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[RP] Les Fauchards à l’œuvre.. Non mais!

Kar1
[Nos zozos on réussi à prendre le château cette nuit. On joue dans la joie et la bonne humeur car vive le rôle play! Tout le tralala quoi. Bien sur RP ouvert à tous et au delà tant que la cohérence est de rigueur. On va faire jouer les couleurs aussi. C'est l'heure des balises. Ceux aux persos révoltés en Orange. Ceux du coté des "Gentils" en Bleu.
Réclamations par MP si faut je suis toute ouïe. ]



[Une blonde au pouvoir, quelle idée]


« Salt’, à Patay.. Un seul mec?
Oh bordel de cul vont me l’payer!
Au voleuuuuur, à l’assassiiiiiin!
Attaquez-moi ce château! Veux qu’ça brûle et surtout qu’ça saiiiiiiiiigne! »


Celles-ci étaient les paroles d’une cheftaine en rogne alors qu'elle hallucine complet. Les Royalistes de « ses deux tétons qui pointent » ne s’étaient surement pas rendus compte qu’il ne fallait pas réveiller l’eau qui boue déjà, surtout lorsque cette dernière est ancrée dans le corps d’une blonde plus névrosée et folle dingue que tout un Royaume réuni. -Petit aparté tétonesque tant qu'on y est. Étant donné qu’elle n’a pas de trucs qui pendent entre les jambes, ben elle fait avec ce qu’elle a. Et comme ses seins pendent un peu, c’est tout pareil. La vie est bien faite.- En tout cas, le Roy n’a qu’à bien se tenir d’ailleurs. Les Fauchards sont dans la place pour le plaisir des râleurs, pour le bonheur de la compagnie et pour le malheur des autres.. Ils avaient prévu leur coup depuis quelque temps déjà, mais qu’on ose toucher à la prunelle des yeux d’un Simplet juste parce qu’il envoie des courriers au maire de la Capitale, ça donne envie de décrocher la lune et les étoiles, ça brille les étoiles. « Argent.. Argent.. » Que d’excitation pour la blonde. Quelle envie que de se jeter dans la gueule du loup parce que ce dernier n’a même pas les dents longues. Pis, maintenant, plus besoin de trouver une raison pour foncer dans le tas ducal. Il a pourtant fallut attendre que le soleil se couche. Un calvaire. Alors on imagine sans problème que Karine a fait les cents pas toute la sainte journée. Elle a été en taverne pour essayer de se distraire. Impossible de suivre les conversations, même celles des plus passionnantes. Alors elle a essayé d’aller flâner au gré du vent printanier, mais pareil cette boule au ventre qui ne faisait qu’illustrer son impatience se manifestait chez chaque organe, dans chacun de ses pores, partout et tout le temps.

L’heure, c'est enfin l'heure. Alors on avance, on court en direction du château. La brigandine installée sur les épaules de blondine -parce que ce serait con de se prendre un coup mal placé, la hache dans sa main droite et le tour est joué. Simplement voir tout en grand et faire tout en gros. Elle s’alourdit Paillasse avec toute cette charge, mais rien de mieux pour des coups secs, francs et sans alternatives possibles pour les adversaires. Cheveux au vent ça part. Toute l’équipe semble dans son élément, même les plus novices. Comme quoi. Mais ce n’est pas tout. L’adrénaline s’éparpille en chacun d'eux. Les Fauchards ont même l’air de tout faire en rythme, comme si les gestes avaient été répétés. « Chlac » Une tête qui tombe. « Zip » un bras qui saigne. Miam, mmmh.. Les yeux pétillent, les glandes salivaires frappent à la porte du palais, tout comme le pouls qui martèle au niveau de ses tempes -et ailleurs surement aussi, je vous passe les détails-. Une Paillasse au taquet pas à dire c’est la classe. Mieux que de regarder une gamine admirer le jouet qu’elle a tant voulu pendant toutes ces longues années et ces mois sans répit. Ouuuh que c’est bon la liberté, ouuuh que « le bonheur est dans le pré, cours y vite, cours y vite. Le bonheur est dans le pré cours y vite il va filer.* »


« Ouvre moi c’te porte.. Ouvre moi que j’te diiis! »

Et que je t’agrippe un pauvre maréchal qui n’a rien demandé par le col, c’est prenant. Surtout quand il fait une grosse grimace à en faire marrer plus d’un parce qu’il s’y attendait pas à celle là. Et de voir comme la Compagnie qu’elle a formée avec la Barrique prend un malin plaisir à se révolter, pur bonheur. Une troupe entière s’est réveillée ce matin là en sachant ce qu’ils avaient à faire. Et puis ils ont trouvé main forte au marché, après les déboires du matin même. Cela a permis aux Fauchards de doubler leurs effectifs et être imbattables face à un Duché à poil. A poil.. C’est le moins que l’on puisse dire, mais cette suite là se fera au prochain épisode.

