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[RP] Le Bordel du Saint Abandon [venez tous, même en PNJ !]

Miss.sue
Sue poussa la porte de l'auberge aux moeurs légère, esperant qu'un gigolo exercait ici. Elle n'en pouvait plus des maisons clauses exclusivement reservées aux hommes. Elle avancea d'un pas sur et certain vers la propriétaire des lieux, sans même prendre le temps d'admirer les charmes de l'endroit et s'adressa à elle sur un ton sec et dur:

Bonjour, je suis une voyageuse en manque de délice de la chair. Estimant que les femmes ont le droit de succomber aux vices du fruit défendu, je voudrais l'un de vos gigolo.

Elle arcqua un sourcil et pensa soudainement à son ex comcubain, parti trop tot. Il aurait aimé cette ville de débauche. Elle en profiterait pour deux.

Vous avez bien des hommes de joie rassurez moi! Non parce que sinon vous valez pas le déplacement!!

Elle se retourna et observa avec davantage d'attention les lieux. Les catins ne se cachaient pas, s'exibaient à la vue de tous, dans les salons. Elle entendait les cris stridents qui provenait d'un peu partout dans la maison. Sue sourit en coin, assurément elle s'amuserait ici, enfin si un homme était à disposition pour la satisfaire dans sa soif de sexe.

Bon c'est pour aujourd'hui ou pour demain? Y'en à qu'on mieu à faire que d'attendre des années pour satisfaire des pulsions animales !!

Son coté inssuportable et machiavélique, surdeveloppé depuis la mort de Mexx, était démultiplié quand elle n'avait pas sa dose de chair fraiche. Elle tapota sur le comptoire de ses ongles longs et teintés de noir.
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--Felicie
Suivre les vagues dis-tu ? Alors laisse moi essayer.

Félicie laissa ses mains glisser le long du corps de Mahault, épousant toutes les formes de ce corps qui s'offrait à elle. Après avoir parcouru ce corps de longues minutes, elle posa un baiser sur les joues de Mahault.


Et encore ? Comment faire monter cette excitation à son comble pour en arriver à la jouissance que j'ai éprouvée tout à l'heure avec l'homme ?
--Mahault
Mahault, toute chiffonnée, et rose des joues au bouton, s'extirpa des lèvres de Félicie (Oh si!) et se mit à hoqueter de rires à l'appel ferme et définitif de la bourgeoise en mal de mâle...

Des hommes!!! Ouah ahahahah!!!Dans cette ville!!??? Mais d'où venez-vous??? Nous autres, ribaudes du coin avons toutes les peines du monde à faire venir les hommes...Comment pensez en avoir à demeure au St Abandon!! Vous rêvez, la donzelle...

Elle vit bien que la dame était passablement énervée, tapotant sur les meubles que Mahault parfois faisait luire à la cire d'abeille.................elle vit aussi d'autres doigts...les propres doigts de cette bourdonne, cette guêpe furibonde qu'était la belle rousse, des doigts semblant se signer, des doigts jouant au papillon sur sa propre personne, glissant, vibrant, hagards et sûrs de leur route, alternant les gestes lascifs aux gestes de touillages de sauce onctueuse...en huit ou en rond..En tout cas, la guêpe, l'aiguillon semblait la prendre, et semblait prendre son mal en patience...

Mahault eut une idée , en embrassant Félicie sur le nez et dans le cou:
Ouais, ben la meilleure chose à faire, ma donzelle, c'est de faire une annonce!! Cherche mâle à tout faire, disponible à toute heure au St Abandon pour emploi lucratif et plein de stupre...Vous me direz ce qu'en pensent les autorités aristotéliciennes du coin...Oua haahahah!!! Sachez que je ne suis pas la tenancière, et que je n'ai pas vu celle-ci depuis un bout de temps...elle en écrase peut-être au 1er étage...Vous pouvez aussi sauter sur celui que vous trouverez et lui proposer l'emploi directement..Vous pourrez ainsi choisir votre gibier...
--Felicie
Voyant Mahault arrêter quelques instants ses baisers, Félicie en profita pour amener les siens vers les collines devenues fermes de Mahault, devenues roses à l'extrémité. Ses mains descendaient le long de la croupe de Mahault. Quand elle vit celle-ci se redonner à elle après avoir parlé, Félicie redonna ses baisers dans le cou de sa paire.

