Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6   >   >>

Brigands à Noirlac !

Ellya
Le soldat hocha la tête en signe de consentement.

Alors qu'Ellya se retournait, prête à se diriger vers l'immense porte en bois, Kro la retint par le bras, la forçant à se retourner.


Ellya, dites moi tout. Qui est cette voyageuse, quel est son nom ? Et vous, qui êtes-vous ? Que venez-vous faire vraiment dans cette abbaye ? Vous n'avez rien d'une...


Il se tut l'espace d'un instant, puis finit par la regarder droit dans les yeux avant de reprendre:

.... Vous n'avez rien d'une femme qui se destine à l'église, enfin vous êtes si jeune, quel gâchis ! Et êtes-vous sûre de vouloir savoir ce qui se passe derrière ce manoir ?


Déstabilisée, la jeune fille mit quelques temps avant de reprendre ses moyens.

Voyageuse? Vous parlez de Dame Safranne? Je ne sais rien d'elle, que croyez-vous donc? Et qui suis-je? Pour un soldat, vous aimez drôlement papoter inutilement...

Puis, reprenant un ton plus conciliant,

J'adorerai vous en raconter plus, messire Kro, mais, sur l'heure, je crois qu'il serait préférable de nous dépêcher. La demeure est grande et si l'on attend, jamais on ne les retrouvera.
Et pour ce qui est de ma curiosité quant à cet endroit, je compte bien l'assouvir.


Ellya regarda à son tour le soldat dans les yeux, et lui lança un clin d'œil.

Si jamais des fantômes nous attaquent, vous pourrez toujours vous cacher derrière moi!

Puis elle se dégagea gentiment de la poigne du soldat en riant, et s'avança vers le manoir.
Au moment où le soldat poussait enfin la porte, elle reprit la parole.


Vous savez, beaucoup gâchent leur vie avec des hommes odieux, violents et malhonnêtes. Mon choix n'est pas plus mauvais qu'un autre.

Sur ces paroles, Ellya s'engouffra à son tour dans la pénombre de la demeure.
Kronembourg
Il avait bu chacune de ses paroles en essayant chaque fois d'en comprendre véritablement le sens. L'esprit de Kro était - fallait-il le rappeler - un peu limité :
= Viande + Diia + Ronfler dans le verger. Et ouvrir un oeil une fois par mois pour contrôler les douanes au cas où Kama se pointerait.

Lui qui pensait s'adresser à une jouvancelle au moins aussi naïve que lui, voilà qu'elle le laissait sans véritable réponse.

Un vent frais parcourait les alentours du manoir.


Si jamais des fantômes nous attaquent, vous pourrez toujours vous cacher derrière moi!

Qu'elle était charmante dans toute son innocence à vouloir tout comprendre. Kro, lui, savait qu'on y gagnait pas forcément à pénétrer l'impénétrable. Il en avait fait les frais à mainte reprise au nom d'une soit-disante vérité qui lui avait toujours desservi. Il voulait épargner cela à Ellya. Il lâcha la parole fatale.


C'est d'accord Dame, allons-y.


Elle ne lui avait pas laissé le temps de réfléchir qu'il comprit qu'elle attendait déjà qu'il ouvre la porte.
Kro donna un grand coup, humpf, deux grands coups d'épaule contre le bois témoin d'une ouverture récente.
Il prit la main d'Ellya dans la pénombre et avança à l'intérieur du boyau, espérant que leurs deux prédécesseurs avaient laissé des traces de vie derrière eux.
Safranne LaFiole
La pièce est ben sombre et tu l'éclaires pas par ton intelligence ! Une idée lumineuse p't-être?

Je tâtonnais dans le noir, montant ma main sur ce que je suposai être une rampe.

C'est qu'un escalier, l'benêt! T'sais où ça mène?

J'me retournais vers lui qui fermait la porte.

R'bloque-la, c'te porte. On sait jamais.