Pour l’instant ce qui importe plus que tout à la blonde, c’est de trouver ce satané trône. C’est à elle de se faufiler pour repérer la salle de la duchesse. Et elle ne sait déjà plus où donner de la tête à force, bien trop obnubilée par l’envie pressante de se faire remarquer par toute une contrée. Alors, laisser le reste de la troupe s’affairer aux trouvailles des marchandises, coffres et autre hors d’œuvres goulus pendant que madame THE blonde se fraye un chemin jusqu’à la victoire.


« Vite, vite, vite, Qu’on m'nettoie mon trône MAINTENANT! Je n’y pose pas mon cul tant qu’il est encore imprégné d'l’odeur de Meudème de Tronchay. »

Passera? Cassera? Elle est passée et sans rien casser dans le château. De la tenture au pot de chambre, tout doit disparaitre. Elle est passée et le pouvoir est à elle, ça lui va si bien. Les écus vont voler à tire larigot, elle va pouvoir se mettre au balcon du château et conter ses périples au peuple d'Orléans ou du moins à qui voudra bien l’entendre parce qu'elle n'est tout de même pas des plus dupe. Mais pour le moment, elle tape du pied, pas de couronne sur la tête mais c’est tout comme. Impatiente, elle ne commencera pas son règne tant que sa demande ne sera pas exécuté dans la minute. Karine ne se sent plus pisser, ça étonne quelqu’un?


[*Notre bon Paul Fort, fan invétérée que je suis.]

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Ygerne
[Dis Grand-Mère. Tu as de grande dent…]

Oui enfin vous comprendrez que c’est un prince que je cherche…

Et vla tit pas que la rousse tourne autour d’un âne boiteux noir ! Oh malheur noir ! mais quelle idée d’avoir des chevaux noirs.

Elle s’arrête et lorgne l’édenté en face d’elle, propriétaire du dit âne, le scrute.


Et votre bourse est-elle pleine au moins ?

Evidemment ma petite
répond le mendiant avec son air baveux, se rapprochant dangereusement de la Ygerne.

Euh… l’autre… parce que vous voyez, je veux pas d’un homme moins riche que moi.. Ça crée des conflits, des luttes d’intérêt. Elle soupire. Pas une bonne base pour construire quelques choses de durable. La notion de durabilité est une chose à ne pas négliger….

Et notre jeunette descend sa bière cul sec.


Non mon bon m’ssieur, va falloir vous faire une raison, ça ne marchera pas entre nous.

C’était son cinquantième rendez-vous, conséquence de l’agence de rencontre Orléanaise et d’une petite annonce passée. Malgré son air de garçon manqué, elle s’était dit qu’il était peut-être temps de trouver chausse à son pied.

Mais ce soir, elle ne ramènerait pas de prince charmant dans son lit.


Il va falloir que je retourne à la mine. Je vous souhaite le bonsoir.

Oui car elle avait une prise de château à accomplir la petiote. Elle courut rejoindre sa troupe. En retard évidemment… faut dire que son emploi du temps était bien chargé, l’en avait encore bien quelques un à voir de ces soi-disant prince.

Scusez, je suis là.. J’espère que le château va pas nous décevoir, z’ont tendance à mentir sur la marchandise par ici…

Elle prit épée et bouclier… trempas deux doigts dans la boue et se peinturlura la figure.


Paraît que c’est bon pour la peau..


Et avec ces 1m50, 40 kilo sans arme elle suivit la blonde, laissant ses cheveux roux flotter au vent et hurlant !

A l’abooooooordage ! Ouvrez les coffres ! on arrive !

Et vlan un coup dans les robignoles du premier garde et vlan un assommage en règle du second. Et des aaaaaaaaaaaaahh et des oooohhhhhh et des iiiiihhhhhh. Bah oui c’est une fille, alors ça hurle un peu.

Mais pas besoin de « sésame ouvre toi ! » que déjà le château dévoilait ses trésors et que la gamine reposait dans le bureau du commissaire aux mines, pied sur la table, un verre de gnole dans la main.

Elle eut une pensée pour son compagnon de toujours, blessé de façon ignoble et resté à Patay. Elle leva son verre pour lui !


Je te ferai chef de port Saltounet.


Et avala cul sec l’alcool à bruler.
Djenesa
[Un retour aux sources]


Le soleil se couchait que déjà elle sentait cette odeur. Celle du danger et de l'excitation. Celle de la peur aussi. Oh pas de la sienne, non. Des autres ! Ceux qui seraient en face et qui n'avaient aucune idée de la taille de la tuile qui allait leur tomber sur le coin du museau.

