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[RP] Quand de brécey se fâche, au secours d'une enfant

Mabelle
Mabelle furieuse rattrapa le môme par le collet.

- Hé ho ! Ça n'va pas non ??? Écoute moi bien jeune homme, je n'en ai pas l'air comme ça mais j'étais soldate en d'autre temps alors avant de se jeter dans la gueule de ces monstres, il faut réfléchir un peu.

- Et je dois m'assurer de certaines choses avant d'aller pourfendre ces vils ruins, calme ta jovence et écoute moi.

- Deedee va se remettre tout doucement, elle est solide, elle en a connu d'autres. Il faut l'installer avec Maurice et leur laisser la besace de remèdes.

- Et mon chien, oui mon chien élevé aussi à la caserne, veillera et nous préviendra de tout danger. Toi tu restes derrière la ferme si quelqu'un arrive, puisque tu veux jouer les héros, et bien tu aviseras ! As-tu seulement déjà tenu une épée !


Mabelle resserra sa dague, déposa sa cape sur Deedee qu'elle aida à rejoindre Maurice dans un recoin sombre de la bâtisse, lui murmura ces quelques mots :

- Deedee, reste là tu m'entends ? Tu ne sors pas d'ici tant que vous êtes à l'abri, surveilles Maurice, je te laisse ma besace avec mes remèdes, je ne suis pas médicastre mais tu y trouveras l'essentiel. Puis aussi une gourde de calva. Surtout, Deedee, ne sors pas d'ici tant que tu n'y es pas obligée sinon je viens te botter le séant et je suis sérieuse....


Un sourire affectueux, le plus rassurant qu'elle puisse, puis la dieppoise saisit son épée lourde de souvenirs. Enfin, bouclier bien en main et la rage de vivre au ventre, la "Vieille" sortit bien déterminée à ramener Annah à sa famille c'est à dire son père et les Everlange.

- Roderic, pas un bruit, tu vas de ce côté, Brennus est sous la fenêtre avec Guert. Oui oui Guert ! Ne me regarde pas ainsi, tu n'as idée de la vivacité et l'ingéniosité d'une oie ! Prends garde à ta ventraille !


Mabelle transformée se dirigea à petits pas sur le champ de bataille songeant à son reclus "Aidez-moi ....j'ai besoin de vous maintenant plus que jamais..."
_________________
--Euberulf
Le grand bonhomme joyeux avait suivi, traversé les rangs, déchiqueté des têtes à grands renforts de sourires et de rires amusés. Chic chic, des imbéciles à tuer... Il ne comprenait pas du tout qui étaient ceux qui étaient en face. Il savait juste qu'ils étaient méchants, et qu'ils voulaient tuer la jolie et impétueuse rousse qui lui servait d'idole teintée d'amourachement.

Un, puis deux, puis trois puis quatre... Euberulf faisait un massacre, tranchant membres, bras et jambes comme s'il s'agissait simplement de beurre et de tartines.

Puis, sans qu'il ait compris quoi que ce soit, il était tombé. Une horrible douleur avait traversé son corps. Puis juste le froid... et puis plus rien. Sa tête avait roulé à terre, rejoignant celle de centaines d'autres. Morts pour la folie d'un homme, et d'une femme.
--Clodulf
Tous avaient chargé. Clodulf s'était tenu en retrait. Il savait ne pas être très utile dans une bataille rangée comme celle qui se déroulait sous ses yeux. Cinq flèches, c'est tout ce qu'il avait.

Il encocha la première, et chercha des yeux une cible. L'homme à l'étendard était bien trop loin, pourtant il le vit foncer sur son frère, et le tuer, sans autre forme de procès. La première pensée qu'il eut fut qu'il était enfin débarrassé de cet imbécile. La seconde fut un choc froid qui le fit se rendre compte qu'il lui manquerait.

Le sang réclamait le sang. Faire tomber un étendard était la meilleure méthode pour gagner une bataille. Faire tomber tous les étendards, tous les symboles de la victoire.

Il encocha une flèche, et banda son arc. Il était trop loin. Sur le champ de bataille, il aperçut un grand guerrier, armé d'un bouclier et d'une hache, qui faisait un carnage autour de lui. Dans les rangs de la fureur rousse, qui fondaient bien trop vite à son goût. Il visa, bloqua sa respiration...

