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[RP] Le Bordel du Saint Abandon [venez tous, même en PNJ !]

--Donatien_
Pour sûr que la femme était une habituée ! Elle savait bien son rôle, et de devoir charmer la fille de joie excitait beaucoup Donatien, lui qui croyait qu'une catin se livrait directement. Elle gardait ses yeux fermés, acceptant écus, relation charnelle, paroles. Puis, elle ouvrit les yeux alors qu'elle venait de relever quelque peu sa chemise pour découvrir ses cuisses, et découvrir ses épaules.
Donatien donna alors un baiser sur chaque épaule découverte, caressant avec les mains les cuisses de la catin.


Ma douce, je m'ennuie terriblement tout seul. Tu sais, la vie d'homme seul n'est franchement pas drôle, quand la soirée débute. Alors que nos amis trouvent une couche occupée par leur femme, la mienne est désespérément vide.
Voilà longtemps que je rêve de vivre ce plaisir, et ce soir je me suis décidé. J'aimerais tant te faire partager mon envie de te voir contre moi. Je suis sûr que tu serai formidable pour me faire découvrir ce qu'est l'Amour.
Tu es mignonne avec juste les rondeurs qui seyant aux hommes, en un mot, la compagne idéale. Je serai ravi de t'expliquer tout cela dans un endroit tranquille, qu'en dis-tu ?


Il passa alors ses mains sur la poitrine de la catin. A travers la chemise, il sentit ses seins, ce qui lui provoqua un frémissement, puisque c'était la première fois qu'il en touchait. Il ne savait comment l'on accomplissait réellement le péché de luxure, aussi était-il disposé à suivre la fille de joie dans ses ébats.
--Ventrebleu
Alors qu'il offrait sa semence aux quatre vents, la rousse fit preuve d'une dextérité étonnante pour en récolter quelques onces. Plus étonnant encore était le procédé qu'elle employa. Jamais il n'aurait imaginé un tel usage du Livre des Vertus. Là encore il était partagé... Sacrilège ou simple hommage à la Création Divine ? Insulte au Livre Sacré ou acte de Foi ? Mais peu importait. Il secoua la tête pour chasser ces idées. Le moment de grâce n'était pas encore passé et il voulait profiter de chaque instant de ce plaisant instant.

Il restait là étendu, sans mot dire et sans bouger quand elle lui délivra ensuite un baragouin auquel il ne comprit goutte. Il n'eut pas le temps de réfléchir qu'elle se retrouva sitôt sur lui, reprenant son affaire. Jamais il n'eut imaginé que l'absolution fut un passade si doux ! Mais peut-être était-ce parce qu'elle était aussi exaltée dans son oeuvre que lui pouvait l'être dans ses déclamations théologiques. A chacun son art. Et là il découvrait certaines choses qu'il n'aurait pas cru possible. Et pour seuls commentaires sa gorge produisait de profonds grondements de satisfaction.

Mais l'heure était venue et la bougresse le rappela vite à la réalité en se relevant. Elle s'était révélée bien bonne comédienne, imitant le naturel avec grand talent. Point de poésie ni de philosophie, c'était un cours de chair qu'elle avait su lui donner, lui dont la sapience trouvait enfin une limite.

Nous découvrir d'avantage ? Mais nous ne saurions être plus nus que des vers... avança-t'il en se frottant les coudes qu'il s'était durement râpé dans l'action.

Le rire à gorge déployée qu'il reçut pour toute réponse lui intima de s'abstenir de tout commentaire supplémentaires. Il était des subtilités qu'il ne maîtrisait pas encore. Redressé il se rhabilla à son tour, sans parler ni même regarder la catin qui ajustait son corset. Il enfila chemise et braies et, obéissant aux usages en vigueur, il se saisit de sa bourse. Déliant les cordons qui maintenait le cuir il fit glisser quelques pièces usées dans la paume de sa main. Interrogatif sur le prix à payer, il leva la tête vers la fille.

Combien.... commença-t'il sans finir. La rouquine, décidément prompte à réagir, avait raflé d'un geste toute les piécettes qu'il avait présenté pour les faire disparaître enter les plis de son habit.

Si cela est ton prix...

