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[Rp]En route vers le sacre

Thibantik
Ecoutant a droite, saluant a gauche, Thib profites de ces moments rares . Elle entend Lucie qui fait les présentations de tout ce beau monde a Celestine qui sort rarement de Cérilly ou de Bourbon, e t un rire silencieux la prend lorsqu"elle entend les noms ^^

Tiens, le Géant arrive. Un regard échangé, un sourire qui leur rappellent a tout deux des souvenirs Bourbonnais, ou heureusement, Leg et Nereis se remirent vite sur pied, ainsi que le Mestre de Camp

Camille la fille de Saku et d'Hérisson est là aussi, toute timide, mais Thib se dit que quelques moments aux cotés des 3 de Kory et Al lui feront vite passer sa timidité.

Un jeune homme fait bande a part, inconnu de Thib, mais il descend du carrosse de Lanfeust et Laure, il finira bien par se présenter....

Un coup d'œil a droite, un coup d'œil a gauche, Thib attend de voir si Andro va venir ......

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--Elise.


Paniquée aurait été un doux euphémisme. Elle était complètement paniquée, à la réception de la courte missive de son époux, Althiof l'avait convoqué pour transmettre un mot et un laisser-passer à son épouse, mais il lui avait également demandé de l'accompagner. Comment cela l'accompagner ? Elise serait aussi à l'aise à la cour qu'un poisson hors de l'eau ! Enfin, heureusement pour la Baronne, il n'avait pas envoyé Pénélope, parce que la Pénélope, la patronne, elle aurait égorgé pendant l'voyage. Foi d'Elise !

Elise avait donc charger la chariote avec ses maigres atours, c'était pas une noble, une fille de paysans oui ! Hop en route pour retrouver la Baronne et lui annoncer la "bonne" nouvelle. La chariote avala les rues de la capitale, manquant de semer Elise au passage et v'là t'y pas que son époux, celui d'Elise, Théodon donc, s'improvisa cocher ! Les chaos de la route... Heureusement que c'était la capitale !!

Arrivée à la hauteur de la cathédrale, Théodon gara sur le côté la chariote qui faisait merveilleusement bien tâche au milieu des beaux carrosses. Elle reconnut le coche de Mirefleurs, il penchait un peu ! Mais cela aurait pu être pire ! Les armoires de Mirefleurs ne fermaient même plus !

Ma dame !! Ma dame !!

Elise approcha en courant auprès de sa maitresse. Elle reprit son souffle bien rapidement.

Ma dame Korydwen ! Votre époux m'a demandé de vous transmettre un message. Il vous donne rendez-vous au Palais de Tau, à Reims ! Et non pas à Paris comme vous lui aviez écris ! Il m'a demandé de vous accompagner avec Théodon, ainsi vous ne vous perdrez pas en route !

Voyant la mine un peu renfrognée de sa patronne, elle lui expliqua avec un peu plus de détails.

De part sa fonction de Grand Prévôt de France, votre époux se voit offrir logement au Palais de Tau, le palais de la Reyne. Il veut que vous l'y retrouviez... Il ne voyagera pas avec les nobles, il doit finir quelques dossiers et ensuite il devra partir à Reims pour vérifier la cathédrale et d'autres choses...

Elise regarda sa maitresse, elle passait par toutes les couleurs de l'arc-en-ciel, sans doute de la colère, de la tristesse. Elise en mettrait à coup sur sa main à couper.


Il m'a laisser, un laisser-passer pour vous, afin que l'on vous laisse entrer au Palais. Tenez.

Elise lui glissa le laisser-passer et la petite note qui allait avec.


Il a dit qu'avec ceci, vous ne devriez pas avoir de problème. Vous pourrez vous préparer là-bas, avant de retrouver vos amis nobles. Puisque lui, devrait assister activement à la cérémonie, il ne pourra rester avec vous durant le sacre, il m'a parlé d'une histoire de Sainte-Ampoule, vous devez être plus au courant que moi.


Sans doute-là, un des plus gros fardeaux que pouvaient avoir les épouses de Grands Officiers du Royaume.

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Dame à tout faire de Korydwen.
Beths
[Domaine de Billy]

Un sacre de Reyne, Beths n'aurait jamais pensé assister à une telle cérémonie de son vivant. Et pourtant, c'était bien ce qu'elle s'apprêtait à faire tout en enfournant sa dernière robe supplémentaire dans sa malle.
Elle n'avait aucune idée encore de la tenue qu'elle porterait en ce si grand jour, et elle n'avait point eu le temps de passer commande auprès des diverses couturières du royaume forts occupées par l'événement.
Elle serait obligée, tout officier royal qu'elle était, de porter une tenue qui n'était point neuve. Et elle n'avait aucune idée si cela serait gênant ou non. De toute façon elle n'avait pas le choix, elle n'allait tout de même pas se présenter à Reims en tenue de maréchale ...

