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[RP] DE L'AUTRE CÔTÉ DU MIROIR...

Scheherazade
En rentrant de retraite, Schéhérazade s'était rendu compte la mort dans l'âme que son livre de poésies avait été perdu, après mûre réflexion, elle décida d'en créer un nouveau. Le fonctionnement restait le même, avec en plus une petite obligation pour ceux qui voulaient y mettre leurs pensées intimes ou inavouées, leur poèmes préférés, ou tout simplement leurs mots, se regarder dans un miroir, et écouter le murmure de leur petite voix intérieure…



Et comme toute bonne hôtesse, elle ouvrit le bal :

Sache que le monde tout entier est miroir,
dans chaque atome se trouvent
cent soleils flamboyants.
Si tu fends le cœur d'une seule goutte d'eau,
il en émerge cent purs océans.
Si tu examines chaque grain de poussière,
mille Adam peuvent y être découverts...
Un univers est caché dans une graine de millet ;
tout est rassemblé dans le point du présent...
De chaque point de ce cercle
sont tirées des milliers de formes.
Chaque point, dans sa rotation en cercle,
est tantôt un cercle,
tantôt une circonférence qui tourne.

Poème Mystique Persan
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Tout ce que j'aime est immoral ou fait grossir...

Scheherazade
Pour toi Mon Amour, ces paroles de troubadour... Elles décrivent tout l'amour que j'ai pour toi...

Le TUNNEL D'OR


Regarde, il gèle
Là sous mes yeux
Des stalactites de rêves
Trop vieux
Toutes ces promesses
Qui s'évaporent
Vers d'autres ciels
Vers d'autres ports
Et mes rêves s'accrochent à tes phalanges
Je t'aime trop fort, ça te dérange
Et mes rêves se brisent sur tes phalanges
Je t'aime trop fort
Mon ange, mon ange
De mille saveurs
Une seule me touche
Lorsque tes lèvres
Effleurent ma bouche
De tous ces vents,
Un seul m'emporte
Lorsque ton ombre
Passe ma porte
Et mes rêves s'accrochent à tes phalanges
Je t'aime trop fort, ça te dérange
Et mes rêves se brisent sur tes phalanges
Je t'aime trop fort
Mon ange, mon ange
Prends mes soupirs
Donne moi des larmes
A trop mourir
On pose les armes
Respire encore
Mon doux mensonge
Que sous ton souffle
Le temps s'allonge
Et mes rêves s'accrochent à tes phalanges
Je t'aime trop fort, ça te dérange
Et mes rêves se brisent sur tes phalanges
Je t'aime trop fort
Mon ange, mon ange
Seuls sur nos cendres
En équilibre
Mes poumons pleurent
Mon coeur est libre
Ta voix s'efface
De mes pensées
J'apprivoiserai
Ma liberté
Et mes rêves s'accrochent à tes phalanges
Je t'aime trop fort, ça te dérange
Et mes rêves se brisent sur tes phalanges
Je t'aime trop fort
Mon ange, mon ange..


Je t'aime ...

Chanson d'Aaron
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Tout ce que j'aime est immoral ou fait grossir...

Scheherazade
Assisse à son bureau , Schéhérazade l'esprit préoccupé, par un mauvais pressentiment , décidé de mettre des mots sur les maux, respirant profondément , elle prit sa plume de paon.
Et de pleins en déliés, sur le Grimoire des secrets, ce livre tant affectionné, elle donna forme à son angoisse...




