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[RP] L'arbre aux počtes...

Marcovinci
Marco avait cheminé de nuit et arrivait à la capitale. Il avait entendu depuis bien longtemps qu'il y existait un arbre au pied duquel il portait bonheur d'y apporter un écrit, un poème afin d'y étaler ses pensées, ses rêveries...

Sortant un parchemin de bonne qualité qu'il avait apporté, il commença à griffonner quelques vers...

De notre première rencontre vous n'en avez pas le souvenir
De votre premier regard j'en ai été moi même bouleversé

Si je devais trouver un mot qui me vient en y pensant :aimer
Si nous avions à nous rencontrer je ne saurais le dire

Car je suis pret à attendre non pas de vous revoir car je suis invisible
Car je suis pret à voir tous ceux que vous choisirez avant moi

Mais ne vous détrompez pas, ces quelques mots sont sincères
Mais je sais que vous ne les verrez que si vous venez ici


Enroulant le parchemin, Marco le posa au pied de l'arbre, souriant...
Locke
Locke se promenait ce soir, Passé à la caserne déserte, il s'était attardé sur la place du marché avant de venir chercher ici le plaisir des mots. Lire les auteurs aux talents divers, se réjouir d'un joli vers ou d'une rime agile. Ses doigts passaient d'un parchemin à l'autre. Et sa muse lui vint à l'esprit. Il se levait avec elle et se couchait avec elle. Elle était sa première et sa dernière pensée. Il sourit tendrement, murmurant aux feuilles de papiers ... Elle est mon ange ... ma lumière ... mon ... mon aurore ... et le plume poursuivit ...



Mon aurore se lève toujours avec le soleil,
Offrant sa peau à la chaleur de ses rayons
Que ma paume endormie cherche à tâtons
Avant que ses lèvres chaudes ne m'éveillent.

Mon aurore achève nos nuits dans ses soupirs
Froissant les draps sous nos corps paresseux,
Déchirant les ténèbres de nos sorts amoureux.
S'en vient le jour quand s'apaisent les plaisirs.

Mon aurore enlace mes ombres dans sa clarté,
Dissipant l'obscur de ses prunelles si claires
J'étais le mot et elle la plume que j'espère
Mêlant nos encres et mes pleins à ses déliés.

Je suis le crépuscule attendri de mon aurore
Veillant les heures tendres de son sommeil
Dans la chaleur d'un amour qui m'émerveille,
Avec cette seule ambition que de l'aimer encore.

_________________
Locke
Quelques mots griffonnée sans prétention alors que la nuit accompagne sa plume, Locke pense à son amour ....


Ce soir la lune est claire,
La voute sans un éclair
Je me vêt de son silence,
De sa blonde iridescence.

Ton sourire dans son éclat
Me garde près de toi, là
Dans l'ombre, endormie,
Je vois ton reflet ma mie

Tes prunelles dans les étoiles
Ton souffle dans mes voiles
Gonflant l'esquif de mon coeur
Vers le doux port de ta chaleur.

La lune est si claire ce soir
Et je pose sur toi mon regard
Boucles brunes sur ton visage
Au sourire tendre et sage.

Je garde ton corps et je veille
j'attends le jour et ton réveil,
Quand tes émeraudes se font précieuse
A l'aube d'une journée plus heureuse.


Accrochant à l'arbre étonnant une feuille de plus, il sourit et se hâte de rejoindre le sommeil de son ange, murmurant à la feuille inerte et à la lune combien il aimait sa brune ...
_________________
Aphrodyti
Dans l'impatience qui la rongeait comme chaque jour, elle eut envie ce matin de l’extérioriser de quelques mots et les accrocha à l'arbre aux milles poèmes.



Patience,
Je le vois,chaque jour, à la fois si près de moi et si loin
Je le vois mais je ne peux ni le toucher, ni lui parler

Patience,
Elle me ronge cette envie que je garde avec soin
Elle me rend folle cette idée dans ma tête, à tourner

Patience,
Je ne sais plus trop où la chercher, où la prendre
Il me tarde chaque jour les quelques minutes dérobées

Patience,
Il parait que c'est une vertu, mais c'est un calvaire tendre
Il parait que l'amour et la patience ne peuvent se conjuguer

_________________
Neige_barrow
Se promenant Neige se rapprocha d'un drôle d'arbre .....Elle regarda et sourit voyant des milliers de poèmes , elle s'assis contre l'arbre , fouilla dans sa besace , en sortie un parchemin et avec sa plume puis annota....

J'ai rêvée que la neige brulait
J'ai rêvée que le soleil fondait
Toujours en rêvant l'impossible
J'ai rêvée que tu m'aimais



Neige se releva , accrocha son poème a l'arbre et disparue.......

_________________
Ennimia
Elle n'y comprenait rien, comme si l'air était poison pour elle ici. Elle voulait tant l'aimer, cette ville, mais elle n'y arrivait pas. Chaque rencontre, chaque lieu, creusait un peu plus la douleur en elle. Oh... certains arrivaient à lui faire entrevoir une étincelle de joie... mais c'était de si courte durée... Elle était pourtant soleil, ardeur, lumière! Que lui arrivait-il...



