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Promenade dans les replis des mondes....

--Sarco_suceuse_de_charogne


Sarco ne comprenait rien a ce qui se passait.
D'un seule coup, la chambre fut envahie de personne.

Ho, elle avait pas peur, non. Surtout qu'a l'odeur, elle en avait bien reconnue une ou deux. Le problème c'est que c'était elle qui lui avait retiré Salt de la bouche comme on retire un os a un chien...

Bzz ... faisait-elle en tournant autour de tout ce petite monde.

Maintenant que je suis bien moche, toute grillée, je vous fais peur hein???? ahahah Bzz Bzz^^

Pfff même pas! Personne ne réagissait.

Qu'étaient-ils tous venu faire ici ?

Soudain, Sarco fut prise de panique.

Salt ! ... Mon Salt à moi... Ils veulent l'emmener, me priver de lui !

Ah mais c'est qu'elle allait pas se laisser faire sans essayer de se défendre. Ha ça non!!!

Vite vite, elle se mis en position pour un vol en piqué et fonça vers la tignasse emmêlée de Saltarius et s'y blottis.
Ce petit truc lui avait déjà réussi alors, autant réessayer.

Et quand ce beau petit monde emmena Salt, il emmena aussi la Sarco qui se trouvait bien, logée et nourrie, un peu ballottée mais hall inclusive s'il vous plait !
Dalano
Dalano donna machinalement un coup de pied dans une bande qui traînait à terre.
Bordel de m.... Il venait de rater un énorme mouche grise !
Elle voletait autour de lui suivie de ses consœurs et il tenta de les éloigner. Il souleva la bande nauséabonde du bout de sa botte et l'envoya valser au dehors.
Le nuage de mouches s'interrompit un instant puis suivit gracieusement le mouvement.
Décidément, il en avait soupé des bandages !
Une femme s'activait dans la cahute. Bien qu'elle fût dissimulée sous une ample robe rouge, Dalano la détailla.
Nul doute qu'il aurait préféré être ailleurs.
Il regarda Gri et pensa avec émotion aux instants qu'ils venaient de passer.

Ils étaient bien trop nombreux dans cette cabane. Et la puanteur était insupportable.
Il sortit laissant les deux femmes s'occuper du moribond.

Il eut soudain l'impression que c'en était fini pour l'homme couché sur ce grabat et qu'il allait tous les entraîner dans sa chute.

Lui qui n'avait pourtant jamais craint de mourir en éprouva une sorte de rage.
Leanore


La porte s’ouvrit avec violence et Léanore sursauta. Ce n’était pas le moine qui revenait avec de l’eau mais un homme et une femme dépenaillés autant que celui qui était couché là. Léanore reconnut la jeune femme venue lui demander conseil quant à des blessures. Serait-il possible que ces personnes se connaissaient. L’homme ressortit incommodé par les odeurs et sans doute par le spectacle qu’il avait sous les yeux. La femme sans un mot entreprit de l’aider et Léanore en la dévisageant et en voyant le visage qui s’était adouci n’eut plus aucun doute : ces trois là se connaissaient et partageaient un douloureux souvenir. Qui étaient ils ? Non pas des soldats. Ou alors des soldats déserteurs. Des brigands ? Elle n’appartenait pas aux forces de l’ordre et sa vocation était de soigner. Aussi elle chassa ses pensées pour se concentrer à sa tâche.
Les bandelettes étaient souillées de sang et de terre. Elle les retira délicatement pour ne pas faire saigner les plaies et les tendit à la jeune femme

« Il faut les brûler » dit-elle avec fermeté.

Les plaies étaient moins graves qu’elle ne le pensait mais elles nécessitaient quand même un nettoyage en bon et du forme ainsi qu’un onguent et d’un bandage propre. Le moine tardait à revenir avec l’eau et cela agaça Léanore. Elle continua l’inspection du corps. L’homme ne réagissait pas même lorsqu’elle touchait des zones qui devaient être douloureuses. Il gardait le regard fixe comme s’il était mort et pourtant la chaleur qui se dégageait de son corps lui prouvait que non. Ce regard la rendait mal à l’aise et elle se décida enfin à passer la main sur les yeux afin de refermer les paupières. Une ancienne blessure à l’aine attira son attention car de nombreux ganglions avaient poussé, la plaie était purulente et brûlante. Voilà de où venait la fièvre. Le corps humain luttait à sa façon contre la maladie mais il n’y parvenait pas seul. Elle se tourna vers la jeune femme qui l’observait


