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[RP sur Invitation] Fashion Week - Jour 2

Mallory
[Arrivée dans les coulisses]

Mallory arriva haletante dans les coulisses. Elle portait une petite malle qui contenait la splendide robe confectionnée par Jenah et quelques accessoires qui mettraient sa tenue en valeur. C'était sa première participation à un défilé de mode et le stress commençait à la gagner. Ce n'était pas le genre de manifestations auxquelles elle aimait participait, mais elle avait accepté de défiler car elle ne refusait jamais de tenter une nouvelle expérience lorsque une opportunité s'offrait à elle. Mais c'était avant tout pour son amie qu'elle avait accepté.

Trouver Jenah, trouver Jenah...

Les filles allaient et venaient, elles couraient partout, bref c'était l'effervescence dans les coulisses.
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Alycianne
Le regard s'est baissé sous la douce mais ferme réprimande. Elle se rassied lentement. Que n'aurait-elle dû se taire ! Elle n'a pas été habituée au silence, non, son enfance fut clairsemée de cris de joie et d'enthousiasme, à chaque fois que l'on avait une raison. Il faut dire que son voyage dit "pédalogique" avec les Poneys n'a rien arrangé à la chose. Peut-elle encore changer, devenir un jour cette demoiselle digne de son nom qu'elle rêve d'être ?
Ces questions sous ta caboche, gamine... Oublie !

La deuxième robe fait son apparition sans qu'elle ne pipe mot. Noir et doré, joliment entremêlés. Le signe qu'elle apprécie ? Ses battements de jambes, frénétiques.
Puis arrive l'étrange femme, qui présente ces produits de cosmétiques. Toute ouïe, l'Alycianne découvre un monde qu'elle ne connaissait pas, les crèmes, le maquillage, le soin de la peau. Et cela pourrait relever notre beauté naturelle ? La fillette ne s'est jamais demandée si elle était belle. Elle n'a que neuf ans. Elle est Adorable, elle le sait, on le lui dit.
Et, tout bas :

- Est-ce que la comestique, ça peut souligner l'adorabilité ?

Plus loin, une Rosie-sucrée s'occupe de deux bébés. Elle leur sourit. Vue ? Pas vue ? On s'en fiche, les sourires, ça n'a pas besoin de but. Elle se penche à l'oreille de son ami.
- C'est Yolanda, une amie à moi. La soeur d'Aimbaud, tu vois ?

Et en attendant les prochains modèles, la petite Rouge se retourne, cherche dans la foule d'autres visages connus. Discrètement -ou pas, elle montre, en plaçant plus ou moins difficilement des noms sur les visages :
- Cloe d'Albizzi, une amie d'Aleanore. Oh, Della. Et puis tiens, Calyce ! Avec... Aymeric. Les autres, elle ne les voit pas, ne se souvient pas de leur nom, ou ne les connait pas.
Mais son sourire s'élargit tout de même. Peut-être n'a-t-elle pas les bienséances ni la prestance d'une demoiselle de haut rang, mais au moins connait-elle ici quelques gens. Elle n'est pas seule. Jamais.
Azkaban
[Une première nuit parisienne des plus sucrée]

Sa belle brune avait initié son palais aux douceurs fruitées lors du défilé des doigts d’or mais elle eut l’idée formidable au cours de cette soirée inaugurale de semer sur ses formes irrésistibles tout un chemin macaroné, c’est ainsi que l’instruction du blond prit tout son sens. Tous deux avaient pu profiter de ces instants de complicité pour s’éveiller comblés au matin.

[Second Jour aux jardins du Louvres]

Comme à l’accoutumé, Azkaban avait pris place pour commencer du côté de l’envers du décor, là, il se faisait discret ne manquant pas laisser trainer son regard ici et là, avec un sourire latent. Il admirait des mollets qui se découvraient, des épaules qui se dévoilaient, des nuques qui apparaissaient lors de confection de chignon, en quelques sortes, des mouvements magiques de femmes aussi belles les unes que les autres qu’elles décomposaient à merveille. Il aimait les voir ainsi, juste pour la beauté du geste car s’il y avait bien un domaine dans lequel le blond était contenté c’était bien dans celui de l’amour mais il savait apprécier la beauté. Rêvasseries masculines…Perturbées par : sa gitane.

