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[RP]Le vent avant la tempeste

Acar
la pluie avaict enveloppée les pourtours de la cisté... Pour l"heure, aucun bruit, à part les gouttes d'eau, ne deransgait sa surveillance.

Les nouvelles n'estanct poinct bonnes, Acar descida de se ravitailler prestement pour affronter un long siège passif...


Garde Guillaume, allez en la place du marché et essayez de trousver des boulangers, des bouschers, prest à faire l'effort de guerre, à savoir presvoir de la nourriture, peu cher, pour ceux qui viendront aisder le Béarn.

dictes-leur que ces chevaliers des Sanctes armées sont bien pausvres car toujours à aisder nostre foy par monts et par vau... Dictes-leur que ce geste sera fort apprécié et les honoreras, nul douste !!

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--Garde_de_locf
Appelé, il s'approcha, et se mit au garde-à-vous.

Ordres donnés, notes mentales prises sur ce qu'il devait faire, il appela deux autres gardes et ils se mirent en selle.

Départ au galop pour le cœur de Lourdes.

Y nourriront bien un tout p'tit peu les gens qui les protègent quand mesme nan ? se demanda-t-il....
Acar
Une missive pour vous, Monseigneur !!

Enfin pensa t'il...

Citation:
Les Teutoniques sont arrisvés à Tarbes !

Ils vont donc monter une lance et desmande au conseil si des boulangers ou bouchers (sur Tarbes) pourraient pratiquer l'effort de guerre, à savoir des denrées peu chère (pains ou viandes).


Il se gratta le menton, derechef, mais bien enstendu qu'ils le pourraient, pour le bien de nostre Béarn, pour sur.

Garde Bertin, partez céans sur tarbes et dictes à nos chers frères Teutoniques que je vais de ce pas voir le conseil pour leur desmander aide.

Attendez, Profitez-en pour passer dans le centre de Lourdes et criez à tous qu'ils leurs faut resjoindre les lances en activité sur Lourdes, prestement !!

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Hagden
[ Arrivée des Teutoniques à Tarbes, 25 Octobre 1457, Premier Jour ]

Le Seneschall avait fait route des jours pour rallier le Béarn, contrée qu'il ne connaissait point, mais qu'il comptait bien connaitre mieux... Des vents d'Est et Sud portaient de lourds présages...

Le Teutonique avait voyagé prestement, accompagné de sa filleule Mili_cia. Il se sentait quelque peu fourbu, mais heureux d'être arrivé sain et sauf avec la jeune femme.

Il ne savait si ces Frères d'Ordre Militaro Religieux présents en cette Province étaient au courant de leur venue. Aussi Hagden avait envoyé Missive, espérant réponse prompte, claire et efficace.

Pour l'heure, il établit le campement, et les tentes blanches, frappées de la Croix Noire de l'Ordre, non loin des remparts, hors des murs de la cité, pour mieux renifler cet air, qui semblait monter dans le lointain, une odeur de soufre. Son flair de Seneschall ne le trompait pas. Quelque chose se préparait... quelque chose de terrible, qui lui rappelait d'autres remparts, d'autres odeurs... toutes aussi sombres, âcres.

Après avoir déplié ses maigres affaires, il partait toujours léger en bagage, il n'aimait pas s'encombrer d'inutile, il sortit la lame qui pendait à son flanc, cette même épée qui n'avait servie qu'une seule fois, mais qui avait servie pour une Cause Juste, honorable et Sainte. Et elle avait bien servie...

Hagden la regarda, puis la rentra au fourreau. Il n'aimait pas savoir que bientôt peut-être il aurait à s'en servir une nouvelle fois.

Non, son but premier n'était pas de faire la guerre, mais de l'éviter. Mais comment éviter une Guerre, quand une des deux parties est fourbe, sanguinaire ? Quand cette partie ne pose aucune base de dialogue sain, que celui des armes, de la mort, du mensonge, et de la destruction ?