Soupirant devant les deux malles qui se tenaient devant elle, elle ajouta encore colifichets, présents de son époux, cape de fourrure, présent de son époux lors de la naissance de Killian, chausse, brosse à cheveux, couronne ducale ...

Bon elle ne devait rien avoir oublié. Hormis sa tête peut être ?

Ce fut à cet instant que son époux arriva dans leur chambre. Évidemment il la surprenait les joues rouges, la tête penchée dans une malle, les cheveux en bataille ... bon son duc avait largement l'habitude de la voir étrangement présentée. Elle se releva aussitôt les yeux brillants et se rapprocha de lui, se hissa sur la pointe des pieds et scella sa bouche d'un tendre baiser.


Mon Marty, je suis presque prête comme tu peux le voir

Grand geste théâtral en direction des malles ce qui eut comme résultat de le faire rire

Oui, bon je ne savais pas quoi prendre, j'ai pris toutes mes robes, tu décideras lorsque nous serons arrivés à destination, ou avant si tu es sage.

Beths ne put s'empêcher d'agiter amoureusement ses doigts sur le torse de son époux tout en le regardant avec une flamme particulière et connu des deux, dans ses prunelles.

Tu sais, après les discours en chambre des nobles, j'ai songé à une chanson ...

[HRP : je considère les discussions en chambre des nobles préalable au départ pour le RP j'espère que cela ne gênera personne]

Et la Gondole se mit à chantonner ...

J'regarde les biches,
Qui m'regarde avec dédain
Dans leurs yeux se nichent
Des p'tits airs de chien...


Beths s'arrêta un instant en se mordillant la lèvre ... et se regard ne quittait pas Marty des yeux.

Pffff j'ai rien trouvé avec chaton ou bien sanglier mon cerf des forêts profondes ... c'est qu'il nous faut nous entrainer non ?

Et cette fois Beths ne put s'empêcher d'éclater de rire devant le regard mi-amusé, mi-affolé de son époux.

Je plaisantais Marty.

Et se détachant, à regret, de lui

Nous sommes déjà en retard, allons, le cortège du BA ne doit pas partir sans nous

Lui souriant, Beths se détourna alors pour appeler leurs gens afin qu'ils chargent prestement leur coche aux armes de Billy ... il était temps


[Sur la place de la cathédrale de Clermont]

La noble assemblée était déjà nombreuse, ils étaient là, au rendez vous, les carrosses magnifiques, prêts pour le départ.
Arrivés à destination, Beths et Marty mirent pieds à terre et se rapprochèrent de la petite foule qui s'était formée autours du Duc régnant.


Votre Grâce le bonjour, pardonnez nous pour notre retard. La faute m'en revient, je ne savais quelle tenue choisir.

Et puis Beths se mit à sourire et saluer les personnes présentes. Ils étaient nombreux, elle ne savait par qui commencer de ses vassaux, de ses suzerains qu'elle ne voyait point, de ses amis, des nobles du BA tout simplement ...
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A venir
Petitrusse
Bonjour Beths, bonjour Marty,

pas de soucis, il faut bien des premiers et des derniers, et en parlant de dernier, espéront qu'ils arrivent dans les prochaines minutes.


Le Duc jete un oeil circulaire pour essayer d'identifier les manquants.
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En cours de modification...
Herisson53
Hérisson regarda sa petite famille s’éloigner, un petit sourire au coin des lèvres.

Il salua dame Galswinthe qui venait présenter ses hommages
au duc.

je pense que Noéline doit attendre Fabien74 dit le duc

Hérisson se tourna vers Petitrusse :
Heu, votre grâce, je peux me tromper, mais je pense bien avoir vu Fabien par là-bas, il précédait le carrosse de Noéline.

Bon, faisons comme ca alors, je t’accompagne jusqu'à la prochaine étape et nous pourrons parler de l’état de nos routes.
D’autant plus si notre sécurité est assurée par notre grand sénéchal.


Il se pencha vers le duc et ajouta en confidence, le regard tourné vers le sénéchal:
On m’a dit que les brigands souillaient leurs braies dès qu’ils entendaient le nom de Guy, nous n’aurons donc rien à craindre.

Il voulu continuer mais au moment d’ouvrir la bouche, c’est Beths et Marty qui arrivaient pour saluer le duc.