Hésitant un temps, ne sachant que dire il finit par ne rien dire. Un simple signe de tête et il écarta la lourde tenture. S'engageant dans la pièce il n'adressa pas un regard à ceux qui restaient là. En quelques enjambées il se trouva devant la porte du bouge qu'il franchit sans se retourner.

Félicie ? songeait-il,une telle créature est-elle vraiment porteuse de bonheur ? Participe-t'elle donc également au grand dessein ?

Il n'était plus jeune et pourtant bien des pans de la vie lui était encore inconnus. Et cette nuit avait fait naître plus d'interrogations qu'elle n'avait apporté de réponses.

Je reviendrais... grommela-t'il en disparaissant dans le matin naissant.
--Mahault
Ma douce, je m'ennuie terriblement tout seul. Tu sais, la vie d'homme seul n'est franchement pas drôle, quand la soirée débute. Alors que nos amis trouvent une couche occupée par leur femme, la mienne est désespérément vide. Voilà longtemps que je rêve de vivre ce plaisir, et ce soir je me suis décidé. J'aimerais tant te faire partager mon envie de te voir contre moi. Je suis sûr que tu serai formidable pour me faire découvrir ce qu'est l'Amour.
Tu es mignonne avec juste les rondeurs qui seyant aux hommes, en un mot, la compagne idéale. Je serai ravi de t'expliquer tout cela dans un endroit tranquille, qu'en dis-tu ?


Mahault tiqua quelque peu, non pas à cause des mains de l'homme sur ses seins, mais du fait de son envie de remplir sa couche, et d'avoir une femme comme les autres hommes...

Sache, ô...quel est ton nom?
Donatien...? Soit!
Sache ô Donatien, que la femme que je suis n'est pas la sorte de femme qui comble l'ennui et la solitude...par contre je suis celle qui peut, comme mes compagnes de ce lieu tranquille qu'est le St Abandon...te procurer le plaisir que tu cherches...Le plaisir, Donatien, seulement le plaisir...je peux être ta compagne de jeu, moi, Mahault, et aujourd'hui, puisque tu as posé tes mains sur mes seins , tu ne connaîtras que mes seins...seulement mes seins, Donatien...Mais, parle et dis ce que tu ressens...


Et Mahault offrit ses seins à Donatien en coupoles afin qu'il en découvre la forme, le poids, la douceur, le velours, le galbe et les tétins tendus et rouges comme des framboises...
--Donatien_
La femme ne semblait pas disposée à souffrir la luxure tout de suite.

Et bien procures-moi alors ce plaisir Mahault. Je suis tout disposé à le vivre avec toi.

A l'invitation de la catin à disposer de ses seins, Donatien continua les caresses, découvrant leur belle forme, tâtant leur poids, leur douceur, leur velours, leur galbe, et posant ses doigts sur les tétins.


Je ressens une sensation de chaleur de toucher pour la première fois un corps de déesse. Te voir ainsi, me donne l'envie de te connaître encore plus, et de partager ta couche pour cette nuit pour que tu me procures ce plaisir que tu m'offres de me faire connaître.

Il se pencha alors sur la catin, et baisa son cou, tout en continuant à caresser les seins.
--Felicie


Félicie regarda son homme se rhabiller après elle, détaillant une dernière fois ce corps nu. L'homme fit glisser des écus sur sa main, que Félicie s'empressa de glisser entre les plis de son habit. Elle ne savait pas quel était le prix de ce genre de nuit, puisque c'était la première fois qu'elle vendait ses charmes, aussi se contenta-t-elle de prendre les écus.
Il quitta ensuite l'alcôve, avant de partir directement en direction de la porte, et de disparaître.
Elle alla donc se servir au bar. Une des catins semblait rentrer dans le jeu de la séduction d'un autre homme. Félicie trouva de quoi écrire, et tenta de se rappeler de ses maigres connaissances en alphabet. Elle avait assisté cachée à quelques cours de l'école-cathédrale réservée aux garçons, de derrière les fenêtres. Prenant son courage à deux mains, elle écrivit, puis confia son message à un gamin traînant dans la rue, contre une vue plongeante de sa gorge dont il se souviendrait toute sa vie.
Attendant la réponse, et reluqua alors les deux présents dans la salle, commençant leurs ébats amoureux.