De soleil à nuage

Étrange mélopée qui dès le premier jour
Enveloppe son âme et retient le bonheur
De pouvoir partager simplement d'heure en heure
Un regard, un sourire, une aube à contrejour

De nuage à brume

Lourdeur de chaque instant entre quelques espoirs
Le temps file et se meurt aux portes des tavernes
Quand paroles, gestes ne sont que balivernes
Un serrement au coeur sitôt que vient le soir

De brume à pluie

Fragile confidence, une envie de pleurer
Larmes de sang, de rage... un souvenir perdu
Au bord des yeux se cache un sentiment déchu
Farandole de peur qui fait s'agenouiller

De pluie à froid

Trembler pour un moment, grelotter, soupirer
Sentir son âme douce étreindre la furie
Gronder au fond de soi sans le moindre sursis
Sinon que le vent tourne et très fort l'espérer

De froid à noirceur

Un jour ou déjà deux c'est beaucoup trop de mal
Le feu s'éteint dehors, la lumière au-dedans
N'être plus que cette ombre comme auparavant
Pas même éclat de lune en le ciel automnal

De noirceur à mort

Errer, tomber, se relever et choir encore
Périr si vite et sans jamais avoir connu
Bonheur, douceur, tendresse à jamais disparu
Il est fer, il est fort le parfum de la mort...

_________________
Arnaut.du.perray


Arnaut alla poser un poème a l'arbre, ca faisait si longtemps qu'il ne l'avait visité...
Citation:

J'ai envie de me tuer, me suicider

De tout quitter, tout abandonner

Pour ne plus souffrir, juste mourir

Ne plus avoir mal, ne plus rien sentir



Je veux qu'on me laisse partir

Qu'on ne m'interdise pas de mourir

Je veux passer de l'autre côté

Pour enfin arrêter de pleurer



Rien ne pourra m'empêcher

De mettre fin à ma vie

Cette vie qui n'est pas jolie

Et qui me fait pleurer



Mais ma plus grande tristesse

C'est de loin ce cruel amour

Qui m'a encore joué un tour

Et qui me laisse dans ma détresse



Personne pour m'aimer assez

Pour m'accepter telle que je suis

Pour me faire sourire, rire et vivre

Pleurer de joie, rêver et espérer…



Je n'vais pas culpabiliser sur mon sort

Mais juste une chose je vous en prie

Laissez-moi vivre ma mort

Qui sera plus belle que ma vie…

_________________


Anwar
Anwar passa près de l'arbre a poème et décida de dédier son premier poème a Elyaelle sa grande soeur

Citation:

La plus belle chose qui me soit jamais arrivé
C’est de t’avoir rencontrée
Tu es rentrée dans ma vie
Pour j’espère ne jamais en sortir

Pour moi, tu es devenue ma grande sœur
Celle que j’ai voulue dans mon cœur
Une grande sœur que j’ai aimé
Et que j’aimerai pour l’éternité

Dans ma vie, sans ta présence
J’aurai une terrible absence
C’est aujourd’hui que je prends conscience
Que pour moi tu as tellement d’importance

Aucun mot n’est assez puissant
Mais, merci d’être toi tout simplement
Je t’admire et je te remercie
D’être rentrer dans ma vie

Tu loges dans mes pensées
Tu nages dans ma tendresse
Tu resteras dans mon cœur,
A jamais, MA grande sœur

Merci pour tous ce que tu as fait pour moi
Je ne cesserai jamais de te le dire,
Tu es mon amie, ma grande sœur de cœur
Celle qui m’écoute et me comprend
Et cela très souvent

Je ne sais pas comment te l’écrire
Ni même comment te le dire
Même un merci ne suffit pas
Je t’en supplie, ne m’oublie pas
Locke
Locke sourit, quelques mots trottant dans sa tête depuis que sa brune était retournée chez eux pour se reposer. Avant de la rejoindre il s'attarda à l'arbre aux feuilles de parchemin :


S'éveiller doucement dans la douceur
Tes lèvres, ensommeillée sur les miennes
Et comme le jour à la nuit en ces heures
D'aurores, mélanger mon âme à la tienne.

Et passer avec toi ces longues heures
Dessiner sous mes doigts ton sourire
Refaire ensemble d'autres ailleurs
Ruisseler sous les éclats de tes rires.

Puis s'étreindre quand le soir descend
Un rire murmuré conclut d'un baiser
Nos corps enlacés du plaisir des amants
Répétant la grammaire du verbe aimer

Parce que c'est toi chaque jour un peu plus
Dont mon coeur a besoin pour respirer
Parce que c'est toi mon air, mon absolue
Chaque instant comme une éternité.


Il hocha la tête et accrocha ses pensées rimées avant d'aller rejoindre sa moitié ...