Elle l’avait tiré dans le public pour admirer le travail d’une femme d’exception, des produits tous aussi novateurs les uns que les autres, lui écoutait sans trop comprendre l’importance de la portée futuriste de cette présentation, le blond était malgré tout stupéfait de la démonstration mais beaucoup moins que sa chère voisine qui dévorait les produits des yeux.


- Il me faut un coffret! Ouiiin jveux un coffret!!!

« Discrètement » elle disparut à l’assaut de son désir…Lui, la laissa partir sans l’en dissuader un instant, ah…mais il ne fallait jamais contrarier une femme enceinte, ça, c’est une leçon qu’il n’oubliera jamais. Il dodelina simplement de la tête avec un tendre sourire en se disant qu’elle avait dû être trop gâtée durant l’enfance.
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Crysania
Deuxième journée. Naturellement, elle n'allait pas manqué ça. Long voyage déjà c'était du sud à Paris et La Rousse comptait bien ne pas manquer une seule journée même pour x ou y raison, même si les nuits étaient courtes quand le sommeil ne venait pas et il ne venait pas souvent... Peut importe...

Toujours accompagné de l'homme le plus discret au monde je dirais, ils s'approchèrent pour y pénétrer, dans le Jardin du Louvre. Autant de monde arrivait et était présent que la veille. Voir peut-être de nouvelle personne, mais c'est vrai qu'ils étaient arrivés en retard. Tout du moins, la Comtesse croisa des visages qui ne lui était inconnu de la première journée.

Ils s'installèrent, en se quittant une seconde fois, dans les rangs de leur rang. Tient, elle n'avait pas pensée de lui demander si il voyait bien le défiler d'où il était. Elle jeta un œil à Aster avec le sourire, ça la rassurait qu'il soit là.

L'attente ne fut pas bien longue avant que le Cérémoniste reprenne la parole, juste assez pour observer ici et là au alentour ce qu'elle n'avait même pas prit le temps de faire la veille, déjà bien gêner d'arriver au point d'ouverture.


Et c'est parti ! Présentation de l'Amahir-Euphor qui s'en suit rapidement des détails des robes qui allaient suivre.
Deux robes, des plus magnifique, c'était presque un pêcher de les regarder tellement elles étaient belles.

Puis vint la femme aux milles promesses de beauté. Quand l'enfant vint lui apporter son coffret, la Rousse le remercia d'un signe de tête en fronçant le nez. Une seule et unique pensée lui vint à l'esprit, ou plutôt une question... Suis-je si moche que ça ?

Faut dire que la Comtesse, certes marqué par la fatigue, qui pour elle était signe de bonne travaillante, ne s'était jamais posé la question.

Le coffret en main, elle ne pu quand même pas résister à l'approcher de son nez. Il dégageait quand même une bonne odeur.
On verrait bien ce qu'elle en ferait plus tard...

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Chambellan du Rouergue
Leonin
C'était la deuxième journée, après une bonne nuit passée en cette bonne ville de Paris.

Dans les modèles qu'il avait vus hier, il y en avait un ou deux qui pouvaient largement l'intéresser déjà. Il attendait de voir la suite pour faire son choix. Il attendait de voir la suite pour enfin pouvoir acheter de beaux habits pour sa fille et peut-être pour lui aussi qui sait ?