Le temps sembla s'arrêter. Ses doigts lâchèrent la corde. La flèche s'envola, offrant une courbe parfaite, sifflant l'air... avant de transpercer le cou de l'homme, qui tomba.

Il ne restait que quatre flèches. Il décida de s'approcher, il devait abattre l'étendard. Tuer, tuer, tuer ! Venger. Un soldat qui l'avait repéré, et qui s'approchait subit le même sort que le premier. Quelques pas, et il serait à portée. Trois flèches. Il encocha une nouvelle flèche. Visa, et attendit...

Secondes qui s'écoulent. Bruit assourdissant d'épées qui s'entrechoquent, de boucliers, de métal, de cris des blessés et de plaintes des mourants. La vengeance. Le sang réclamait le sang.

La flèche s'envola. La courbe était parfaite... Le vent changea.
--Jeannaigrosurlapatate
Boucherie c'était le mot, entre empallage et tête qui roulent, le jeune jean avait vu nombre d'amis tomber.
Trop, bien trop, cela en devenait incroyable.

Il était dur de comprendre la cruauté qui leur faisait face, des bêtes, bien pire encore, jean tentait de parer des coups de droites et de gauches, le sang qui coulait de son bras droit montrait qu'il avait été touché, par qui? par quoi?

celui sur son visage ne devait même pas lui appartenir, tantôt à genoux, tantôt debout, il avait aperçu celui qu'ils surnommaient tous le jeune fou.
au galop et bien vite à terre, à son dos le capitaine, même lui avait prêté main forte, incroyable.

Jean était debout, Mortain avait le sur nombre, les mécréants la rage.

Il voyait bien cette déesse rousse qui debout sur son fidèle, piétinait les corps .

Jean était épuisé, apeuré, ne savais plus trop que faire, se battre et survivre; être parmi les derniers.
Pitt.bull
Dos à Casmir, large protection rassurante, le sang coulait le long de la garde de son épée, poisseux, chaud.

Pitt avançait, parait, redonnait, on n'entendait plus que des cris, et des bruits de fers.

Comment sentir la douleur, comment tenir,il la cherchait du regard et hurlait


ANNNAHHHHHHHHHHHHHHHHHH

Nombre de fois il trébucha sur des corps sans vie, nombre de fois il sentit des mains agripper ses bottes, tantôt main de Mortain en souffrance, tantôt mains de voleurs souffrantes qu'il abrégea d'un coup de fer.

Pitt avançait, son but était la devant lui, la rousse droite sur son destrier, il était à quelques pas, la fixait , retirant à peine son attention que pour parer des coups, de la dextre ou du senestre.

Enseignement si rudimentaire mais pourtant au combien efficace, il la voyait qui se délectait des os qui craquaient sous le poids de son cheval.

Elle était la haute , avantagée, pitt chargea, casmir pas bien loin, il croisa le fer avec elle, tournant autour de son cheval, solution bien difficile, issue quasi certain, elle était là, debout tapait de toute ses forces la lame de pitt, cette lame qui sous chaque coups, se rabaissait sous le choc.

Pitt parant ainsi les coups fatiguait, il devait réagir, il fallait qu'il tente, qu'il essaie, quoi faire comment??

il para encore et encore sans jamais être inquiétant, lorsque le capitaine lui hurla


Citation:
le bourrinnnnnnnnnnn


Oui en effet le cheval, naseaux fumant, sabot menaçant , habillement sa cavalière le faisait tournoyer au grès des attaques, dextre senestre, senestre dextre; impossible d'atteindre la rouquine.

Pitt compris alors, il recula, baissa les bras le long de son flanc droit, épée à l'horizontale, pointe vers l'arrière, le pieds dextre perpendiculaire a celui en avant , pitt fixait la cavalière, tantôt les jambes de l'animal, puis il se jeta en avant, habile roulade entre les membres de l'animal, il trancha net les deux tendons avant de l'animal, entaillant les chaires jusqu'à l'os, puis se rétablissant il se retourna prestamment et fouilla les flancs du cheval de la pointe de son épée, l'enfonça jusqu'a la garde, il sentit le sang chaud bouillonnant .
il recula, libérant l'animal de son pique de fer, le regarda s'écrouler, désarçonnant sa cavalière.