--Mahault
La fille arrivée depuis peu et ayant déjà écumé le St Abandon en ribaude expérimentée continuait à écrire de sa plume, tout à fait extérieure (apparemment)à ce qui était en train de se passer devant ses yeux, là, deux corps tièdes, vibrants...Donatien fermait les yeux, les rouvrait, l'air de quelqu'un qui ne croyait pas à ce qu'il vivait...l'esprit en feu...Mahault poussa de ses genoux son épinette des Vosges, qui résonna légèrement, fit rouler le petit bâton qui lui servait à jouer, et décolla le plectre qui s'était collé sur sa peau avant de continuer son approche...Il se pencha alors sur la catin, et baisa son cou, tout en continuant à caresser les seins.
Mahault tendit ses seins à Donatien...Ses cercles solaires commençaient à gonfler, ses pointes à se tendre, sa peau à chauffer...Il continua à caresser son cou de sa bouche provoquant des gémissements de la part de la ribaude qui désiraient sa bouche sur ses framboises...la douceur de l'un et de l'autre était telle qu'elle énivrait à grande rasade les deux corps...Perdant toute retenue, elle posa sa main sur la protubérance et caressa doucement par-dessus les braies...
--Donatien_
Comprenant ce que désirait la ribaude, Donatien commença à embrasser langoureusement les seins de la catin, tandis que celle-ci lui caressait sa protubérance. Son cœur battait trop fort. Allait-il réussir à continuer ? Il ne le pensait pas.
--Mahault
Mahault, se demandait toujours, tout en étant toute à son oeuvre, ce que cette fille pouvait bien écrire...et ce qu'elle avait dit à ce garçon , parti à toute vitesse on ne sait où...elle se servait un verre, comme si elle était invitée, faisant partie de la maison...Et ses écus...Qu'allait-elle en faire ? Savait-elle qu'une partie allait au St Abandon?

Eeeeeeeeeeeeeeeeh!!! Mais elle écrivait avec sa plume de barbu d'Ucle!!! Et son encre, faite maison à partir de sulfate de fer et de gales de chênes cueillis sur les arbres!!!Fais gaffe, catin...
pensa-t-elle en elle-même...sans oser se lever et lui faire une remarque...

Mahault surveillait et savourait en même temps...Toute alanguie, voyant le désir de Donatien se tendre vers ses seins dans l'air chaud du St Abandon, se mit à genoux, se dégageant, touchant ses genoux à lui, lui souriant et offrit au désir fait chair de glisser entre ses seins ...le faisant courir entre ses deux mamelons, jouer de la tête avec ses framboises...Elle les pressa autour du vît...et apprécia le plaisir visible sur le visage de Donatien, plaisir qui le prenait dans sa poigne de délice.
--Donatien_
Donatien, prit de peur aux réactions de la catin, arrête tout ce qu'il faisait, laissa la catin là où elle était, reprit sa bourse et prit la direction de la porte du bordel. Il l'ouvrit et partit à grandes enjambées dans la nuit.
--Mahault
Mahault ne comprit pas soudain pourquoi Donatien prit la fuite...Elle regarda derrière elle, afin de chercher ce qui l'avait fait fuir...Rien...La jeune femme écrivait, là derrière...lui aurait-elle fait un signe...???
Ppffffffff, parti en ayant touché, sans payer..........la prochaine fois, je fais payer d'abord...
Ces hommes qui ne connaissaient qu'une manière de faire l'amour...n'acceptant pas, ou troublé par les nouveautés..peur du temps pris à découvrir...
Le St Abandon n'était pas, ainsi que Lulu l'avait voulu, (d'ailleurs où est-elle allée dormir?) un bordel quelconque...On cherchait l'art de l'amour et non point la satisfaction immédiate de ses envies...
Mahault tournait ses idées dans sa tête tout en se rapprochant de la novice...
Salut, toi!! Je t'ai vu à l'oeuvre...et si j'étais la tenancière, je t'aurais bien acceptée parmi nous, mais, reste, puisqu'elle n'est pas là...
Mmmm, magnifique ton bréviaire...tu sais monter au pinacle les interdits pour augmenter le plaisir...Sacré garce!!! Qu'écris-tu?
--Felicie
Félicie regarda Mahault s'approcher d'elle.