Seulement, pour l'instant, il ne connaissait personne atour de lui. Alors, il restait dans son coin. Pour l'instant.
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Keridil
Pfiou ! Il ne s'était pas trompé, Agnes Ephora était bel & bien ravissante, et ce qu'on eut pris pour une admiration du physique de la demoiselle, tant le brun la regardait, n'était en fait qu'un vif intérêt pour ses paroles.
En effet, l'Amahir apprenait.
En novice, il découvrait ce qu'était la Cosmétologie, et s'il comprit bien vite qu'elle ne lui était guère destinée, il ne s'en détourna pas pour autant.
Depuis qu'il était marié, Keridil avait bien fait rentrer dans sa petite tête le concept du "fais plaisir à ta femme et intéresse toi à ce qui lui plait". Au risque que Della devienne férue de maquillages, d'onguent et autres substances, il fallait savoir de quoi il retournait.

La présentation passée, il fallait une fois de plus enchaîner, et après avoir laissé l'étrangère retourner en coulisses, il fit ramener la tablette sur laquelle étaient déposés les flacons et autres pommades, avant de reprendre la parole.


Et maintenant Nobles Invités, vos fines oreilles peuvent baisser la garde et laisser à vos yeux la relève, car devant vous vont défiler de nouveaux nos modèles.
C'est cette fois-ci demoiselle Jenah qui présente ses tenus.
Pour vous et rien que pour vous, une collection très estivale.
Vous verrez trois robes aux couleurs infiniment gaies. Tenues de promenades mondaines ou de délassement dans la fraîcheur d'un boudoir, admirez cette superbe tenue bleue et écru portée par Elizabeth ! Le tissu est d'une rare légèreté, sans pour autant vous déshabiller.
Elle est suivie de Mallory portant une robe d'un noble pourpre. Deux nuances de violet, et une coiffe raffinée. Le décolleté vous évitera l'étouffement, et les longues manches vous permettront de vous rendre à une messe dans une froide cathédrale. Robe dominicale à n'en point douter, et qui a dit que la messe devait être austère après tout ?
Juste derrière, notre belle Tutia parée d'une tenue aux tons tout aussi frais. Bleus et blancs pour une robe qui égayera vos soirées. Un bal, une noce, quelques festivités, soyez la plus belle cet été. Et ces voiles ! Regardez moi ces voiles ! Si fins, si beaux !

Et voici venir, pour vous Messeigneurs ! Notre première tenue masculine, une merveilleuse tunique brune. Une couleur chaude. Qui a dit que la mode n'allait qu'aux Dames ? Nenni mes bonnes gens, il y en a pour tout le monde.
La ceinture est d'une rare solidité, et vous y accrocherez aisément une lame acérée. Idéale pour rejoindre une demoiselle à qui l'on donne rendez-vous en catimini. Soyez fier, soyez imposant messieurs ! Cette merveille est portée par messire Sarrasin.

La jeune Célia le suit, dans une robe pour enfant. Faites de vos filles des princesses dans cet apparat rose et or. Mademoiselle fera comme maman. Idéal pour les anniversaires de quelques jeunes barons ! Et soyez assurées mesdames qu'avec telle couture sur le dos, vos héritières trouveront un juste et noble parti !


Pfiou, qu'est-ce qu'il fallait pas dire des fois.

Et maintenant, n'a-t-on pas déjà dit qu'il y en a pour tous les gouts ?

Le brun retient un rire à l'idée de ce qui suit.

Voici venir une tenue d'ecclésiastique ! Oui ! Notre bienveillante église mise à contribution. Je le répète, l'église n'est pas austère mes bons amis ! Que nenni. Admirez notre prélat dans une aube à la mode ! Le chic au service du Très Haut !

Pourvu qu'on ne voie pas là un blasphème.
Essoufflé, parce que Jenah elle a un paquet de créations, l'Amahir se remet sur le côté, et en avant la musique pour voir tout ce beau monde défiler.

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Sarrasin
[Dans les coulisses]

Sarrasin terminait de se préparer et alla verifier sur un glace si le costume allait et si tout était droit. Il devrait attendre que Jenah ai fini avec Célia pour que la créatrice, la flamme qui illumine sa vie, fasse les dernières retouches.
Il attendait et regardait un peu tout le monde qui s'affairait quand il cru apercevoir un visage connu. Oui ... c'était Mallory! Il lui fit signe pour la faire venir tout en allant vers elle pour la rejoindre et lui faire la bise.


