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[RP sur Invitation] Fashion Week - Jour 2

Elena_ruth


Sonrió ante el ofrecimiento de Cl0e. Se había comunicado con ella mediante cartas y había accedido, halagada por su disposición, a que ésta le tradujese cuanto francés no entendiera. Además, iba a ayudarla a desenvolverse en aquel ambiente que, si bien no estaba acostumbrada a él, gustaba de ello como la Reina más cortesana que pudiera haber.
Por ello, sonriendo a Cl0e, asintió y respondió en su idioma, que vieran que la Reina castellana sabía desenvolverse en cualquier ambiente, incluso fuera de sus dominios.

- Il me plait, dame. -con un gesto de la cabeza la saludó y de inmediato habló nuevamente, notando la inquieta presencia del Marqués de Gondomar y las Islas- Espero que no haya ningún problema con el Marqués, el Señor Astaroth. Inclusive espero que no se siente junto a Nuestras damas. -bromeó, notando el gesto que éste profería con sutileza, cuando de pronto...

De pronto, y en mitad de los jardines, todos los presentes se apartaron abriendo paso en un improvisado pasillo a la monarca de Francia, la cual avanzaba por éste con la regia gracilidad que sólo los soberanos se podían permitir al tiempo que sus lacayos la anunciaban. En cuanto ambas monarcas se encontraron de frente (pues lo crean ustedes o no, lo hicieron =P), la de Castilla y León realizó un gesto con la cabeza, correspondiendo así con su homóloga.

- Majestad, -dijo la rubia, sonriendo a Béatrice- no pensábamos encontrarnos con vos, pues el desfile ha culminado por lo que vemos, pero sabe Aristóteles cuánto nos agrada que finalmente hayáis podido asistir. Majestad, permitidme que os presente a Nuestra hija, la Infanta Alanna, y al Par de Castilla y León, Marqués de Gondomar y las Islas y Señor de Valdecorneja, don Astaroth da Lúa, él dirige Nuestra comitiva.

Y realizando un austero movimiento con su mano, mandó a Astaroth que se aproximase lo justo para que la Reina de Francia pudiera verle, mientras que con su otra mano sostenía desde el hombro a la Infanta Alanna, la cual había realizado una graciosa reverencia, acostumbrada como estaba a que su madre le mandara practicar todo lo que aprendiese en las clases de protocolo. Porque vaya, era bastante divertido ver a una niña tan pequeña realizar una torpe reverencia que con el tiempo iría perfeccionando.

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Elle sourit à l'offre de Cl0e. Elle avait communiqué avec elle par des lettres et avait accepté, flatté par leur volonté de le traduire comme elle ne comprenait pas le français. En outre, elle aiderait à faire face dans ce milieu, même si elle n'a pas servi à lui, elle aimait comme le plus courtois de la Reine qui pourrait se produire.
Par conséquent, Cl0e souriante, hocha la tête et répondu dans leur langue, ils ont vu que je savais l'espagnol Reine fonction dans n'importe quel environnement, même en dehors de leurs domaines.

- Il me plait, dame - avec un hochement de tête et a immédiatement salué parla de nouveau, en notant la présence inquiète des marquis de Gondomar et les îles. J'espère que vous n'avez pas de problèmes avec le Marquis, Seigneur Astaroth. J'espère même pas s'asseoir à côté de nos dames. - at-il plaisanté, soulignant le geste qu'il prononçait avec subtilité, quand tout à coup...

Soudain, au milieu des jardins, tout le monde était loin de donner cours à une allée de fortune pour la Reine de France, qui a progressé de lui avec la grâce royale souveraine qu'eux seuls pouvaient se permettre leurs laquais annoncé alors que le. Comme les deux monarques se réunit de plein fouet (parce que vous croyez le ou non, elles l'ont fait =P), la de Castilla y Leon fit un geste de la tête, ce qui correspond bien avec son homologue.

- Majesté - a dit le blond, souriant à Béatrice- pensée de ne pas vous rencontrer, puis le défilé a terminé afin voir, mais combien nous comme Aristote sait que finalement vous étiez en mesure d'y assister. Majesté, permettez-moi de vous présenter à notre fille, l'Infante Alanna, et la paire de Castille et Leon, Marquis de Gondomar et les îles et le Seigneur de Valdecorneja, Don Astaroth da Lúa, qui dirige notre parti.

Et par un mouvement austère avec sa main, envoyé Astaroth de s'approcher suffisamment pour que la reine de France pouvait le voir, tandis que son autre main il tenait de l'épaule à la princesse Alanna, qui avait fait un salut gracieux, utilisé comme il était d'envoyer sa pratique mère que vous avez appris dans le protocole de classe. Pourquoi aller il est assez amusant de voir une jeune fille faisant une révérence maladroite qui serait affiné au fil du temps.


Excusez mon français, je suis très fatiguée alors j'ai utilisé Saint Google. Je sais, a été la pire utilisation de ma portée.

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Beatritz
Sur le chemin vers l'espace clos de l'événement, la Reine s'était vu remettre par un coursier un pli qu'elle avait tout juste déplié et parcouru, en retenant trois fois rien ; une âme toulousaine, deux lettres en guise de seing, un sceau, et l'assurance de se trouver dans les jardins.