« Les plaies à l’épaule et au mollet sont sans gravité. Celle-ci à l’aine est plus sérieuse. Je pense que je vais devoir inciser pour faire sortir les mauvaises humeurs qui la pourrissent. Demandez à votre ami dehors d’aller voir où en est l’ermite, j’ai besoin d’eau et il tarde à revenir. Je vais préparer une tisane pour la fièvre. »


Il fourragea dans sa besace pour sortir les sachets d’herbes, en versa un peu dans le fond de son pot et commença à écraser la simple qui aiderait à la guérison.
--Celestin_le_pieux


- Grmllmlm … on n’est jamais tranquille. Qu'est-ce qu'elle imagine, la femme, la suppôt du Sans Nom.... Allez me chercher de l'eau... non mais suis pas son esclave.... Et puis avec quoi encore ? J'ai pas de seau

Voilà, Célestin était un ermite sans seau. Sans eau aussi par conséquent. Par pudeur, piété et dévotion à Sainte Croûtedecrasse il avait fait voeu de ne se laver qu'une fois par mois.
C'est comme ça, elle allait pas y changer, la porteuse de mamelles. Toujours pareil avec cet engeance, dès qu'elles sont là, faut qu'elles vous mènent par le bout du ...

Célestin se rendit chez le Gustave à qui il mendiait un vieux seau à traire pour faire son ablution mensuelle. Il entra dans la cours de la ferme, fit un signe en grommelant au porcher qui travaillait par là et alla chercher son seau. Puis toujours râlant, rotant, grommelant dans ses chicots, il alla à la rivière.

Quand il revint de par chez lui, il faillit avoir une attaque et planter tout là. C'était la foule comme au marché ! Pire qu'au marché : yavait une autre vile tentatrice dans son repaire !

Il posa le seau d'eau par terre. Et alla bouder très loin.


- Grmlmlm on n'est jamais tranquille, je vais te me les virer vite fait....

Il respira un grand coup. Se dirigea à grands pas vers sa cahutte , il se racla la gorge.


- Bon... c'est qui c'cadavre pour qu'il attire les gens comme des mouches sur une flatte de vache ? Vous l'connaissez vous aut' ou bien zêtes curieux de voir comment meurt un pauvre diable ?

Il avisa la médecin, hésita, voulut parler, se ravisa.
- Vous ... vous pouvez rester, zêtes utiles, les autres circulez, ya rien à voir. Revenez demain voir s'il veut vous parler, s'il est pas mort.
--Lys.
[Pendant que les vivants s'activent, Lys découvre les plis et les replis des mondes]

Je m'appelle Lysianthe. Je suis soldat de l'Ost bourguignon.
Enfin, j'étais soldat. Parce que je suis morte très tôt ce matin.
J'ignore où je me guident mes pas. Je ne sais pas si tu vas où je vais ou si tu en viens. Ce qui est sûr c'est que je te vois errer depuis un bout de temps, tandis que tous les autres semblent se diriger vers leur destination d'un pas décidé.
Peux-tu me tenir la main ?
Parce que j'ai beau faire ma fanfaronne, j'ai peur !
J'ai tout bien fait comme il fallait. Je me suis mise en défense hier soir, histoire que personne ne soit privé de solde. J'ai semé puis récolté mon maïs. Comme je savais que je ne pourrais rien faire de mon argent, j'ai acheté une paire de bas. J'ai promis à mon fiancé de l'épouser...
Et maintenant au pied du mur, à l'idée d'affronter un monstre à trois têtes, un chien enragé ou un personnage du nom d' Aristote, je ne suis plus si sûre de moi.


Lys se demandait ce qu'on allait faire de son corps ? L'enterrer, le brûler ?
Si le grand maigre aux yeux d'une couleur indéfinissable pouvait lui tenir un peu compagnie, ce ne serait pas de refus.
Et pourquoi pas ? Lui expliquer un peu peu toute cette organisation post mortem qui commençait sérieusement à lui filer la pétoche.
--Sarco_suceuse_de_charogne



Sarco vit le pied botté en toute dernière seconde mais juste à temps pour retirer ses crochets avant de partir valdinguer avec la délicieuse bandes qu'elle était en train de lèchouiller amoureusement.

-Hey!!! Mais ça va pas abruti???
Gaffe à mon casse-croute blondinet.
Un met aussi raffiné, ce n'est pas tout les jours alors, vois-tu, faut en prendre soin nondunbzz!!!