J'écris une lettre à la tenancière ma mignonne. Je l'ai envoyée. Je suis content que mes méthodes te plaisent tu sais. Il est vrai que je resterai bien après tout, puisque tu me le proposes. Y a-t-il souvent des clients par ici ? Nous risquons de nous ennuyer toutes deux sinon, à moins que pour ma première nuit que je passerai ici, nous faisions davantage connaissance.

Tout en souriant, Félicie passa sa main sur les seins nus de Mahault, pour les tâter.

Au fait, mon nom est Félicie, et toi ?
--Mahault
Maa---aaaaaa-----aaaaahhh, Mahault ! soupira Mahault sous la caresse de Félicie...tout en poussant son encre précieuse, afin qu'elle ne tombe point à terre...Elle ne semble pas maladroite, tout au contraire, mais...préfère prévoir...

Il y a peu de passage...La contrée est sous emprise aristotélicienne...comme tu le sais...Les grecs anciens hédonistes sont à peine en train de renaître, du moins chez les princes italiens...Nous sommes de celles qui se souviennent que le corps est beau et bon...

Faire connaissance...mmmmmmrrrr, mais quelle bonne idée
, exhala le souffle de Mahault...je suis encore toute vibrante de la rencontre manquée avec Donatien, qui ne donne point...Ah, haha...
Mahault s'était rapprochée de Félicie et frottait son corps au parfum de cannelle à celui de sa pareille...Sache que nous ne serons pas de trop à deux ici...Quelques clients recherchent l'ivresse de plusieurs corps en amoureux de la vie qu'ils sont...
Et parfois, mes autres métiers me tiennent occupée ailleurs...
Elle défit les lacets du corsage que Félicie avait resserré quelques minutes avant...Les filles passent ou trépassent...voyageant, passant quelque temps ici, puis virant à l'est ou l'ouest, nul ne sait qui restera...Les yeux de Mahault se perdait dans les prunelles de Félicie (aussiiiiii!) pas pu résister...
Peu d'hommes ont l'audace de venir ici à découvert...Et ils cachent sous leur soi-disant croyance leur désir profond, se martyrisant d'interdits...
--Felicie
Se laissant dénouer les lacets de son corsage, Félicie défit sa robe. Les corps nus des deux catins se perdaient dans la pénombre.

Profitons de ce que tu ressens alors, je viens moi aussi d'aider un client dans sa quête. Certains hommes veulent ainsi avoir plusieurs hommes pour eux ? Que ça doit être excitant.
Tu as d'autres métiers, quels sont-ils ?


Dit Félicie, tout en emmenant Mahault jusqu'à une alcôve. Là, elle la coucha par terre, et se mit au dessus d'elle. Lui donnant un long baiser, elle continua.

Tu sais, l'homme avec qui j'étais vient de me faire perdre ma virginité. Je viens donc de découvrir l'amour. Toi qui dois plus t'y connaître que moi, montres-moi comment l'on fait.
Espérons qu'un autre homme viendra ici ce soir !
--Mahault
Non, certains hommes veulent avoir en bordiau plusieurs femmes..., pas d'hommes, pour eux...
Les corps chauds et doux glissaient l'un sur l'autre...Tu vois, ce n'est pas difficile, tu laisses la peau chanter, suivre les vagues de chaleur, les mains aller et venir...se laisser aimanter par la douceur, les rondeurs, les creux...Mahault laissait courir ses mains au gré de leur respiration, effleurant le dos de Félicie, écrasée délicieusement...Elle sentait le parfum de Félicie pénétrer ses narines...ses cheveux lui chatouiller le cou...
--Catapulte
Cata s'ennuyait et poussa la porte du bordel cherchant quelques distractions.....elle avait bien écouté les discours sans queue ni tête de politiciens imbus de leur personne qui en oubliaient le verbe aimer lui préférant celui de se palucher ceint de couronnes d'épines ou de lauriers.

La "tenancière" (désolée, j'avais cru!!) effeuillait une presque vierge qui prenait des leçons de savoir vivre mais Cata à l'image préféra utiliser les mots pour réveiller le plaisir tapi au creux de ses reins et se lança dans l'évocation de sa dernière trouvaille alors qu'elle chassait l'ennui ambiant ses derniers jours


Elle avait bien essayé de se distraire avec des bouquets de fleurs printaniers, achetant ou courant les champs pour en faire des compositions pour quelques concours mais se n'était que prétexte car un autre motif l'excitait alors... quelques rencontres au coin d'un bois ou mieux à l'échoppe du fleuriste où un petit gars simplet et muet mais diablement beau confectionnait des bouquets pour ses clientes.