Je ne voyais strictement rien autour. Je montai une à une les marches qui me menèrent bientôt vers une porte. Une faible lumière passait par le dessous de ce qui me sembla, pour l'avoir effleurer des doigts, une simple porte, sans même une serrure pour la fermer.

Y connaissent donc pas la prudence ! Même après la v'nue d'brigands?


Je le dis assez haut pour que le moine qui me suivait m'entende.
Eloin
Une nuit sans lune... Mais pas sans lumière... Comme parfois, les étoiles donnaient assez de lumière pour remplacer l'obscurité que l'absence d'astre lunaire laissait dans le ciel obscur.
Une nuit noire -ou presque- donc, et emplie de mystères et de promesses pour certains, d'inquiétude et de menaces pour d'aultres. Une nuit noire qui avaict faict fuir son sommeil, elle qui avaict pourtant pris plusieurs tasses de tisane apaisante depuys la dernière messe dicte en compagnie des moines. Le dernier repas du soir avaict esté léger, comme d'ordinaire, et il avaict fallu qu'elle prenne un morceau de brioche dans sa cellule pour sustenter ses appetits d'ogresse. Brioche confectionnée au coeur d'une des nuitées précédentes, alors que chacun des moines dormait paisiblement. Et la patisserie reposait sur son bureau, caché sous un carré de tissu qui ressemblait à s'y méprendre à un drap plié en plusieurs épaisseurs...

Mais pour le moment, ce n'estait point cela qui la préoccupait. Non, ce qui inquiétait sérieusement l'intendante de l'Abbaye, ce soir, c'estait les quatres personnes qui s'estaient introduites dans le vieux manoir. Elle n'irait point les dénoncer, non, elle n'estait point ainsi, et elle n'en retirerait nul profit. Au contraire, on pourrait fort bien l'accuser d'estre complice...
Un coup de vent écarta les pans de sa cape, qu'elle ramena bien vite contre elle, frisonnant à la fois de peur et de froid. Le temps de reporter son regard sur la vieille batisse aux murs sombres et mystérieux, les quatres personnes avaient disparu à l'intérieur, non sans jeter un dernier regard derrière elles, histoire de vérifier que nul ne les suivait. Dans la pénombre, avec une cape noire comme le jais et une robe de deuil portée une unique fois quelques années auparavant, Eloin restait invisible aux yeux des vivants... Et s'assit sur une pierre plate non loin de l'arbre qui avaict dissimulé sa présence, veillant les alentours et vérifiant que personne ne tenterait la folie de nouveau. Il y avaict assez de quatre casse-cou dans ce labyrinthe de couloirs et de pièces non éclairées qu'estait le manoir. Imposant de jour, la vielle batisse dont certaines vitres estaient brisées inspirait des sentiments bien plus mitigés lorsque survenait la nuit.

Seule, attendant la sortie des protagonistes de cette drôle d'aventure, la diaconesse récitait mentalement toutes les prières possibles et imaginables pour leur salut...

_________________

Utilisez MSN pour me joindre uniquement en cas d'urgence, SVP.
Gyrovague
*Cicatrice a tout vu….Cicatrice l’attend son tour…lui aussi il veut rentrer dans c’te manoir maudit par aristote…Il va pour sortir du buisson que voila cette petite peste de nonne qui roule*

N’y tenant plus il décida d’y aller franco. Il sortit de son buisson et remonta l’allée doucement. Arrivé à sa hauteur, avec un grand sourire :

-Bonsoir ma sœur que faites-vous ici ? Vous n’arrivez pas dormir vous aussi ? Je peux m’asseoir a coté de vous ?

*Cicatrice jubile…il repense aux joies de la chair… il s’en fiche qu’elle soit enceinte jusqu’aux dents…il en a vu de bien pire la-haut sur la lune…même ça l’excite…*

_________________
POSSÉDÉ PAR CICATRICE
____________________
Malicia Chiabrena
Le froid, de nouveau... le froid qui vient du plus profond de la terre. Les étincelles s'en allaient suivant la Lueur, laissant le reste à l'obscurité et au Mal.