Grimoire des mémoires



Grimoire de ma vie, remplit d’écriture de survie,

Où mes doigts, maintes fois, ont caressé ta plume,

Je referme tes pages, où le secret perdure,

Plus besoin de larmes, de mots ou de murmures…

Grimoire de mes secrets, enfouis dans mon âme,

Perdus dans le silence, qui tant de fois te réclame,

Je te ferme à jamais, le cœur saignant encore,

D’une grande révélation, aussi noire que de la mort…

Grimoire ensorceleur, tu m’as possédé,

Entre tes pages mortes, si durement serrés,

Contenu désespéré, mais n’ôtant pas la valeur,

D’un amour insensé, écrit avec mon cœur…

Grimoire obscur, bien ancré dans mes veines,

Mon souffle est coupé, je ravale ma peine,

Ma plume s’est posée, courant après ton âme,

Pour vivre à travers toi, au détriment de la page…

Grimoire pour un ange, aux ailes déployées,

Fuyant ma plume blanche, s’en allant apeuré,

J’ai combattu le démon, caressant ton corps,

Amnésie de mon âme, à ta plume de la mort…

Grimoire satanique, à chacune de mes lignes,

Je ne contrôle plus la plume de tes envies,

Sentant monter en moi, la sève du désir,

Aux délices de ton encre, abreuvant mon plaisir…

Grimoire maléfique, ôte ta plume noire,

Enlève le morose, laisse juste le rose

D’une vie sourire ,d’une prose avec toi,

Ange noir ou démon, parfois tu me fais peur,

Il y a-t-il un incube, au cœur blanc de douceur…

Qui m’aimerait moi, la sarrasine au grand cœur

Grimoire…de ta plume, noire sans couleur,

Tu fais couler mon encre, étaler ma douleur,

Et tu tâches mes pages, de noirceur sans valeur,

Mais l’encre de mon sang…pénétrera ton cœur…


Satisfaite et apaisée , elle souffla doucement sur le livre plein de confidences, le ferma et le posa en évidence sur le bureau d"ébène, l'avoir noirci de quelques mots avait alleger sa peine...
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Tout ce que j'aime est immoral ou fait grossir...

Scheherazade

Une nuit de tempête, les vents furieux et déchaînés hurlaient la fureur des dieux, le ciel semblait avoir été peint avec de l'encre de chine. Les nuages eux-même se battaient désespérément pour survivre...
La pluie crachait de petits clous qui venaient cogner contre les vitres.
Ce bruit assourdissant à cette heure avancée de la nuit aurait rendu fou les plus calme d'entre nous. Il résonnait aussi fort que des coups de marteaux, Schéhérazade perturbée se réveilla, cherchant d’une main aveugle son mari . Ne le trouvant pas ,elle s’assit droite, le cœur battant à tout rompre, écoutant les lamentations de la nature hystérique.
Grelottante, elle sortit de sa couche, attrapa son châle , s’emmitoufla dedans et partit regarder dehors, lui apparut un paysage chaotique et fantasmagorique, les arbres courbaient l’échine devant un roi invisible, le vent.
Roi puissant, fort de son souffle d’airain , il éparpillait sans pitié toute la flore avoisinante en criant vengeance et punition…
Les feuilles telles les âmes des égarés, prisonniers des limbes, flottaient si haut dans le Ciel qu’on avait l’impression qu’ils remontaient tout droit vers leur créateur cherchant une quelconque absolution.
Le mugissement du vent était lui, le pire, il s’apparentait au cri d’une vielle sorcière assoiffée de sang.
La bédouine habituée seulement au Sirocco, tremblait d’effroi devant un tel vacarme.
Frissonnante, elle laissa ce spectacle absurde et déprimant, rajouta une bûche dans la cheminée, puis s’installa à son bureau, se rassurant comme elle le pouvait, elle regrettait amèrement l’absence de son époux, son géant Atlas ,car lui l’aurait sûrement enlacés de ses grand bras vigoureux et fort et l’aurait bercée jusqu'à ce qu’elle s’endorme.
Secouant sa tête, chassant les mauvais esprits de la nuits, elle récita une incantation de chez elle, puis presque sans s’en rendre compte, elle prit sa plume, se mit à écrire, exorcisant ainsi sa peur et son amertume…





La peur

La peur a ouvert les portes de la nuit, la peur s’est invitée dans mon lit ,
Elle vient m’offrir en cadeau un collier d’ombre et d’oubli.
La peur de disparaître au matin dans un nuage de fumées et de pluie
La peur que tu me lâches la main sur le chemin de notre vie
La peur de me retrouver dans la campagne des visages désolés
La peur de perdre ma moitié et de toujours porter le manteau du regret
La peur de ne plus voir le bleu de tes yeux gris, ta bouche immense qui me sourit
La peur dès que je scrute la nuit de n’y voir que du néant gémissant
La peur que toi tu m’oublies, que tes mots soient avides d’un autre cœur
La peur de mourir , de ne laisser aucun souvenir , ni derrière moi ni devant
La peur d’avoir tout rêvé et de m’être laisser achetée par Satan….