Bonjour Mallory, comment vas tu? Tu as fait bon voyage?
Jenah est entrain de préparer notre fille, si tu veux tu peux te changer là bas déjà, je vais la prevenir que tu es arrivée


Il lui indiqua le paravent qu'il avait utilisé plus tôt pour se changer, qu'elle puisse le faire sans être inquiété et se dirigea vers celui où son ange préparait leur fille.

Mon amour, Mallory est arrivée. Je lui ai indiqué mon paravent vu que j'ai fini de me changer, qu'elle puisse se préparer

Une fois qu'elle avait finit avec Célia, il la prit dans ses bras pour l'embrasser tendrement sentant que l'approche du début du défilé allait la rendre inquiète

Tes costumes sont magnifiques chérie, et tout se passera bien tu verras
Elisabeth_stilton
[Coulisses]

Elles étaient tombés au sol, les perles. Bon une bonne chose de faite. Elle les pose sur une tablette. Avant de changer de robe, la blonde défait sa coiffure afin de pouvoir ôter le vêtement.

Pendant que le concept de cosmétologie était expliqué, la blonde écoutait. Elle au moins n'avait besoin de rien pour sa peau, par contre elle irait peut être chercher de quoi soigner ses cheveux. A voir ...

Bon c'est pas tout mais il y avait des hommes maintenant, notamment un homme d'église donc là pas moyen de se changer devant eux. Aller hop, on se glisse derrière un paravent, on ôte tout sauf la chemise de corps. La robe de Jenah est enfilée, la dentelle des manches est bien mise, elle vérifie qu'aucun pli ne se glisse sur la robe. La blonde mets les perles avant de les perdre à nouveaux, collier et bracelets sont attachés. Maintenant les cheveux, rattaché comme toujours, c'est que la blonde n'a pas vraiment envie de voir la rousse se ruer sur elle. Maintenant il faut mettre le léger voile. Celui ci en sortie serait parfait pour la protéger du soleil. Bon elle était prête. La blonde sorti de sa cachette et par habitude se dirigea vers le podium.




Toujours la même rengaine, toujours les mêmes pas, la même attitude à une différence prêt. En effet quand elle voit sa filleule, elle ne peut s'empêcher de lui faire un signe de la main avant de retourner en coulisse. Elle ne peut rien faire de plus pour le moment.
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MAJ progressive. Patience.
Connexion pas stable pendant 2-3 semaines après de retour pleinement.
Elena_ruth


Todo el mundo sabía que a la Reina Elena le gustaba la moda. Mejor dicho, le encantaba. Más aún, era adicta a ello. Sus múltiples funcionarios hacían cuentas diariamente de los gastos de vestuario de la monarca, y por ello la invitación que recibió para asistir a la semana de la moda en Louvre no había pasado desapercibida.
Fueron pocas las palabras las que dejó escritas a su marido para avisarle que partía hacia Francia, a ver las pasarelas, con la pequeña Alanna.

Citation:
Querido amato amatissimo,

Me voy una semana a Francia, con la niña. Y no te preocupes, las cocineras ya saben qué ponerte para comer los próximos días, tienen órdenes directas.

Te quiero,
tu amata amatissima.


En tan sólo cuatro horas, todo el equipaje, la comitiva de guardias reales y funcionarios e inclusive su hija de cuatro años junto a damas de compañía y una niñera la esperaban alrededor del carruaje, con impaciencia, esperando poder salir pronto. Y así fue, pronto salieron y más pronto llegaron a Louvre.
Sin duda Francia era un Reino muy hermoso, así como alegre y centro indiscutible de la moda, en cuya corte los nobles se disputaban los puestos con más categoría en afanes de gloria y éxito. Aquel día además el Sol irradiaba con sus áureos rayos el jardín del Palacio de Louvre, y numerosas mariposas revoloteaban sobre tulipanes que daban aquella gota de color a todo el jardín, sumiéndolos en vibrantes rojos, vistosos amarillos y delicados violetas.

