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[RP] Salle du Trône.

Vanyel
10 pas en avant, 3e couloir à droite, continuer sur 20m pour arriver à l'entrée de la salle du trône. Elle faisait ces décomptes machinalement en s'y rendant. Son air était plus absent que présent, comme souvent en ce moment. Elle salua distraitement les personnes présentes, attendant son tour perdue dans ses pensées.
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Paddy
Paddy regarda d'un air étonné Azi qui partait en courant... Puis observant rapidement dans la salle il ne vit d'abord personne avant de voir Vanyel entrer avec l'air perdue dans ses pensées
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Coms du Béarn
Vanyel
Sortir de son apathie n'aurait pas dû être si compliqué... Elle avait pourtant déjà eu l'occasion de s'en rendre compte, ce n'est pas parce qu'un schéma est connu est familier que cela aide pour autant. Ses yeux finirent par dériver vers Paddy qui semblait regarder dans sa direction. Personne d'autre ne s'avançant, elle considéra ce signal suffisant pour s'approcher de lui. Un pas devant l'autre, progresser de manière mesurée en essayant avec plus ou moins de succès de glisser dans le canevas d'une allégeance.
Arrivée devant Paddy, elle s'inclina avant de parler d'une voix plutôt claire.


Messer Coms, en tant que comtesse d'Ossau et vicomtesse d'Arros, je renouvelle à travers vous mon allégeance au Béarn, vous promettant fidélité, aide et conseil.
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Guedas
Le petit braconnier tremblait un peu en entrant dans la salle du trône.
Mais bon, l'absence de gardes l'avait amené à tenter sa chance et à entrer.
Ce n'était pas un vulgaire problème économique qui l'amenait, mais le sort mortel réservé à Messire Grmy, et Guédas n'avait pas cru bon, dans l'urgence, de se présenter dans la salle de doléances.
Il savait que pour cette audace, il risquait lui aussi sa tête.
Ca passe ou ça casse se répétait-il.
Le comte lui paraissait beaucoup moins gros et moins aviné qu'on le disait en taverne.

Comte,
Pour le maire d'Orthez je ne demande pas la grâce. Son procès a eu lieu. Il a été jugé qu'il était bon et juste qu'il meure, et il doit mourir, c'est justice.
C'est dur, mais c'est juste, puisque le juge l'a dit.
Mais je pense qu'un maire, comme un noble, ne doit pas mourir pendu comme un voleur de lapins.
Mais comme le lapin qui a le collet au cou et n'est point encore mort, il faut le faire mourir en lui tranchant le cou.
De grâce, intervenez pour qu'on lui ôte la corde du cou, et que son cou soit tranché par la hache du bourreau, ou mieux, par votre épée.
Ai-je tort ou raison, Messire le Comte de Béarn ?
Lucasd
Lucasd s'appretait à pénétrer en salle du trone afin d'aller y prester allégeance quand il fut précédé par un petit bonhomme qui avançait d'un pas mal assuré.

Il le laissa donc passer et entra à sa suite.

Lucasd fut quelque peu surpris de le voir aller s'adresser directement au Comte alors que Vanyel était semblait il en pleine allégeances

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Paddy
Le calme régnait dans la salle. Paddy avait observé Vanyel s'approcher. Puis arrivée devant lui elle prononça ces paroles :

Messer Coms, en tant que comtesse d'Ossau et vicomtesse d'Arros, je renouvelle à travers vous mon allégeance au Béarn, vous promettant fidélité, aide et conseil.


Tout en songeant que finalement la simplification des serments d'allégeance n'était pas si mal car cela permettait de gagner du temps pour en consacrer plus au buffet qui suivrait, il ouvrit la bouche pour lui répondre... quand brusquement un incident se déclara.
Un jeune garçon s'était approché subrepticement et interrompant la cérémonie avait lancé une requête tout a fait incongrue en ce lieu.

Le vieux coms d'abord surpris fit signe à un grouillot qui était en train de se curer les fosses nasales d'aller chercher un garde pour expulser l'importun puis dit :


Jeune homme, vous vous êtes trompé de salle, les requêtes se font en salle de doléance.

