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[RP] le troisième sous-sol

--Lebourreaurouge


LeBourreauRouge tourna la tête vers son assistant. Celui-ci venait de lui demander quand on commencerait...il sourit sous sa cagoule. Heptoilabas était toujours préssé d'en finir; et d'une certaine façon, lui aussi. Il n'aimait pas faire traîner ce genre de choses. Cependant, quelques instants plus tard, une jeune femme l'apostrophait:

Matouminou a écrit:
Hey!! vous!!!!....que comptez-vous faire? Exécuter cet homme? Il n'a même pas eu de procès....qui vous envoie?


Il ne put réprimer un large sourire.

Qui m'envoie? Mais le tribunal, voyons! C'est donc qu'il a été jugé, ou alors je n'y comprends plus rien! Souhaiteriez-vous qu'il ait un second procès? Vous avez demandé recours au maire, et au Prévôt...soit! Fécamp est une ville bien agréable, je veux bien attendre quelques heures leur réponse...mais sans nouvelles de l'un d'entre eux, je l'exécuterai.

A ces mots, Heptoilabas se mit à battre frénétiquement des mains. LeBourreauRouge leva la main, ce qui eut pour effet de faire cesser sur-le-champ les appluadissements de son assistant; celui-ci, avec un air contrit, s'affaira à préparer le restant de matériel, et à vérifier que tout fonctionnait. Il avait eu une riche idée de le faire taire, à l'autre voleur; au moins, on n'entendait plus ses beuglements. LeBourreauRouge laissa sa hache plantée dans le billot, et descendit de l'estrade, afin de se dégourdir les jambes. Décidément, les exécutions n'étaient plus ce qu'elles étaient! Si on devait attendre d'avoir l'aval du maire ou du Prévôt pour raccourcir les malandrins, où allait-on?









Chramm
Chramm passait par la place lorsqu'il vit du monde sur celle-ci. Un bourreau précédé de son assistant allaient éxécuter le pauvre chapardeur qui ne pouvait déja plus parler à cause des violences exercés par l'assistant. D'après ce qu'il avait entendu, le chapardeur allait être mise à mort le jour même sauf si quelqu'un intervenait pour le gracier. Cependant, chramm savait que si la mort était parfois un châtiment mérité mais pas pour un simple vol. Il savait au fond de lui que la mort d'un homme entraîne toujours une succesion de vengeance et que peut-etre la famille du chapardeur allait intervenir comme lui-même était intervenu lors du meutre de ses parents. Il vit d'ailleurs Matou essayer d'empêcher cela, il décida de s'adresser au bourreau:

"Il n'a fait que voler à ce que je sache, il ne mérite donc pas la mort mais seulement d'être marqué au fer rouge d'un V, vous pouvez aussi seulement le flageller"
Matouminou


Matou vit le bourreau se diriger vers elle avec une certaine appréhension....de près, il avait l'air encore plus impressionnant. Elle leva les yeux vers lui et l'écouta:

Qui m'envoie? Mais le tribunal, voyons! C'est donc qu'il a été jugé, ou alors je n'y comprends plus rien! Souhaiteriez-vous qu'il ait un second procès? Vous avez demandé recours au maire, et au Prévôt...soit! Fécamp est une ville bien agréable, je veux bien attendre quelques heures leur réponse...mais sans nouvelles de l'un d'entre eux, je l'exécuterai.

Le sang de Matou ne fit qu'un tour, elle lui répondit:

Je peux vous assurer que cet homme n'a pas eu de procés....je cours de ce pas voir le Prévot et le Maire....Je reviens avec leur réponse et les papiers officiels....

Matou se retourna et se trouva nez à nez avec Chramm :


Bonjour Chramm....je file ...il y a une possibilité encore que cet homme soit jugé....peut-être peut-on encore le sauver de la mort....

Elle n'y croyait pas trop, elle entendit Chramm crier quelque chose au bourreau:

Il n'a fait que voler à ce que je sache, il ne mérite....

Elle n'entendit pas la suite...elle était déjà loin...

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Matouminou
Heureuse Fécampoise
Fière d'être Normande
Verba docent, exempla trahunt
Jobart
Jobart qui avait eu vent rapidement de toute cette histoire avait fait poster en PHV (Pigeon Haute Vitesse) une missive

Le pigeon arriva sur la place publique

Citation:
Nous, Jobart de Zaquaria

Prévost des Maréchaux de Normandie élu par le peuple normand et désigné par Sa Grasce Oargarock, Duc de Normandie,
Supendons ce mardi 23 septembre 1456, l'exécution du présent détenu, Messire Charpardeur, jusqu'à qu'un procès équitable digne de se nom et que toute lumière soient fait sur cette affaire.

Il n'y a pas de meilleur justice qu'en Normandie et nous nous devons de maintenir et honoré cette implication.