Le jeune homme en était à ses pensées comme le soir tombait. Il rabattit la capuche sur son visage. Le froid des montagnes voisines semblait dévaler jusque dans cette vallée de Béarn. Il faudrait qu'il s'y habitue... pour un temps... Il regarda aussi le ciel en quête d'un pigeon, portant réponses à ses questions d'intendance. Puis il marmonna une prière entre ses lèvres.

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Bruder et Seneschall de l'Ordre Teutonique
Acar
Le soir du 25ème jour d'octobre, lices de Lourdes.

Parbleu, que le vent pouvaict par instant se rasfraichir, au point de pisquer les yeux... Il relesva le haut de son manstel, le rabattant sur son menton puis se frotta les mains vivement et alla devers son petit coffre d'où il sortict plume et veslin.

S"appliquant, il escrivict alors :


Citation:
La paix sur vous, mon frère Hagden, Je viens de rescevoir vostre pigeon et je vous le renvoie prestement, chargé de bonnes nosvelles.

Ainsi, sachez, pour commencer, que je suis rasvi de vous savoir icelieu, ainsi que vostre filleule.

Vous avez autorisation de nostre comtessa de faire montre d'une lansce et d'y mener ceux qui s'y posteront esgalement.

Le comté va vous rémunérer tel qu'il le faict avec les civils, à savoir 2 pains + 3 écus, par jour de défense.

Mon frère, prenez garde, le mal est, comme vous l'avez constaté, de plus en plus présent, espagnols mercenaires, Lion, réformés...

Je suis au pourtour de la ville de Lourdes, restons en contact permanent ou galopez me visiter, si vous le désirez... J'en serai flatté, mon frère.



Il roula le parchemin, le bagua et le volatile prict son ensvol, asccoutumé à la tasche.

Icelieu, en son cœur, sérenité resgnait, tel l'oiseau qui allaict trousver irrémédiablement son maistre.

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Hagden
[ Camp Teutonique, Deuxième Jour, 26 Octobre 1457 ]

Hagden se réveilla en sursaut. Il s'était assoupi, pensait-il. Mais au vu du jour naissant, il s'était bel et bien endormi. Faut dire que durant le chemin qu'il avait parcouru depuis le Rouergue, il n'avait eu guère le temps de dormir...

Il avait filé droit comme le vent, avec les autres... droit vers le Sud Ouest... sans pause aucune que celles passées dans les villes, à faire reposer un peu les montures.

Hagden se frotta les bras et alla attiser le feu du camp. L'air du matin était embrouillardé.

Il n'y avait pas que l'air... son esprit aussi semblait être un peu brumeux. Il réfléchit à la suite des événements. Il ne pouvait constituer de Lance, n'étant pas Noble... Mais il pouvait néanmoins former un Groupe Armé, pour défendre la ville, ces hommes et ses femmes et enfants de la menace qui avancait sur eux.

Plus tard, il se dit qu'il irait à la rencontre de ces Béarnais et Béarnaises, insouciants du danger qui planait sur leur tête, leurs terres...

Il en était à ses rêveries lorsque quelqu'un s'avança vers lui...

Machinalement il porta la main à son côté puis se ravisa... ce n'était que son aide qui approchait. Un homme qu'il connaissait de Thorens et qui aimait s'appeler l'Escuyer Teutonique, n'étant pas Teutonique, mais aimant porter secours aux autres, et étant en quelque sorte l'intermédiaire du Gardien de la Commanderie Générale Teutonique de cette ville de Thorens, Otto, quant à l'Intendance.

Il lui portait apparemment quelque chose, une missive...

"Acar", dit Hagden finissant de la lire...

Il prit sa plume et lui répondit qu'il ferait son possible pour protéger la veuve et l'orphelin et demandait s'il leur serait possibles, aux Teutoniques, d'intégrer l'Armée en place à Tarbes... Cela règlerai peut-être les soucis d'Intendance une fois pour toute, pour se concentrer sur l'entrainement, pour se préparer en somme au pire...

Le Teutonique plia le parchemin et le roula, y apposant son Sceau de Seneschall Teutonique et rendant le tout à l'Escuyer... donnant cet ordre, un sourire crispé aux lèvres.