Il tenta au passage de toucher , le vérolé non loin d'elle, puis il leva son épée et partit droit devant sur le diable roux, sur cette femme sans vertu sans vie sans honneur,il fonça épée levée, et l'abattit , qu'elle pare le coup ou non, ils allaient en découdre tous deux

_________________
Mabelle
Ses yeux exorbités reflétaient l'épouvante dressée face à elle. Des têtes roulaient, des cris de douleurs insupportables giflaient ses oreilles, le sang giclait tels des jets volcaniques au milieu du cadre champêtre estival à présent semblable aux plus sombres ténèbres.
Le cœur de Mabelle ébranlé martelait sa poitrine à lui faire atrocement mal.
Puis la rage.
Une colère sourde, profonde, issue de loin, très loin au fond de ses entrailles, s'empara de tout son être. Elle observait la scène, reconnut les hommes d'Alcalnn lorsque son regard s'arrêta : Pitt était là rugissant sur une forme rousse terrifiante.


Pitt.bull a écrit:
ANNNAHHHHHHHHHHHHHHHHHH



Des larmes de haine emplirent les yeux de Mabelle, l'humain se confondait avec la réincarnation du Mal.

Pas le temps de philosopher ! Soudain, l''homme qui s'avançait devant elle ressemblait à une créature issue tout droit des histoires à faire peur que leur contait leur vieil oncle lorsque les Everlange étaient enfants.
Elles adoraient ça. Elles se blottissaient l'une contre l'autre pendues à la bouche du conteur au visage bon enfant, barbu et généreux. Et lorsqu'il élevait sa grosse voix imitant le monstre imaginaire, elles criaient puis riaient aux éclats prenant leurs jambes à leur cou, poursuivies par l'oncle farceur.

Sauf que cette fois il ne s'agissait point d'une fable. Il était là face à elle le monstre. Personne pour rire, elle était seule. Pas de sœurs, pas de cousines, pas d'oncle rieur.
Elle serrait son écu fermement, cette fureur qui s'emparait d'elle emportait toute la colère qui sommeillait depuis des semaines pour surgir brutalement sur cette bête malveillante au rire machiavélique qui se ruait sur elle.

Un cri de rage s'échappa de ses entrailles et Mabelle s'abattit sur lui avec une violence sortie de nulle part. Toute sa haine, toute sa colère se déversaient sur lui, son épée virevoltait sans effort emportée par sa foudre. La vie lui refusait l'amour au profit de la souffrance, la vie lui volait son essence, la vie se jouait d'elle, la vie la mettait à l'épreuve et c'est lui, ce sont eux qui paieraient pour tous ses maux enfouis et supportés depuis trop longtemps.

Le pantin tomba aussi vite qu'il s'était approché d'elle. Son écu accusa les coups manqués tandis que Mabelle frappait de tout son soûl les yeux toujours embués, guidée par sa colère contre la vie.

Sans se soucier de l'homme qui gisait à ses pieds, elle s'élança sur le champ de bataille, sous l'emprise d'une rage insoupçonnée...Elle frappait, enfonçait sa lame dans les chairs hideuses tandis que son corps ne sentait plus les plaies parsemées sur ses membres affaiblis.

Son regard qui cherchait Pitt chaque fois qu'elle se sentait défaillir, son cœur qui cognait contre sa missive précieusement camouflée dans son corsage, le frottement de son alliance sur la fusée qui irritait son annulaire, décuplaient sa volonté furieuse de se battre...Et elle se battait sans relâche la "mamie"...

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--_alpaide_



La bataille fait rage autours d'elle mais elle ne voit plus que lui.
Quel est il cet homme qui semble n'avoir qu'un seul but.....L'atteindre.....????

Elle ne saisit enfin que lorsqu'entre deux combats, il s'arrête et hurle :"ANNNAHHHHHHHHHHHHHHHHHH"

Serait il le père à qui la rançon a été demandée?
Ceci expliquerait la hargne qui semble l'habiter malgré sa blessure,le faisant avancer encore et encore dans sa direction....
Mais que croit il?
Piétaille il est devenu et devant cette amazone en furie que la tuerie a rendue aussi ivre de sang que ses comparses,il fera peu de poids.