Bonjour Beths, bonjour Marty, fin prêt pour le voyage ? Fit'il en écho.
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Korydwen
Beaucoup de nobles arrivaient, Korydwen les saluait au fur et à mesure, contente de les voir et surtout espérant apercevoir la silhouette grec de son cher et tendre baron d'époux. Mais point de Baron, juste une dame à tout faire qui arrive en hurlant. "Ma dame, ma dame", elle se tourna et retourna, cela pouvait être tout le monde et n'importe qui à la fois, sauf que la voix s'approchait d'elle pour finalement finir par être son vis à vis, sa brave Elise était là.

Un message de son époux et une mine de la Baronne qui s'éclaircit, elle la regarda et attendit presque sagement, sautillant limite sur place comme sa fille Eléa aurait pu le faire...

Froncement de sourcils, Reims et pas Paris, quelle nigaude ! L'esprit embrumé par la nuit passer aux côtés de son époux avait laissé des traces, beaucoup de trace, son esprit était vraisemblablement encore avec son Baron...


Rendez-vous au Palais de Tau ?

Mine renfrognée, un Palais rien que ça, serait-il devenu Prince ? Certes les gens adoraient son époux, un peu trop à son goût, combien de fois elle avait râlé ? Râlé parce que quelqu'un se pointait ? De nombreuses fois, mais elle n'en restait pas moins admirative et fière de son époux. De sa réussite et depuis le début elle avait été à ses côtés. Elle était pour le moins très contente de voir qu'on lui confiait une mission. Voyant son air presque bêta, Elise continua ses explications.

Ah bein forcément... Grand Officier, rime avec la cour... Hum... Si tu savais comme je suis absolument enchantée...

Des gens froids et qui ne parlent pas ! Voilà ce qu'elle avait rencontré à la remise des poulains. Mais que ne ferait-elle pas pour son époux ? On se le demande justement.

Bon très bien, j'espère qu'il ne lui arrivera juste rien en chemin.

Nombreuses couleurs se bousculèrent sur le visage de la Kory... Surprenant ? Ouais mais elle laissa couler finalement, plus vite la cérémonie passera et mieux ça sera pour tout le monde. Elle attrapa le laisser passer et le rangea précieusement, puis lisant la note, un oeil malicieux s'alluma, p'tre pas si terrible en fait...

Merci Elise ! Je retrouverai les nobles du BA pendant la cérémonie !

Elle se tourna ensuite vers ses amis nobles, sa vassale venait d'arriver, belle surprise que voilà, elle salua également la jeune Camille.

C'est dommage, mon Eléa ne sera pas de la partie, elle aurait pu jouer avec toi Camille, elle est plus jeune, elle a sept ans et demi. Une proch...

Elle vit Clothilde et Louis semblait être de la partie, visiblement il fallait faire quelque chose. Elle se tourna vers Elise avec son plus grand sourire.

Hum, je pense que je vais faire un détour par Cournon je vous rattraperai, il semblerait que... J'ai fait un mauvais choix la concernant. Je ne pensais pas que des enfants seraient présents et puis elle me tiendra compagnie en attendant que son père fasse ce qu'il doit faire avec l'ampoule et je ne sais quoi.. Il ne sera pas au courant mais ça... Tant pis !
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Martymcfly
[Château de Billy]

Le Royaume avait donc une souveraine. Et c’est à Reims qu’elle serait sacrée… Reims où le Maréchal d’Armes Royal s’était justement rendu il y a quelques jours pour d’obscures raisons qui s’étaient éclaircies depuis…

Et voilà donc qu’un voyage s’organisait depuis Clermont pour rejoindre la Champagne. La noblesse du Bourbonnais-Auvergne, pour une partie d’entre elle, reviendrait sur des terres qu’elle avait connues. Un temps bien lointain où, alors régnant, il avait mandé une armée en Champagne, en soutien royal. Ironie aujourd’hui puisqu’il était en charge de la marche artésienne… cette population contre laquelle il s’était levé il y a plusieurs années… et qui semblait ne pas se souvenir de son rôle à l’époque… Tant mieux !

Une page venait de se tourner… et un dossier venait de se refermer sur son bureau. Il était temps de partir, retrouver Clermont et ses têtes couronnées. La voiture les attendait dehors… mais pas de duchesse à l’horizon. Pas de doute, elle est dans la chambre à chercher une tenue appropriée. Beths et les robes, ça avait souvent fait deux, mais le mariage et la naissance de leur fils l’avait fait devenir quelqu’un d’autre. Plus douce, moins criarde, quoiqu’en disait ses connaissances. Plus femme en fait. Il entra donc dans leur chambre et trouva son épouse, la tête dans une grande malle. D’autres coffres, desquels sortaient des tissus, étaient encore ouverts…

S’apercevant de sa présence, Beths annonça à son époux, après un baiser des plus tendres.