La infanta Alanna, de la mano de su madre, hablaba llena de alegría.

- Farfala! Farfala! -decía entre pequeños saltitos, procurando despojarse de la constante vigilancia de la Reina.

Ella, sin embargo, sonreía a su hija y la ordenaba comportarse, divertida por la escena. Que por cierto, iba vestida con un vestido de carmesí verde esmeralda, el cual resaltaba sus ojos verdes y rubia melena, acompañado por numerosas joyas de oro junto a esmeraldas y diamantes. No había escatimado ni lo más mínimo, pues sabía que los franceses tenían un gusto exquisito y ella, por supuesto, no sería menos. Y no contenta con su modelo, había escogido sus mejores zapatos con tacón, las mejores joyas para adornar su pelo y un voluminoso recogido, suntuoso entre los rubios tirabuzones que caían.

Se mostraba alegre por poder visitar aquellos parajes, y a su vez por tener la oportunidad de verse cara a cara con la Reina Beatrice, a quien esperaba ver. Por ello, y por muchas cosas más, hizo que la anunciaran ordenando a uno de sus funcionarios que se dirigiera a un ujier de los muchos que había a la entrada.

- Sa Majestée, la Reine Elena de Trastámara! Reine de Castille, de León, de Galicia, de Toledo, de Córdoba, de Sevilla, de Murcia, de Jaén et d'Algeciras, Princesse d'Asturias, Comtesse d'Alba de Tormes et Dame de Molina! -gritó el ujier, y al instante la Reina apareció, junto a su hija, seguida de su Guardia Real y sus damas de compañía.

Le habían dicho que aquel era el segundo día en que se celebraba la semana de la moda, y que justo ahora estaban en una pausa, por lo que aprovechó para dar un pequeño paseo y ver si lograba reconocer algún rostro. O si algún rostro la reconocía a ella primero.


Et bien, comme je ne suis pas française et je ne sais pas parler français très bien, j'ai fait mon message en espagnol, mais si tu est un(e) français(e) qui ne comprend pas c'est qui j'ai dit... Alors,

La Reine de la Courounne de Castille et León est arrivée aux jardins du Palais de Louvre. Elle espère se trouver avec quelqu'un qui la connaît, et elle est arrivée avec sa fille, l'Infante Alanna.

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Mallory
Mallory était heureuse de voir enfin un visage familier.

Bonjour Sarrasin, le voyage s'est passé sans encombre je te remercie. Mais dis moi, cette tenue d’ecclésiastique te va à merveille, tu as peut être raté ta vocation...

Bon je file me changer.


L'heure n'était plus à la plaisanterie, dans quelques minutes elle devrait monter sur le podium vêtue de sa splendide robe pourpre. Elle passa donc derrière le paravent, et se changea en deux temps trois mouvements. Elle se peigna avant de déposer la coiffe sur ses cheveux lissés. Elle plaça délicatement le collier serti d'un rubis autour de son cou en se contemplant dans le grand miroir devant lequel s’agglutinaient les filles telles des abeilles sur un pot de miel.

Elle inspira profondément et monta sur le podium, impressionnée par tous les regards braqués sur elle.