Djenesa observait le jour s'éteindre, silencieusement comme à son habitude, alors que derrière elle, s'excitaient ses nouveaux compagnons d'armes. Nouveaux... Sacrée Karine. Il n'y avait qu'elle capable de la convaincre de reprendre du service. Elle qui s'était promis que son épée ne sortirait plus de son fourreau que pour le comte. La voilà qui finissait d'aiguiser sa lame, fidèle vieille amie qu'elle avait honteusement délaissée.

Et puis on lâcha les chiens. Ils avaient bien préparé le concert, les chefs d'orchestre. Une partition exécutée avec maestro où chaque note, chaque croche avait sa place, de l'ouverture au point d'orgue.

Avait-elle oublié le rythme endiablé de cette musique des lames ? Que nenni ! C'était comme monter à cheval... Son adversaire en paya le prix quand dans une trille enflammée, l'épée de la Silencieuse lui traversa le torse alors qu'un sourire sadique apparut sur ses traits si souvent fermés ou feignant la vérité. Le suivant n'eut guère plus de chance. La fine lame d'un poignard tenu dans la main droite, lui dessina une ligne de portée sur le cou.

Du coin de l'oeil, elle vit Karine s'éloigner du groupe pour chercher ce qui lui revenait. Elle prit le parti de la suivre. Parce que même si le pizzicato de l'or était agréable à entendre, elle préférait assister de visu à son triomphe.

Elle observa son amie donner ses ordres dans un allegro tonitruant et cette fois c'était bien l'amusement qui apparut chez la Flamande. Elle lui devait beaucoup la brune. La Paillasse lui avait rappelé ce pourquoi elle était formée. Cette musique-là, qu'elle n'osait plus ni jouer, ni écouter coulait à nouveau dans ses veines avec une facilité déconcertante. Elle connaissait chaque mouvement et chaque silence. Et elle se demanda comment elle avait pu s'en passer si longtemps.

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Dans la vie, il y a deux types d'individus : ceux qui tiennent l'épée et ceux qui creusent. Toi, tu creuses... :p
Xalta
Vendredi après midi

Réunion au sommet avec son prévôt, le premier maréchal, la surintendante des douanes, la connétable le cac enfin tous quoi en fait ! Le duc étant en Provence, elle le tiendrait au courant des décisions prises concernant la défense avec des petits pigeons.

Bon les filles ! Oups et le gars ! Nous avons des informations qui sont plutôt alarmantes, on a des gens suspects qui sont entrés dans le duché, comme nous sommes en période électorale , que préconisez vous?

Mise en place du code jaune d'alerte? très bien !

Planquer nos coffres dans un endroit secret du château? excellent !

Toute façon il vaut mieux trop de précautions que pas assez !

Et puis si tout va bien, je ferais sortir les coffres de leur cachette si tout va bien ! Sinon eh bien, tout restera caché, et ils n'arriveront pas à trouver cette cachette, elle n'est connue que de très peu d'entre nous, c'est comme le secret de la fabrication de la gienlain.

D'ailleurs en parlant de gienlain..un verre?


Elle leur sert tous une bonne chope, boit d'un trait et se retient de lancer celle vide dans la cheminée. réflexe giennois quand tu nous tiens.

Allez ouste au boulot ! ceux qui sont dans le secret , viennent avec moi, transfert des coffres dans la pièce secrète !

dans la nuit de vendredi à samedi


Dans la nuit, elle avait décidé de veiller au château, elle était sur les nerfs depuis quelques jours avec cette histoire de liste, elle entend tout d'un coup des cris, des bruits de lutte...elle court chercher son bâton, regrette de ne pas savoir se servir d'une épée, elle sort de la pièce et se met a courir pour aller défendre le château.
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Ursus
Samedi 8 mai.

Ursus de Valbois eût la triste surprise de recevoir un avis de procès.

Citation:

procès opposant 2010-05-08, Ursus au Duché d'Orléans (Domaine Royal)

Ursus est accusé de trahison.

Le juge attend le réquisitoire l'accusation
(à déposer sous deux jours ouvrables après la plaidoirie de la défense)

Acte d'accusation

Votre Honneur,

Nous sommes ici ce jour pour traiter de faits punissables commis par le dénommé Ursus, à Orleans. En effet, l'accusé a été vu dans plusieurs tavernes ces derniers jours, troublant la tranquillité des autres habitants et plusieurs personnes se sont plaintes quant à son comportement et ses méfaits, inacceptables. De plus, cet homme est accusé d'être un suppôt du pouvoir oppresseur, défendant les remparts de sa ville bec et ongle, où sévissait la tyrannie d'une poignée de faiseurs de lois sur la populace déjà bien désoeuvrée. Dans notre immense clémence votre honneur, nous décidons de l'inculper uniquement pour ce dernier chef d'accusation , trahison à son duché , et faisons l'impasse sur les délations rapportées plus haut.