En remontant les rangées de bancs vers le siège où l'on avait installé la Reine de Castille et de Léon, elle chercha un instant du regard la personne qui avait produit la lettre sur laquelle son poing était serré, et qu'il faudrait ranger, car déjà elle était face à la Trastamara. Un large sourire s'étala sur son visage : entre femmes, leur rencontre en ces lieux était le signe même qu'elles étaient faites pour se comprendre et s'apprécier.

Et si Béatrice ne parlait pas castillan, elle voyait au coté de la Reine Elena la gouvernante de Leurs Altesses Royales, Cloé d'Albizzi, dont les talents maternels n'étaient manifestement pas les seuls.
Glissant le pli dans une manche, elle fit son meilleur sourire à l'espagnole, dont les mots avaient quelques échos occitans connus. Du reste, ses gestes complétaient l'information, car elle attirait à elle une jeune fille et un homme, à grands renforts de titres comme on les comprend quelle que soit la langue, à la seule emphase avec laquelle on les prononce - Infanta, Marques... Il faut n'avoir pas d'oreille pour ne point présumer de leur sens.

Oubliant tout soudain qu'elle avait laissé des affaires d'importance sur le coin d'un guéridon, et oubliant presque autant qu'elles étaient au beau milieu d'un événement où elles n'avaient pas le premier rôle, elle inclina avec grâce la tête et lâcha la main de Yolanda. Elle portait comme à son habitude des gants blancs, ornés d'un B d'or. Elle ouvrit ses bras à la Reine étrangère, en signe d'accueil, dans l'attente de la traductrice.


-"Votre Majesté, Votre Altesse, Votre Magnificence, vous accueillir ici est un honneur dont nous n'avons jamais osé rêver. Soyez mille fois les bienvenus."

The Queen Beatritz doesn't speak spanish and is waiting for the translation by Cloé (also governess of the two queen's sons). Nevertheless, some words are easily recognizable, such as "Infanta", "Marques", according to some gestures... So she let go of Yolanda's hand and opened her arms to Elena Ruth. She said :

"Your Majesty, Your Highness, Your Magnificence, to welcome you in this place is an honor We did not dare dream of.
Be a thousand time welcome !"
Cl0e
Toujours aux côtés de Sa Majesté Elena de Trastámara, la blonde entendit avec soulagement qu'on annonçait leur Reyne bien-aimée. Ainsi, Yolanda avait accompli sa mission avec brio. Elle tourna la tête, et aperçu Béatrice de Castelmaure-Frayner, une boule rose pendue à sa main et un garde s'avancer vers elles.
Du coin de l'oeil, elle vit quelques nobles se prosterner, qui ne l'avaient pas fait pour la reine de Castille et Léon. Sans doute n'avaient-ils pas entendu l'annonce, trop absorbés par le défilé, ou le nez encore plongé dans les onguents et autres crèmes. Et, au détour du regard, elle se rendit compte de l'homme qui semblait trépigner, derrière la reine hispanique. Des fourmis dans les pieds ?
Souriant pour elle-même, elle fit une nouvelle révérence, et se plaça un peu en retrait, mais pas trop, pour faire ce pour quoi on l'avait demandée : traduire.


- Vuestra Majestad, el marqués puede sentarse en el rango primero, puesto que es marqués. Por favor, perdonadme, yo no le había visto.

Elle fit signe à un petit placeur de montrer au marquis son siège, au premier rang donc, comme elle venait de dire. Et, rapidement après, LA rencontre eu lieu entre les deux souveraines. Alors, dès que la monarque hispanique eût fini de parler, la blonde traduisit. D’abord l’accueil de la reyne de France, puis les paroles de la reyne hispanique.

- "Vuestra Majestad, Vuestra Alteza, Vuestra Magnificiencia, acogeros aquí es un honor del que jamás nos hemos atravedo soñar. ¡ Sed mil veces bienvenidos¡”

- Majesté, nous ne pensions pas vous rencontrer, car le défilé touche aujourd’hui à sa fin, mais le Très-Haut sait combien il nous plaît que vous ayez pu y assister en fin de compte. Majesté, permettez-moi de vous présenter Notre fille, l’Infante Alanna, et le Marquis de Gondomar et les Îles, Seigneur de Valdecorneja, don Astaroth da Lúa, il dirige Notre cortège.

Et pendant qu’elle traduisait tantôt à l’une, tantôt à l’autre, elle se perdait un peu dans son idiome. Espagnol et Français s’emmêlait dans sa tête, et elle devait trier quel mot allait où.




Aún al lado de Su Majestad Elena de Trastámara, la rubia oyó con alivio que anunciaban a su reina amada. Así, Yolanda había cumplido su misión con brío. Cloé giró la cabeza y distinguió a Béatrice de Castelmaure-Frayner, una bola rosa colgada en su mano y un guardia adelantarse hacia ellas.
Vi a unos nobles prosternarse, quienes no lo habían hecho para la reina de Castilla y León. Sin duda no se habían dado cuenta de su entrada, concentrados en los ungüentos y cremas de Agnès S.Ephora. Y se dio cuenta del hombre que parecía patalear, detrás de la Reina hispánica. ¿Acaso hormigas en las piernas?
Sonriendo para si misma, ella hizo una nueva reverencia, y se puso un poco hacia atrás, pero no demasiado, para hacer lo porque la había empleado : traducir.