Les mots enfin écrits sur le grimoire, la bédouine souffla sur l'encre puis blottit sa tête entre ses bras, les hurlements des fils d'Éole semblaient plus étouffés, la sarrasine resta un long moment dans cette position, espérant devenir sourde à la tempête et au vent...
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Scheherazade
Au petit matin, sché se réveilla, engourdie et toute courbaturée , dormir assise n'était pas vraiment du meilleur confort.
Telle une chatte, ronde et dodue, Schéhérazade s'étira doucement avec volupté; sentant tous ses os craquer et gémir, elle sourit, un sourire pus proche de la grimace douloureuse que d'une manifestation de joie.


"Et bien ma grande, quand cesseras -tu d'avoir peur des fils d'Éole ???"

Puis elle partit en direction de la cuisine, une bonne tasse de thé et hop,la journée paraissaitplus ensoleillée.
De retour dans sa chambre, la tasse fumante , prise d'une subite inspiration , elle saisit la plume de paon et se mit à écrire rapidement.
La plume glissait sur le papier, comme si elle était possédée, par on se sait quel génie, les mots fusaient tous seuls et prenaient vie sur le grimoire...



J'espère mais jamais je ne désespère


J’espère que tu reviendras auprès de moi
J’espère que le jour sur la nuit se lèvera
J’espère que la pluie de mes yeux cessera
J’espère que la peur du vent me passera
J’espère que le brouillard dans mon cœur se dissipera
J’espère que le bruit de la jalousie s’atténuera
J’espère que dans nos vies l’été enfin s’installera
J’espère que la rosée de tes baisers me rafraîchira
J’espère que le vent de tes murmures me portera
J’espère que l’océan de tes bras me bercera
J’espère et je prie qu’à mon réveil tu seras là
J’espère que ton amour de tendresse m’enveloppera
Je ne désespère pas d’espérer, ni de t’aimer…



Les mots, une fois écrits, restaient, ainsi les prisonniers à vie de ce livre, et malgré eux, se résignaient à ne jamais connaitre l'oubli...
La bédouine regarda par la fenêtre, un soleil radieux chauffait le ciel et les coeurs, l'immense espace bleu semblait avoir été essuyé de tous ses nuages sombres et crasseux, même les feuilles hystériques de la nuit précédente,
semblait avoir fait amende honorable, elles étaient toutes rangées les unes à côté des autres, comme des petites filles sages...

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Scheherazade
Assise à son bureau, Schéhérazade, le regard perdu dans les nues, comptait les jours, même la joie de retrouver son fils Coyotte et sa Lilie chérie, ne remplissait pas le vide absolu que son Diable de mari avait laissé en partant chez les moines… Soupirant à fendre la pierre, La bédouine prit son fidèle grimoire et y laissa courir sa plume, les mots venaient d’eux-mêmes, cascade de paroles, écriture salvatrice, unique délivrance à Sa souffrance…

Dans ta main :


Allongée, alanguie, je rêve de douces nuits, l’âme coquine.
Tes mains caressant ma peau couleur ambrée, parfumée, sucrée. J’imagine…
Je pense à des orgies romaines, des fresque érotiques m'assaillent l'esprit.
Nos deux corps enlacés sur le marbre glacé, jumeaux siamois possédés.
Seul écho, le bruit de leurs mouvements, saccadés, passionnés.
Unique réponse au crépitement du feu, nos gémissements,
nos chuchotis secrets.
Mon regard d’ébène dans le bleuté de tes yeux se noie
Ma couleur dorée mélangée à l’ivoire de ta peau
Devant les flammes ont longtemps dansés …
Ensorcelés, la lune et les étoiles en notre faveur ont témoignées...
La FAIM ! Ont-elles plaidées. Une faim de nous mêmes sans fin…
Tu me tiens désormais précieusement dans le creux de ta main.
Où j'attends que tu t'invites dans le volcan de mes reins.
Pour embraser ma vie d'un rouge flamboyant, dévorant …
Ce rouge carnivore des joutes sexuelles endiablées,
Ce rouge assassin qui sans pitié nous dévore...
Ce mâle vêtu de carmin, que l’on nomme diable au corps…