Mon Marty, je suis presque prête comme tu peux le voir Il ne put s’empêcher de sourire… Oui, bon je ne savais pas quoi prendre, j'ai pris toutes mes robes, tu décideras lorsque nous serons arrivés à destination, ou avant si tu es sage.

Il la serra un peu plus contre lui.

Tu sais bien que je suis très sage… Et j’ai bien hâte de te voir dans une de tes belles tenues. Tu ne pourras qu’être rayonnante à Reims.

Elle commença ensuite à fredonner un air inconnu, évoquant des biches et des chiens… Un bestiaire qu’il pourrait continuer aisément.

Un entraînement pour le chant ? Tu as une si jolie voix pourtant… Reconnaissable entre toutes ! Quant aux paroles…

Il réfléchit quelques instants avant de pousser la chansonnette…

Direction Reims pour voir la Reyne
Devenir Reyne après son marathon
Devant sujets, vassaux, noblesse auvergnate
Un défilé de têtes couronnées et d’écuyers
Pairs, Officiers et mon petit Chaton
Vêtue de ses parures adéquates
Qui font frémir son sanglier
Et réveiller ses ambitions souterraines


Hmm… pas forcément convaincant…

Je pense que je vais éviter de chanter la suite… Sourit en coin. Et tu as raison, il est temps de prendre la route…

Fins des préparatifs… Il avait de l’avance… Un avantage non négligeable. Sa charge l’obligeait à toujours être impeccable, malgré ses multiples voyages dans tout le Royaume. Tenues légères quand il se rendait en Armagnac… un peu plus chaudes pour l’Artois… Les voyages formaient la jeunesse, pour lui ils formaient sa garde robe.


[Parvis de la Cathédrale, Clermont]

La route leur était familière… et faire le voyage avec son épouse le changeait de sa solitude habituelle. Beths devait aussi ressentir cela. Et à Clermont, la foule s’amassait sur le parvis, signe du départ prochain du convoi. La duchesse de Billy s’annonça et son époux d’en faire autant.

Bonjour à tous ! Nous traverserons la Bourgogne pour faire route jusqu’en Champagne je suppose. Si une escale est prévue à Chablis, nous pourrions en profiter pour faire des emplettes pour nos caves personnelles ?

"Qui traverse la Bourgogne, repart en ivrogne." Ce devrait être un proverbe à leur suggérer… Et à conseiller à son suzerain, le duc régnant qu’il salua également. De même que les personnes rassemblées.

Il me tarde de partir et surtout d’arriver Héri ! Espérons que nous ne ferons pas de mauvaises rencontres pendant le trajet.

Il devait maintenant trouver les mots pour dire à son aimée qu’il ne les accompagnerait pas jusqu’au bout, dans la cathédrale rémoise…
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Albine.
Non je vous ferai grâce des préparatifs d'Albine devant sa malle et du choix de la robe, des bijoux, de la bourse, du ruban à mettre dans les cheveux... non de la pince, du bracelet de main etc etc etc.
Tout cela fut fort long pour ses parents, les bonnes et son frère ! Séance d'habillage... défilé de mode ...déshabillage... redéfilé rere... Il suffit !


Devant la cathédrale :

Au sortir de la litière :

Tu sûre maman que je n'aurais pas dû mettre la robe bleue ?

Heureusement, les tergiversations s'achèveront puisqu'il faut dire bonjour à tout le monde. Bises à Thib, à toute la clique des cousins... (non pas au Duc elle a été bien élevée !)
Elle remet la chemise en place d'Emery et l'inspecte sous toutes les coutures, et vérifie une dernière fois qu'elle peut marcher sans risque de se prendre les pieds dans sa robe devant la Reyne !

Si les embrassades et les contacts humains lui plaisent habituellement, là que nenni !


Maman... c'est quand qu'on part voir la Reyne ?

Le voyage risque d'être long...
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.mathilde.
[de Saint-Nectaire à Clermont, ils arriiiiiiivent]

Son amour avait proposé, elle avait râlé pour changer, regrettant tristement sa vie au manoir des artistes où il pleuvait de créations divines en matière de robes, puis avait fini par succomber aux doux regard de son ange. Trop épuisée pour réfléchir, elle embarqua toute sa garde robe, songeant a prendre la décision ultime en chemin... ou sur place à la dernière minute comme elle savait si bien faire... au choix.
Les malles étaient prêtes, elle aussi si on considère qu'avoir pensé à tout sans avoir encore rien préparé c'est être paré, son ange semblait également enclin à monter en voiture, il ne restait plus qu'à prendre congé du domaine.