Alpaïde ne faisait plus qu'un avec son destrier écumant.
Telle un centaure femelle au bras d'acier rougit du sang des malheureux qui osaient croiser son chemin,elle tenta d'abord de piétiner cet adversaire qui lui faisait front.

Dansant un pas de quadrille funeste,son cheval aux yeux fous suivait l'élan et la direction qu'elle lui donnait d'un seul mouvement de son corps nerveux.

Dix fois sa lame croisa celle de l'homme.....Dix fois leurs regards s'affrontèrent en même temps que leurs armes.
Le duel serait fatal à l'un deux et Alpaïde ne doutait pas de l'issue.....
Cette vermine était déjà exangue....Blessée......Quelle outrecuidance....Quelle folle ambition lui faisait-elle croire qu'il put la vaincre..Elle !!!

Et puis le cri retentit .......Avait il résonné avant ou pendant le choc?
Elle n'aurait su le dire tant ce fut rapide.
"Le bourrin...!!"

L'instant d'avant elle levait une fois encore son bras meurtrier......
L'instant suivant elle sentait son fidèle compagnon s'effondrer sous elle,la projetant au sol.


"Salaud!!!!!!!!"

Juste à temps elle a replié sa jambe gauche pour ne pas qu'elle reste coincée sous le poids de son destrier qui hennit de douleur ....L'homme est là....Pas le temps de jeter ne serait ce qu'un coup d'oeil vers l'animal.....
Prendre appui de la main droite qui n'a pas lâché la lame sur la selle.....
Se dégager ..Vite...Vite......
Se redresser pour faire face au moment où l'épée de son adversaire arrive sur elle....
Elle pare le coup mortel qu'il tentait de lui assenner .....
Gronde....Furieuse...Pour elle..Pour sa monture......
Celui qui partageait sa vie depuis des années...
C'est plus pour elle que tous les compagnons réunis......

Sa colère l'aveugle....
Debout face à lui elle ne veut entendre la bête qui tente de lutter dans ses derniers moments de vie....
Des deux mains elle empoigne la garde de son arme et la lève haut vers senestre pour la rabattre vers le col de ce misérable vermisseau....

"Meurs!!!!"
Pitt.bull
Elle s'était redressée, l'animal quand a lui agonisait, pitt fixa la rouquine, puis, d'un coup sec il mit un coup de grâce à l'animal.

Il sourit en la voyant rager , maigre aspect que ce sourire sanguinolant, il ne pensait plus, heureusement, il se serait dégouté.

Lui si tendre et si amoureux, là , blessé, éreinté, emplie de haine.

Il se remis a nouveau de garde


Citation:
"Meurs!!!!"


Il la voit qui lève son épée et l'abat, son cou le brule soudainement, eraflure ,il n'y prête qu'a peine attention, il est troublé par ce qu'il voit derrière la rousse , au loin, sortant de la ferme.

Mabelle,apparition? Mirage?, il ne comprend pas , il cherche un instant furtif la femme de son coeur, celle qui accompagnait Mabelle , bref passage humain, , il se baisse dans un réflex dément , la lame vient de tournoyer de nouveau .


Il avise Casmir , celui ci vient de tomber à terre, se relève.

Casmirrrr ma soeur, viteeee

Il n"avait pas fini sa phrase que déjà il posa le genou au sol, parant un coup de boutoir venant du ciel, le choc fût terrible, elle y mettait toute sa haine, semblant insensible a la fatigue, il avisa son genou, glissa sur le côté et vint viser sa rotule avec sa botte, elle plia, il mit un moulinet dans l'air elle para, une brute, une guerrière, il savait il avait compris, elle aimait le sang.

Les deux combattants se rétablirent tournèrent l'un en face de l'autre, elle en garde haute, lui au vertical, il la fixa, il cherchait de l'air, elle semblait marquer aussi la fatigue.


Je veux ma fille, ou est elle??? pourquoi elle???

_________________
--Jeannaigrosurlapatate
Jean fonçait droit devant , il avisa un homme, fin tireur, il était là en retrait , traître filou, il bandait et décochait, tuait à chaque coups.