Acte d accusation établi le 08 du mois d'Avril de l'an de grâce 1458,
A [Orleans,
Par Sadnezz
Procureur d'Orleans.


Il se rendit au tribunal dont il fut procureur par le passé. Il se retrouva dans une salle occupée par les gueux qui avaient pris par la force le château d'Orléans. Une épouvantable odeur de pourriture régnait dans la salle...

Je ne vous salue pas et je vous méprise sincèrement. Vous avez eu la bassesse de détruire ce que nous avions mis tant de temps et d'efforts à bâtir. Vous puez la merdaille et n'en valez guère mieux. Je vous souhaite d'être pendu haut et court et de rôtir en enfer.


Le Duc de Châteaurenard se boucha les narines et sortit ensuite de la salle d'audience sans attendre de réponse.
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Valeria053
Vendredi après midi

Val arriva à la demande de xalta, des risques pour le duché, des brigands question d'habitude, il allait falloir mettre dans les chambres secrètes. Elle écouta Xalta et dit

Pas de soucis je me charge des stocks, une partie est déjà dans les chambres secrètes, je vois Isligton pour les coffres et on gère çà.
Cissi s'occupera des stocks de l'ost si ils entrent il n'y aura rien.


Val regarda ces amis, il fallait se mettre à l'ouvrage, il fallait protéger les efforts du peuple, un ramassis de vieilles canailles ne ruineraient pas leurs efforts

Dans la nuit

Val était resté avec Xalta afin de veillé au mieux mais le bruits des premiers combats fit rage, elle était sur d'une chose nuls ne trouverai les chambres secrètes
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Theobalde
[Quand on arrive en ville…]

Serrer les dents, ne rien dire, ravaler ma hargne, ravaler ma rancœur. Il me faut attendre, il me faut demeurer dans cette solitude que je connais si bien et qui pourtant, depuis quelques temps, me pèse.

Ils étaient tous partis le laissant seul. Fallait qu’il garde des trésors qu’ils lui avaient dis et qu’il attende patiemment afin de pouvoir récupérer un objet… Il avait attendu et puis contre-ordre, plus de livraison, plus que des coffres à garder alors Théo avait rongé son frein. Ses frères étaient là-bas et lui faisait le guignol pour des coffres… oui mais voilà, certaine chose ne se passe pas comme on le souhaiterait et l’un des leurs était tombé… fauché par un bâtard qui traînait dans le coin, pour un motif des plus fallacieux qui puisse exister. Alors Théo avait rangé les précieux remplis de leur trésor, planqué ce qui pouvait être planqué et préparé un maigre baluchon. Le reste, il s’en foutait, il fallait les rejoindre au plus vite.

Courir, ne pas m'arrêter. Au-delà des frontières, au-delà des duchés les retrouver. Ne pas oublier qui ils sont… mes amis, mes compagnons, ma famille
.

Pigeon envoyé auprès de la Blonde, échange de directives et il avait pris la route, sans s’arrêter un moment, prenant à peine le temps de manger. Il fallait avaler les lieues au plus vite, il fallait marcher, pas le choix, plus le choix. Finit la rigolade et puis l’impatience commençait à lui vriller le ventre. C’est que le ténébreux avait une autre raison d’avancer si vite, une raison plus personnelle… La séparation il n’en pouvait plus, ça entamait son moral, le rendant complètement barjot. Son humeur en pâtissait d’ailleurs. Déjà instable de ce côté-là, depuis qu’il était séparé de celle qui faisait battre son cœur, Théo se montrait plus taciturne que jamais, le regard assombri, le visage fermé, la colère toujours au bord des lèvres. Quel paradoxe pour ce solitaire. Il avait ouvert la porte doucement, faisant entrer cette femme dans sa vie, dans son monde, merveilleuse bulle de vie qui lui apprenait tous les jours à sourire et il ne voulait qu’une chose, être à ses côtés.

Fin du voyage, début de l’aventure… Terminus, tout le monde descend. Je remonte mes manches et je fonce !

Théo était arrivé au petit jour… le soleil pointait à peine le bout de son nez mais elle était là, elle l’attendait. Silhouette vaporeuse qu’il avait aperçu de loin, son cœur en avait manqué un battement. Cela faisait si longtemps… Il avait besoin de retrouver sa douceur, sa tendresse, son corps qu’il connaissait déjà si bien, son visage qui ne lui apparaissait plus qu’en songe depuis qu’elle avait suivi la petite balade de la compagnie. Baluchon jeté à terre, ses bras se refermaient déjà sur sa douce, l’étreignant tendrement, l’embrassant avec amour. Elle lui avait tant manqué. Le temps suspendit son envol afin de laisser aux amoureux le bonheur de s’apprécier mutuellement puis d’un claquement de doigt, le soleil avait repris sa course sur l’horizon, les charrettes non loin d’eux annonçant les premiers commerçants venant vendre aux étales du marché se faisaient entendre, les conversations commençaient à aller bon train.