Ombre parmi les ombres, la défunte traine, aspirée par ce vent glacial. Elle veut prévenir, elle veut sauver, elle veut aider. Mais l'effort finit en un léger bruissement de feuille prêt de l'oreille de la dame prête à donner naissance à la vie. La Dame l'entend t'elle?

L'Ombre tente de s'interposer entre l'emprise du Mal et la malheureuse. En vain...L'Ombre se fend d'un soupir, l'air se vide aux alentours, la Mort tend ses bras, la revenante observe impuissante.

_________________
MORTE courant octobre 1456, dans un incendie à la commanderie de l'Ordre des Dames Blanches
Eloin
Un bruit... Des branches qui craquent... Puis, soudain, une silhouette devant elle. Silhouette d'un frère arrivé peu avant dans l'Abbaye et avec lequel elle n'avaict point eu l'occasion de parler. Et ce n'estait pas le meilleur moment choisi par le novice pour discuter, elle avaict aultre chose à faire.
Mais... Comment l'éloigner de cet endroit sans se vendre sur la raison de sa propre présence ? A moins qu'il n'ait tout vu et soit un complice des quatres aultres... Hum... Non, il avaict l'air bien surpris de la voir la seule pour avoir fomenté son coup à l'avance. Mais son air avenant et son grand sourire n'estaient point faicts pour la rassurer, nullement. Des hommes elle en cottoyait régulièrement de part ses diverses fonctions civiles, et elle aurait juré qu'iceluy couvait quelque chose d'immoral. Mais bien en peine de le prouver, elle ne pu faire que mauvaise fortune bon coeur, et sourire au frère.

Se serrant sur l'une des extrémités de la pierre plate, elle se recroquevilla un peu plus dans sa cape de laine épaisse, jetant de temps à aultre un oeil qu'elle voulait discret sur le manoir.


Asseyez-vous, mon frère. Le sommeil me fuit, en effet, depuys plusieurs semaines maintenant. Depuys une certaine nuit, d'ailleurs, ou l'Abbaye fut la scène d'une attaque de brigands sans foy ni loy... Je crains de ne jamais retrouver un sommeil normal désormais...

Un souffle... Près de son visage... Comme... Non ? Un souffle humain ! Femme qui se retient de secouer la teste violamment de gauche à droite, ce qui aurait certainnement eu pour effet de donner d'elle l'image d'une folle. Mais au moins elle aurait esté débarassée du doute qui venait de s'emparer d'elle.
Rien, rien ne disait dans les nombreuses lectures du Droit Canon et d'aultres sainctes écritures que les fantômes n'existaient point... Alors ce souffle... Que cela pouvait-il bien estre ? Cela avaict-il un rapport avec la présence des quatres énergumènes dans le manoir par cette nuit sans lune ?
Soupir retenu de justesse, encore une fois. Et regard discret porté sur l'homme assis à coté d'elle. Que luy voulait-il, celuy-là ? L'instinct toujours gardé de soldate, malgré son départ de l'armée depuys plusieurs mois, luy intimait de se méfier de son vis à vis, et pour une fois, elle allait écouter ce que luy soufflait son asme.


C'est beau, n'est-ce pas ? Cette Abbaye... Ce lieu sainct... J'espère que vous y avez trouvé la paix de l'asme...

_________________

Utilisez MSN pour me joindre uniquement en cas d'urgence, SVP.
Enosch
[Salle capitulaire]

-Whaoooouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu !!!!

Enosch avait ouvert la porte de la petite salle éclairée. Sans doute Frère Bardieu avait-il oublié d’éteindre la lampe à huile ?!…Enosch se dirigea vers le premier bureau la lampe a la main. Sur la porte était ecrit « Maitre des Novices »…et déjà il farfouillait dans les parchemins.

