Katina_choovansky.


Angers, Porte Toussaint
Résumé de la situation :
Une inspection sanitaire des chouquettes
Une arquebuse pointée sur elle par un vassal aveugle et manchot.
Un fou qui court vers eux en ayant dégainé son épée.
Y a pas à dire, quon est bien en Anjou.
Le Code International des Chouquettes Artisanales traça son chemin jusquà ses pieds, fendant la boue et les flaques jusquà tacher le bas de sa robe.
Il y a parfois, des combats invisibles, des quon peut juste appréhender, enfouis quils sont dans lâme. A ce moment précis, lArchiduchesse en livrait un.
- Mais sa race, mais Cest de la boue sur ma robe ?
- Le Code International des Chouquettes Artisanales ! Ramasse-le !!
- Mais ma robe quoi !
- Mais cest comme Le livre des vertus relié en cuir de bébé panda et en première édition !
- Ça dit quoi le Livre des vertus sur les taches de boue ?
- Ça doit proposer de le prendre avec philosophie.
- Je sens que le livre des vertus na jamais porté de robes équivalente au PIB Mainois.
- Genre 114, 75 écus ?
- Ah ah ah ah ah
- « Ah ah ah ah », gloussa-t-elle avant de se rendre compte quelle se marrait à voix haute sans raison. « Hum, donc, Petit 1 »
Et de se pencher pour ramasser le livre, lil de la connaisseuse le couvrant tendrement du regard avant de se figer sur le titre Désir sous le soleil
- « On vise autre chose que sa suzeraine chérie avec son arquebuse, sinon, je me plains à la Momie », fit elle distraitement à Falco, concentrée sur son inspection du livre, un sourcil se fronçant au fur et à mesure quelle feuilletait les pages, alternant brièvement entre les descriptions très imagées des retrouvailles secrètes à Plouganec-les-oies de Emily et Rafael, et les inspecteurs des Chouquettes dont la couverture en prenait un coup malgré les trésors dingéniosité déployés.
Le marque page attira cependant plus son attention que lodieuse tentative de Mikaela, la bonne de Rafael le droguant pour abuser de lui lors du cocktail donné par la Reine dAngleterre alors quEmily remplaçait une roue sur sa calèche malencontreusement abimée aux portes du domaine royal Un courrier du GMF (*) mais alors mais alors !!! MAIS ALORS
Mais alors cétait vrai ? Les royalistes étaient vraiment là?!
Cétait les premiers quelle voyait de prés depuis des semaines, ce qui expliqua ce long moment de silence inhabituel qui sabattit sur le monde.
Oui, un second combat titanesque se livrait sous le brushing
- Une royaliste, ça se pend.
- Oui mais son brushing est joli.
- Cest vrai, je sais pas comment elle a fait par ce temps humide mais ça tient super
- La consistance naturelle du cheveu ça
- Oui, certainement quelle a les cheveux fins.
- Pis elle a mis une robe
- Ouais, jen chialerai presque
- Et si on faisait semblant de rien voir ?
- Daccord ... Et on accusera Falco si ça merde.
- Évidemment. Cest lui qui nous gangrène lesprit avec ses idées de diplomatie à la con
- « Et Petit deux »
Le nécessaire à daim coincé sous le bras de Jean Landreger acheva de la convaincre.
- « On laisse passer les inspecteurs sanitaires, on na rien à cacher Par contre Rogers Eudes, je vous laisse lui apprendre la politesse, Falco »
Fallait bien en sacrifier un pour sauver les autres.
- « Vous me le renverrez quand il aura compris quon doit pas courir vers une Archiduchesse avec une épée à la main. Cest un coup à tomber et à se trancher un doigt, et après, bonjour langoisse pour faire correctement une pâte à choux ! »
On ne pouvait pas déconner avec tout.
Et de prendre le bras tendu avant de lui répondre
- « Je les lustre tous les jours avec une peau de Guyennais, » répondit elle lair de rien, , rendant le faux Code de la Chouquette à Pasmahaut non sans avoir chouré le marque page au passage. Faute davoir pu lire la fin de "Désir sous le soleil" en diagonale pour être sure que tout finissait bien, elle était sure de se payer une tranche de rire bien mérité avec le courrier du GMF.
Et elle avait le nez creux car même Finam esquisserait un sourire quand elle le leur lirait, cest dire.
- « Allons-y, je vous mène aux cuisines », les invita-t-elle en faisant signe à Gligor de leur ouvrir la marche avant de leur murmurer à voix basse : « Avancez lair de rien, et surtout, si quelquun essaye de vous taxer des sous sur la route, riez très fort ou frappez le. Cest la coutume ici »
( * En accord avec la JD)
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Résumé de la situation :
Une inspection sanitaire des chouquettes
Une arquebuse pointée sur elle par un vassal aveugle et manchot.