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Puce019
Puce avait aujourd'hui la poésie dans l'âme, decida de se rendre au bureau de sa soeur est d'écrire

Viens tu du ciel profond ou sort tu de l'abîme,
Ô mon Roi ! ton regard infernal et divin
verse confusément le bienfait et le crime
Et l'on peut pour cela te comparer au vin.

Tu contiens dans ton oeil le couchant et l'aurore
Tu répands des parfums comme un soir orageux
Tes baisers sont un philtre et ta bouche une amphore
Qui font le héros lache et l'enfant courageux.

Que tu vienne du ciel ou de l'enfer , qu'importe
Ô mon Roi! monstre énorme, effrayant ingénu
Si ton oeil, ton sourir, ton pied m'ouvre la porte
D'un infini que j'aime et n'ai jamais connu.


Puce referma le grimoire, et repartit comme elle était venu
Puce019
Puce fît demi tour, un éclair de poesie etait venu a elle, elle réouvrit le livre et se mis à écrire quelque ligne

Un jour tu a allumée la petite bougie,
Et tu faisais brillée cette flamme chaque jour un peu plus fort,
Et puis un jour tu a soufflet tellement fort,
Que la cire a coulé
Et brullé mon coeur


Une fois terminée , elle retrouva la sortie en esperant qu'une lumiére viennent lui frappé l'esprit de poésie
Puce019
Apres un tour dans les ruelles de Bourbon Puce revint inspirée

Nébuleuse créature de la nuit
Dans les saphirs scintillants
Océan de purté m'irradiant
Une profondeur astrale luit

Sur ton berceau de roses sang
chaire chaude dominée frémissa
Extace glaciale de rochers glissants
Sillure rougeatre délicate s'immisça

Envolée d'une soie neige, un souffle
Effleurement luxurieux d'une prêtresse
L'immolation frénétique m'emmitoufle
Ses racines creuse pleine d'ivresse

Absorbe l'élixir de l'éternelle pâleur
Jouis insatiable d'une mortelle union
Plénitude du plaisir et de la douleur
Impromptu abandon de tes passions.


Scheherazade
Après avoir lu les textes de sa soeur de coeur , la bédouine de bien morose humeur, ajouta un texte, qu'elle avait écrit comme un hymne contre le désespoir...



Au bord du précipice


A genoux face à la mer, je regarde les remous et me désespère, l’orage gronde en moi, le vent rageur et impétueux, me fouette de ses bourrasques, un violent combat entre la vie et la mort s'installe en moi faisant rage, ce brouhaha intérieur me pousse insidieusement vers l’attirant et escarpé rivage ….
Les vagues qui vont et qui viennent m’appellent, diaboliques sirènes, ces lames ondoyantes transportent l’amour, la haine…
Cette écume mousseuse et blanche parfumée de regrets amers …
Ô Désespoir, unique locataire au fond de moi, ce vague à l’âme qui me prend et m’étrangle, me secoue, me remue, il me tue !
Sans que je puisse rien y faire, sans que je puisse m’en défaire… je reste là le cœur lourd, je crie , je pleure, je désespère…
Cette rage devenue eau bouillonnante farfouille tous les recoins de mon corps, lessive mon cœur, l’éclabousse de regrets, de malheurs,
Celle là même qui arrive sans prévenir et vous broie, assassine vos rires.
Elle, la coupable, l’assassin qui exhume tous les cadavres, les ressuscite, les ravive, à titre posthume, vous plombant le cœur d’une enclume.
Cette amertume au goût si détestable que jaillissent vos larmes, seul moyen de desserrer ce nœud étouffant, ces doigts crochus qui vous attirent vers le gouffre, vous enfoncent vers l’abîme incertitude, vous enduit de vert-de-gris jalousie, vous donne envie de mourir instantanément !
Telle la vague qui va se briser sur le rocher …. Je voudrais m’y jeter moi aussi, mais je ne le ferais pas ,car seul mot Espoir résonne et fait écho en moi…
Je suffoque,le coeur en déroute, l'esprit en émoi...
Puis tout à coup une lumière vive, le soleil, vous cajolant, vous réconfortant, rappelant d’une caresse douce et chaude que vous êtes vivant.
Puis monte en vous un cri venant de nulle part, une résistance ultime au chagrin qui vous enterre, dernier rempart : la vie tout simplement, qui reprend son bien.
Le ressac de l’eau qui vous calme, qui vous berce…Magnifique musique aquatique qui accompagne cet instant extatique.
Je me relève alors, et je respire, je respire, Oui ! je respire !