Théo prit la main de Cerdanne, direction une taverne. Il leur fallait discuter un peu, prendre connaissance de ce qui se passait. Chuchotis… murmures… ils s’étaient finalement séparés très vite, la jeune femme vaquant à ses dernières occupations, l’homme allant prendre quelques heures de repos, la nuit serait longue, c’était à ne pas à en douter. Sommeil de plomb avec la Teigne à ses côtés pour monter la garde. Il savait qu’il pouvait compter sur lui en cas de pépin et puis personne ne viendrait le chercher dans une grange à l’air branlante à la sortie de la ville. Ombre parmi les ombres, il s’y était faufilé tranquillement pour s’y installer.

La journée s’était écoulée lentement, trop à son goût. Il voulait y être maintenant, l’impatience circulant déjà dans ses veines alors pour passer le temps, il se remémorait les ordres, les uns après les autres, histoire de ne rien oublier. Il savait ce qu’il avait à faire et le ferait bien. Pas le temps de tergiverser, plus le temps de se poser de question, la nuit était enfin tombée sur Orléans. La rage au ventre, il avait suivi la blonde qui menait sa troupe. Le visage d’un garde qui passait par-là, une baigne qui trainait sans hésiter. Dans l’action, on ne réfléchit pas, on cogne et puis c’était ainsi, pas méchant mais fallait pas l’énerver. De toute manière, l’autre il n’aurait pas hésité à lui ravager le portrait, autant frapper le premier. Et puis m***de, l’était pas là pour jouer les enfants de chœur ! D’ange, il n’avait que l’apparence, ses ailes et l’auréole, il l’avait oublié dans un coin de l’église depuis sa toute petite enfance. Quelques coups distribués par-ci, par-là, un abattage en règle de quelques résistants à coups de ce qu’ils avaient entre les doigts et le château leur appartenait. Enfin, ce sentiment d’avoir gagné sa place au sein des fauchards, enfin cette sensation que tout était possible se répandait en lui. Maintenant, il était temps d’œuvrer pour leur bien personnel. Plus un instant à perdre, Théo, sourire aux lèvres, se mettait déjà à chercher tout ce qui pouvait s’emporter.

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--La_commere



La zezette toujours à l'affut des cancans aviaent bien entiendu du branloure toute la nuité, au petit matin la vla t il pas qui pointe son museau dans la courée du chatieau.

Et que ca se biouge, et que ca debigôeser dans tous les sens, à coup sur le chatieau est à bas.

la vla la ptiote xalta, la zezette se dirige vers elle.


Tai ma ptiote z'ai pris ma gaule t'a besoin de moé pour les rabanner ces pillards.

La vla qui gesticule la gaule a la main

Van leur en mettre un coup sur le coin du musieau tu va vouere.
Pi la mère triquard et la grande raymonde vont point tarder.
Verso
[Un fou, un bouc, un château …une histoire de dingue]

Le dit fou avait suivit a la lettre les instructions, pour une fois qu’il se plante pas de route, ou oublie pas le départ encore dormant dans un fossé ivre…donc il attendit la nuit, s’étant mis dans un coin pour conditionné la chose puante, le bouc juliuz, a se qu’il devrait faire et pas faire.

Alors écoute bien le puant, d’habitude je t’interdis de bouffé les braie… enfin surtout les miennes. Mais se soir tu pourras bouffer tous les braies que tu veux.

Cette autorisation n’était pas sans arrière pensé pendant que le bouc s’agrippe a un défenseur, un bourre pif par surprise sa lui éviterai de trop en prendre par la tête, celle-ci étant déjà assez abimé comme sa. Et puis si des fois le bouc se fessait massacré il pourrait enfin faire des saucisses avec, sans se faire étripé par sa propriétaire.
Ne picolant pas trop, l’attente de l’action fut longue, très longue… limite il commence a s’endormir.

Voyant que sa bouge et fonce direction du château il se lance lui aussi, un instant de délire le fait sauter sur le dos du bouc, le prenant pour un cheval criant


A avant le puant…

Bon vu l’allure de la bête en descend vite sinon il arrivera au château pour l’hiver prochain. Distribuant quelque bourre pif, pas assez a sont gout, se demande si c’est compagnon lui aurait pas prit sa part ? Non c’est vrai lui il est la pour se battre… s’arrête se retourne regard … déjà fini ? pffff

Bon ce n’est pas tous sa a défaut de défenseur va voir se beau château, voyant kar1 qui cherche le trône se dit que lui aussi poserait bien ses fesses sur un truc moelleux… un siège de conseiller sa fera l’affaire. En plus le fou étant peut intéressé par les charge et responsabilité se cache un peu, voyant que les un et les autre se retrouve a des postes… prendre un château pour être CAC ou bailli… c’est de la folie on lui a pas dit qu’il faudrait qu’il bosse… s’éclipsant vite fait trouve une servante apeuré dans les couloirs.