-HMMM…hmmmm..Y’a des trucs de fous la dedans !!! s’extasiait-il.

-là le dossier de Nainainus !!! et puis Dame Eloin regarde !!! cria-t-il par-dessus son épaule à l’attention de Safranne qui était restée dans la grande salle de réunion.

Mais Enosch resta figé. Il tenait le parchemin qui portait son nom. Il l’ouvrit calmement et une lueur brilla dans ses yeux :

Naeven a écrit:

Il est toujours en cours. J'essaye de le suivre régulièrement.
Il en est à la leçon 3 de son noviciat. Il est sur la bonne voie et très actif.


Bushiro a écrit:
Oui j'ai vue, cela ne m'étonne pas de lui.


Enosch serra le parchemin sur son torse, il regardait dans le vide, rassuré quand à ce qu’on disait de lui…

_________________
Gyrovague
[Devant la porte d'entrée du Manoir]

-Ma sœur vous avez l’air tendu !
Cicatrice pilota gyrovague juste derrière la nonne et lui passa les mains sur les épaules. Il commença à la masser.
-Oui ça doit être dur de supporter cette charge, détendez vous…vous savez au cours de mes voyages à travers le royaume j’ai croisé pas mal d’ordres religieux différents…et bien sur j’y ai trouvé une grande paix d’âme…je me rappelle de cet ordre où on apprenait à se rapprocher du très haut par des caresses, entres frères et sœur, tout cela était d’une grande beauté, avez-vous déjà ressenti cela ?

Cicatrice arrêta le massage, ses mains se rapprochèrent du cou d’Eloin…


_________________
POSSÉDÉ PAR CICATRICE
____________________
Eloin
L'air tendu... Le bougre avait deviné son état sans trop de mal. Il fallait dire qu'elle ne savait pas mentir, la pauvre femme !

Mais elle se raidit, le coeur battant la chamade, en sentant les mains froides de l'homme se poser sur ses épaules et esquisser un mouvement de massage. Un massage ? A plus de minuit alors qu'elle veillait les imprudents frères et soeurs aventurés non loin ?
Eloin s'apprestait à luy dire ce qu'elle pensait dudit massage quand les mains glissèrent sur son cou, luy inspirant bien plus de dégoût que de plaisir. Et de se lever tel un ressort pour se retourner et luy mettre une bonne gifle qui claqua telle une porte flanquée dans cette nuit sans bruits.


Non mais dîtes-donc, vous vous croyez où ? Je ne suis pas la première putin venue et nous ne sommes pas dans un bouge infame de la Cour des Miracles ! Je vous interdis de poser vos mains sur moi, il y a des milliers d'aultres femmes qui seraient ravis de vous voir leur passer sur le corps à la sortie de cette Abbaye, mais pas moi !

Le souffle court après cette tirade sortie dans un cri du coeur d'une femme loin de son homme depuys bien longtemps mais pas prête à s'offrir à n'importe qui pour autant, Eloin se tenait à deux pas de l'homme, poings serrés et machoire contractée sous l'effet de la colère qui iradiait son corps.
Une arme... Il fallait qu'elle trouve une arme, autrement elle finirait comme gibier pour ce malade...

_________________

Utilisez MSN pour me joindre uniquement en cas d'urgence, SVP.
Scafee
Scafee fit une petite tournée et elle entendit du bruit:

Dame Eloin a écrit:

Non mais dîtes-donc, vous vous croyez où ? Je ne suis pas la première putin venue et nous ne sommes pas dans un bouge infame de la Cour des Miracles ! Je vous interdis de poser vos mains sur moi, il y a des milliers d'aultres femmes qui seraient ravis de vous voir leur passer sur le corps à la sortie de cette Abbaye, mais pas moi !



Scafee se rapprocha ...toute inquiète en s'interrogeant profondement et en elle-meme!