La distance l'aidait , jean ramassa une seconde épée et couru vers le malin au passage, il poussa, acheva, il vit le capitaine pousser au sol, le gosse nobliaux qui se déchainait.

Cette bataille prenait une tournure des plus macabre, c'est dans ces moments que l'on regrettait la difficulté des entrainements de Mortain.

Le chat alcalnn avait réputation de dur, la preuve du bien fondé était là, dans ce champ

Nombre d'amis n'étaient plus, pas de doute, les chiens valaient bien une armée de bretagne.

Jean fit tournoyer son arme, se fraya un chemin

Il chercha la gamine du regard, était elle au moins vivante??

Combien verraient Mortain??

il fonça droit au levant, le tireur était là quelques pas encore, il leva ses deux épées en cisaille prêt à frapper ce maigre chien galeu....
--_l_



La guerrière esquisse un sourire devant les explications de la petite qui renifle en bombant le torse comme un jeune coq.
Les bras tendus vers la jeune Annah elle est soudain assaillie d'un flot de questions.
"Tudieu que c'est bavard un enfant ! " se dit- elle, mais en même temps ça la rassure sur la force de caractère de la petite.

Non, il m'a donné des pommes à manger, mais mamie Berthe elle me les fait manger que en tartes, et pis dis voir toi?
t'aimes ça les tartes ?

.. heu, oui quand je peux en manger.

Et t'as une mamie Berthe? et mon papa tu le connais? et tata mab?
Non pas de mamie Berthe. J'connais pas ton papa ni ta tante.

Dis t'habites ou madame? comment tu t'apelles?
Ou j'habite?.. ben ici et là, où je vais. Les gens m'appellent " L"... mais quand j'avais ton âge ben, mon nom était Adèle..
Ca lui fait tout drôle de ressortir ce nom après si longtemps, comme un linge d'enfant oublié dans une vieille malle.

t'as des amis ici? et un chien? tu as un chien?
Pas de chien non, ni d'amis. Ah si, mon cheval. Il est à l'abri quelque part en forêt.

moi ben un jour j'ai eu un crabe.. raymond qu'il s'appelait, tu connais Raymond? et judi, ben tu sais elle a un pinpin, tu as un pinpin toi?
La jeune femme sourit à l'enfant.
Ca m'aurait bien plu de connaître Raymond... Euh non j'ai pas de pinpin. " L" n'avait aucune idée de ce qu'était un pinpin .

Et soudain alors qu'enfin la gamine se décide à aller entre ses bras tendus, elle se serre tout contre elle avec une force presque désespérée.
La jeune femme se crispe un instant ne s'y attendant pas du tout.
Sentir ce petit corps fragile contre elle était une sensation bizarre et inconnue qui la désarçonna .
Instinctivement, elle berce l'enfant en fermant les yeux sous un élan de tendresse dont elle ne se serait pas cru capable.
Et son sourire est franc quand elle la regarde à nouveau en lui proposant de la nettoyer un peu.

beurk j'aime pas l'eau, pfffff , mais bon là, euhhhhh j'ai peur de sentir comme le Mossieur, tu vas faire comme tata mab avec papa?
tu vas me recoudre ma nécorchure là,

Moui.. surtout si en plus tu l'as mangé. " L" regarde la petite en arquant un sourcil, amusée, puis regarde son écorchure.
J'ai pas ce qui faut sur moi Chevalier Annah. On trouvera quelqu'un pour soigner ça.


Déposant la gamine les pieds sur le sol, elle se défait de son outre tenue en bandoulière et lui tend après l'avoir ouverte.
Bois déjà un peu. Puis se tourne vers l'origine des bruits qu'elle entend au loin et regarde la petite.
Va falloir y aller petite. Ecoute... t'es un chevalier.
Le plus jeune et le plus courageux que je connaisse mais là ou j' vais, tu peux pas m'accompagner...
du moins aussi loin. Je vais te déposer dans une ferme avec des gens qui te protégeront.

Elle observe la gamine, ses vêtements qui ressemblent plus à des oripeaux et lui fait lever les bras pour enlever sa chemise sale et déchirée par endroit .
Puis elle même se défait de son arc et son carquois d'archer.
ôte ensuite son pourpoint de cuir et sans façon enlève sa chemise de corps pour en habiller l'enfant.