Et elle parti plus loin, suivant désespérément les effluves faisandée dont elle avait peur de perdre la trace.
Leanore


Elle terminait de piler la simple lorsqu'il revint enfin. Il posa non sans joie le seau d'eau qui sous le choc déversa quelques flaques sur le sol.
Léanore sourit intérieurement en pensant que cela ne ferait pas de mal au sol crasseux. Elle comprenait que l'ermite tenait à sa solitude pour diverses raisons qu'elle ne cherchait à comprendre. Mais la situation ici était exceptionnelle et méritait un peu de compassion de sa part. Lorsqu'il intima à tous de quitter sa masure sauf elle, elle intervint le plus calmement du monde.


"Frère ! Je ne pourrai pas faire les soins seule. J'ai besoin de quelqu'un qui m'éclairera ou qui fera chauffer de l'eau. Je propose que cette jeune fille m'assiste......"


Elle ajouta malicieusement connaissant la réponse par avance

"A moi que vous préféreriez le faire......."


Il ne répondit rien ou plutôt grommela quelque chose d'incompréhensible avant de sortir de sa demeure.

Léanore prépara un bon feu pour faire chauffer l'eau ainsi que l'instrument qu'elle avait prévu d'utiliser pour l'incision. La jeune fille l'observait sans prononcer un mot se demandant sans doute en quoi elle serait utile ou angoissée à l'annonce du genre d'opération que ferait la médicastre. Léanore entreprit d'entamer la conversation histoire de la mettre à l'aise tout en jetant l'herbe dans de l'eau chaude.

"Je suppose que vous le connaissez....... Avez vous subi une attaque ?.......
Ne craignez rien je tiendrai ma langue......"


Elle chauffa un petit couteau et mit à portée de main tout ce dont elle aurait besoin : bandelettes, lotion et onguent.

"Je suis prête et vous ? TEnez bien la lampe près de l'endroit à soigner. Nous devons être sûre que tout sera expulsé et pour cela je dois voir correctement......"

Léanore avait dit cela d'une voix douce mais ferme. ELle faisait comprendre ainsi à Griottinnes qu'elle était partie prenante dans ces soins et donc dans la guérison s'il guérison il y aura.
Léanore se lava les mains une dernière fois, saisit le petit couteau et s'agenouilla près du blessé. Elle attendit que la jeune femme l'éclairât......
Griottinnes
Gri voyait Dal s'enerver et franchement, elle le comprenait.
Il n'était pas évident de voir Salt dans cet état.
Il avait su la soigner elle et la médicastre avant dit que tout aller bien, qu'il avait bien fait ça.
Mais Salt avait l'air si mal...


Citation:
"Il faut les brûler » dit la Dame avec fermeté."


Gri la regarda irritée.
Ho là, faut pas qu'elle s'ennerve la p'tite dame...
Mais très vite, elle se ravisa. On a besoin d'elle, pas le moment de craquer ou de discuter.

Se relevant, Gris pris les bandelettes souillées et les mit dans un plat en petit tat. Elle les aspergeât de gnôle qu'elle avait trouvé dans la réserve du propriétaire, un truc bien fort qui prendrait feu à la moindre étincelle. Elle fouilla sa besace et y prit la petite bourse en cuire avant de sortir.

Cherchant Dalano du regard, elle arracha quelques herbes sèches, quelques pailles éparpillées et les ajouta au tas avant de prendre son briquet. Elle n'avait plus d'amadou mais avec la rasade de gnôle... Elle frappa l'éclat de silex et le feu prit dans le plat.

Regardant la fumée se dégager, elle pensa aux mouches que envahissaient la masure et se dit que c'était un bon moyen de les chasser. Et quand les bandelettes furent complètement brulées, elle jeta de l'herbe fraiche dans le feu et se protégeant les mains, elle prit le plat et fit le tour de la cabane affin de l'enfumer un peu.

Ceci fait, elle revient s'occuper de Salt regardant ce que la dame faisait.


Citation:
« Les plaies à l’épaule et au mollet sont sans gravité. Celle-ci à l’aine est plus sérieuse. Je pense que je vais devoir inciser pour faire sortir les mauvaises humeurs qui la pourrissent. Demandez à votre ami dehors d’aller voir où en est l’ermite, j’ai besoin d’eau et il tarde à revenir. Je vais préparer une tisane pour la fièvre. »


Elle était directe la dame. Mais elle était aussi efficace et ses gestes étaient surs.

En voulant sortir pour appeler Dal, elle manqua de trébucher tombant nez à nez avec un vieux rabougris-pasbeau.