En.. co.. re une attaque au sein de notre Abbaye!

Elle se rapprocha du bruit en suivant la direction du souffle... Puis elle se demanda toute peureuse , comme d'habitude..

çA VA ,? vous allez bien?

Cette Abbaye qui semblait en Labyrinthe ce jour ...

Scafee se rapprocha

_________________

Arrete le jeu !! adios !!
Gyrovague
C’est avec un grand sourire et un grand plaisir que Cicatrice regardait le visage de la nonne se tordre de douleur…Il l’a tenait au bout de son bras, sa main enserrant son cou et son corps gigotant à six pieds au dessus du sol.
D’une voix d’outre tombe :

-Sale catin, t’veux pas donner d’plaisir à Cicatrice hein !? Alors t’crèveras sous ses yeux…
Et déjà elle suffoquait, l’air se raréfiant dans ses petits poumons.
Citation:
-çA VA ,? vous allez bien?

Cicatrice relâcha sa proie en entendant une voix de mémé sortit de nulle part. Il profita qu’elle n’avait pas encore dépassé le petit bosquet pour se faufiler dans le manoir et laissa là le corps inanimé d’Eloin.


_________________
POSSÉDÉ PAR CICATRICE
____________________
Eloin
A peine le temps de se reculer que le moine -mais en était-ce bien finalement- se saisissait d'elle par le cou, la maintenant à sa hauteur sans qu'elle puisse trouver un appui. Ses pieds remuaient dans le vide, l'air vint vite à luy manquer.
Affolée, perdue de désespoir, imaginant jà sa fin venue à cette heure alors qu'elle n'avaict point encore donné la vie, la none entendit soudain un nom qui luy glaça un peu plus le sang... Cicatrice... Elle se souvenait de ce nom... Mais impossible de faire plus...
Toute son énergie se résumait à expirer et inspirer malgré la poigne de fer qui luy broyait le cou, empêchant son corps de s'oxygéner normalement... Les contours du moine fou se floutaient petit à petit, son esprit divaguait, elle voyait jà les anges prests à l'accueillir au bout d'un long tunnel de lumière blanche...

Quand soudain... plus rien... Rien qu'un choc brutale avec une surface dure, un gémissement de douleur, puis le noir. Le noir total. Plus d'anges, plus de tunnel éclairé par la lueur divine, rien que le noir...

_________________

Utilisez MSN pour me joindre uniquement en cas d'urgence, SVP.
Malicia Chiabrena
L'Ombre toujours l'ombre, et le noir, encore du noir qui s'épaissit absorbant la petite étincelle. La lueur s'évanouit dans l'espace et le Malin s'enfuit.

De l'aide, une protection,... La défunte se penche au-dessus de l'oppressée. La bouche de celle-ci s'entrouvre sans laisser l'air passer.

Le fantôme devient nuée. Se fraie un chemin vers la gorge serrée. Juste un souffle de vie pour la soutenir. Si peu en réalité. Mais le mieux qu'elle pouvait faire dans ce combat qui se faisait de plus en plus proche et de plus en plus dangereux.

La nonne et sa descendance devait lutter.

La revenante s'insinue en elle pour la préserver de la mort, espérant une aide mortelle rapide.
Kronembourg
[ A l'entrée du Manoir ]


Trois coups d'épaule n'avaient pas suffit, Kro repris son élan et donna un grand coup de botte dans la porte.
La méthode n'était pas des plus silencieuses mais au moins elle se révélait efficace.
Un long couloir sombre s'offrit aux deux visiteurs ; un de plus, songea Kro.

Il prit la main d'Ellya et s'engagea sans hésiter à l'intérieur, entendant quelques exclamations au loin qui lui rappelaient celles du galopin.



Allons-y Dame, dit-il à sa complice. Quelque chose me dit que nous n'avons aucun intérêt à trainer trop à l'entrée.
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)