Une annonce ? Il le faudrait bien oui. Et inciter par là même à venir profiter de nous ma chérie. Que les aristos viennent ou nous ignorent ! Je ne sais si c'est moi qui sauterai sur le premier, ou si ce sera le contraire ?
--Mahault
Elle reprit sa conversation muette avec Félicie...
Quand il y a vagues, il y a humidité, eau...
Et Mahault s'employa à petits coups de langue à descendre le long de la narine, en suivant la volute du nez, et à rechercher le plus proche havre , une des sources miraculeuse de tout un chacun et à en dispenser, partager et boire la chaude moiteur, en écartant à peine sa bouche...attendant les réactions de Félicie. Ses mains caressaient le pont fin qui menait du dos à la tête , donnant des petits coups de pression du bout des doigts sur ce chemin de douceur...et se retenant de ne pas mordiller...
--Felicie
Voilà que le paysage de Mahault changeait. La mer maintenant. Félicie sentit la salive de la catin sur sa peau. Elle poussa alors de petits cris d'excitation. Se laissant faire au niveau du visage, elle continuait son exploration des cuisses de la catin, les caressant à l'intérieur comme à l'extérieur de la jambe.

Après les vagues, vient la tempête non ?

Elle posa alors ses lèvres sur celles de Mahault, et commença un long baiser plein d'amour.
Bigras-, incarné par Majoie
Bouais..paraît qu'étions en recherche active de mâle en rût icitte!!!

Justement j'ai une enflure du possible pô capab pan toute d'me débarasser de tout ça!!!

É you la ptite noire que j'la galvaude ou la taraude bah la tripaude!!!

Pourriez m'indiquez vous là dans'l'coin à vous tripoter les entre tailles que j'puisse soulager mon besoin et r'venir à mes affaires?
--Catapulte
Après quelques interruptions du aux circonstances .. Cata se dit que son artisan fleuriste ferait meilleur en pareil lieu car s'il était bien monté et aussi beau qu'un dieu sa nature simple et de surcroit muet en ferait un jouet parfait pour les bavardes qui appréciait s'émoustiller l'esprit

Voyant que la pucelle et la Mahaut reprenait leurs léchouilles en position de nonne au prie-dieu, lui rappelant le manant qui lui avait fait réciter un chapelet complet de jurons, de soupirs et de mots concupiscents que débitent les putains du Caire à la cour des miracles pour encourager le client... Alors la rousse qui s'ennuyait repris son récit.




Ayant eu, après heure dedans et dehors, la monnaie de mon ducat, je crus que le bonhomme sa chevauchée satisfaite comme la plupart des bourgeois s’en trouverait content ... mais que nenni !
Encore pleine de foutre, il goutait la tête sous mes jupes son propre gout avec des grognements plaintifs.
Il leva peu à peu mes jupes et exposa à notre vue la plus belle parade que l’indulgente nature lui avait accordée. Comme doué du toucher, de la vue et du gout, le fier animal allongeant encore le coup vint plonger le nez à la source de mon gentil sillon central , à la symétrique délicatesse.... foi de mes nombreux amants ! la nature ne pouvait rien offrir de plus merveilleusement ciselé et à l'ombrage épais répandant sur ce point du paysage, promesse de découverte de terre inconnues et frissonnantes que les mots seraient impuissants à rendre et la pensée même à se figurer

Mon amant Lafleur, qui était resté comme hypnotisé, harponné par les rétines, me montra par la taille de sa vigueur si vite retrouvée, qu’il méritait le titre de héros aux yeux d’une femme.
Obéissant à son nouveau maitre, il se plaça comme je lui avais montré et le feu de ses joues annoncèrent le bonheur qu’il allait atteindre trop vite à mon gout et surtout pour sa seule satisfaction ... on peut être putain mais en l'occurrence c'est à moi qu'il devait monnaie !

C’est alors que d’un coup de rein je le fis rouler au sol, rabattis robe et corsage et sortait comme si de rien n’était.... non ! mais !! le coquin me prenait-il pour une catin ?? .. quoique ...

Le bougre se mit à crier comme un porc qu'on bat et c’est alors à ce cri animal que je jouis.


Cata laissa perler une goutte nacrée et opalescente le long de sa cuisse et satisfaite de son récit regarda la nouvelle venue qui réclamait de l’homme ...

Pourtant, il n’y avait qu’à se servir au jardin des rencontres, les fleurs se cueillent, la main sure et la langue habile.
Et si vraiment, vous avez problème le bon père Godmiche vous vendra un de ses jouets ... hihiihi !