Rooo remballez les mouchoirs ils partent pas en exil non plus... petit mine amusée en voyant des domestiques si sentimentaux. Certes la gentillesse de son amour était des plus attachante m'enfin quand même un peu de tenue..

Soupire mitigé entre impatience, bonheur, et soulagement d'avoir enfin clos les bagages. La brune grimpa dans le carosse, un truc SIMPLE pour évité d'attirer de trop les regards gourmands sur les routes sinueuses menant à la capitale. Son regard se perd dans le paysage, la main de Silec dans la sienne la rassure, l'apaise.. Elle s'apprête à s'évader dans un demi-sommeil lorsquelle se rend compte que la direction est opposée à celle de Paris. Ba quoi? il lui faut une boussole en plus au chauffeur?

Elle tape à l'avant pour faire cesser la trotte de la voiture, eveillant un oeil intrigué chez son ange. Le conducteur demande à la comtesse ce qui lui arrive, elle râle, il la regarde contenant un rire ayant l'habitude de voir Mathilde ainsi et attend qu'elle ai fini. Son air l'agace mais elle attend des explications. Il lui parle d'un rendez vous des nobles du BA à Clermont dabord... Personne pouvait la prévenir?? rooo.... le riddicule ne tue pas dieu merci.

Là, elle se met à s'agiter. Ce détour n'était pas planifié dans ses plans, elle était ni convenablement vêtue, dumoins pas pour rencontrer toute la haute d'un duché, ni coiffée sublimement, juste une robe simple pensant avoir le temps de s'arrêter à l'hotel avant le sacre avant de croiser quiconque autre que le chauffeur, son prince charmant et les ecureuils.
Regard vers son amour, elle va connaître personne... déjà pas de nature des plus diplomate ou meme sociable... groumpf.

Elle se glisse sur la banquette en face, a côté de son amour et l'embrasse tendrement, pour se rassurer, pour le sentir prêt d'elle, car quand il est là elle se sent capable de surmonter n'importe quoi.

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Lanfeust86
Regard vers Thibantik, dame finalement qu'il ne connaît pas temps que ça, des fois autour d'une choppe ça serait mieux qu'autour d'un stand électoral pour faire connaissance, faut dire qu'il s'entendrait très certainement beaucoup mieux avec certains ou certaines.

Bonjour Dame Thibantik, elle se porte mieux, cela la fatigue beaucoup mais elle est forte.

Ensuite Kory qui semblait seule.

Bonjour Intendante.

Les derniers nobles arrivaient, certains de la COBA allaient assurer l'escorte de cette caravane de carrosse, la brochette de noble du Bourbonnais Auvergne semblait au complet, prête à partir vers Paris.
S'approchant du Duc régnant.

Votre Grâce, bien le bonjour, j'espère que le voyage se passera bien, c'est qu'il y en a des héritiers dans ces carrosses.

Petit sourire en pensant à sa douce qui allait bientôt lui en donner un de plus, comme si il n'y avait pas assez d'enfants dans cette famille.
De toute façon avec tous leurs domaines, il y a de la place pour tout le monde et bien plus encore.
Guy semblait donné quelques directives, il repartit vers le carrosse pour constater que Clement était là dans son coin, le mine taciturne.

Le rouquin s'inquiétait un peu pour le jeune homme le trouvant étrange en ce moment, le début de carrière dans la maréchaussée s'était arrêté plutôt rapidement.
Que faire de lui, il fallait qu'il en discute sérieusement avec ce jeune homme majeur : armée, politique, mariage...
Il allait bien falloir qu'il se décide à trouver sa voix comparé à Arthur qui a toujours aimait les armes et la guerre, Lanfeust ne savait guère quoi penser de Clément.


Et bien Clément, ne prend donc pas cet air là, tu vas pas attirer les jeunes demoiselles de cette façon.

Petit rire du Duc qui savait très bien qu'à cet âge, c'était le genre de choses qui titillaient beaucoup les jeunes hommes, et se faire taquiner là dessus c'était le pire.
Il remonta ensuite dans le carrosse.


Ma chère épouse, votre fils respire autant la joie de vivre qu'une vieille noble rongée par les rhumatismes.
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Zeenarsus
[A la caserne]

Zen venait de finir ses rapports quand il lut une annonce indiquant que plusieurs soldats partiraient accompagner le duc et toute la noblesse d'Auvergne. Zen était soulagé ne n'avoir pas été prit quand il vit écrit son nom en bas de liste. Il écarquilla les yeux, c'était toujours à lui que ce genre chose arrivait... A tous les coups il tomberait dans la boue devant toute la noblesse auvergnate...