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Cl0e
Absorbée par le défilé, la démonstration de cosmétologie par Agnès S.Ephora, et des choses auxquelles on ne pensait pas forcément, comme cette lotion pour les yeux. C’était tout bête, mais il fallait y penser. Agnès S.Ephora y avait pensé, elle.
Les deux premiers rangs eurent donc un coffret, de même qu’Attia. Et, durant la petite pause entre la cosmétologie et la prochaine créatrice. Diantre que ça devait s’activer en coulisse !! Entre les mannequins qui devaient s’activait, Jenah qui devait courir de défilant à défilant, elle était bien contente, l’Albizzi, d’être spectatrice aujourd’hui. Qui plus est, elle pouvait ainsi garder un œil sur sa fille cadette.
Du coup, elle ne vit pas sa vieille amie entrer, sans quoi elle aurait eu du mal à ne pas lui sauter dessus, trop heureuse de la revoir après tant de temps. Un petit doigt pointa dans sa direction, et elle reconnut en sourit la fillette aux cailloux, qui avait bien grandit. Peut-être avait-elle laissé les cailloux, mais son amour pour l’écarlate était toujours aussi vif.
La première défilante pour Jenah fit son apparition, après une magnifique présentation de Keridil, qui semblait y mettre tout son cœur et tout son talent de présentateur. Mais rapidement, un murmure gagna l’assemblée, quand Elisabeth eût regagné les coulisses. Etait-ce la robe qui faisait cet effet ? Puis, elle vit toutes les têtes se tourner vers l’entrée, et l’annonce ne tarda pas.


- Sa Majesté, la Reine Elena de Trastámara! Reine de Castille, de León, de Galicia, de Toledo, de Córdoba, de Sevilla, de Murcia, de Jaén et d'Algeciras, Princesse d'Asturias, Comtesse d'Alba de Tormes et Dame de Molina!

Elle était venue ! Aussi sec, la blonde se leva. L’avantage d’être au dernier rang – ce qui était déjà un prestige pour elle qui n’était que Dame, mais présente puisque mannequin et égérie de l’atelier – c’est qu’elle ne gêna personne en se levant, et gagna au petit trot l’entrée et du cortège hispanique qui avait fait son apparition. Elle s’approcha, tout le monde n’ayant pas encore remarqué l’entrée, et s’inclina devant la Reyne de la péninsule ibérique. Pourquoi une simple Dame comme Cloé d’Albizzi prenait-elle les devants pour accueillir la Reyne hispanique ? Tout simplement parce qu’ayant appris ses connaissances linguistiques, on lui avait demandé d’être interprète pour la Reyne de France.

- Vuestra Majestad, les deseamos la bienvenida en el Louvre. Por favor, y si queréis, vamos a mostrarle su sitio. Sin embargo, sus damas de compañía tendrán que sentarse en el cuarto rango. ¿ Vale? *

Cloé fit signe à la reine de la suivre, et elles avancèrent vers le trône de Sa Majesté Béatrice de Castelmaure-Frayner. Rapidement, elles arrivèrent à sa hauteur. Elle fit signe aux petits placeurs de déplacer un trône sur la droite de la Reyne Béatrice de Castelmaure-Frayner pour que son homologue hispanique puisse y prendre place. De même, un autre siège fut approché pour l’Infante Alanna.
Elle profita de l’occasion pour récupérer sa fille, pour soulager Yolanda. Laquelle s’empressa de refiler la deuxième enfant, et de filer à toute allure dans un murmure. Calmement, dignement, Cloé revint au côté de Sa Majesté Elena de Trastámara, Chiara dans ses bras, et prête à jouer les traductrices.
Déjà, une autre mannequin défilait sur l'estrade.






*Votre Majesté, nous vous souhaitons la bienvenue au Louvre. S’il vous plaît, et si vous le désirez, nous allons vous mener à votre siège. Cependant, vos dames de compagnies devront prendre place au quatrième rang. D’accord ?
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Tutia...
Tutia attendit qu'Elisabeth et une dénommé Mallory, défile et présente la robe de Jenah. Pendant ce temps, la brunette se faisait coiffée, habillée, maquillée, euh ... non... ; juste coiffée et habillée.

Avant son passage elle réajusta son voile et les plis de la robe, puis se tint prête. Lorsque Mallory revint, elle fit comme précédemment. Sourire, main sur la hanche ... et c'est parti mon kiki !!!




