kirkwood
Ils avaient tous été plus ou moins malades lors de la traversée depuis Marseille. Aussi saluèrent-ils avec tant de ferveur leur arrivée à Ostie, en mettant le pied sur al terre ferme, quon les prenait sans peine pour dauthentiques pèlerins.
Ils avaient dabord craints de ne pas pouvoir jouer leurs personnages avec conviction. Préoccupation évanouie.
Ils reprenaient leurs couleurs pendant que la douane sinquiétait mollement de leur présence et de leurs bagages. Quelques pièces dargent disparurent au cours dune fort brève visite. Les aristotéliciens réformés ne sen étonnèrent pas : au pays du Veau dor, pourquoi les douaniers seraient-ils moins chapardeurs et corrompus que dans le reste des Royaumes ?
Après une grosse demi-journée de trajet où ils avaient pu admirer le paysage (hormis Vittorio le Toscan qui se faisait un devoir de mépriser les charmes locaux, bien inférieurs à ses yeux à ceux de son pays natal), linquiétude revint, aux portes de Rome.
Là, des gens darmes sourcilleux épaulaient des clercs suspicieux qui fouillèrent avec un évident professionnalisme leurs bagages, et semble-t-il sans la moindre tentative de détournement de leurs quelques clicailles.
Ils ne sinquiétaient que de léventuelle présence de documents impies qui eussent pu souiller la Ville sainte.
Les réformés nétaient pas stupides au point dignorer cette étape, dautres avant eux étaient déjà venus ici. Mais ils découvraient le sérieux des fonctionnaires pontificaux avec inquiétude. Il faudrait être prudents
Ils passèrent finalement sans encombre, entrant dans les faubourgs de lOanylone romaine.
- Bon, séparons-nous. Vittorio, comme prévu, tu toccupes de trouver Alfonso et de voir ce quil sait. Coulondres, tu repères notre « ami » il cuoco Basilio. Nous, on rejoint ladresse que Petitfrère nous a laissée, et on les attend, ainsi que les autres, qui ne devraient pas tarder.
- Et moi, pourquoi jfaisions rien de spécial ?
- Ta gueule, Kirk, répondit Uewen par habitude
Les sicaires du Lion de Juda étaient dans Rome
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La côté farce, je critique pas, mais pour le fair-play, y'aurait comme qui dirait de l'abus dans l'entourloupe, non ?
Ils avaient dabord craints de ne pas pouvoir jouer leurs personnages avec conviction. Préoccupation évanouie.
Ils reprenaient leurs couleurs pendant que la douane sinquiétait mollement de leur présence et de leurs bagages. Quelques pièces dargent disparurent au cours dune fort brève visite. Les aristotéliciens réformés ne sen étonnèrent pas : au pays du Veau dor, pourquoi les douaniers seraient-ils moins chapardeurs et corrompus que dans le reste des Royaumes ?
Après une grosse demi-journée de trajet où ils avaient pu admirer le paysage (hormis Vittorio le Toscan qui se faisait un devoir de mépriser les charmes locaux, bien inférieurs à ses yeux à ceux de son pays natal), linquiétude revint, aux portes de Rome.
Là, des gens darmes sourcilleux épaulaient des clercs suspicieux qui fouillèrent avec un évident professionnalisme leurs bagages, et semble-t-il sans la moindre tentative de détournement de leurs quelques clicailles.
Ils ne sinquiétaient que de léventuelle présence de documents impies qui eussent pu souiller la Ville sainte.
Les réformés nétaient pas stupides au point dignorer cette étape, dautres avant eux étaient déjà venus ici. Mais ils découvraient le sérieux des fonctionnaires pontificaux avec inquiétude. Il faudrait être prudents
Ils passèrent finalement sans encombre, entrant dans les faubourgs de lOanylone romaine.
- Bon, séparons-nous. Vittorio, comme prévu, tu toccupes de trouver Alfonso et de voir ce quil sait. Coulondres, tu repères notre « ami » il cuoco Basilio. Nous, on rejoint ladresse que Petitfrère nous a laissée, et on les attend, ainsi que les autres, qui ne devraient pas tarder.
- Et moi, pourquoi jfaisions rien de spécial ?
- Ta gueule, Kirk, répondit Uewen par habitude
Les sicaires du Lion de Juda étaient dans Rome
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La côté farce, je critique pas, mais pour le fair-play, y'aurait comme qui dirait de l'abus dans l'entourloupe, non ?