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Coms du Béarn
--Deux_gardes
Deux gardes appelés vinrent entourer le jeune garçon et le menèrent prestement en dehors de la salle...
Paddy
La cérémonie pouvait continuer... Paddy s'adressa alors de nouveau à Vanyel.

Moi Paddy Versifiet de Ouiskai, coms du Béarn vous accorde à vous Vanyel d'Arezac comtesse d'Ossau et vicomtesse d'Arros justice, protection et subsistance ne ne vous retirant pas vos fiefs symbolisés par ces fromages fabriqués du lait de vos brebis.


Un grouillot lui tendit un panier rempli de fromages qu'il remis alors à Vanyel avant de lui donner le baiser scellant l'allégeance.
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Coms du Béarn
Vanyel
Rien ne se passait jamais comme dans le schéma pourtant clairement défini d'une allégeance. Est-ce que cela finirait pas lui sembler normal? Peut-être que oui, peut-être que non, voire plus probablement non. L'interruption faite pendant le serment prêté lui était incompréhensible. De quoi parlait l'homme qui était si singulièrement rentré? C'était sans doute une chose qu'elle n'avait pas suivi, mais cela n'avait rien d'étonnant, son attention étant plus que distraite depuis un certain temps. Elle laissa glisser l'incident d'un haussement d'épaule mental, de nouveau détachée de ce qui se passait,
Elle reprit pied avec la réalité quand l'échange fut complété. Elle aurait presque été surprise que Paddy suive le schéma avec le baiser de paix, si ce n'avait été celui qui lui était le plus familier.
Elle le remercia pour le panier avant de se retirer et laisser la place.

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Lucasd
Le trublion avait été "convié" à sortir de la salle manu militari et l'allégeance de Vanyel avait pu se poursuivre.

Cette dernière s'étant retirée, Lucasd s'approcha à son tour

Posant genoux à terre devant le Coms il récita la formule consacrée habituelle


Nous, Lucasd de Kervanech, Seigneur de Tournay, venons à nouveau prester allégeance à vous Paddy Versifiet de Ouiskai, Coms du Béarn par la volonté du Peuple.

Nous jurons solennellement respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium) au Béarn , si le besoin s'en faisait sentir.

Que si un conflit venait opposer le Béarn, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour le Béarn et son Coms.

Qu'il soit dit que jamais nous ne briserons ce serment , et que nous jurions sur les Saintes Ecritures de respecter cette allégeance.

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Paddy
Au fur et à mesure que la cérémonie avançait, Paddy ressentait la fatigue qui le prenait et ayant pressenti cela avait prévu quelques remontants. Outre la bouteille de whiskey qui ne le quittait jamais il avait prévu quelques gousses d'ail. Au moment où il s'apprêtait à en prendre une, il s'aperçut que Lucas était déjà arriver devant lui et commençait son allégeance.
Arrêtant son geste, il écouta et répondit :


Moi Paddy Versifiet de Ouiskai, coms du Béarn vous accorde à vous Lucasd de Kervanech, Seigneur de Tournay justice, protection et subsistance ne ne vous retirant pas votre fief symbolisé par ces fromages fabriqués à partir du lait de vos vaches.

Après lui avoir donné le baiser pour sceller l'allégeance, Paddy attrapa la gousse d'ail qui était posée près de lui et la montrant à Lucas il lui dit...
C'est un fameux fortifiant que je conseille à tout le monde.

Et croquant dedans il commenca à s'en délecter
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Coms du Béarn
Lucasd
Son allégeance prêtée, Lucasd remerciait le Coms pour les produits qui lui avait été remis, quand ce dernier prit une gousse d'ail et mordit dedans à pleines dents.
A cet instant Lucasd reconnu l'odeur désagréable qu'il n'avait su identifier sur le moment lors du baiser de la paix. Se gardant bien d'en faire mention Lucasd répondit simplement au Coms


Cela semble être un fort bon conseil, certains herboristes lui attribuant la vertue de fluidifier le sang.