[A quelques dizaines de mètres du parvis de la cathédrale]

Zen n'avait pas hésiter deux secondes pour sa tenue, il faut dire qu'il n'en avait pas énormément. Il avait quelques tenues de fête mais il n'était pas question de les mettre, il c'était habillé avec sa plus belle tenue militaire.
Tous les soldats avaient enfourché leur cheval. Celui de Zen se nommait Ajax, Zen l'avait depuis plusieurs mois et ne s'en était encore jamais plaint... il espérait vraiment de pas le faire aujourd'hui... Ils avançaient lentement pour avoir l'air impressionnant, d'un même pas, tous à cheval. Ils s'arrêtèrent à quelques dizaines de mètres du parvis de la cathédrale. Le mestre de camp, guy, s'avança, après leur avoir fait le signe de rester en arrière.


Zen, droit comme un I, regarda atour de lui, tous les nobles étaient habillés sur leur trente et un. Il en reconnut quelques uns, tous mieux vêtus que les précédents. Il remarqua une dame qui lui paraissait plus familière que les autres. Il fronça les sourcils se demandant qui se pouvait bien être. Il manqua d'éclater de rire sur son cheval... et de tomber quand il reconnut son amie Mathilde. La voir ici... avec tous ces nobles... Pendant quelques minutes, son visage hésita entre le rire et le sérieux, le sérieux finit par l'emporter... avec ses arguments comme : il était militaire et c'était vraiment pas le moment de rire avec le mestre de camp à quelques mètres.
Princesselaure
Les yeux plongés dans le défilé de la noblesse, elle vit aux travers des fines étoffes des têtes bien connues pour sur la grande classe du BA se connaissait bien assez... Admirer telle personne... Envier une autre... Hair la suivante... Bref tout y passait... Arf grand moment de doute sur le choix de la tenue... Arfff de toute maniére je suis enceinte on me pardonnera aisément mes fautes de gout surtout qu'une fois n'est pas coutume... Mouais fin quand même tu vas au sacre de la Reyne pas aux 12 ans d'un chevalier... Pourquoi ai je pris cette robe jaune... Regard vers Constance... Elle saura être de bon conseil...

Mon enfant... Vois tu la robe jaune brodée d'or et de pierreries que le Duc m'a offerte tantôt... Penses tu qu'elle aille avec la cérémonie à laquelle nous nous rendons si ... Prestement ?

La mini blonde fit les yeux ronds et lâcha un splendide pouffement... Avant de reprendre...

Maman, tu ne vas tout de même pas porter ce déguisement ?!

La duchesse ferma alors les paupiéres... Eh fiente de pigeon... Sa grossesse lui avait écrasé tout son sens du gout et du raffinement... Bon il faut faire vite... Une chance que l'hotel familial ne soit qu'à quelques rues... Une fenêtre s'ouvre alors...

Valentin !

Pourquoi ne me regarde t'il pas cet empaffé!

Ouh ouh Valentin ici !

Toujours rien... grrrr... Et voilà notre d'Orsenac folle de rage... oui ces derniers temps, elle était à prendre avec des pincettes... Un rien la faisait rire et il n'en fallait guére plus pour la rendre hystérique...

VALENTIN !!!!!

Enfin il daigne se retourner... Laure replace ses boucles... Grâce à lui la voilà remarquée de tous... Quel abruti... Tandis que l'homme court vers sa maitresse...

Fonces à l'hotel aussi rapidement que possible, et rapportes moi la robe de soie rose, la ceinture bleue et la robe de dessous de même...Demandes à Sarah, elle saura laquelle... Allez fonces...

Mais pourquoi il ne bouge pas cet imbécile... Et en plus il sourit... Il veut la corde ou quoi ?!

Mais votre grâce, le cortége est sur le point de prendre la route pour Reims!

Eh bien alors au lieu de bavarder fonces chez nous et rapportes moi cette robe !!! Et prends en soin, un fil décousu ou tiré et tu verras que se balancer au bout d'une corde peut être un jeu fort passionnant!

Le voilà prendre selle et partir à folle marche dans les rues de la capitale... Grande respiration... Trop tard Laure est rouge de colére et essoufflée telle une galérienne... Alors qu'elle reprend peu à peu ses esprits, la porte s'ouvre et le Duc reprend place à ses cotés... Et une phrase de trop, une ...