_________________
Theolenn
Il est des cadeaux somptueux dont le ciel nous gratifie parfois, comme pour nous signifier que...
Angel, vous en étiez un, le plus beau qu'il m'ait été donné de recevoir.
Votre Dieu est le mien, le dieu du coeur, puisqu'il a permis que vous existiez, que nous fassions ensemble ce chemin si symbolique...
Que le temps me sembla court en votre présence...
Un mois, un tout petit mois, comme une seconde...

"Mon ami si cher, utopiste et doux conteur
L'empreinte de votre main est gravée dans la mienne
Si profond comme vos rimes d'une finesse divine
Qui emplissaient mon âme d'une liesse infinie

Je ne crois pas au Très-Haut mais en son messager
A chacun de mes pas, je regarde le ciel
Des fois qu'un jour, dans un vent ami, un signe
Vienne rallumer mon cœur au feu de votre étoile

Vous êtes là, éclatant, dans un grain de poussière
Vif de cet éclat et riant de l'éphémère
Mon gardien zélé dans ce monde si arbitraire
Où les ombres n'ont pour armes que d'amères chimères …"



Et le monde est à nouveau vide ... et froid...

_________________
--Demoiselle.du.beon


Je suis un nuage,
D'abord tout petit, clair et lumineux
Je grandi tranquille dans un ciel bleu
Rien ne peut, je crois comme pas deux
Pouvoir assombrir un nuage heureux

Je suis un nuage,
Qui a appris à ses dépends que la vie
Ne courre pas tel un torrent dans son lit
Et j'ai commencé à faire le plein de pluie
Tristes larmes d'une douce melancolie

Je suis un nuage,
J'ai grossi, devenu gris, je tremble de rage
La vie et ses bourrasques de vent pas sage
Ont fait de moi une tempête, un cœur d'orage
Je finis par exploser, je pleure, un vrai carnage

Je suis un nuage,
J'ai disparu avec la nuit, emporté tout loin
Effiloché par le malheur, je ne suis plus rien
Celui qui m'a vu et reconnu le saura bien
Après la pluie, le beau temps toujours revient
Keira.
Une rencontre, un moment de rire
Et en un instant leurs cœurs chavirent.
Ils sont de ceux qui ne croient pas au destin.
De ceux qui se disent qu'il n'y aura jamais de fin.

L'amour est un beau sentiment, éphémère ...
Il apporte tendresse et bien être dans une vie amère.

Elle ne réalise pas, c’est trop beau !il dit l'aimer !
Pauvre fille au cœur sensible, bientot il sera brisé !
Il promet amour, tendresse, câlin, que du blabla ...
C’est un homme et comme les autres, il la trompera.

L'amour est un beau sentiment, éphémère.
Pauvre fille au cœur brisé, t’aurai du écouter ta mère !
Soeur_leudeberte


Alix vient déposer un parchemin, en espérant qu'IL le lira...

Citation:

Tel il est vrai qu'écume s'échouera sur le sable...
Tel le soleil brûlant les dunes sahariennes...
Tel il était idiot, irréel, improbable
Que je ne t'aime point, que je ne sois pas tienne...

Je t'ai donné ma vie, mon futur, mon passé.
Souviens-toi, mon aimé, de ces années dernières,
Qui filant comme vent nous avaient séparés !
C'est en leur nom que je t'ai offert ma lumière !

Las... Ne la souffle pas, ne la laisse mourir !
Alimente ce feu de tendresses et présences
Sous peine de me voir à jamais dépérir
Et sombrer dans un noir et trop profond silence...

N'oublie pas que destin ou vile méchanceté,
Nous a déjà de mois et de mois éloignés !
Ne laisse pas l'indifférence remplacer
Cet amour enchanteur résistant aux années.

Car je t'aime... Telle vague qui s'en va et revient.
Car je t'aime... Tel soleil inondant ton chemin.
Car je t'aime : je suis tienne autant que tu es mien.

Alix.


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Jephte
.
Victoria.d.alaya
Il avait encore neigé cette nuit la, la jeune fille n'en avait jamais vu autant et cela la ravissait. Elle avait décidé de faire une promenade, ses pas l'avait guidés jusqu’à l'arbre aux poèmes.

Victoria en avait lu quelques uns, avait sourit en reconnaissant certains écrits, puis avait décidé de poser quelques mots sur ce blanc bonheur.




C'est par un beau matin d'hiver
Que je suis née sur cette terre
Une douce journée froide et gelée
Dans le ciel, des nuages emmêlés

C'est ici que je grandis jour après jour
Dans le cœur et le regard de chacun
Je change sous les caresses de certains
Et sous les rires d'un temps d'amour

J'aime les hommes et leur imagination
Roulez avec moi dans la blanche douceur
Réchauffez moi, profitez de ma candeur
Jusque sous le soleil, ensemble rions

Et puis quand le froid vous aura envahi
Vous me quitterez, il en sera fini de ma vie
Une autre, plus brulante, vous aimerez
Lorsque j'aurais fondu, disparue à tout jamais

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Wolf song (Celtic version)
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