Sur ce Lucasd salua le Coms et pris congés afin de laisser la place à d'autres
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Ingenue
Vivre et laisser vivre. Laisser faire et ne rien dire. Pantalonnade, beuverie, bacchanale, carnaval et fête des fous, voilà ce qu'était devenu les allégeances du Béarn. Celles-la même qui symbolisaient l'attachement et la dévotion de ses vassaux. Plus qu'une simple formalité répétitive, un serment solennel entre un Comté souverain et ceux qui le défendent. Haricots qui font prouter, fromage qui pue, gnôle et haleine fétide qui témoigne au vassal à qui on la soufflera dans le groin tout le mépris que l'on a pour lui.

Ne rien dire et laisser faire. Mais écrire.

Oïe... Comme dirait l'autre.

Estampe quitta son pupitre et dés lors, officia en tant qu'Eugénie.
Droite comme un I, appuyée à son makhila, face à son suzerain.


Nous, Eugénie de Varenne, Vicomtesse du Montaneres, Baronne de Monein, vous promettons ce jour, Paddy Versifiet de Ouiskai, Coms du Béarn et notre suzerain, respect, aide et conseil.

Si un conflit venait à opposer le Béarn, à un tiers, jurons de prendre cause pour le Béarn, et pour son comte.


Amen.

[HRP: le forum ayant connu quelques jours de maintenant, la cérémonie se poursuit malheureusement au delà du 20 Octobre. Toutes les allégeances ont été portées, notamment celle d'Eugénie, mais par missive IG et au château de Pau pour pallier à la maintenance technique du forum.
Show must go on.]
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Paddy
Ayant écouté la réponse de Lucas, Paddy approuva d'un signe de tête et croqua à nouveau dans la gousse d'ail en attendant la suite des évènements. Il perçu une agitation sur le côté et vit l'estampe blonde bouger et venir devant lui droite comme un I prêter allégeance.

Après avoir écouté, Paddy fit signe à un grouillot qui s'approcha alors porteur d'une marmite.


Moi Paddy Versifiet de Ouiskai, coms du Béarn vous accorde à vous Eugénie de Varenne, Vicomtesse du Montaneres, Baronne de Monein justice, protection et subsistance ne ne vous retirant pas vos fiefs symbolisés par ce garbure fabriqué à partir des produits de vos terres.

Puis s'approchant d'elle, il se pencha et lui donna le baiser de paix... Tout en songeant qu'il préférait le whiskey en tant que remède. L'ail dans le garbure c'était bon, mais en concentré bof...
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Coms du Béarn
Ingenue
De la Relativité.
Du verre à moitié vide ou à moitié plein.

S'il était vrai que son infirmité partielle l'empêchait maintenant de sautiller comme une grenouille de ci de là, c'était maintenant une chance qu'on l'ai rendue bancale par un funeste soir de Septembre.
Mauvaise liqueur l'haleine de sa Grandeur était telle qu'elle bénit à cet instant le makhila qui était son compagnon de vie depuis maintenant un peu plus d'un an et auquel elle s'arrima pour ne pas défaillir. Avec une telle énergie, que les jointures de sa main gauche blanchir.
Mauvaise liqueur et ail, de quoi vous faire perdre définitivement l'odorat.


Amen. Répondit-il alors qu'on la lestait d'un met raffiné qui provoquerait musique en chambre qui le serait tout autant à Montaner, ainsi que quelques gloussements crétins partagés avec sa vieille camériste. Puis elle se mordit la lèvre inférieure, pestant contre elle-même de verser sans le vouloir dans la bigoterie.

La garbure passa de ses mains à celles du chevaucheur d'armes, et d'un ton affable mais ferme, elle poursuivit.


Permettez maintenant votre Grandeur que je fasse mon office de héraut royal, et ce sans aucune considération vassalique.
Se faisant, elle ôta des mains du Coms la bouteille de Whisky qu'elle troqua contre les missives d'allégeances des nobles absents.