Que ceci parte au plus vite... car plus vite nous en aurons terminer de ces affaires matérielles, mieux nous pourrons nous concentrer sur ce que nous sommes venus faire ici...
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Bruder et Seneschall de l'Ordre Teutonique
--Escuyer_teutonique
[ Camp Teutonique, Deuxième Jour, 26 Octobre 1457 ]

L'Escuyer prit la Lettre et s'en retourna à ses pigeons qui ne le quittaient que pour la Messagerie.

L'homme n'avait jamais quitté Thorens. Il avait connu Hagden alors que celui-ci était en charge d'acceuillir les Postulants de l'Ordre, et le trouvait souvent avec Otto, au Poste de Garde de la Commanderie, alors qu'il venait avec sa charette approvisionner les Frère et les Soeurs, en vivres et autres bibelots. La Commanderie n'était pas bien loin de Thorens, et les Teutoniques venaient souvent en ville, ou ne faisaient que la traverser pour aller à quelque mission officielles ou officieuses, au quatre coins du Royaume et même parfois au-delà. Mais c'était devenu une sorte de rituel, et finalement on l'avait surnommé ainsi, l'Escuyer, car il aimait aussi porter une petite épée à son flanc et avec sa cape grise, presque blanche, il ressemblait un peu à un Teutonique, sans l'être.

Hagden lui avait bien demander de venir Postuler, plus d'une fois, mais il avait toujours refusé. Pour quelques obscures raisons. Il ne se voyait pas enfermé dans des Règles, lié à Rome. Mais il avait grand coeur, ça on ne pouvait le nier. Il faisait en sorte que les denrées qu'il fournissait à la Commanderie soit du premier choix, tant en viande qu'en légumes ou quolifichets. Mais les Teutoniques ne lui achetaient que le strict nécéssaires à leur vie de Frères Combattants. C'étaient des gens humbles, patients, qui n'aimaient pas s'entourer de superflu, juste de l'essentiel pour le corps. Les Prières parfois venaient épandre leur douce mélodie... jusque sur le chemin par où il arrivait, toujours un peu avant la fin de la Messe Dominicale au sein de l'Eglise Teutonique. Eglise dont il voyait la cîme des clochers filant vers le ciel... comme pour mieux capter les Voix des Saints, et des Prophètes.

L'Escuyer prit un pigeon, un gris comme le ciel de ce matin là... et lui accrocha le message. Puis le lança au dessus de sa tête, au dessus de Tarbes il fila comme l'éclair, en direction de Lourdes. Du moins il l'espérait.
Acar
Le mastin du 27ème jour d'octobre, lices de Lourdes.

Sous une pluie acerbe, cerclée d'une brume espaisse, un pigeon arrisva et alla derechef se poser sur le perchoir à cet effect...

Enstrant, pli en main, au couvert de la tenste, Acar observa le cachet puis l'ousvrict.

Ainsi, son frère Hagden indiquait qu'il ferait son possible pour protéger la veuve et l'orphelin et demandait s'il leur serait possible d'intégrer l'Armée en place à Tarbes.

Il respondict donc dans l'affirmative, qu'il allait le signaler au conseil et au meneur de la dicte armée, qu'il l'informerait par la suite ainsi qu'il le saluait vivement.

Le pigeon, alors, reprit du service et finalement, après un bref instant, se fondit dans la torpeur grisâtre du jour.

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Hagden
[ Campement Teutonique, Le 28 Octobre 1457 ]

Les pions avançaient, les choses aussi, sur ce grand échiquier du Sud Ouest... Tout serait plus clair dans le Campement ce soir. Campement qui rallierait l'Armée de Tarbes...

Hagden espérait une issue autre. Car bien que très improbable, il croyait encore en un dénouement sans sang versé, sans maisons brûlées, sans veuves, sans orphelins...

Mais le Lion était tel. Une engeance maléfique, tenue en laisse par la Créature Sans Nom...

Hagden regarda ces Béarnais et ces Teutoniques devant lui, unis pour une cause, un juste cause... Si seulement ceci pouvait être l'exemple, donner exemple au monde. Pour qu'il cesse ces conflits inutiles, meurtriers... Un exemple de fraternité. C'était ce dont le monde avait besoin, et c'était celà que le Teutonique était venu défendre ici...