Citation:

- Bon... c'est qui c'cadavre pour qu'il attire les gens comme des mouches sur une flatte de vache ? Vous l'connaissez vous aut' ou bien zêtes curieux de voir comment meurt un pauvre diable ?


Elle regarda l'air dédaigneux mais ce devait être lui qui avait trouvé et s'était occuper de Salt.

Voyant le seau qu'il avait posé un peu plus loin et alla le chercher d'un pat pressé. Mais, repassant devant le bedonneux, elle lâcha :


- L'est pas encore mort votre cadavre. Alors pas de fausse joie.

Il regarda la Dame puis Gri en lâchant sur le même ton :

Citation:
- Vous ... vous pouvez rester, zêtes utiles, les autres circulez, ya rien à voir. Revenez demain voir s'il veut vous parler, s'il est pas mort.


La Dame intervient.

Citation:
"Frère ! Je ne pourrai pas faire les soins seule. J'ai besoin de quelqu'un qui m'éclairera ou qui fera chauffer de l'eau. Je propose que cette jeune fille m'assiste......

A moi que vous préféreriez le faire......."


Gris, ne fit pas un pas vers la porte et aidant la dame à mettre l'eau à chauffer elle lui sourit reconnaissante.


Citation:
"Je suppose que vous le connaissez....... Avez vous subi une attaque ?.......
Ne craignez rien je tiendrai ma langue......"


Gri n'avait pas le cœur à parler. Bien qu'ayant généralement la réplique facile, là, elle dit rien. Comment expliquer qu'elle le connaissait à peine, juste quelques mots échangé, un pigeon, un rendez-vous aux portes de la ville et ... l'attaque fatidique à peine les portes franchies. Comment faire comprendre que Dalano ainsi que cet homme, l'avaient sans doute enlevée à la mort et surtout, comment lui dire que tout ça avait été fait par l'armé.

Citation:
"Je suis prête et vous ? Tenez bien la lampe près de l'endroit à soigner. Nous devons être sûre que tout sera expulsé et pour cela je dois voir correctement......"


Attrapant la lampe, elle la plaça juste au dessus de la plaie et regarda la médicastre pour voir si elle faisait bien.
Elle avait bien l'habitude du sang et des chaires vu les années qu'elle avait passé avec le gros Marcel. Mais ici, ce n'était pas un bête qu'on aller découper, et les chaires suintantes appartenaient à cette homme qui avait voulu l'aider... Elle devint blême mais ne bougea pas quand la dame incisa.
--Le_mari_de_la_faucheusse




Il était là, tout triste, assis sur un banc à nourrir les oiseaux (soupire)

Elle était de nouveau partie, le laissant seul encore une fois.


- J'y peux rien ma crevette, c'est le boulot tu sais!

J'peux pas faire attendre Adès. Il s'énerverait et Perséphone finira par me l'reprocher.

Tu sais bien que depuis qu'elle a transformé Menthé en plante, elle n'est pas à prendre avec des pincettes alors, il faut que j'y aille.



"Mais oui, mais oui! Va donc ma moissonneuse", avait-il répondu tristement, la regardant partir.

C'est que le sir avait la déprime.
Elle lui mentait la faucille. Et de ça, il en était sur.

En sortant, elle lui avait lancé un :
"je t'aime mon os de sèche !"

Pff ... encore une preuve qu'elle n'était pas droite dans ses bottes la bougresse aux dents longues.
La dernière fois qu'elle l'avait appelé comme ça, c'était aussi après avoir travailler. Elle était partie chercher un comte à la rude réputation et ... en était revenue toute essoufflée.
Rhoo ! couteaucranté !!! Rien que d'y penser, il avait à nouveau envie de pleurer.

Et là, qu'était-elle partie faire la menteuse.
Il savait qu'elle n'allait pas chercher cet homme. Elle lui avait déjà sortie cette excuse il y a peu.
C'était affligeant. Elle voulait tellement s'échapper de chez eux qu'elle ne s'était pas rendu compte qu'elle avait donné le même nom que le dernière fois. Saltarius!
Saltarius ! Qui c'était lui d'abord pour qu'elle ait retenu son nom. Un humanoïde qui meurt deux fois??? Faut être con pour croire ça.