Et on va à chaque bout du podium, une petite pause, on revient au milieu on se tourne à droite à gauche, au rythme de la musique, puis retour dans les coulisses ...
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Atelier : cliquez sur la bannière ; Confrérie : http://silmarien.forumactif.net/
Fallgor
Deuxième jour de défilé, deuxième défilé debout, deuxième fois debout à sa place, à l'arrière du trône vide de la Reyne. Il avais tout regarder attentivement. Décidément, les robes étaient de plus en plus belle et il avais hate de voir la suite ... Heu, oubliez ça.

Je reprend.

Charles jetais des regards attentifs un peu partout sur la foule, scrutant chaque personnes dans l'éventualité de détecter un signe aggressif. Il laissait son regard glisser quelques fois sur les robes, mais bien sûr ce n'était pas son boulot alors il ne posais son regard que quelques secondes sur les robes qui le laissais froid, parce que c'est trop un garde efficace et qu'il est ultra concentré.

Non en fait, Charles arrivais facilement à faire la part des choses et à être autant attentif à l'un qu'à l'autre. Comme à son habitude, il avais l'air détendu, mais il était très consciencieux. Si si, pour de vrai ! Aussi, comme d'habitude, il avais la main droite reposant nonchalement sur le pommeau de son épée, prêt à l'action au cas où mais, au final prenant du bon temps. Que du gratin, qui cuisais sous le soleil tappant sur les pelouses du Louvre. Charles était debout avec les autres gardes, des gens costaux en muscle. Miam, bientot un gratin dauphinois !

Réservé pour le cinquième jour, une fois qu'ils seront tous bien cuits ?

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Yolanda_isabel
On a beau être une enfant, il y a des choses que l’on sait. Yolanda sait que Marraine est la Reine. Yolanda sait que devant Marraine tous se prosternent, Yolanda sait aussi qu’elle devrait faire de même. Et même si le spectacle est particulièrement attrayant, et même si elle voit des robes sublimes qu’elle voudrait pouvoir porter plus tard, il y a des évènements qui ne peuvent échapper à personne et certainement pas à la filleule d’une Reyne.

Alors quand Yolanda Isabel entend les paroles prononcées bien fort qui annoncent l’arrivée d’Elena de Trastámara, elle sursaute avant que de regarder à droite et à gauche, avant que de chercher un petit placeur du regard, et finalement d’opter pour la solution de facilité, tendre Aurélie de Valfrey au premier placeur qui passe en lui intimant l’ordre de la ramener à sa mère. Chiara ? Du regard, elle cherche Cloé pour finalement la trouver à côté de la Reine de Castille et Leon.. Rien que ça. Alors sans préavis, la petite blonde est rendue à sa mère, et elle ? Elle, elle se plie dans une révérence qu’elle veut réussie avant de souffler à Cloé qu’elle revient. L’azur fouille derrière elle et trouve.


-« Charles ! Pssst ! Charleeeuuh ! On va chercher Marraine ! »

Ouais, Marraine.. Béatrice quoi.. La Reine de France quoi.. Et sans attendre de réponse, elle court l’Infante, elle court à perdre haleine, à perdre des kilos même pour rejoindre le Louvre, et pire encore, chercher Marraine dans les dédales du Louvre, pour enfin la trouver, les mains sur les genoux pour reprendre son souffle, l’interrompt-elle dans une tâche importante, dans une réunion, dans une séance de « Je me relaxe, le monde est beau », elle ne sait même pas, elle a du mal à respirer, ça tire dans sa gorge, ça tire dans son ventre.. C’est dur de courir quand on est obèse.. Alors le souffle est repris, et elle plonge dans une révérence, celle des grands jours où Marraine n’est pas que Marraine, celle où Marraine est Sa Reine comme à tous les français.

-« Marraine, aux jardins.. Il y a .. La Reine .. D’Espagne .. Il faut.. Je vais mouriiiiiiiiir ! »

On respire, on inspire, on expire, la vache, c’est dur..