- Votre Majesté, le marquis peut s’assoir au premier rang, puisqu’il est marquis. Je vous prie de m’excuser, je ne l’avais pas vu. ( ça c’est la traduction pour les frenchies ^^ )

Ella hizo un gesto a un pequeño acomodador para mostrar al marques su sitio, en el primer rango entonces. Y, rápidamente después, EL encuentro tuvo lugar entre las dos soberanas. Entonces, cuando la monarca hispánica acabó de hablar, la rubia tradujo. Primero la acogida de la reina de Francia, luego las palabras de la reina hacia el francés.

- "Vuestra Majestad, Vuestra Alteza, Vuestra Magnificiencia, acogeros aquí es un honor del que jamás nos hemos atravedo soñar. ¡ Sed mil veces bienvenidos¡”

- Majestad, no pensábamos encontrarnos con vos, pues el desfile ha culminado por lo que vemos, pero sabe Aristóteles cuánto nos agrada que finalmente hayáis podido asistir. Majestad, permitidme que os presente a Nuestra hija, la Infanta Alanna, y al Par de Castilla y León, Marqués de Gondomar y las Islas y Señor de Valdecorneja, don Astaroth da Lúa, él dirige Nuestra comitiva.


Mientras ella traducía unas veces a una, otras a otra, ella se perdía un poco en su idioma. Castellano y francés se confundían en su mente, y tenía que seleccionar donde iba cada palabra.

Citation:
Code des couleurs : en rouge foncé quand Cloé traduit pour la reine de Castille et en bleu foncé quand elle traduit pour la reine de France.


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Yolanda_isabel
Heureusement que Marraine est Marraine, et que Marraine est gentille surtout, car sinon, cela ne vaudrait pas qu’elle fasse des efforts comme celui qu’elle vient de faire. Essoufflée, épuisée, à la limite de l’accident cardio-vasculaire et sans Dr House dans la salle, elle pourrait presque se laisser tomber au sol là sur les pierres fraiches du Louvre, elle pourrait mourir de fatigue, d’épuisement, de soif, de faim, de tout. Mais Marraine est bonne qui lui tend des friandises, alors elle la remercie d’un sourire, et s’éclipse avec elle, quand il est question de se vêtir à l’abri du regard masculin.

En vérité, mes biens chères sœurs, s’habiller seule quand il est question de tenues luxueuses relève bien plus des douze travaux d’Hercule que d’une simple routine. L’Infante mange en silence, s’abstient de tout commentaire, risque un doigt pour montrer un pli disgracieux et sourit, admirative quand enfin, Marraine est vêtue, telle la Reine qu’elle doit être. Naturellement la main grassouillette vient à l’encontre de sa grande sœur, naturellement, elle y reste tandis qu’elles parcourent le chemin conduisant aux jardins, tout aussi naturellement, l’Infante se tient à côté de la Reine. Aurait-elle était plus jeune qu’on aurait pu penser à une fille, à une enfant légitime de Béatrice, mais la relation qui lie la Reine de France et la Princesse des Fées est tout autre, il s’agit de complicité induite par des ressemblances et des penchants similaires, pas d’un amour maternel, il s’agit d’un amour plus subtil que cela, d’une confiance abusive. Béatrice fait office de modèle, de sœur, de mère, de mentor, d’idéal. Béatrice fait beaucoup et est beaucoup, alors quand se rapprochent les deux reines, quand l’échange commence, Yolanda se tient droite, retient son attention pour ne pas la laisser papillonner inutilement. La rendre fière, c’est bien tout ce qui importe à l’heure actuelle, rendre fière Marraine.

Et la main de Marraine s’écarte de la sienne alors qu’elle écoute subjuguée l’échange entre les deux monarques, les traductions de l’Albizzi, pour la passionnée de contes en langue d’oc, les mots de la Reine de Castilla y Leon sont facilement compréhensibles certaines fois, alors quand ceux de Cloé viennent confirmer certains doutes, elle sourit. Plus tard, elle sera diplomate et interprète. Plus tard, Marraine pourra aller voir les autres monarques, et elle, elle traduira. Joli rêve que celui-ci, plus simple surtout que celui de devenir Princesse des Fées un jour, pour de vrai. Quand l’homologue hispanique de Béatrice pousse devant elle, une petite fille, alors Yolanda sourit à Marraine, et alors que les deux reines s’échangent des formules de politesse et des promesses de paix, l’Etoile angevine d’offrir une révérence à l’Infante espagnole. Deux enfants trop jeunes pour que leurs âmes si pures soient réellement en sécurité dans le monde cruel de la Cour, deux enfants déjà rompu aux exercices de Cour, pourtant. Les deux mains sur le giron, elle sourit sans rien dire, consciente à bien des égards, qu’elle a de la chance d’être là si près, alors peut être pour la première fois en présence de Marraine, Yolanda Isabel baisse le regard humblement.