Dit moi toi..

Le regard vide la jeune femme surprise

Qui moi ?

Oui toi, se dit que vraiment les femmes…, ou sont les cuisines et surtout ou et la réserve de pinard ducale ? Si tu m’y montre t’en filerai et il t’arrivera rien.

Cette dernière, sans trop réfléchir lui montre le chemin, arrivant dans les cuisines

HAHAHAHAHHA mais c’est formidable jamais j’ai vu autant de bouffe… je vais me faire pété le ventre. Mais montre moi la cave, sa donne soif toutes ces émotions.

Arrivant dans cette dernière

FORMIDABLE des bouteilles de partout …. Je vie un rêve. Sache petite que j’ai prit le château uniquement pour sa… les cuisines et la cave sont a moi HAHHAHAH .

Sans plus attendre il se remonte moult et moult chopine, sortant tous la nourriture qu’il peut courant dans la salle du conseil récupéré un siège moelleux. Et le voila au milieu des cuisines s’empiffrant, s’enivrant, se vautrant, dans un luxe qu’il sait éphémère mais autant en profité. Le tableau était des plus burlesque mais pour le fou, c’est lui qui avait la meilleur place… seul bémol l’odeur du bouc, mais bon, dans 10 ou 15 litre de chopine sa ira mieux.
Attia.
Dans la campagne orleannaise, un peu avant...
Dans la nuit des temps nous marchons
Tous les deux sans histoire
Droit devant ton sourire d'enfer
Droit dans l'aléatoire
Dessous les comètes et les feux
Accoudés au comptoir
Nous nous on se prend
On se prend pour des dieux
L'important c'est d'y croire



La gitane trotinnant aux côtés de son double avait foulé l'orleannais avec comme une impression de deja vu.
Deja venue la, un bon ami y vivait... Mais cette fois, elle savait pas trop pourquoi qu'elle était la. Enfin elle s'en doutait un peu, et la perspective de s'amuser follement l'avait fait sourire.
Trouver un tripot se poser, se saouler, mais pas trop laisser monter l'ivresse, se désinhiber et perdre toute conscience. Ni le mal, ni le bien n'existent, y a que la folie...

Mais l'écu unique qui aurait pu lui payer la bibine avait été soutiré a l'entrée de la ville... foutue capitale de mes deux... seins! Copyright la blonde...
Boarf c'est les poches vides que la gitane lache une flopée de mots doux version jurons a l'administratif qui venait de lui soutirer son pecule et se mit a fredonner une chansonnette... Bah quoi faut bien rester de bonne humeur!


On a pas la thune mais l'espoir
Pas le blé mais l'envie
L'important ami c'est d'aller
Jusqu'au bout de la nuit
Bien sur y a les cons au pouvoir
Ou tout ça nous mènera
Passer la nuit sur des trottoirs
A marcher dans le noir


C'est donc sobre et une moue boudeuse aux lèvres qu'elle reçut les instructions. Et ça avait fini par la faire sourire quand elle avait échangé la lueur de l'excitation, les onyx en vis a vis avec la Sad.


La fameuse nuit... Quand des fauchards vous prennent un chateau!

Dans la nuit devant l'horizon
Fait de sang et d'ivoire
Droit dedans l'enfer et les guerres
Pile au fond du trou noir
Passés les rencontres et les adieux
Passés dans la passoire
On se dit que tout ça n'est qu'un jeu
Qu'un grand huit à la foire...

La foire, voila ce que ça avait été. Pas l'souvenir qu'il y ait grand monde a mater... ils doivent dormir sur leurs oreilles dans cette capitale...
Pouah, la gitane se rappelait avec grand plaisir le dernier chateau a son actif, intensement jouissif.
Qu'est ce que ça va etre cette fois? prevot comme la dernière ?
Ou bailli... ah bailli... quel poste de reve!

Alors que la blonde cheftaine cherchait le trone, la gitane cherchait les coffres!


des p’tits sous des p’tits sous qui veut des p’tits sous ?
des p’tits sous des p’tits sous on veut des p’tits sous allez
des p’tits sous des p’tits sous qui veut des p’tits sous ? moi moi !
des p’tits sous des p’tits sous on veut des p’tits sous ?