Pas la bonne taille mais c'est mieux ... pis tu pueras moins, me suis lavée y a deux jours.

A même la peau elle se revêt de son vêtement de cuir, gainant son torse et ses hanches , remet en bandoulière son arc et son carquois d'archer
et soulève l'enfant pour la placer sur leur monture.
Songeusement " L" regarde la petite chemise qu'elle s'apprêtait à jeter puis sourit en coin en la glissant sous sa ceinture.
Prestement elle grimpe derrière Annah et guide le cheval au pas vers la fermette.
Plus elles se rapprochent, plus les bruits de combats s'amplifient.
D'un geste protecteur elle encercle le buste de la petite.

N'aies pas peur, j' laisserais personne te faire du mal.
Puis elle enlève son bras et sort lentement l'épée de son fourreau tout en avançant prudemment.
Arrivées à l'orée du bois et près de la ferme, les mâchoires crispées ,elle se rend compte de l'étendue des combats.
Des corps longent le sol qui se recouvre d'un tapis rougeâtre.
Ils en sont déjà au corps à corps.

Vite elle contourne la ferme pour découvrir avec surprise un chien et... une oie ?.. devant la fenêtre de la pièce où sont réfugiés les blessés.
Manquait plus qu'ça !!

Soulagée elle découvre enfin le gamin mais posté à l'extérieur de la ferme..
Qu'est- ce tu fous là petit ? Je t'avais demandé de surveiller et protéger les blessés? Pis c'est quoi ce chien et cette oie devant la fenêtre ?
Erf.. pas le temps d'attendre pour des explications.


Doucement elle soulève la gamine et lui colle fermement dans les bras.

Voici Annah, vous ferez connaissance. J'y tiens comme à la prunelle de mes yeux alors protège là gamin. Pis retourne dans la ferme !!

" L" se détourne pour partir mais arrête soudain son cheval en plongeant son regard dans celui de la petite.
Je reviendrais.... Au fait chevalier Annah, il faudra que tu m'expliques ce que c'est un pinpin.

Elle lui claque un clin d'oeil puis talonne sa monture vers les combats qui font rage, s'arrêtant juste avant pour descendre et prendre une lance abandonnée sur le sol.
Sur son visage l'esquisse d'un sourire narquois en imaginant la face des faquins qui découvriront son étendard et l'espoir que le père de la gamine est par là bas aussi.
Elle ôte presque avec délicatesse la petite chemise qu'elle accroche à la lance en étendard, marquant ainsi son appartenance de clan.
La lance bien calée dans la selle, elle arme déjà son arc d’une flèche et s’élance au galop en maintenant la pression de ses cuisses pour ne pas être désarçonnée.
L’oeil sûr et avisé, il lui est facile de faire la différence entre les brigands et le clan auprès de qui elle a choisit de se battre.
Par deux fois, elle fait le tour des combattants dont certains s’abattent sous sa volée de flèches meurtrières.
Puis son regard se fixe sur la silhouette de la rouquine, en duel avec un homme.
Ses paupières se plissent pendant que le coin de sa bouche se relève sous l’esquisse d’un sourire narquois.
l’Arc est remis en bandoulière. Sa main tient fermement la lance et tandis que les duellistes s’affrontent sans merci,
“L” vient la planter avec défi à leurs pieds avec le frêle étendard qui s’agite sous la brise, puis élève la voix.

ANNAH EST VIVANTE! EN SÉCURITÉ !

Sa main libre sort l'épée de son fourreau et la lève vers le ciel.

POUR ANNAH ET POUR LE SANG VERSÉ DES INNOCENTS !

Puis elle sourit en coin à la rousse.
J'vois que t'es occupée ... plus tard peut-être

"L" espère que le père de l'enfant est là quelque part et que cette nouvelle d'espoir lui donnera la force de continuer,
d'un geste de la tête elle salue le combattant de la rousse, puis charge épée en avant, harponnant , embrochant, tandis que sa lame aiguisée taille les chairs, coupe les jarrets avec sang froid.

