Depuis le début elle n'avait pas l'impression de faire de grandes choses mais de rester logique et de soutenir au mieux les divers pôles économiques.
Grâce à Zezinho un nouveau pas était franchit pour le royaume. Le commerce avec son voisin la lorraine. Un commerce avantageux pour tous. Nullement une arnaque vu les prix proposés par les deux parties mais une volonté mutuelle de se rendre service et d’établir de bonnes relations sur la durée. C'est pourquoi la Grand Maitre de France avait décidé de venir en personne pour finaliser ce contrat.
Il n’était pas rare de la croiser par mont et par vaut mais c’était la première fois qu'elle sortait du royaume. En général on la trouvait plus facilement dans le domaine royal à prendre soin des provinces présentes sur les terres de la reyne mais depuis peu elle avait fait le tour du royaume apportant de l'aide concrète la ou il y avait besoin...Nostalgique elle repensait au Périgord au Poitou ou même au Languedoc à qui elle avait rendu visite peu de temps auparavant.
En fait elle passait son temps à découvrir les divers breuvages alcoolisés un peu partout mais chutt cela ne ferait pas sérieux de le dire haut et fort. Il est vrai que déguster les boissons divines était un passe temps agréable le soir avec ses amis après une dure journée de labeur : le champagne, le cidre de Normandie, le Montrecul de Bourgogne, le bordeaux...l'huile du Languedoc était plus utile pour les massages...Alors quand Chlo lui dit qu'il n'avait plus de mirabelle dans sa cave elle prit la décision d'en faire ramener quelques caisses ….une manière de joindre l'utile à l’agréable. Sûrement que son vieil ami Zezinho pourrait arranger cela.
Après s’être renseigné sur l'endroit ou le trouver elle décida de faire une petite ballade à pied profitant de la fraîcheur matinale. Il balayait, elle ne put s’empêchait d'esquisser un petit sourire en le voyant concentré à sa tache

Gertruden
Quelle heure était-il? Tôt, visiblement dans la matinée. Le Trichelieu n'était pas matinal, loin de là. Aussi, les réveils étaient assez compliqués, surtout lorsqu'il était amené à devoir goûter les nouveaux crus de mirabelle, et qu'il était tellement difficile de choisir lequel était le meilleur qu'il avait dû s'y reprendre à plusieurs fois... Mais le jeu en valait la chandelle, car c'était du lourd.

Le castel de Nancy était encore vide, enfin aussi vide que peut l'être une fourmilière juste avant le lever du sommeil : on entendait au loin les cuisiniers, les serviteurs, tous affairés depuis bien longtemps afin de préparer les repas et autres nécessités de la vie de château. L'avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt, dit le proverbe. Et bien ce n'est pas lui, qui préfère se contenter du moment présent!

C'est donc en robe de chambre, soulier de feutre, cheveux en vrac sous un bonnet de nuit, que le Duc de Lorraine se rendit dans la salle du trône, histoire de retrouver un page avec la liste des tâches à accomplir pour la journée. Mais que fut son étonnement de voir l'agent Z en train de balayer. Il l'avait envoyé faire pareille tâche de serviteur? Le Gertruden ne s'en souvenait pas, mais il ne se souvenait pas de toute sa soirée précédente... C'était un nouveau poste au Conseil Ducal, balayeur officiel? Non, il se souvenait qu'on lui avait confié les archives et la tenue de la bibliothèque, pas du ménage des sols du castel. Avec une voix rauque, un peu à la mode australopithèque, il le salua.


Bonjour messire Zé. Bien matinal tu es ce matin. Aurais-tu fait quelque chose qui me déplaise pour être obligé d'effectuer pareil tâche ingrate de si bonne heure?

Oui, il avait du mal à mettre les mots dans le bon ordre... Ses yeux parcoururent la salle. Mais c'est qu'il n'était pas seul le Zé! Arf, on ne pouvait pas dire qu'il était dans sa meilleure tenue pour accueillir une dame... Tant pis, ce qui est fait est fait, ou n'est plus à faire...

Euh... Le bonjour, Ma Dame. Il ne me semble pas avoir le plaisir de vous connaître. Gertruden Trichelieu, pour vous servir. Excusez ma tenue, je ne m'attendais pas à avoir des visiteurs au château de si bonne heure...

Et non, lui ce n'est pas : "Excusez ma tenue, je sors de la douche... Toute ressemblance avec un épisode de la vie réelle est tout à fait fortuite... ou pas...
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