Votre Grandeur, je sais que vous nourrissez pour cette... Liqueur, une passion dévorante. Mais je vous prie de la délaisser un temps.
Je vous rappelle que l'ivrognerie déroge au savoir-vivre noble. Que vous avez jà égratigné en participant à ce concours de lever de coude.
Auquel
raclement de gorge. on me la rapporté, vous avez fini ivre mort.
Il serait des plus dommageables que les armes du Béarn se voient barbouillées de deux goussets de sable.


Citation:
A Sa Grandeur Paddy Versifiet de Ouiskaï, Coms du Béarn reconnu par Sa Majesté Levan le Troisième,


    Nous, Agnès Adélaïde de Saint Just et de Dublith dicte Gnia, Comtesse du Lavedan, Vicomtesse de Bapaume, Baronne de Devres, Dame de Seuiri et d'Herlies renouvelons ce jour notre allégeance au Béarn pour les terres du Lavedan.

    Faisons hommage à vous, Paddy Versifiet de Ouiskaï, Coms du Béarn et Seigneur de Sancte Fe de Morlaas et vous promettons respect, aide et conseil.

    Si un conflit venait à vous opposer vous, Paddy Versifiet de Ouiskaï, Coms du Béarn, notre suzerain, à Sa Majesté Levan, Roy de France, notre souverain, nous jurons que nous prendrions cause pour lui.

    Que si un conflit venait vous opposer vous, Paddy Versifiet de Ouiskaï, Coms du Béarn, notre suzerain, à un tiers du Royaume françois, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

    Puisse le Très Hauct veiller sur le Béarn.


Faict à Montauban, le dix-neuvième jour de septembre de l'an de grâce mil quatre cent cinquante huit.




Citation:
De nous, Melian de Ventoux, dame de Mun, seigneurie sise en Béarn,
A vous, Paddy Versifiet de Ouiskai, Coms du Béarn de par la volonté des urnes,

Salutations.

Qu'il soit su par la présente que nous vous reconnaissons à nouveau comme suzerain vous, Paddy Versifiet de Ouiskai, Coms du Béarn par la volonté du peuple.

Nous vous assurons ainsi pour la seconde fois de nostre fidélité (obsequium), de nostre aide (auxilium), et de nostre conseil (consilium).

Si un conflit venait à vous opposer vous, Paddy Versifiet de Ouiskai, Coms du Béarn, nostre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

L'engagement que nous renouvelons devers vous et le Comté du Béarn ce jour, nous le confirmons par nostre main et nous le signons par l'impression de nostre sceau, pleinement consciente que ce serment ne saurait estre transgressé sans encourir le juste chastiment du Très-Haut.

Puisse-t-Il veiller sur vous et vous guider dans les tasches qui sont vostres, pour la grandeur du Béarn.

Faict en la bonne ville de Chinon, en le Duché de Touraine, ce jour du 18 septembre de l'an de grasce 1458.




Citation:
Par la grâce d'Aristote,

Nous, Caro de la Rose Noire, humble Vicomtesse de Gerderest en Béarn,

A vous, Paddy Versifiet de Ouiskai, Comte de Béarn

salut.

Ne pouvant estre présente pour la seconde allégeance à votre personne que je félicite encore grandement pour sa nomination, par la présente, nous vous reconnaissons vous Paddy Versifiet de Ouiskai, Comte de Béarn par la grâce des urnes, comme suzerain.

Que nous vous devons désormais obsequium, auxilium et consilium,

Que si un conflit venait vous opposer vous, Paddy Versifiet de Ouiskai, Comte de Béarn, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Que nous ne puissions enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre par un courage téméraire. Si cependant nous osions le tenter, que nous sachions que nous encourrerions l'indignation du Dieu tout-puissant et de ses bienheureux prophètes.

Pour que l'autorité de notre sermentation obtienne une vigueur plus ferme dans les temps à venir, nous avons décidé de la confirmer par notre main et de la signer par l'impression de notre sceau.

Nous Caro de la Rose Noire née Compalite, humble Vicomtesse de Gerderest en Béarn, a écrit et ratifié,

A Poligny en Franche-Comté le 19ème jour de septembre de l'An de Grasce 1458.

Qu'il en soit ainsi et heureusement. Amen.




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