Yolanda Isabel sigue a Béatrice en los pasillos del Louvre antes de volver a los Jardines del Louvre. Llegada allí, sonríe a Cloé y comienza a soñar con diplomacia y traducciones, un sueño más simple que uno de princesas y hadas. Y cuando la Infanta Alanna hace una reverencia, Yolanda hace una también, bien educada por sus padres y su madrina. Por primera vez en su vida, Yolanda entendió la importancia y el estatus de Béatrice, entonces asistió al intercambio con humildad y la mirada gacha sobre sus manos.

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« Que Saint-Louis bénisse le Royaume de France. »
Elena_ruth


La Reina de Castilla y León y muchomás se sorprendió al ver el caluroso saludo y recibimiento de la Reina de Francia, y sin dudarlo ni un segundo le sonrió y se acercó a ella, correspondiendo al abrazo que ésta le ofrecía.
Tras el abrazo, atendió a las traducciones que Cl0e les ofrecía y sin dejar de sonreír se volvió a Béatrice, dispuesta a agradecerle el ofrecimiento y entregarle una carta que mandó a sus embajadores hacer llegar hasta la Reina de Francia.

Pero lo cierto es que nunca llegó, ya que había algún que otro problema con las embajadas (ya sabéis, interferencias), y enfadada por esto, la propia Reina de Castilla decidió hacérsela llegar a la de Francia en la semana de la moda.

- ¡Estimada Béatrice!, tengo algo para vos. -dijo sonriéndole con complicidad, haciendo que dos lacayos con las armas de Castilla y León se aproximaran hasta ella con una carta y un animal- Llevo tiempo tratando de contactar con vos, pero no sé por qué mis embajadores no logran contactar con los vuestros. ¡De cualquier modo!, yo misma os haré entrega de algo que, aunque ya ha quedado como parte del pasado, quisiera que tuvierais en conocimiento, así como me gustaría entregaros éste animal como presente.

Orgullosa de aquel inicio de conversación, tomó la cría de leopardo de los brazos del lacayo, quien le ofrecía el animal junto a una reverencia, y acariciando al felino tras la nuca hizo ademán de entregársela a la Reina de Francia. El animal, mientras tanto, rugía, sin fuerza, tratando de imitar a la madre que ahora mismo le estaría buscando a lo largo y ancho de la sabana de África.

- Béatrice, se trata de un animal exótico que hemos mandado traer para vos desde África, y esperamos que os sepa velar y guardar de vuestros enemigos dentro de unos años. -bromeó, y era cierto, aquel pobre felino aún era demasiado pequeño- Además, si hay quien ose molestaros... Siempre podréis tirarle a los leones. -volvió a bromear, y riendo con suavidad realizó un gesto con la mano, ordenando que el otro lacayo le entregara a la Reina de Francia la carta, aún cerrada por el lacre.

Citation:

    LETTRE A SA MAJESTÉ, LA REINE DE FRANCE

    Estimée Reine Béatrice,

    Nous sommes heureuse de savoir que cette missive arrivera en vos mains, puisqu'elle sera sans doute, la preuve que vous nous avez lue.

    Du temps a passé depuis que vous avez été couronnée, ainsi que nous-même, nous ne doutons donc pas que vous avez commencé vos travaux comme Reine et Souveraine de la Couronne de France, dont, malheureusement, nous ne savons que très peu de choses dans nos terres. Nous voudrions apprendre à vous connaître, ainsi que votre règne et votre Royaume.

    En ce qui concerne Nos terres, nous avons été obligée de former récemment la Royale Armée et visiter les terres voisines du Royaume d'Aragon, avec l'autorisation de la Couronne d'Aragon en la personne du Roi Hanseatic de Tramuntana. Il y avait sur Notre Royaume, une menace qui pesait et qui attentait à son intégrité, en ce sens, nous avons du agir. Nous avançâmes donc jusqu'à la ville de Calatayud, à la frontière jouxtant Notre Royaume, et là-bas nous decouvrîmes en plus qu'ils avaient envahi notre frontière en prenant le pouvoir d'une route castillane. Cette menace, se trouvant être une armée dont le nom n'est autre que 'Entalto Aragón', dirigée par Kayn. de Urrea, cette armée battit en retraite vers Saragosse avec la peur que nous jettions au bas son drapeau. Mais bien qu'il soit épargné, étant donné que le Roi Hanseatic ne nous permettait pas d'avancer au-delà de Calatayud, ledit Kayn n´etait pas satisfait. Il se prit donc à nous insulter, nous signâmes donc immédiatement un décret royal, le déclarant persona non grata dans Notre Royaume, et stipulant que nous nommerions Chevalier quiconque le défierait et le batterait en lice.

    Voici, les nouveautés à l'intérieur de Nos terres. Nous espérons que rien d'aussi fâcheux n'arrive en Votre Royaume, ce genre d'évènements n'est jamais agréables pour un monarque.