Si puissamment que mes poumons avides et gourmands s’emplissent de cet air marin, si vivifiant, j’expire, l’angoisse à disparue…
Je me tiens là face à cette immensité qui me domine, et je souris de nouveau à la vie qui en moi doucement se ranime, Dame Providence dessine mon avenir de ses belles mains …
J’écoute le va-et-vient des vagues, la tempête est passée enfin… je me retourne et m’en vais libre vers ma destinée…





"Il étendit Sa main d'en haut, Il me saisit, Il me retira des grandes eaux. " 2 Samuel 22:17


Une bédouine égarée…
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Scheherazade
Après avoir déjeuner avec ses deux enfants en taverne, Schéhérazade rentra chez elle, le coeur léger, léger, gonfler d'une bouffée d'amour.
Elle prit son grimoire fétiche, pour leur dédier cette Ode sur l'amour maternel. Ses enfants étaient un véritable don de Dieu, et la sarrasine les adorait d'un amour incommensurable...



Mes perles

Dans un village aussi doux et sucré qu’un bonbon
Mon village d’adoption, mon cœur, ma maison...
Ce village est devenu mon port d’attache: BOURBON…
J’ai trouvé une perle rare, véritable richesse
Elle avait de magnifique couleurs
Elle a irisé ma vie de mille bonheurs
Cette perle bleue comme la mer
C’est ma fille Lillie qui m’a rendue mère
Depuis ma vie est pleine de rires et d’allégresse
Les mois ont passés et à nouveau, j’ai trouvé
Une autre perle plus noire que la nuit,
Plus dure que l’onyx, un diamant noir,
Scintillant de beauté, Unique et rare…
Cette perle, c’est mon fils Coyotte
Ma fortune, grâce à lui à décuplée
Ma chance d’être maman a doublée
Chacun avaient sa couleur, originale et inégalable
Pourtant ils se ressemblaient comme frère et sœur
Pas d’apparence mais unis par le cœur,
A mes deux enfant :
En vérité, je vous le dis !
On pourra empêcher la lune de suivre le jour
On pourra empêcher le soleil d’aimer la nuit
On pourra m’empêcher de respirer
On pourra m’empêcher de vivre
Mais jamais ! Jamais on ne pourra
M’empêcher de vous aimer.
Mes deux perles adorées…



Perle LilliePerle Coyotte

Pour Lillie et Coyotte , votre maman qui vous aime très fort, merci de m’avoir adoptée...
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Coyotte
Coyotte ayant eut une inspiration, il décida d'écrire dans le grimoire.


Cette Dame :

Depuis que je l'ai rencontrée
Je ne peux m'empêcher
De penser à elle.
Tous les jours où que je sois
Même dans les ruelles
Je la vois.

Est-ce par hasard ?
Ou bien est-ce le désespoir ?
Puisque même quand il est tard
Et que la nuit est tombée
Elle semble toujours me traquer.