Mais laissez donc Clément vivre sa vie comme il l'entend, il est encore jeune et a le droit de prendre son temps... Comme cet abruti de Valentin... Hein? non rien... Quoi nous partons déjà ??? NON on bouge pas... Pourquoi? Euh une contraction passagére... Constance sort les doigts de ton nez... Non attendons encore quelques instants Valentin arrive... Ben oui il est reparti! ... Constance ca suffit... Ah Clément rentres dans le coche hates toi un peu mon fils... J'ai changé d'avis concernant ma tenue je veux la rose... Ben à la place de la jaune... Constance arrêtes de dancer je te prie tu me donnes la nausée... Hein quoi celle que tu m'as offerte ? Oui la Jaune! Eh bien il se trouve que je ne veux pas ressembler à un énorme poussin voilà tout... Je vais devenir folle... Constance arrête un instant avec tes cheveux tu vas les graisser! Quoi ?? Non on ne bouge pas... Quoi ma contraction, Quelle contraction ? Ah oui ca va bien c'était passager je viens de te le dire Lanf!

AHHHH le revoilà... Charges là et assures toi que cette nouvelle malle tienne, si on la perd, tu perdras ta tête avant même de passer les portes de Reims !!! Par ta faute la Reyne va nous attendre !!!

Voilà mon époux, je suis prête !

Un large sourire sur le visage... Contente de son caprice... Quand vous voulez! La famille de Troy~d'Orsenac est prête!
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Petitrusse
Le Duc fais quelques pas pour s'approcher de son Mestre de Camp.

Guy, je pense que tous les nobles sont maintenant là.
Je pense que tu peux demander à chacun d'eux de rejoindre leur carrosse, pour ensuite donner l'ordre du départ.


Le Duc, voullant donner l'exemple, se dirige vers son carrosse.
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En cours de modification...
Arthur_de_troy
Il fallait toujours que Paris soit un problème. Non pas pour les études qui se déroulaient le plus discrètement du monde, mais pour la mode.
En effet, Arthur comme souvent avait dépensé son argent de poche en diverses toilettes aux couleurs plus vives les unes que les autres si bien que de retour à Clermont il était en proie au doute en préparant la malle qui ferait le voyage jusqu’à Reims.
Il fallait qu’il soit beau, élégant, richement vêtu, qu’il montre la fierté qu’il avait à représenter la nouvelle génération du BA. Il faut dire que l’enjeu était de taille. Enfin l’enjeu, façon de parler, mais le sacre d’une Reyne, on ne voyait pas jouer ça tous les jours, surtout quand les loges n’étaient pas trop miteuses !

Finalement décidé sur un vert foncé très en vue, le choix de la tenue s’en trouvait simplifié. Il n’y avait plus dès lors qu’à laisser aux domestiques le soin d’empaqueter tout cela et d’embarquer les malles sur le carrosse que les chevaux auraient sans doute bien du mal à tirer. Cependant, leur nombre avait augmenté et un carrosse plus spacieux et imposant avait été privilégié. Bah oui mais si on lui cachait des choses aussi au mioche …

Bref, il avait grimpé à bord du véhicule se retrouvant tout de même entouré par les éternels habitués. Et comme souvent, il ne fallait pas compter sur Clément pour faire la conversation. Ce jour-là il semblait d’ailleurs de bien mauvaise humeur. Et la chose se confirma alors que la famille arrivait devant la cathédrale de la ville.
Arthur quant à lui, toujours jovial et prêt à montrer son joli minois sortit du carrosse à la suite de Lanfeust et salua joyeusement les nobles présents.


Bonjour tout le monde !

Large sourire, il était heureux d’être là. Revoir des adultes qu’il connaissait depuis des années alors qu’il ne croisait bien souvent que les magisters du collège Saint Louis lui faisait le plus grand bien.
Mais bientôt il s’apaisa et salua plus sobrement le duc en fonction.


Votre Grasce, mes hommages.

C’est qu’il commençait à savoir parler aux grandes personnes distinguées le petiot. Et en tant que fils d’un rouquin respecté il fallait mieux pour ses miches qu’il surveille son langage.
Malgré tout, il lui fallu se masquer la bouche alors qu’il s’éloignait du duc, s’empêchant ainsi de rire trop fort à la remarque que fit son ducal de père à Clément.
Le voyage promettait d’être haut en couleurs !

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Guy_kdr
Je te remercie Guy d'avoir organisé une telle escorte pour ton Duc et les nobles du BA.
Il n'y a pas de problème, tu pourras chevaucher à coté de mon carrosse.
Et, si l'envie me vient de monter sur mon cheval, pour galoper un peu, tu m'accompagneras.


Le colosse s'inclina légèrement.

Ah mais j'y compte bien, votre Grasce ^^ Je ne vous lâcherai pas d'une semelle, tenez-le pour dit!

Retenant un sourire, il poursuivit, tandis que Gals se pointait. Ils se croisèrent donc.

Bonjour Duchesse !