    Majesté, permettez moi de vous assurer de notre interêt pour des relations diplomatiques amicales entre nos deux Royaumes, de façon à creer des liens forts et durables, ainsi que des appuis mutuels. Permettez-moi de vous offrir un présent que nous joignons à notre lettre. Il s'agit d'un petit léopard, importé de chez les Barbares mauresques pour vous selon nos indications spécifiques. Nous pensons que cela pourrait vous plaire, et étant donné qu'il s'agit d'un animal assez exotique et peu commun à l'intérieur de la Cour, nous avons jugé que cela pourrait être amusant. Par ailleurs, sachez que nous parlons en connaissance de cause : nous avons aussi un animal de cette même espèce, bien que plus vieux et expérimenté, et sans doute nous pouvons vous assurer qu'il est très utile, s'il est bien dressé. Nous effrayons plus d'un bouffon de Cour.
    Nous voudrions aussi vous inviter à Notre Cour pour que nous pussions parler de la proposition que nous vous faisons dans cette missive, étant donné que nous aimerions vous proposer une alliance entre Nos deux Couronnes.

    Nous espérons que vous accepterez et que le présent vous plaira. Sans doute ce pourrait être le commencement d'une grande amitié.

    Recevez un salut cordial, de Nous et de Notre époux.

    Dans le Palais Royal de Tolède, au premier jour du quatrième mois de l'année mille quatre cent cinquante-neuf de Notre Seigneur.


    Sa Majesté, la Reine Ruth Elena de Trastámara Borja
    Reine de Castilla, de León, de Toledo, de Galicia, de Sevilla, de Córdoba, de Jaén et d'Algeciras, Princesse d'Asturias, Comtesse d'Alba de Tormes et Dame de Molina.



Tras hacer entrega del regalo y de la misiva, la rubia volvió a hablar, esperando no ser demasiado brusca.

- Hemos mandado traer también algunos dulces de Nuestra Corona para las Infantas y la heredera al trono francés, esperamos que les plazca tanto como a Nos vuestro recibimiento. -dijo, haciendo después una reverencia inclinando ligeramente el cuerpo hacia el frente y agachando la mirada, en señal de respeto hacia la Reina francesa.


Elena gets surprised because of the friendly greeting of Béatrice but she doesn't doubt to hug her, as Kings and Queens do between them.
Then she hears the traductions of Lady Cloé and without taking the smile out her face the Castillian Queen is ready to thank for the wellcome to Béatrice and to give her the present and the letter she was waiting for to send it to her by the ambassades, but it couldn't reach the French ambassade because of a problem with the chancellors, ambassadors and others; so, she gives all to Béatrice in that moment.

So, she gives the baby leopard to the French Queen, and the letter too, and while she waits to her, she says that she has carry some sweets from Castille and Leon for the heiress and infants of France.

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Elena reçoit surpris parce que de l'accueil amical de Béatrice, mais elle ne doute pas l'embrasser, comme Rois et des Reines faire entre eux.
Ensuite, elle entend les traductions de Lady Cloé et sans prendre le sourire sur son visage de la reine de Castille est prête à remercier pour la bienvenue à Béatrice et lui donner le présent et la lettre qu'elle attendait pour lui envoyer par la Ambassades, mais il ne pouvait pas atteindre le ambassade française en raison d'un problème avec les chanceliers, les ambassadeurs et les autres, de même, elle donne tout à Béatrice en ce moment.

Ainsi, elle donne le bébé léopard à la reine française, et la lettre aussi, et pendant qu'elle attend d'elle, elle dit qu'elle a effectuer des bonbons de Castille et Leon pour l'héritière et les nourrissons de la France.

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Attia.
[Quand la mode s'habille de Diplomatie]

Elle ne peut s’empêcher de penser qu'il yen a plus d'une qui pourrait presque regretter de ne pas être présent pour voir deux grandes reines, se reconnaître, s'embrasser, se parler.

Le défilé est fini heureusement, parce que personne n'a plus d'yeux que pour le singulier spectacle et la gitane est plus qu'aux anges de voir la reine Beatritz prévue seulement pour le dernier jour, sauter les étapes et les honorer de sa présence.

Le sacrifice calorique de Yolanda n'aura pas été inutile.
Alors discrètement en rapprochant tout de même un peu, la gitane observe la scène comme on observerait la parade nuptiale de deux hippopotames, en silence, en vénération.

Elle est heureuse la gitane parce que la semaine de la mode a beau faire jaser, elle est marqué a présent par la mise en place de relations amicales entre la France et la Castille. Si ça c’était pas mémorable ?
Mais ou sont ils les officiers royaux ? Les grand ambassadeurs ? Que ne se pressent il pas pour voir ça ?
Ou sont ils tous ?

La mode est tout, même diplomatie car la mode fédère dans la beauté, dans la classe, dans la tendance, que cela se saches!

Elle s'approche doucement, peut être avec un peu de chance, les reines lui adresseraient la parole, elle la mégalo non moins roturiere, lui permettant ainsi de les remercier a la hauteur de leur implication.