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Bruder et Seneschall de l'Ordre Teutonique
Melian
[28 octobre, campement de l'Armée de l'Ost Béarnais, sous les murs de Lourdes]


Les Francs avaient intégré l'Ost, l'union faisant la force. Leur tente avait donc été déplacée au sein du campement de l'armée. Les nombreux échanges de missives avec leur Frère Teutonique avait permis de les aider pour leur participation à la défense de Tarbes.

D'autres pigeons amenaient des nouvelles de la Garde Episcopale, et les troupes en voyage vers le Béarn grossissaient au fil du temps, tout comme les troupes ennemies malheureusement.

La Comtesse avait pris la décision de publier les lettres qui faisaient montre de la déclaration de guerre, dans l'espoir d'ouvrir les yeux aux derniers inconscients qui n'avaient pas pris conscience de la gravité de la situation sans doute. La Ventoux espérait que cela suffirait pour réveiller les sceptiques, mais elle avait quand même des doutes. Quand il y en a qui décident de ne pas voir parce que cela ne les arrange pas, il sont encore plus aveugles que les gens souffrant de cette infirmité.

Elle frotta ses mains l'une contre l'autre tandis qu'elle poursuivait son tour de garde aux côtés de son époux. Aux aguets, la combattante était prête à en découdre. Un regard à son aimé, et lui revinrent en mémoire leurs nombreuses nuits et journées passées à cette même tâche ou à escorter des clercs au péril de leur vie. Elle sourit, et se reconcentra, tandis qu'ils progressaient à la lueur des flammes de la torche qu'il tenait à la main.

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Mili_cia
[ Campement Teutonique, Le 28 Octobre 1457 ]

Après un long voyage Mili était enfin arrivé, au campement déposa s’est affaire dit bonjour au personne présente, puis après avoir pris un peu de repos, Mili allé faire des tours de garde elle savait les nuit serai longue, mais elle était là pour veillé toute la nuit en compagnie avec d autre.
Son parrain hagden ne sera jamais loin, s’il y avait un soucie.

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--Escuyer_teutonique
[ Campement Teutonique, le 29 Octobre 1457 ]

L'Escuyer, essoufflé porta la missive alarmante... le pigeon avait en effet une bague rouge, signe qu'il portait un message important.

Les choses allaient peut-être bouger, ou étaient en train de bouger.

L'homme sentit sa gorge se serrer.

Il entra dans la tente du Seneschall Teutonique.


Une missive, Messire, bague Rouge !

Il avait prit un ton solennel, la sueur perlant au front. Jamais il ne s'était senti aussi bizarre. Il allait suivre son Seneschall préféré, au front... peut-être, et allait donc devoir se défendre, défendre cet homme, et l'aider à défendre ces hommes et ses femmes et enfants de Béarn dans une cause aussi importante. Il n'était pas homme d'arme, mais espérait ne pas faire honte à son honneur, ou à l'honneur de l'Ordre qu'il accompagnait.

Il s'appuya contre un souient de la tente et attendit que le Seneschall lise la missive et donne les Ordres du jour.
Hagden
Hagden prit le pigeon. Bague rouge en effet, signe de mauvais augure. Il déplia soigneusement le message, et soupira avant de prendre une grand inspiration...

Bien, que tout le monde se prépare, et que chacun affûte sa lame, ensuite, fait rassembler tout le monde !

Le Teutonique ne s'attendait pas à ce que les ennemis approche, et use de duperie aussi vite. Les dés étaient lancés, les pions avançaient. La bataille approchait... Et avec elle son lot d'horreur. Mais l'ennemi en avait décidé ainsi, unilatéralement, se fichant pas mal des innocents qui allaient périr pour leur petit orgeuil, leur petite gloire...

Hagden le savait, ainsi que ces compagnons d'arme, ils se battaient pour une cause juste... contrairement au Lion. Une cause juste, pour l'avenir du Béarn...