C'est ça, elle le prenait pour un con. Oui c’est sur, elle le prenait pour un gros con Un con pas capable de retenir le nom de ses amants. Parce que si elle se souvenait de son nom à celui là, la serpette, c'est qu'il l'avait prit, qu'elle s'était donné, qu'ils avaient... rhooo non ! Bougre de fiente puante, ne pas y penser, surtout ne pas y penser... Surtout que si elle l’avait fait avec lui, elle devait l’avoir fait avec d’autre…


Non, non…. Pourquoi ???....... Vite, où est ma boite d’ Effexor ?
Saltarius
[ quelque part, dans un pli entre terre et ciel...fait plus clair ...]

Saltarius riait tout seul dans le noir.
Zétaient rigolotes ces trois têtes d'un même chien, un chienchien à sa môman, tous comptes faits...
Saint Plet était tellement habitué aux bizarreries de la vie que les bizarreries des entre-vies ne l'effrayaient pas. Pas du tout en fait.
Et ce clébard des Enfers... bah, les clébards du monde des vivants zétaient pires.

Il avançait toujours, sans hâte : ben oui quoi, ya pas l'feu au lac !
Et sans crainte.
Il faisait plus clair. Comme une aube de début d'un jour pâle.
Avec un petit soleil froid qu'a l'air tout seul et que ça donne envie de le consoler.

Et pis v'là qu'il rencontre du monde.... des semaines qu'il vaque sans bruit, tout seul avec son âme qui sait même pas qu'elle est toute seule... Son âme de Simplet un chouïa fêlée de la carte mère.
Et pis Trois têtes de chien aussi bêtes que des têtes de piaf.
Et pis quoi ....
Une âme ensoldatée...Une fille...pas moche.
De mieux en mieux...

- D'moiselle, b'jour ... j'suis Saltarius, j'suis Simple

Citation:
Je m'appelle Lysianthe


- Joli, pas banal comme prénom... zavez l'air perdue...

Citation:
je suis morte très tôt ce matin.
J'ignore où je me guident mes pas. Je ne sais pas si tu vas où je vais ou si tu en viens. Ce qui est sûr c'est que je te vois errer depuis un bout de temps, tandis que tous les autres semblent se diriger vers leur destination d'un pas décidé.
Peux-tu me tenir la main ?


- Ben zavez plutôt de la chance... moi ça fait des jours... Vous tenir la main ?

Il regarda la main.
- Oué pourquoi pas ? Zetes plus armée au moins ? J'aime pas les armées. Bon moi non plus j'sais pas où on va... j'vous l'dis ça fait des semaines que j'me ballade. mais pouvez venir, c'est pas dangereux.

Il prit la main néanmoins, un petit peu de contact humain, ben c'est bon pour ce qu'il a le Fou.
Il avancèrent encore, la lumière naturelle de l'endroit semblait ... surnaturelle , pas complètement épanouie lui semblait-il.
On dirait même qu'il y a ... oui un banc.
Il est soulagé le Salt, va pouvoir faire une pause. Et puis... allez savoir, il avait peut-être un ticket avec la soldate effrayée.


- Purée de foutredieu d'enfer d'agoraphobie de sainte Foutaise ,
yavait un autre mec !
Tudieu j'vois personne pendant des jours et des jours... et au moment où je m'faire une soldate, ya un autre marlou sur le coup.


Salt et la fille pas moche approchent.
L'homme a l'air gai comme un jour sans pain.


- B'jour, on peut s'assoir là ? Ah pleure pas l'homme, tu le reverras celle que tu aimes, tout le monde finit par arriver ici !
la demoiselle là, c'est Lysianthe ... et moi Saltarius, disciple de Bécassine en route pour la retrouver.
T'es qui ?

_________________
affiche sa bannière par solidarité entomologiste
--Lys.
[Tandis que s'entrouvre un pli... une voix !]


D'moiselle, b'jour ...


Il lui demande si elle est perdue. Comme si elle avait pour habitude de se balader ainsi !

Voyez vous messire...

Quelque chose lui dit qu'on se vouvoie pas dans ce genre d'endroit.

J'ai pas l'habitude de mourir, alors je cherche un peu mon chemin...

Quand il lui prend la main, elle a un mouvement de recul :

T'as quoi sur la main ?

Bon, elle va pas faire la difficile. Faut pas rêver, elle va pas rencontrer pléthore de gens ici bas... ici haut ?

Elle cherche son épée : elle l'a pourtant emmenée avec elle, et son bouclier.
Bon, c'est vrai qu'elle risque rien.

Lys retire sa main et la passe dans le coude de Salt. On dirait un petit couple.
Le couple se dirige d'un pas tranquille vers un banc. Peut être qu'il va lui faire la conversation le sieur.


Purée de foutredieu d'enfer d'agoraphobie de sainte Foutaise !