Attia was looking at the two queens talking together with pride and veneration.
The sacrifice of the fat young Yolanda was'nt vain.
She was thinking about all that people who haven't attend to the event .
She was happy, even if the fashion week made people talk, it will be remenbered as far as it is now the departure point of diplomatic collaboration between France and castilla.
Attia gets closer to the two queens with the hope they talk to her, so as she could thank them .

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Beatritz
Silence religieux autour des deux Souveraines. Deux femmes qui gouvernent, deux femmes qui aiment les vêtements, deux femmes qui savent s'entourer, source de fastes, de gloires, destins uniques.

La gouvernante-traductrice fait le lien. C'est rassurant, pour Béatrice. Elle a l'oreille et les propos de Cloé confirment ce qu'elle a compris. C'est plaisant.
Elle incline la tête, élégamment, à l'égard de l'infante, qui s'est déjà trouvée avec Yolanda, et à celui du Marquis imberbe.


-"Su Alteza, Señor..."

Oui, elle a osé. Le débit de la castillane et les traductions de l'Albizzi l'ont habituée. Elle retrouve cette langue jadis apprise, oubliée de longue date ; mais l'on n'oublie jamais tout à fait, seule la pratique fait défaut. L'accent de Béatrice doit d'ailleurs être horrible, mais qu'importe ? L'effort ne peut qu'être salué.

L'étreinte avec Elena avait quelque chose d'amusant, d'inhabituelle ; il faut ici rappeler que si Béatrice touche peu les gens, hommes ou femmes, porte des gants et joue la distance, c'est pour se protéger d'elle-même, d'une hypersensibilité qu'une telle embrassade ne peut qu'éveiller.
Voilà donc que Béatrice a les joues roses et un sourire épanoui.

Elle reçut la lettre et ferma sa main gantée dessus, car l'autre présent qu'on lui offre est bien trop volumineux.

Le petit léopard, encore innocent - croit-on - est tenu en laisse, et la Reine de France se pencha pour le prendre dans ses bras. Il se laissa faire, et elle lui caressa l'oreille de ses jolis gants.


-"C'est un magnifique animal, Elena ! Votre idée est somptueuse, c'est -" Et là, le léopard s'agita et griffa la main de la Reine. Cela déchira son gant et elle fronça les sourcils, plus surprise que fâchée.

-"Et bien ! Il est teigneux ! Mais on le dressera et... Oh ! Voilà comment nous allons l'appeler : Ségur !"

Et elle partit d'un grand rire. Alors, elle le reposa, laisse bien en main, et se résolut à enlever le gant abîmé. Cela révéla une main rongée, main d'anxieuse... Qu'importait : elle passa son bras sous celui d'Elena et l'entraîna plus loin :

-"Puisque le défilé semble fini, il faudra revenir plus tard, et nous serons mieux à l'écart de l'événement, pour parler de votre proposition..."

Un regard à la Dame de Jegun, invitation-ordre à les suivre, un à Yolanda et la jeune Infante, se demandant ce qu'elles feraient, et si le Marquis allait rester au pays des fanfreluches.

Sur le chemin de la sortie, elle remarque Attia et fait un écart pour l'approcher et lui remettre son gant abîmé.


-"Nous vous faisons confiance, Maître."

Le message est clair...

There is only silence around the two queens.
Beatrice become confident and salute the Infant and the Marques :


-"Su Alteza, Señor..."

With an aaaaaaawful accent !

She blushed with pleasure when Elena embraced her because she always had problems with human contact (she is hypersensitive).
She did not open the letter and will read it later because she had no time : Elena gave her the little leopard !

She took him in her arms and said :

-"It's a wonderful pet, Elena ! Your idea is somptuous, it's -" The leopard had scratched the Queen's withe glove...

-"Well !He's cantankerous ! But we will train him and... Oh ! Let us call him : Ségur !"

She had a big laugh. Then she put down the leopard, had a strong hold on the lead, and remove her scratched glove. Her hand was horrible, because she always bite her nails and worry herself sick.

She hold Elena's arm and walked with her aside from the event :

-"Since the défilé is over, we'll have to come back later, and we will be better aside from this place, to speak about your proposition..."

[i]She looked the Dame de Jegun, who had to follow, Yolanda and the young Infant, wondering if they would follow, as for the Marques.

On their way to the exit, she noticed Attia and gave her the scratched glove.


-"We trust you, Master."
Cl0e
Elle était ravie, la blonde, de voir deux reines si bien s'entendre. Bon faut dire, ce n'était pas souvent - jamais - qu'elle assistait à ces rencontres diplomatiques, mais tout de même. Tout cette bonne humeur faisait plaisir à voir.
Alors, depuis sa place privilégiée d'interprète, elle traduisit :


- Très chère Béatrice ! J'ai quelque chose pour vous. Cela fait longtemps que j'essaie de prendre contact avec vous, mais je ne sais pourquoi mes ambassadeurs ne parviennent pas à contacter les vôtres. Peu importe ! Je vous donnerai moi-même quelque chose que, même s'il est resté comme faisant partie du passé, je voudrais que vous ayez connaissance, ainsi j'aimerais vous offrir cet animal comme présent.