Fait le 22 septembre 1456, à Rouen, par Jobart de Zaquaria, Prévosts des Maréchaux.



_________________
Matouminou


Matou avait réussi à voir Job et surtout à lui faire promettre qu'il enverrait un parchemin avec la notification officielle du procés pour le chapardeur...Elle revint sur la place juste à temps pour voir un pigeon se poser sur l'estrade....Immédiatement elle sut que c'était le pigeon de Jobart...Il avait de la mousse verdâtre accrochée aux plume de ses ailes....le pauvre...Enfin....elle n'allait pas en plus s'occuper de la protection des pigeons...Elle l'attrapa et décrocha le parchemin. Elle le lut et un grand sourire s'afficha sur son visage....

Heppppp.....le bourreau.... écoutez ça!!!

Elle monta sur l'estrade et se campa devant lui pour lui lire l'annonce:



Nous, Jobart de Zaquaria

Prévost des Maréchaux de Normandie élu par le peuple normand et désigné par Sa Grasce Oargarock, Duc de Normandie,
Supendons ce mardi 23 septembre 1456, l'exécution du présent détenu, Messire Charpardeur, jusqu'à qu'un procès équitable digne de se nom et que toute lumière soient fait sur cette affaire.



En souriant d'un air triomphant, elle lui tendit le parchemin, se demandant si il savait lire d'ailleurs....

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Matouminou
Heureuse Fécampoise
Fière d'être Normande
Verba docent, exempla trahunt
--Lebourreaurouge


LeBourreauRouge se pencha, et regarda le parchemin que lui tendait la jeune femme. Hmmmm..un sceau officiel...alors, comme ça, il fallait un procès en bonne et dûe forme au vilain qui était sur la place publique? Il sourit, sa cagoule masquant son rictus.

Hé bien, si j'en juge par le fonctionnement de votre justice, il y a pas mal de couacs! On me fait venir pour exécuter un homme, alors qu'il n'a pas eu de procès? Ma foi, on en apprend tous les jours!

Il se redressa, et éclata de rire. Saisissant sa hache, il la fit tournoyer au-dessus de lui, avant de la planter profondément dans le billot. Regardant malicieusement la jeune femme, il dit:

Excusez-moi, mais, dans ce métier, on doit garder la main...sinon, le travail est mal fait!

Il ajouta, un brin provocateur:

Je vais de ce pas visiter vos tavernes! J'espère simplement qu'elles fonctionnent mieux que votre justice!

Riant à nouveau, il sauta de l'estrade, et, se retournant, dit à Heptoilabas:

Ne bouge pas d'ici, et surveille les outils. M'est avis qu'on ne va pas s'en servir avant un moment.

Puis il se dirigea d'un bon pas vers la première taverne.
Matouminou


Matou était très heureuse d'avoir obtenu que le Chapardeur puisse avoir droit à un procès en bonne et due forme. Restait à savoir maintenant quand et comment allait se dérouler le procés. En attendant elle lança d'un ton moqueur au bourreau:

Nos tavernes fonctionnent....oui....mais je crains fort qu'elles ne se vident en vous voyant entrer...enfin, essayez toujours....

Elle ne put s'empêcher de frissonner quand le bourreau fit tournoyer sa hâche pour la planter dans le billot. Puis, elle le regarda s'éloigner. Même si elle avait un peu fanfaronné devant lui, il la terrifiait. Elle se dirigea vers le chapardeur qui semblait complètement abasourdi:

Tu as de la chance, le Prévot a demandé à ce que tu puisses avoir un procès...Tu es coupable et je ne sais même pas si un avocat voudra te défendre...De plus, le bourreau ne se déplace jamais pour rien...j'ai fait ce que j'ai pu....

Elle le regarda. Elle savait qu'il méritait son sort. Il allait mourir mais pas comme un chien....comme un être humain...Curieusement, elle se sentit soulagée.

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Matouminou
Heureuse Fécampoise
Fière d'être Normande
Verba docent, exempla trahunt
Heptoilabas


Il se démenait avec les gonds de la porte de la vierge. La rouille les avait soudé ensemble.
Ne bouge pas d'ici, et surveille les outils. M'est avis qu'on ne va pas s'en servir avant un moment.
Et il vit son maître partir dans une taverne.