Un fou qui court vers eux en ayant dégainé son épée.
Y a pas à dire, quon est bien en Anjou.
Le Code International des Chouquettes Artisanales traça son chemin jusquà ses pieds, fendant la boue et les flaques jusquà tacher le bas de sa robe.
Il y a parfois, des combats invisibles, des quon peut juste appréhender, enfouis quils sont dans lâme. A ce moment précis, lArchiduchesse en livrait un.
- Mais sa race, mais Cest de la boue sur ma robe ?
- Le Code International des Chouquettes Artisanales ! Ramasse-le !!
- Mais ma robe quoi !
- Mais cest comme Le livre des vertus relié en cuir de bébé panda et en première édition !
- Ça dit quoi le Livre des vertus sur les taches de boue ?
- Ça doit proposer de le prendre avec philosophie.
- Je sens que le livre des vertus na jamais porté de robes équivalente au PIB Mainois.
- Genre 114, 75 écus ?
- Ah ah ah ah ah
- « Ah ah ah ah », gloussa-t-elle avant de se rendre compte quelle se marrait à voix haute sans raison. « Hum, donc, Petit 1 »
Et de se pencher pour ramasser le livre, lil de la connaisseuse le couvrant tendrement du regard avant de se figer sur le titre Désir sous le soleil
- « On vise autre chose que sa suzeraine chérie avec son arquebuse, sinon, je me plains à la Momie », fit elle distraitement à Falco, concentrée sur son inspection du livre, un sourcil se fronçant au fur et à mesure quelle feuilletait les pages, alternant brièvement entre les descriptions très imagées des retrouvailles secrètes à Plouganec-les-oies de Emily et Rafael, et les inspecteurs des Chouquettes dont la couverture en prenait un coup malgré les trésors dingéniosité déployés.
Le marque page attira cependant plus son attention que lodieuse tentative de Mikaela, la bonne de Rafael le droguant pour abuser de lui lors du cocktail donné par la Reine dAngleterre alors quEmily remplaçait une roue sur sa calèche malencontreusement abimée aux portes du domaine royal Un courrier du GMF (*) mais alors mais alors !!! MAIS ALORS
Mais alors cétait vrai ? Les royalistes étaient vraiment là?!
Cétait les premiers quelle voyait de prés depuis des semaines, ce qui expliqua ce long moment de silence inhabituel qui sabattit sur le monde.
Oui, un second combat titanesque se livrait sous le brushing
- Une royaliste, ça se pend.
- Oui mais son brushing est joli.
- Cest vrai, je sais pas comment elle a fait par ce temps humide mais ça tient super
- La consistance naturelle du cheveu ça
- Oui, certainement quelle a les cheveux fins.
- Pis elle a mis une robe
- Ouais, jen chialerai presque
- Et si on faisait semblant de rien voir ?
- Daccord ... Et on accusera Falco si ça merde.
- Évidemment. Cest lui qui nous gangrène lesprit avec ses idées de diplomatie à la con
- « Et Petit deux »
Le nécessaire à daim coincé sous le bras de Jean Landreger acheva de la convaincre.
- « On laisse passer les inspecteurs sanitaires, on na rien à cacher Par contre Rogers Eudes, je vous laisse lui apprendre la politesse, Falco »
Fallait bien en sacrifier un pour sauver les autres.
- « Vous me le renverrez quand il aura compris quon doit pas courir vers une Archiduchesse avec une épée à la main. Cest un coup à tomber et à se trancher un doigt, et après, bonjour langoisse pour faire correctement une pâte à choux ! »
On ne pouvait pas déconner avec tout.
Et de prendre le bras tendu avant de lui répondre
- « Je les lustre tous les jours avec une peau de Guyennais, » répondit elle lair de rien, , rendant le faux Code de la Chouquette à Pasmahaut non sans avoir chouré le marque page au passage. Faute davoir pu lire la fin de "Désir sous le soleil" en diagonale pour être sure que tout finissait bien, elle était sure de se payer une tranche de rire bien mérité avec le courrier du GMF.
Et elle avait le nez creux car même Finam esquisserait un sourire quand elle le leur lirait, cest dire.
- « Allons-y, je vous mène aux cuisines », les invita-t-elle en faisant signe à Gligor de leur ouvrir la marche avant de leur murmurer à voix basse : « Avancez lair de rien, et surtout, si quelquun essaye de vous taxer des sous sur la route, riez très fort ou frappez le. Cest la coutume ici »
( * En accord avec la JD)
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