-« Il faut que vous veniez Marraine.. La Reine d’Espagne est venue pour la Semaine de la Mode.. »

Oui, on a beau être une enfant, il y a des choses que l’on sait comme le fait que si la Reine d’Espagne vient au Louvre, la Reine de France doit rencontrer la Reine d’Espagne. Mais la vache, la diplomatie, ça essouffle..
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¡Tan LJD Elena! ¡No soy española, pero voy hacer un esfuerzo y a traducir un poco en español!

Yolanda observa los vestidos con Aurélie, la hija de Estrella y Chiara, la hija de Cloé sobre sus rodillas, cuando la Reina de Castilla y Leon llega. Entonces, tiende a Aurélie a uno de los muchachos y vuelve a Chiara a Cloé, antes de llamar a Charles, uno de los guardias reales. Con Charles, corre hasta el Louvre para decir a Béatrice de Castelmaure-Frayner, su madrina que la Reina de Castilla y Leon está en los jardines del Louvre para la Semana de la Moda.

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« Que Saint-Louis bénisse le Royaume de France. »
Fallgor
Hein, quoi ? On crie derrière lui qu'il y à une reyne qui ne s'apelle pas Béatrice de Castelmaure-Freyner ?
Il se retourne promptement et la détaille légèrement, tout en respectant la bienséance digne d'une Reyne de pays étranger. Il s'inclina respectueusement puis vis un ouragan rose passer à coté de lui, lui murmurant quelque chose quasi-inaudible.

Cerveaux en mode décryptage yolandesque : elle est là, elle l'apelle, elle dit qu'on vas chercher Marraine, elle montre qu'il faut se bouger les miches.
Non mais attendez un peu ... Elle veux vraiment qu'on aille chercher la Reyne comme ça, en louzedé, sans escorte ... Bref, à l'arrache totale ? He bien oui apparement ... Il n'y à pas à dire, Yolanda le tuerais un jour à force de le presser ainsi. Une fois compris, il pris instinctivement la suite de Yolanda, non sans avoir regarder sa Capitàn qui, de toute évidence, n'aurais pas manquer le mini remue-ménage. Attention, language des signes pas du tout préparé et quasi incompréhensible.

D'abord, un index vers lui, puis sur Yolanda. Ensuite, son index et son majeur qui font des jambes qui courent, et enfin un cercle autour dessus de la tête pour lui faire comprendre qu'il était question de la Reyne. Evidement, Charles prévoyais les gros yeux de Stephandra et son empressement, aussi il déplia la main et fit comme s'il appuyais doucement sur une chose quelconque, la prévenant de ne pas s'inquiéter.

Voila, message lancé, plus ou moins bien interprêté on vera bien, et voila que Charles se lançais, d'abord lentement pour ne pas faire d'esclandre prêt du défilé, puis plus rapidement, enfin pas trop quand même vu le rythme de croisière de la gamine toute ronde. Il avais presque envie de la porter en voyant à quel point elle semblais souffrir de l'effort, mais se dit que quand même ça aurais été vraiment le sommum du manquement à la bienséance. Mais il essaillais tout de même de la raisonner.


- Yolanda, attend voyons ! Tu ne vas pas débarquer comme ça chez la Reyne quand même non ? Pas annoncée, pas attendue, elle pourrais ne pas être en mesure de te recevoir !

Mais bon, Charles ne se faisais que peu d'illusion quand à la faculté d'écoute de l'infante. A raison, vu qu'elle ne se gêna pas pour plus ou moins enfoncer les portes des appartements de la Reyne. Il hésita un instant à entrer, puis fit un simple pas sur le parquet des appartements royaux. Il repris son souffle beaucoup plus facilement que la gamine provoquants moults irritations rétiniennes et s'inclina devant sa Reyne. Cependant, il jeta un regard un peu sombre à Yolanda. Evidement c'était sa filleule, mais il estimais qu'il y avais quelques règles à respecter et il s'en voulais de ne pas avoir arreter le buldozer rose.
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