Coyotte leva sa plume, regarda une dernière fois son "poème" et s'en alla.
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La femme est l'instrument qu'emploie le diable pour posséder nos âmes...
Puce019
Puce se promener dans le coin et eu une pensée pour sa soeur de coeur et se mise à écrire


Tu trouveras dans ce poème

Tout ce que j'aimerais te dire

Je n'ai pas appris

A m'exprimer autrement

Que part écrit.



Je ne suis pas de ton sang

Mais est-ce vraiment important ?

Tu es entrée dans ma vie

A un instant bien précis

Tout espoir s’était envolé

Tout amour, effacé

Et mon cœur fermé.



Je sais

Il t’a fallu beaucoup de patience

Je sais

Il m’a fallu beaucoup de temps

Pour te faire entrer dans mon existence

Pour te faire confiance

Pour me dévoiler

Tout simplement.

Je ne sais comment tu as fait

Mais tu as percé le plus grand de mes secrets

Cette blessure cachée



Ma fée, de ta poudre magique

Tu as éblouie ma vie

Et fait naitre en moi

Cette parcelle de joie

Que je croyais perdue à jamais

Ma fée, de ta poudre magique

Mes larmes, tu les as séchées,

Et mon cœur, tu as égayé.

Ma fée, de ta poudre magique

Tu as éveillé des sentiments perdus

En ta présence, ma peine, j’oublie



Ma petite rose enracinée

Dans le jardin de mon cœur

Ma petite fleur

Tu y as déployé

Tes pétales de douceur et d'amour

Tu m'as appris à aimer

Ce sentiment perdu



Si un jour, tu venais à m'oublier

Mon cœur serait à jamais brisé

Que m'as-tu fait ?



Je serais toujours

Là pour toi.

Pour partager tes peines

Que je fais miennes

Pour partager tes joies

Tu es la Seule

Te remplacer, jamais

Tu fais entièrement partie de ma vie Désormais

Tu es ma petite fée

Tu es mon rayon de soleil

Tu es ma Sœur de Cœur

et je t'adore



Puce fier de son poème espere que ca lui ira droit au coeur, car elle le pense tellement qu'il fallait le lui écrire d'un façon qu'elle adore
pnj
Titus osa approcher et regarder à travers ce miroir il y lu...

Fragiles murs construits des briques de l’apparence,
Chaque jour nos milliers de visages se croisent en slience,
Guettant l’amour violent d’un autre regard,
Celui qui se détourne de nos yeux, sous son far.

Une multitude de façades sombrement colorées,
Que chacun se plaît à essayer d’aimer
Mais le dernier verdict sera sans failles,
Un grand refus heurtera toutes ces murailles.

Et quand la nuit épouse notre solitude,
Que le sommeil nous envahit de toute sa plénitude,
Il arrive qu’on entende tomber sur le plancher
Le lourd masque porté au long de la journée.

On peut alors le matin, devant son miroir,
Choisir de nouveau celui qu’on portera jusqu’au soir,
Ou alors choisir d’apprendre à se dévoiler,
Pour continuer de fantasmer et enfin commencer à aimer…



Esquissant un sourire timide, il se retourna et s'en alla...
Puce019
Puce eu une folle envie d'écrire sa pensée, elle alla directement au bureau de sa soeur avant de perdre ses mots et son texte.
Elle pris une plume ouvra le livre et se mise a écrire


Mon coeur a fait naufrage
Il est au loin vers le large
Mon corps est resté sur la plage
Mon âme est partie en voyage.

Un voyage dans le trèsfond
Après avoir tourné en rond
Je sens qu'elle touche le fond
Là où mon sommeil est profond

Profond et revenant de loin,
Mon sang reprend son chemin.
Il était glacé, mais je respire
Car il fait partie de mon avenir.

Mon avenir, je ne le vois pas
J'ai beau regarder au-delà
La vie me prend et m'use
Mes pensées sont confuses.

Confuses et bien sombres,
Mon coeur est à l'ombre
Il y fait toujours froid et noir
Pourtant mon sang était espoir.



Puce repartie, avec son humeur noire comme sa plume
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