-Grr, encore lui qui boit, et moi qui reste là.
Il tapa du pied dans un caillou qui alla se perdre sur la place. Il maudissa intérieurement la dame qui retardait son amusement.
Horloger


Horloger avait fini de répartir les écus, récupérés au chapardeur. Cela faisait 10 écus par personne; il restait 3 écus. Il les mit de côté, songeant que cela serait bien d'en faire cadeau à quelque mendiant; il soumettrait l'idée aux personnes lésées. Il remit les écus dans une besace, et la rangea. Matou lui avait parlé du bourreau qui se tenait sur l'estrade; il avait une chemise rouge qui lui donnait un air démoniaque, lui avait-elle dit en frisonnant... Elle lui avait aussi dit qu'il était accompagné d'une sorte d'aide, un homme à tout faire qui l'assistait dans sa sombre besogne...Ils attendaient tous le procès du chapardeur, que Matou avait réussi à arracher in extremis au Prévôt, Messire Jobart. Restait à savoir quand il rendrait sa sentence...Bah, un sursis pour le chapardeur, en somme; cela ne faisait pas de doute qu'il serait puni; restait à savoir de quelle manière. Horloger décida d'aller faire un tour sur la place, histoire de voir de ses propres yeux le bourreau. Après avoir refermé la porte, il sortit, essayant de s'abriter tant bien que mal de la pluie qui n'avait pas cessé depuis leur retour de Dieppe, et, évitant les flaques boueuses, se dirigea rapidement vers la place.
--Yersinia_pestis


Yersinia ne pensait qu'à faire le mal, elle avait le fond méchant depuis toute petite. Et ce voleur était une bonne occasion d'assouvir ses désirs de méchanceté gratuite. Elle surveillait discrétement le voleur accroché au pilori chaque jour, elle attendait juste que la surveillance se relâche. Ce fut chose faîte cette nuit. Les gardes étaient partis courir la gueuse, le bourreau faisait la tournée des tavernes, et son assistant avait disparu dans la nature.
Elle en profita donc pour aller enlever le morceau de bois qui maintenait le pilori fermé, puis elle l'ouvrit, mit le supplicié dans une brouette puis l'emmena chez elle. Elle n'eut qu'une alerte en passant près d'une taverne, deux hommes, l'air bien ivre, se gaussèrent d'elle en la voyant passer.
-Tiens, regarde donc, *hips* celui-ci, il est encore plus saoul que nous, et sa femme va lui passer *hips* un bon savon, on dirait, rien qu'à voir sa trogne..........
-pas ~hips~ trop lourd, ma bonne dame? Voulez un peu d'aide?~hips~
Elle passa son chemin rapidement, et s'enferma chez elle avec son chargement. Elle se fixa comme but de le requinquer et de s'en servir comme son outil de vengeance envers ces habitants qui l'ignoraient et la méprisaient.
Mithryn
Mithryn festoyait au nain salubre, il entendit 2 ivro...Fécampois brailler a l'extérieur. Miné par sa curiosité il alla mettre son nez sur la vitre. Déçu il ne vit qu'une femme qui trimbalait une brouette et les 2 dépravés qui s'en amusaient... Après quelques verres supplémentaires il laissa la gérance de la taverne a Matouminou.

Elle était fort peu heureuse d'ailleurs du fait que le bourreau était présent ce soir là. Il n'était pas très sociable mais rien ne faisait peur aux Fécampois, surtout pour du calva.

Sur la route qui le menait chez lui, il passait par la grand place. Toujours d'une humeur guillerette il avait prit pour habitude de saluer joyeusement le chapardeur sur son pilori d'un signe de main.

Sa surprise fût grande quand il crût voir la pilori vidé de son occupant. Il s'approcha croyant que sa vision des choses était troublée par l'absorption de calva. Il n'en fût rien...il était VIDE. Il se demanda tout d'abord si il avait été emporté pour son jugement, car les gardes étaient absents.

Hmmm, mouai...je suis trop curieux moi se dit-il a lui même.

Pour donner foi a ses dires, il repartit en direction de la taverne pour glaner des informations... Le bourreau étant présents là bas, il aurait certainement des informations sur le sujet...
Arrivé au Nain Salubre, il alla s'asseoir a la tablé du bourreau pour lui demander si il était au courant:


Hep, dis moi... T'es au courant que le condamné a mort est plus sur sa monture ? J'viens de passer devant et ma fois, pas de traces du p'ti chapardeur! J'me suis dis que tu devais être dans la confidence...

Il attendit la réponse du bourreau avec une lassitude feinte. Il était toujours très curieux et ne pouvait attendre quand il s'agissait d'une affaire a rebondissements ou de ragots. A croire qu'il tenait une taverne...
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Aupyl


Ce matin là, Aupyl se rendit au marché pour y déposer sa production, deux paires de chausses incolores. En arrivant sur la place, il lui semblait que quelque chose manquait, mais il ne put définir quoi.
Il déposa auprès du commissaire-priseur sa marchandise et le prix qu'il voulait en tirer, puis repartit chez lui.
Quelques pas plus tard sur la rue principale, il fut pris d'un doute. Il fit demi-tour. Et il vit le pilori VIDE.
-Tudiou! Il s'est évadé!
Aupyl tâta sa bourse le long de sa cuisse, pour contrôler sa présence, puis il rentra chez lui et se barricada.