Béatrice, il s'agit d'un animal exotique que nous avons mandé chercher pour vous jusqu'en Afrique, et nous espérons qu'il sache vous surveiller et vous garder de vous ennemis dans quelques années. De plus, si quelqu'un ose vous déranger ... Vous pourrez toujours les jeter aux lions.

Nous avons également envoyé chercher quelques douceurs de Nos terres pouyr les Infants et l'héritier du trône français, nous espérons que cela vous plaise autant qu'à Nous.


Les dernières répliques blagueuses d'Elena de Trastámara firent sourire la blonde, à défaut de rire, car ce serait déplacé pour une interprète de s'esclaffer bruyamment comme elle aurait pu le faire dans un cadre plus intime. Elle se tourna vers la reine castillane et lui traduisit les propos de Béatrice :

- ¡ Eso es un animal magnífico, Elena ! Vuestra idea es suntunosa, es ...

Et là, c'est le drame : la patte du petit félin fendit l'air et le gant royal fut labouré. Elle eut peur un instant que cela créé un incident diplomatique, sait-on jamais, il y en a eu pour moins que ça, mais non.

- ¡ Pues ! ¡ Es tiñoso ! Pero lo adiestraremos y ... ¡ Oh ! ¡ Así lo llamaremos : Ségur !

Le bébé léopard fut déposé au sol, en laisse, et la reine lui fit signe de les suivre toutes deux lorsqu'elles s'éloignèrent. L'interprète s'exécuta, et continua son office.

- Puesto que el desfile se acabó, tendremos que volver más tarde, y mejor estaremos aparte del acontecimiento para hablar de su proposición ...




Estaba encantada la rubia, al ver dos reinas apreciarse tanto. Había que decir, de verdad, que no era a menudo - jamás - que podía ella asistir a semejantes encuentros diplomáticos, pero no importa. Toda esa alegría le gustaba mucho.
Entonces, desde su sitio privilegiado de intérprete, ella tradujo :

- ¡Estimada Béatrice!, tengo algo para vos. Llevo tiempo tratando de contactar con vos, pero no sé por qué mis embajadores no logran contactar con los vuestros. ¡De cualquier modo!, yo misma os haré entrega de algo que, aunque ya ha quedado como parte del pasado, quisiera que tuvierais en conocimiento, así como me gustaría entregaros éste animal como presente.
- Béatrice, se trata de un animal exótico que hemos mandado traer para vos desde África, y esperamos que os sepa velar y guardar de vuestros enemigos dentro de unos años. Además, si hay quien ose molestaros... Siempre podréis tirarle a los leones.
- Hemos mandado traer también algunos dulces de Nuestra Corona para las Infantas y la heredera al trono francés, esperamos que les plazca tanto como a Nos vuestro recibimiento.


Las últimas respuestas bromeadoras de Elena de Trastámara hicieron sonreir a la rubia, que no rió porque estaría inapropriado en semejante presencia, lo que haría en un contexto más íntimo. Ella giró hacia la reina castellana y le tradujo las palabras de Béatrice :

- ¡ Eso es un animal magnífico, Elena ! Vuestra idea es suntunosa, es ...

Y allí está el drama : la pata del felino surgió y destrojó el guante real. Ella temió un instante que se creó un incidente diplomático, pero no fue el caso. No se sabe, a veces ocura uno para menos que esto.

- ¡ Pues ! ¡ Es tiñoso ! Pero lo adiestraremos y ... ¡ Oh ! ¡ Así lo llamaremos : Ségur !

La reina dejó al suelo el leopardito, atado, y la reina hizo un gesto a Cloé para que las suigiera ambas. La intérprete siguió, y prosiguió :

- Puesto que el desfile se acabó, tendremos que volver más tarde, y mejor estaremos aparte del acontecimiento para hablar de su proposición ...

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Elena_ruth


La Reina se alegró de ver cómo la de Francia trataba de hacer aproximaciones a ella. Sin duda se sentía muy cómoda en Francia, puesto que todos la trataban con mayores honores que a los que estaba acostumbrada, aunque si bien era que desde que era reina siempre la trataban así.
Se alegró también al ver que el regalo había logrado impresionar y agradar al mismo tiempo a Béatrice; sin embargo no esperaba que el animal reaccionara de aquel modo, "comiéndose" el guante de la Reina de Francia... Por un momento se sintió incómoda, en una situación tensa. No obstante hizo gala de afabilidad y sonrió ante las palabras de la de Francia, correspondiendo a su ofrecimiento y cogiéndola también del brazo, siguiéndola después por los jardines del Louvre.

- Así es, mi estimada amiga. Tan sólo es un cachorro y habréis de adiestrarle. Os aconsejo que le adiestréis para que os podáis librar de ciertas presencias un tanto... Incómodas. Al fin y al cabo, tanto vos como Nos conocemos los infortunios de la política. -sonrió, dejando escapar una leve risa, suave y modesta, tornándose después hacia Attia, a la cual no lograba reconocer en un principio- Tenéis razón, Béatrice, será mejor que nos retiremos y hablemos en un lugar más tranquilo de nuestros asuntos, pero... ¿Os importaría que nos acompañara aquesta dama que vemos?, nos hizo unos vestidos preciosos y aún la estoy muy agradecida por ello.