Mais si la tige de Lafleur vous plait, à vous donc d'arroser !
j'en ai la direction ! ....c'est un benêt, beau et muet, monté comme un âne... c'est une pure vérité ! imaginez si l'esprit est inversement proportionnelle ses attributs masculins ....et aussi habile fleurettiste qu'habile bucheron....

Mais il y a aussi paysans, éleveurs et un couple de pêcheurs ... je les aiment pour le plaisir et non pour ce qu'ils me donneront comme le banquier qui croit avoir quelque chose de plus ... quelques grammes d'or !? à l'or je préfère la chair et la vie !

Mes amants n’appartiennent pas aux classes riches :

Ce sont des ouvriers de faubourgs ou des ruraux,
Leurs quinze et leurs vingt ans sans apprêts sont encore en friche
De force assez brutale et de procédés grossiers.
 
Je les goûte en habits de travail, cotte et veste ;
Ils ne sentent pas l’ambre et fleurent la santé
Pure et simple ; leur marche un peu lourde, va preste
bruste et souple, muscles saillants et vigueur ;
 
Leurs yeux francs et matois crépitent de malice
Cordiale et des mots naïvement rusés
Partent non sans un gai juron qui les épice
De leur bouche bien fraîche aux solides baisers ;
 
Leur attribut vigoureux et leurs fesses joyeuses
Réjouissent mes nuits et ma “” et mon “”
Sous la lampe et le petit jour, leurs chairs joyeuses
Ressuscitent mon désir las, jamais vaincu.
 
Cuisses, âmes, mains, tout mon être pêle-mêle,
Mémoire, pieds, coeur, dos et l’oreille et le nez
Et la fressure, tout gueule une ritournelle,
Et trépigne un chahut dans leurs bras forcenés.
 
Un chahut, une ritournelle fol et folle
Et plutôt divins qu’infernals, plus infernals
Que divins, à m’y perdre, et j’y nage et j’y vole,
Dans leur sueur et leur haleine, dans ces bals.
 
l’un jeune tigre aux yeux de chien, L’autre fier gaillard,
bel effronté, un gamin, mais monté comme un homme
Sorte d’enfant de choeur, un benêt, un soudard,
Caresseur, satin frais, ou encor, majordome
Un roi des bas-fonds, couronné mon suprême Dieu,
Taraudant tout mon coeur de sa prunelle bleue
Et tout mon “” de son épouvantable épieu.
 
Un athlète blond aux pectoraux superbes
Poitrine blanche, aux durs boutons sucés ainsi
Que le bon bout ; X, souple comme des gerbes
qui se fait de jour en jour plus mâle
Y, un peu putain avec sa beauté pâle.

Et vous tous ! à la file ou confondus en bande
Ou seuls, vision si nette, passion toujours présent
Aux récits de ma mémoire et bandent
Chéris sans nombre qui n’êtes jamais assez !


Tiens, jeune dame qui cherchez chair fraiche, suivez mes conseils en voilà un bien à point comme un fromage de Portsalut !

Tout roter et péter, le boutd'gras qui venait de rentrer avait du louper sa porcherie de la rue voisine et atterrissait ici surement aveuglé par les mouches qui logaient dans sa tignasse.

Ça c'est du lourd ! ma jolie !!
il vous fera demander grâce !

Cata éclata de rire devant la caricature de l'homo sapiens (?) trébucha sur les culs entrelacés de deux joueuses. Elle suça son index et donna une claque sur les fesses du péquenot qui en perdit un chicot... Une pipe ?
Joignant le geste à la parole, elle prépara l'opium pour fumer ... avec ça au moins pas de déception !
Miss.sue
Sue soupira de voir qu'aucun homme ne pouvait satisfaire ses désires présents. La belle Sue, qui ne laissait indifferent aucun homme ressortie comme elle était entrée et était sur d'une chose: elle ne recommanderait pas l'endroit.
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--Mahault
Mahault laissa les lèvres de Félicie répondre à ses attentes et répondit, entrelaçant sa lécheuse adroite à celle de Félicie...la croisant, la mordillant, suçant une lèvre, puis l'autre, faisant venir, là, et en même temps ailleurs le jus divin qui commençait à sourdre entre les cuisses de la catin voyageuse..
Les mouvements de houle prenait les deux corps, et elles riaient de plaisir...se frottant l'une contre l'autre, corps sensibles comme une main, sentant l'une l'autre la douce et bonne odeur de paille accrochée à leur tempe chaude, l'une enfouie sous la cannelle et l'autre...quel était ce parfum...violette ? Mahault ne savait...