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en cours de réalisation.
Matouminou


Matou mettait un peu d'ordre dans la taverne en pestant contre Mithryn...fallait-il qu'elle soit idiote pour accepter un tel boulot....des ivrognes, des boulets et maintenant le Bourreau qui lui faisait froid dans le dos...Elle essuya la table se tenant à bonne distance de lui. D'ailleurs, personne ne s'était assis à côté de lui. Le fait qu'il ne puisse enlever sa cagoule en impressionnait plus d'un. Elle en était là de ses pensées quand la porte s'ouvrit brutalement. Elle vit entrer Mithryn passablement énervé. Elle l'interpella:

Ah te voilà!! Tu....

Elle s'interrompit en le voyant se diriger vers le bourreau et resta bouche bée quand elle l'entendit dire:

Hep, dis moi... T'es au courant que le condamné a mort est plus sur sa monture ? J'viens de passer devant et ma fois, pas de traces du p'ti chapardeur! J'me suis dis que tu devais être dans la confidence...


Elle ne put s'empêcher de frissonner...ainsi le chapardeur avait réussi à s'échapper...Elle tendit l'oreille pour écouter ce qu'allait répondre le Bourreau.

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Matouminou
Heureuse Fécampoise
Fière d'être Normande
Verba docent, exempla trahunt
--Lebourreaurouge


Il avait poussé la porte d'une taverne au nom étrange...le Nain Salubre...bah, elle ferait parfaitement l'affaire, pourvu qu'on y serve du bon calva, s'était-il dit. Il s'était assis, et avait reconnu la tavernière. Ma foi oui, la jeune dame qui lui avait montré le parchemin sur lequel était inscrit l'ordre de ne pas toucher au vilain, là-bas...il avait souri sous sa cagoule, sans rien en laisser paraître. Il l'avait remerciée pour les verres, avait sorti quelques pièces de sa bourse, et les avait posées sur la table, près des verres vides. Il songea à rapporter une bouteille de calva, afin que son aide, Heptoilabas, puisse en profiter aussi. Il allait lui demander de rajouter une bouteille, lorsqu'il vit arriver un homme entrant en trombe dans la taverne. Celui-ci arriva directement à sa table, s'assit, et sans autre préambule, lui dit:

Mithryn a écrit:
Hep, dis moi... T'es au courant que le condamné a mort est plus sur sa monture ? J'viens de passer devant et ma fois, pas de traces du p'ti chapardeur! J'me suis dis que tu devais être dans la confidence...


"Par Saint Adrien! Que dis-tu?"

LeBourreauRouge s'était levé d'un bond, et regardait l'homme assis à la table.

Il allait passer sa colère sur Heptoilabas, mais se ravisa aussitôt. Après tout, Heptoilabas n'était que son aide; aux gardes de jeter un oeil sur ce vilain...il sourit à nouveau.


"Ca continue, hein? après le fait de ne pas savoir s'il a un procès en bonne et dûe forme, voilà l'oiseau qui disparaît! Décidément, en votre bonne ville de Fécamp, il s'en passe de belles! Jamais vu ça, en 25 ans que je manie la hache!"

Il partit d'un grand rire sonore, avant de se diriger vers la porte. Sur le seuil, il se retourna, et dit:

"Merci pour le calva, jeune dame. J'allais en acheter une bouteille pour mon aide, mais je veux d'abord savoir ce qu'il a à me dire. Peut-être a-t-il vu quelque chose...et puis, je dois m'assurer que mes outils sont bien à leur place."

Il salua l'homme, toujours assis, et s'inclina devant la tavernière; il poussa la porte, et se retourna.

"Quelque chose me dit que je vais être plus souvent en taverne que près de mon billot...alors, à nous revoir!"

Il éclata de rire, et sortit.





















Mithryn
Le bourreau semblait réellement surpris de la disparition du supplicié. Pas de doutes là dessus, donc il ne restait en cause que les gardes ou le jeune homme qui accompagnait le bourreau. On allait vite savoir si ce jeune bouseux savait quelque chose.

Il réfléchit quelques instants et se tourna vers Matou, qui semblait en proie au doute quand à cette histoire:


Ça va ma belle? lui dit-il pour la tirer de ses rêveries
Hmmm moi je suis d'avis pour qu'on suive le bourreau histoire d'en savoir un peu plus. Comme je sais que ça t'inquiète au moins tu seras fixée!
Au pire des cas il s'est fait la malle mais je pense pas qu'il reviendra! C'est pas que des bons souvenirs qu'il a ici! Hmm peut-être qu'il voudra se venger aussi...ça reste a voir, enfin bon! Allons-y!


Il se leva et alla ouvrir la porte, la tenant ouverte en attendant que Matou se décide
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