Resultaba ciertamente extraño que una reina tuviera aquella consideración con alguien que había hecho su trabajo ante los deseos de una soberana, pero lo cierto era que Elena era de natural alegre, agradecido y afable, entre otros, como soberbio, orgulloso, vanidoso, ambicioso, etc. etc. etc. ...
Y resultó más extraño cuando Elena pidió a Attia que se aproximara a ella con un gesto de la mano, sutil y cuidadoso, que se podría decir que casi acariciaba el aire. Con tranquilidad, se dispuso a hablar dirigiéndose a la misma.

- Tú eres Attia des Juli, ¿no es así? -la preguntó, y esperando su respuesta le miró a los ojos sonriéndole. Sí, era ella. Recordaba sus oscuros y hermosos ojos.


Elena is happy because Béatrice is so friendly with her, and she feels everything goes very well between them until the little leopard "eats" the glove of France's Queen. She doesn't know what to say in that moment and she feels strange and tense. But she smiles to the worths of Béatrice and she catches her from her arm too.
The Queen of Castille says to Béatrice that she should teach the little leopard to attack people which she doesn't like (because they know what happens with the politics when they aren't as good as a queen wishes) and she agrees with the Queen of France when she said that they should go to another place to talk about their bussines more comfortable.

But suddenly Elena stops and turns to Attia, trying to remember her name but knowing that she was the great tailor she did her new clothes. And so, she asks to Béatrice if she allows her to go with them because Elena feels so grateful with her. Then, she orders to Attia to come in front of her and she asks to Attia if her name is Attia des Juli, as she remembers.

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Attia.
Elle baisse la tete dans une reverence et plie un genou au passage des reines devant elle.
Un sourire aux levres elle attrape le gant déchiré.
Le recoudre ? certainement pas. En confectionner une nouvelle paire brodée d'un B comme elle en fournit toujours une avec ses tenues ? Oui.


- C'est un honneur majesté...

Et c'est la que la gitane se rend compte que c'est la première fois qu'elle se trouve en présence de Beatritz. Elle a toujours eu affaire a des intermédiaires, et cette fois la reine était devant elle.
Le coeur lui en cogne dans la poitrine, seul Dieu sait a quelle point elle est emplie de gratitude.
Quand la seconde et non moins imposante reine s'adresse a elle, lui faisant signe d'approcher, la gitane est transportée.
Elle aquiece et hoche la tete en entendant son nom.
Oui c'est elle Attia des Juli, la petite gitane qui a fait son chemin.
Une nouvelle révérence.


- Votre majesté... A votre service.

Elle ne sait pas trop que faire, les yeux cherchent ceux de Cloé. Suivre les deux reines qui se retirent ? Si tel est leur souhait!
Le blond allait devoir se passer d'elle pour le reste de la journée.



Attia was honoured as the French queen gave her glove to her.
She won't fix it, she will make a new couple of gloves as she habitually does when she deliver a dress to her majesty.
And as she made a reverence, Attia realised that this was the first time for her to meet her majesty Beatritz herself. She always had to deal with intermediaries.
She was happy.
When the second but not less important queen invited her to approach, Attia felt very honoured and happy.
She didn't know what the queen wanted from her. Did she mean to come with them ? She sought cloé's eyes. If that was the wish of the queens that she comes, she'll come.

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Cl0e
Une blonde, vous avez demandé une blonde ? Demandez, c'est trouvé ! Elle sourit à la grande couturière, et traduit avant pour la reine :

- C'est ainsi, ma très chère amie. Ce n'est qu'un petit et vous devrez le dresser. Je vous conseille de le dresse pour qu'il puisse vous dispenser de certaines présences, quelque peu ... gênantes. Après tout, aussi bien Vous comme Nous connaissons les infortunes de la politique.
Vous avez raison, Béatrice, il serait mieux que nous nous retirions en un lieu plus tranquille pour nos affaires, mais ... Est-ce que cela vous ennuierait si cette dame que nous voyons nous accompagnerait ? Elle nous a fait quelques robes ravissantes et je lui suis encore très reconnaissante de cela.


Et en effet, la reine hispanique ne tarda pas à s'adresser à Attia.

- Tu es Attia des Juli, c'est bien cela ?


¿ Una rubia, han pedido una rubia ? ¡ Pidan, lo encontran !
Ella sonrió a la gran modista, y tradujo para la reina :

- Así es, mi estimada amiga. Tan sólo es un cachorro y habréis de adiestrarle. Os aconsejo que le adiestréis para que os podáis librar de ciertas presencias un tanto... Incómodas. Al fin y al cabo, tanto vos como Nos conocemos los infortunios de la política. Tenéis razón, Béatrice, será mejor que nos retiremos y hablemos en un lugar más tranquilo de nuestros asuntos, pero... ¿Os importaría que nos acompañara aquesta dama que vemos?, nos hizo unos vestidos preciosos y aún la estoy muy agradecida por ello.

Y efectivamente, la reina hispánica no tardó en hablar a Attia.

- Tú eres Attia des Juli, ¿no es así?

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