Bon une nuit a chercher des sous bien cachés ça fait suer, et la gitane opte pour la pause, bah oui faut bien profiter du confort des grand murs chauffés par les enormes cheminées. Et en plus s'il ya un fut percé... que demander de mieux ? C'est bien ennivrée, aux frais du bon peuple d'Orleans que la gitane s'affala sur une moquette en peau d'ours ou j'sais pas quel atour luxueux.
La nuit porte conseil qu'on dit hein!


Et pis ben au petit matin hein...

Aux anges de mes nuits sans dessous les étoiles
Enfants du paradis recherchent une escale
Défoncé, déchiré...

Au tit matin alors qu'elle venait de faire tout plein de reves pecuniaires, la tignasse bien encore mélangée elle a le temps d'ouvrir les yeux tout juste quand vla qu'elle s'attrape en pleine figure une robe rouge bordée d'hermine qui sentait pas la fleur...

- Pouah mais c'quoi ça ?

Et la encore une fois, vla sorti de nulle part un gros bouquin qui lui fonce d'ssus.

- Mais bordel!


Esquive rapide et sur quoi qu'elle tombe... le Codex...
Mouarf... ça s'ra pas les ptits sous faut croire... mais les p'tites lois... Et qui c'est qui lui lance ça ? Sad! Gné mais...

Et vlan! Plein de dossiers, c'est qu'elle a potassé au petit matin la cousine. Procureur qu'elle est! Les tifs en moins ça la rend serieuse ou bien faut croire qu'elle a pris son pied...


- Hum, tu voudrais m'faire croire que tu t'es eclatée a gratouiller tout ça la ?

Quoique apres courte reflexion, ça pouvait etre interessant, s'prendre pour Dieu ou son equivalent sur terre du moins vla qui va etre marrant! MAis pas question de mettre la robe puante, le precedent juge devait pas beaucoup la laver, ou s'laver... Ralalalala!



j'aurai aimé etre l'auteure des passages sans mise en forme, mais je n'ai pas l'immense talent de Saez...

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Lordarcadius
L'ex Vice-Chancelier Lord se réveilla et appris bien vite la triste nouvelle : le château était aux mains d'une horde de brigands !
Il courut bien vite en Orléans pour faire le point des mesures d'urgence à prendre auprès de l'ancienne équipe ducale.
Il ressortit son équipement de guerre, presque satisfait d'avoir à en découdre comme autrefois....

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Kar1
[Hop hop, on oublie pas les balises.. C'est un peu le bordel.. Nous on sait, chacun de ceux qui postent qui sont les "gentils" qui sont les "méchants" mais c'est pas le cas de tout le monde. Alors si pouviez éditer vos posts pour qu'on s'y retrouve plus je serais plus que ravie.. ]


[Un discours, un discours!]


L’amour d’un trône, l’amour d’un pouvoir, ce dont elle rêve depuis des lustres. Et maintenant, c’est aux portes de son cerveau de blonde. Elle a plus qu’à ouvrir fenêtre et se mettre au balcon ducal, là ou tous les discours les plus ennuyeux se clament. Aujourd’hui est un autre jour, jour d’une nouveauté, jour de pillage et surtout, jour d’annonces, toutes les plus affriolantes les unes que les autres. C’est les bras en l’air, la mine réjouie, le cœur au bord des lèvres grâce à l’excitation environnante qu’elle s’adresse au peuple et aux anciens conseillers.


Pour vous ô grand peuple d’Orléans qui devez servir la Belle et l’Unique Paillasse,
En ce beau jour ensoleillé par ma chevelure d’or je vous prie de prendre ce qui va suivre en considération,

Nous, Fauchards de surcroît, avons pris votre château grâce à nos mimines entrainées. Je vous dis pas le bonheur, ô la joie, l’allégresse même lorsque j’ai pu goûter au positionnement de mon séant sur le trône ducal. Et de ce fait, grâce aux pouvoirs qui me sont conférés, je m’adresse à vous gens du peuple et félons ducaux.

Un léger petit détail qui a son importance tout de même m’a été soufflé aux oreilles. Toute ma chère et tendre troupe se sent bouffer les tripes de l’intérieur à cause de cet argent ducal qui a disparu. Je suis sure qu’on va pouvoir régler ce petit malentendu dans les plus brefs délais grâce à mon papillonnement de cils intense où nulle personne peut résister.

Pour cela, je demande et clame, haut et fort de nous signaler ou se trouve cette planque. Les coffres sont vides, l’argent du peuple est entre les mains de gens qui se sont fait destituer de leur pouvoir. Peuple Orléanais, ne te laisse pas faire! Car maintenant c’est à nous de vous dicter votre conduite et nous dirigeons la totalité du parc minier Orléanais. Nous avons également la main mise sur la justice, et sur la gestion du prestige. Prestige si cher à vos cœurs j'en suis convaincue.