Puis se tournant à nouveau vers le Duc.

Avec votre permission, je vais m'assurer que tout est bien en règle pour le départ.

Tout l'était déjà bien sûr ^^, du moins du côté de l'escorte. Parce qu'après, bon, si un corsage était mal mis, ou une coiffe de traviole, il avait un champs d'action plus limité.

Le Mestre de Camp retourna sur ses pas en direction des soldats. Il envoya le groupe d'RV en tête, rappela quelques consignes, fit une remarque sur un uniforme froissé, et conclu par un petit mot à l'intention de ses hommes.


Vous avez fière allure ! Elle en a de la chance, la noblesse

Il s'apprêtait à repartir en direction des carrosses quand il stoppa soudainement son mouvement.

Ah oui ! J'ai failli oublier !
Si vous entendez...hum...comme des cris bizarres en provenance de ce carrosse là. Ce n'est pas un assassinat. C'est la Duchesse de Billy.
C'est normal,
ajouta-t-il devant la mine perplexe de certains, ce qui le dispensa de plus amples explications.

VALENTIN !!!!!

Petit temps d'arrêt. Un brigadier pris la parole.

Comme là, par exemple, Mestre de Camp ? C'était elle ?

Non... soupir réprimé... ça c'était la Duchesse de Souvigny.

Ce voyage n'allait pas être de tout repos.
Il envoya les soldats appliquer les consignes et commença à faire la ronde des coches, afin de s'assurer que tout le monde était paré. De temps en temps, un coup d'oeil en direction du coin de la rue lui rappelait que sa femme enceinte n'était toujours pas en vue.

Passant devant la voiture de Silec, quelle ne fut pas sa surprise d'en voir émerger Mathilde, la nouvelle chevaucheuse d'Armes du BA, récemment intégrer à la petite équipe héraldique. Et oui, parce que Guy, il avait quitté la salle du trône avant qu'elle n'arrive, le jour de l'allégeance, alors il savait pas que son ami le Saint Nectaire avait placé une baleine sous son gravillon. Enfin baleine façon de parler rhoooo ! La dame était de toute beauté, bien qu'un peu moins apprêtée que les autres, peut-être, et surtout la mine un peu plus inquiète. Tu m'étonnes, John, avec tout ces barj...nobles personnages qu'elle ne connaissait pas.
Il lui adressa donc un de ses plus grands sourire, histoire de la mettre un peu à l'aise avec une tête connue. Bon, ils se tutoyaient d'habitude, mais là, c'est opération protocole 3000.


Comtesse, quel plaisir de vous voir! Vous êtes ravissante.
Et voilà [ma petite caille...non] notre ami le Duc, qui rajeunit à vue d'oeil à votre contact, manifestement ( ).


Continuant son trajet, il salua un certain nombre de gens, avant de se faire rejoindre par le régnant.


Guy, je pense que tous les nobles sont maintenant là.
Je pense que tu peux demander à chacun d'eux de rejoindre leur carrosse, pour ensuite donner l'ordre du départ.


Tous les nobles sont là, tous les nobles sont là ?! Et sa femme !! Mais qu'est-ce qu'elle fout...Aristote fasse qu'elle n'aie eu aucun soucis...Et si elle était en train d'accoucher !!? Avec lui, là, comme un rond de flanc. Pas moyen de bouger...Le Duc attendait qu'il donne le signal. Arf de arf.

Je...

L'inquiétude allait prendre le pas sur une discipline ancrée dans chaque fibre de son corps et renforcée par une longue carrière militaire. Pour vous dire à quel point cette grossesse le rendait chèvre. Il était en plein bug lorsque, (Aristote on t'aime! ), le carrosse qu'il reconnaitrait entre mille (comment ça n'importe quoi, mille ?! bon ok...mais entre au moins 3 ou 400 carrosses, c'est sûr!) passa le coin de la rue. Grand soulagement chez le Baron de Yolet, qui répondit finalement du tac au tac.

Très bien, allons-y, votre Grasce.

Hum hum. 1, 2...1, 2... Raclement de gorge. Inspiration profonde. Envoyez la voix de basse !!!

Très chers sieurs et dames, votre attention je vous prie !

Veuillez avoir l'amabilité de prendre place dans les coches.
Départ immmmmmmmminent !!!


Petit signe de tête en direction d'RV afin qu'il se tienne prêt, tandis que la Golf GTI moyen-âgeuse des Kastel de Rhiannon prenait sa place dans la file avec, à son bord, la plus délicieuse femme du Royaume.
Qui avait elle même, à son bord (si l'on puis dire), le futur héritier mini KdR.
Qui avait lui-même à son bord....non...Pardon.

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