Soudain vint une méchante odeur de pet en sueur, .............acide et.................... suffocant....
Les deux femmes se retournèrent et reculèrent effarée, sur leurs fesses, se bouchant le nez... et clignèrent des yeux pour reconnaître quel était l'enf.... odieux qui avait osé pénétrer dans l'antre de l'amour...
--Felicie
Félicie ne comprit pas ce qu'avait Mahault, qui venait de se reculer à l'instant. Les deux corps chauds qui commençaient à ne plus faire qu'un s'étaient séparés. L'œil devint interrogateur, et les mains caressèrent les seins de Mahault.

T'aurais-je déçue ?

Une odeur de sueur se fit alors sentir, tandis que Félicie remarquait enfin qu'elles n'étaient plus seules. Elle se rapprocha à nouveau de Mahault, poitrine contre poitrine et hanches contre hanches, et lui donna des baisers dans le cou. Elle leva les yeux vers les autres présents, et s'adressa à eux.

Vous êtes ici chez nous, pouvons-nous vous aider à combler vos désirs ?

Entendant Bigras, elle regarda Mahault, et lui chuchota.

Crois-tu que voilà l'homme qu'il nous faut ? Il arrive à point !

Plus haut, à l'homme.

Nous pourrions avoir besoin de toi, mais si tu as besoin de vider tes bourses dès maintenant, nous sommes là. Convainc-nous de te prendre !
--Mahault
Non, Félicie!!! à nous, ribaudes du St Abandon, il ne nous convient pas...
Nos moeurs ont évolué depuis l'étable où l'on prend les servantes avec ou sans consentement...
Déjà auparavant, des pouilleux ont essayé de rentrer mais jamais, même l'Albert, ils n'ont réussi à occuper la place plus de 10 minutes...
Lulu la charnue veut que les hommes recherchent à sortir de leur nature et à se cultiver, au moins corporellement, afin d'avoir le droit, de nous toucher et de nous goûter...Peu importe le jargon...mais le savon, Félicie...Pense à toi!!!
Nous avons bien du mal à suivre les règles d'hygiène que les ecclésiastiques nous ont imposé afin d'avoir le droit d'exister en la ville...

Mahault recule encore et presse Félicie contre elle.
S'il ne va pas se laver, ou s'il s'impose...Nous le prendrons et le jetterons dehors...tout ceci dit d'une voix audible aux oreilles du gougnafier.
--Felicie
Se laissant faire par Mahault, Félicie regarde l'homme, après avoir redonné un baiser dans ce cou qui s'offre à elle.

Tu as entendu alors ce que tu dois faire, choisis !


Continuant à sentir le corps de Mahault sur le sien, Félicie reprit ses caresses, puis demanda à l'oreille de Mahault.

Que faisons-nous de ceux-ci ?
--Catapulte
Ayant tiré sur son bambou la fumée acre et douçâtre, Cata sourit aux 2 catins qui ne faisaient plus cas du monde qui les entouraient ...

Elle non plus d'ailleurs était barrée autre part ...

Dehors, elle entendit le bruit d'une musique ... tiens, des ménestrels !! une fête qui doit débuter et je devrais me changer et y aller ... pensa-t-elle ... . une peu de distraction en toute discrétion, en tout abandon comme des ses bras ... mais j'ai des obligations quand je retourne au grand jour... oui, même dans ses bras ...
Cata soupira à cette pensée ... jouer, encore jouer le rôle qu'une autre qu'elle aimait tant mais sans ses quelques instants de parfaite liberté pourrait-elle continuer avec une si bonne humeur à aider, à écouter, à conseiller... ses concitoyens ?

Elle resta encore quelques instants que les vapeurs fassent leurs actions bienfaisantes avant de retourner être le femme responsable que l'on connaissait dans sa ville ...
--Mahault
Mahault observa la rousse nerveuse, qui semblait s'alanguir, fondre à vue d'oeil...la gorge dont les veines bleues battaient de moins en moins vite...la taille serrée dans plusieurs tours de soie rouge...
et la gorge de Félicie...vibrante d'envie, lèvres généreuses....
Mais c'est pas vrai! t'es encore là fredin malencontreux ???!!! Coquin de souillard !!!Villain putier !!! Hors de notre vue!!! agis de suite, ou tu vas voir trois femmes à l'oeuvre soulevant tes jambes de goret au-dessus du sol et sentir ton dos s'écraser lourdement sur les pavés!!!
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