Nous vous proposons donc de rendre IMPERATIVEMENT l'ensemble des marchandises qui auraient du se trouver dans le château. Le mandat de votre estimée Xalta, ainsi que toutes les marchandises qui ont été mises en propriété.

En contrepartie, parce qu’on Fauche, mais on Fauche bien nous, toutes les mines seront entretenues. Nous nous engageons également à laisser de quoi manger aux conseillers pour ne pas faire chuter votre prestige et surtout qu’ils continuent leur ascension vers la fonction de « Gras du bide. »

Réfléchissez bien aux conséquences qu'un refus de ces conditions aurait sur votre économie à long terme. Vous devrez faire face à mon courroux enragé. Vos mines, votre prestige, les procès en cours ne seront que les conséquences d’actes irréfléchis. Si vous croyez pouvoir faire face à des mines écroulées en pleine période de chute démographique, si vous pensez que vos alliés vont venir a votre secours alors qu'ils se font piller par nos amis, alors je vous souhaite bonne chance, car vous devrez supporter pour le reste de vos jours, la bêtise d'une seule et unique journée.

Applaudissez, peuple, je suis votre Duchesse Faucharde pardi!

_________________
--Amilcar_courtecuisse
[ Un Fémur contre les murs ...]



L'était heureux l'Amilcar... C'était son jour de fête.
Il brandit son fémur de Saint Malabar et courut à l'assaut du château.
Chassa sa peur en tapant sur tout ce qui portait blason.
Bon, il faut faire attention aussi, il semblerait qu'il y ait aussi quelques blasonnés dans cette troupe de ... comment ? Fauchards.
IL aimait bien ça, les fauchards, ça fauche, c'est parfois fauché.

Tira par la manche un de ceux qui semblaitent connaître la barrique qu'il avait suivie depuis le marché..

_ Zauriez pas besoin d'un vendeur de merveilles et fariboles dans votre bande ? J'aime bien moi votre nom....

On lui avait répondu d'attendre, ben oui , ils étaient occupés, ils avaient un château à prendre, des procès à intenter, des coffres à ....

- PUréééééééée, les coffres sont vides ! ....

Une moue de désolation furieuse se propagea sur tous les visages qui riaient joyeusement l'instant d'avant.


- Doit y avoir une chambre secrète, c'est pas possible, une semaine qu'on surveille les abords du château... N'ont pas pu tout emmener.

Amilcar entendit les conciliabules des révoltés...
Se mit à réfléchir.
Et puis trouva le moyen de se rendre utile.
Il entreprit de chercher la cache.
Avec son fémur.
Un fémur contre les murs.
Il commença par inspecter les lieux, chercher les anomalies dans les murailles.
Et puis, systématiquement, il frappa les murs et les cloisons suspectes.
L'oreille aux aguets, sursautant au moindre "poc" un peu bizarre.
Balthazar!
Balthazar! lu l'annonce annonçant la chute du château et s'entreprit d'affuter son katana !!!

Il sourit en se disant que s'il avait toujours été facile d'entrer en orléans, duché accueillant s'il en faut, c'était toujours bien plus compliqué d'en sortir quand on y était présent avec de mauvaises intentions....
--O.sister


[Orléans, le Monastère]

Soeur Marie-Gabrielle était en pleine prière et génuflexion quand soudain elle entendit un sacré chahut par delà le mur de son cher et adoré monastère. Courant au dehors la curiosité l'emportant sur son amour pour Aristote elle ouvrit la porte arrière de la petite chapelle, et sorti dans la rue.
La belle enfant monastique fut ébahit par le spectacle.

Des pillards par tout autour sa sainte Orléans ! La nonnette fit un signe de croix immense et pria pour les soldats sur les remparts. Seulement voila ils ne tinrent pas et enfin les brigands prirent la place. La nonnette était encore trop curieuse pour rester bien sagement dans son monastère, elle fila a travers les rues, faisant attention a ne pas faire voir son joli minois, il serait fâcheux qu'il lui arrive une mésaventure et grimpa vers le château.

Là, elle entendit le discours de celle qui semblait être le chef des brigands, une belle femme, belle mais vile?
Quel discours étranges, n'ont-ils point capturer la dame Xalta, et n'ont-ils points besoin de faire de chantage? ou bien les mandats ont été fait a temps et du coup ils sont comme des imbéciles et sans le sous en plus !

La nonnette fit un large sourire, entretenir les mines, fort bien, mais les villageois refuserons d'aller travailler là bas, surtout si c'est pour des brigands, et s'ils y travaillent, ce serait de la haute trahison !
Dans un flottement de voile la petite none fila a travers les rues en chantonna son cantique favori, elle n'avait pas applaudit et se moquait bien des ces gens.


J'utilise la couleur indigo car ma petite nonne est pour l'instant simplement neutre.[/url]
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