La jouisseuse rousse toujours en quête de découverte au service de son plaisir en sourit rien qu'au souvenir




Ayant payé quelques fleurs avec un ducat d'or, le jeune benêt fouillant dans sa bourse n'avait pas assez de monnaie à lui rendre ... héhé ! le contraire l'eut étonnée

Cata prit l'air embarrassé et lui fit signe de la suivre avouant, chemin faisant, qu’elle se sentait une étrange curiosité de savoir si la nature ne l’avait pas dédommagé, par quelque don particulier du corps, de la privation de la parole et des facultés intellectuelles.
La scrupuleuse modestie n’ayant jamais été le vice de se trop beau garçon, loin de s’opposer à une pareille lubie, trouva cette idée si plaisante qu'il ne fut pas moins empressé qu’elle à l’éclaircir sur ce point.



Cata découvrit une rangée de dents carnassières les caressant d'une langue grenade allumant par ce souvenir une envie de croquer fruits et fleur... et prenant la pipe d'opium abandonnée sur le bord de la table pour la préparer, alors que la Mahaut roulait sur la gamine offerte en quête de quelques rondeurs, creux et plis à explorer, la conteuse continua son récit




J’eus même la vanité de vouloir être la première à faire la vérification des pièces.

Dès que nous eûmes fermé la porte, je commençai l’attaque lui ordonnant de baisser braies et chemises d'une voix chaude à l'orée de l'oreille, lui effleurant le corps et employant les moyens les plus capables de l’émouvoir.
Il parut d’abord, à sa mine honteuse et interdite, à ses regards sauvages et effarés, que le badinage ne lui plaisait pas ; mais je fis tant par mes caresses que je l’apprivoisai et le mis insensiblement en humeur.
Un rire innocent et niais, le ravissement stupide où il était, l’avait rendu si docile et si traitable qu’il me laissa faire tout ce que je voulus.
J’avais déjà senti la douceur de sa peau à travers maintes déchirures de sa culotte et m’étais, par gradation, saisie du véritable et glorieux étendard en si bel état, que je vis le moment où tout allait se rompre sous ses efforts.

Je lui otais sans mal pour finir sa chemise qui le cachait en partie et je le découvris dans toute son étendue et toute sa pompe.
J’avoue qu’il n’était guère possible de rien voir de plus superbe !
Le pauvre garçon possédait manifestement à un très haut degré la prérogative royale, et un tel joujou couronné si superbement que je vous avoue j'en frémis rien qu'à la vue.

En lascive compagne, ravie en admiration je tirais, comme on fait à un âne par le licou, le simplet vers le lit, m’y laissa tomber à la renverse, écartant mes jupons sur la rose ligne préte à toutes les assauts et sans lâcher prise le guida où je voulais.

L’innocent y fut à peine introduit que l’instinct lui apprit le reste.
L’homme-machine enfonça, déchira, pourfendit, animé par le puissant aiguillon du plaisir, devint si furieux que je ne pus retenir mon envie de prolonger plus de rendu de monnaies.
Je me relevais à peine de son étreinte qu'il me prit par la taille et passant ses bras autour pour mieux me maintenir, se mit à genou et préluda à donner des baisers savoureusement appliqués sur mes belles lèvres, jusqu’à ce qu’il me fît tomber doucement sur les coussins tachés du lit continuant sa prière.

Quels délicieux manuels de dévotion amoureuse ! Niais mais expert en toucher du bout des doigts explorant la fleur de mon grain de peau, pétales et boutons, petits, ronds, fermes et d’une éclatante blancheur ou d'un corail sang.
Après avoir régalé ses lèvres de baisers savoureux d'en haut en bas, il s'arrêta pour régaler ses yeux de ce charmant spectacle.


Et je le laissais faire car l'animal avait cette intelligence qu'il manque souvent aux prétentieux au cerveau volumineux et aux culottes vides

Catapulte reprit son souffle ainsi que son geste pour permettre au rythme de ses paroles de rattraper celui de sa main...
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