Le Teutonique n'aimait pas que les choses en viennent à tourner à la violence. Mais il n'y avait plus d'autre alternative, à cette heure.

Mais au plus profond de lui, il espérait toujours une issue autre...


Prions Escuyer, prions pour ces Âmes tourmentées qui assaillent le Béarn, prions pour que leur Raison leur revienne... Prions pour ces béarnais et béarnaises... ces enfants qui vont peut-être connaitre le malheur, les adieux...

Et le Teutonique, avec son ami pria à demi mot.
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Bruder et Seneschall de l'Ordre Teutonique
Caro68130
[ Casteth de Pau ]

Comtesse, où est la comtesse ? en douce elle avait filé la comtesse. Trainer ces lourdes robes à longueur de journées je ne supportais plus, savoir que le danger était à présent en nos terres et que moi Comtesse il fallait rester là ne rien faire et à voir peut-estre bientôt les bearnais, amis, aides devoir se battre, tout cela m'agaçais au plus haut point.

Ni vu ni connu retour dans mes appartements pour me changer, remettre ce que j'avais porté la veille au soir. Eh oui alors que tout le monde pensait la Comtesse dans les bras de Morphée j'avais réussit une deuxième fois de suite à echapper à la vigilence des gardes et à passer ma nuit à faire la surveillance. Eh oui la comtesse n'est pas du genre à rester tranquillement en place à ne rien faire et attendre que cela passe. Non bien loin de moi cette idée même si on m'avait déjà dit en plein conseil "ah non la Comtesse ne prend aucun risque". Oui mais...

Louve je suis et louve je resterai, Comtesse ou pas. Protéger jusqu'à devoir sortir ma lame ne me faisait pas peur. Combattre je l'avais déjà fait et séquelles il m'en restait... donc non hors de question que moi Caro je reste ici à ne rien faire et surtout à ne pas aller voir ceux qui se préparaient sans doute au pire

Ainsi donc je me déchargeais de cette robe qui me semblait peser une tonne pour enfiler, chemise, corset en cuir, braies et cuissardes. Défaire mes cheveux, cacher ma dague à son endroit habituel, prendre la ceinture avec mon épée en main et filer par la porte dérobée afin de rejoindre discrètement les écuries.

Quelques mots au jeune palefrenier le sommant de ne rien révéler et de m'aider à sortir par l'arrière du château et ce encore une fois loin des regards. Chose faite et à l'entrée de la forêt, je mettais mon épée en place, montais sur le cheval et filais en direction du campement teutonique.

Au galop, regardant de temps à autre en arrière pour voir si on ne m'avait pas suivi, j'empruntais les chemins les moins connus afin de ne pas me faire repérer.

Arrivée non loin du campement je ralentissais ma course pour arriver tranquillement au pas


[ Campement Teutonique, le 29 Octobre 1457 ]

Quelque pas avant de me laisser glisser de ma monture et de me diriger vers un homme. Un regard à droite, un regard derrière moi pour finir sur la gauche avant de revenir vers l'homme


Bonjour... où pourrais-je trouver votre Seneschall ?

et d'une voix basse

Je suis la comtesse mais je vous demanderai discrétion... nul ne sait que je suis ici, n'allez pas m'ameuter foule
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En cours de changements
--Escuyer_teutonique
[Camp Teutonique, le 29 Octobre 1457 ]

L'Escuyer en était à suivre les ordres de Hagden, lorsque une Dame à cheval fit irruption, quoique discrètement, dans le Camp Teutonique en pleine effervescence...

L'homme s'inclina devant cette Dame qui s'annonçait être la Comtesse... en personne.

Un peu surpris et gêné il lui demanda poliment d'attendre. Elle souhaitait voir "le Seneschall", et il n'en connaissait qu'un dans le coin. Aussi se dirigea t-il vers la tente du Teutonique qu'il avait suivi depuis très loin...


Messire Hagden, Dame Comtesse de Béarn souhaite vous voir ! dit -il d'un ton solennel.

Il faillit rajouter, "c'est pas une blague !" mais se retint. Il se devait de garder son sérieux, car l'heure était sérieuse...
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