Ca part plutôt bien !

Et v'la qu'il lui présente un pote.

Lys fait la révérence. Mais c'est qu'on serait bien élevés à cette hauteur.
Qu'on se fait des politesses. Et si elle les invitait à diner....
Hecat
Hécat avait longtemps chevauché. Elle était enfin arrivée près de Patay la ou on lui avait indiqué que se trouvait la cabane de l'ermite. Elle chercha un instant en regardant au loin et fini par l'apercevoir.
Une fois arrivée, elle descendit de cheval et l'attacha à un arbre. Elle s'approcha de la cabane vit un homme assis devant. L'air était emplit de fumée. Quelqu'un avait fait un feu pour y faire brûler quelque chose.
Elle s'approcha doucement de l'homme.


Bonjour messire.
C'est bien ici la cabane de l'ermite ?


Elle espérait ne pas s'être trompée. L'homme n'avait pas l'air agressif, mais après ce qui lui était arrivée, elle avait tendance à se méfier.
_________________

Maire de Gien
--Celestin_le_pieux


Citation:
Bonjour messire.
C'est bien ici la cabane de l'ermite ?


- Grmlmlml jamais tranquille.
Ouais, c'tici la cabane de l'ermite.

Voilà la cabane

Mais l'ermite ... ya plus d'ermite... ici c'est la Cour du Roi des Brigands.
Saviez pas ?
Entrez, entrez, vous gênez pas... ya que des gueuzes là d'dans et pis un couillu.
'Fin c'qu'il en reste... vont l'achever. Pouvez y aller, ça fera un bon débarras. Moi j'me casse...

Et Célestin le pieux, ermite, plus ermite mais hermétique aux charmes féminin s'en fut très loin... très très loin de cette populace à nichons ...
--Miss_carla






Miss Carla la Cancrelat se promenait le long d'un mur.

Elle avançait, se dandinant lascivement, tout en fredonnant une chanson de sa voix suave.
En avançant, elle grattait nonchalamment ses élytres en faisant sortir un son de cordes grattées.
Un ptit air langoureux qu'elle chantait pour son amoureux, son bienfaiteur, son fournisseur... l'être humain dans toute se splendeur... son Célestin.

Célestin...
Célestin, ça rime avec festin.
Et des festins, elle en faisait depuis qu'elle habitait chez son calotin.
Il était d'une délicatesse avec elle...
Pensant toujours à lui laisser de quoi manger, et pas de la défection non, des mets de choix et en quantité s'il vous plait.

Bien sur elle devait le partager ; pour un homme comme ça, y a rivalité. Mais elle savait qu'elle était sa préférée. Parce que elle, il ne la chassait pas à tour de bras.

Amoureuse… elle était l'amoureuse.
Et le soir lorsqu'il dormait, étalé avec grâce sur sa paillasse, elle venait se lover tout contre lui. Frotter ses élytres contre son corps de braise et sentir le parfum qui se dégageait de son... corps. Parfois même, quand elle osait prise d'une subite fringale, elle le léchouillait.

Et au matin, rassasié de lui, elle s'en va, retourne dans son petit coin. Se dandinant lascivement, au rythme de son chant, de sa voix légèrement cassée mais envoutante, le pas léger, s'accompagnant du grattement de ses élytres pour accompagné son chant presque murmuré.






Mais depuis quelque jours, elle sentait son aimé contrarié.
Il ne dormait plus dans sa couche et elle fut surprise un soir en s'y rendant de trouver à sa place un autre homme. Pas la même odeur, plus piquante, et surtout pas la même chaleur. Son Célestin, il était chaud, il sentait le chaud... Il sentait fort, mais il sentait pas le mort.
--Sarco_suceuse_de_charogne


Sarco était posée sur le mur de la cabane, juste au raz du sol quand elle vit passer la Carla cracra.

Regardez moi cette pimbêche. La péteuse qui se dandine, comme c'est indigne.
Bien sur, elle est pas embêté elle! Au raz du sol, y à moins de fumée.


Quand Carla passa à se hauteur, elle lui lança.

" Et ho ! Cracra!
Tu t'en vas où de ce pas là???
Tu penses vraiment qu'il va se mettre à ta hauteur ?"


Et elle éclata de rire se retournant pour chercher l'odeur adorée.

Excuses-moi mais on connait tous "la belle et la bête" mais vous allez faire comment vu que t'es pas belle ?

Et re-éclat de rire avant de s'envoler un peu, juste pour s'écarter un peu.
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