Le corbeau vérolé est dans sa trajectoire, elle fonce sur lui.
Seul une crispation de sa mâchoire indique sa détermination à l'occire .
--Roderic


Roderic ne put s’empêcher de sourire malicieusement en voyant la réaction de la dame. Au moins, ça ! C’était fait. Elle avait réagit et bien comme il faut.
Les deux blessés avaient besoin d’aide, mais ils étaient plus ou moins en sécurité, par contre dehors, dehors c’était tout autre chose. C’était un vrai carnage ! Et s’ils n’allaient pas leur prêter mains forte ou au moins faire quelque chose, alors c’était la fin.

Satisfait, le gamin ne répondit pas à Mabelle mais se contenta de serrer son épée dans les mains et de se diriger vers la porte. S’il savait se servir de son épée, non, mais la rage au cœur il saurait se défendre. Il était prêt a tout.
Par contre…. Par contre le coup de l’oie….

Groumpf ! Il était garçon de ferme, les oies il connaissait et ce n’était vraiment pas leur place sur un champ de bataille


-Une oie… une oie, non mais n’importe quoi franchement… Y sont fou, y sont vraiment fou ! Pas de doute, je suis tombé chez des fous ! Maugréa le môme en se dirigeant tout de même derrière la ferme non sans jeter un dernier regard a l’infirmière tombé de nulle part qui se dirigeait droit vers la mort… La reverrait-il seulement un jour ?

Secouant la tête, restant sur ses gardes, le môme rasa les murs de la fermette pour en faire le tour et se positionna dos au mur de façon à observer sans être vu. La bonne planque en fin de compte, même si les bruits et les cris du champ de bataille lui remuait les tripes a chaque fois.
Il sentit un petit coup dans le mollet et se retourna vivement pour découvrir la fameuse oie. Pfff une oie ! Non mais qu’elle idée !


-He ho ! J’suis pas ton diner la bestiole ! Tu garde la maison comme le molosse la bas et tu me lâche les braies ! Sinon, j’m’arrange pour faire de toi ma souplette ! naméo… pff franchement… j’te jure. Morbleu ! Quelle idée ! Quel….

--_l_ a écrit:
Qu'est- ce tu fous là petit ? Je t'avais demandé de surveiller et protéger les blessés? Pis c'est quoi ce chien et cette oie devant la fenêtre ?
Erf.. pas le temps d'attendre pour des explications.


Hein ? quoi ? qui ? que ?
Non mais c’est pas un peu fini les surprises oui !
Voila que la guerrière qui l’avait aider la première fois faisait sa réapparition accompagner d’une petite demoiselle.


-Euh.. mais ! J’y suis pour rien moi ! Mais…

Et flute ! Pas l’temps de s’expliquer, la dame venait de lui coller la gamine dans les bras. Une oie, un chien, deux blessés et maintenant une fillette ! Vivement la fin de la journée. C’était de pire en pire…

-Ouais, ouais, j’y r’tourne !
Non mais j’suis v’nue pour me battre moi, pas pour jouer les garde malade et les garde d’enfant !
Marmonna-t-il en passant la gamine par la fenêtre pour re-rentrer dans la fermette.

-Vous les bestioles ! Montez la garde !
--Clodulf
Le champ de bataille est chaotique. De plus en plus de morts, des innombrables blessés, bien souvent achevés. Un soldat vient s'éloigner du gros des troupes. Clodulf l'aperçoit, qui se dirige droit sur lui. Il lit dans ses yeux... Il voyait le doute. La peur peut-être ? Alors qu'il s'avançait rapidement vers lui, le jeune homme banda une fois de plus son arc. Deux flèches. Un sourire sadique vint décorer son visage, alors qu'il décochait. Le trait vient se ficher dans le mollet de sa cible. Il peut presque ressentir sa douleur. Laissant là l'arc, et dégainant une paire de dagues affûtées comme des rasoirs, il se jette sur son adversaire.

D'aussi près, les épées sont reléguées à des poids inutiles, tandis que ses lames lacèrent sans pitié le visage et l'abdomen. Retrait de deux pas. Sourire diabolique.

C'est ici que s'achève ton chemin, l'étranger.

La dague est lancée d'un geste souple, et vient se planter au milieu du crâne. Ne reste de lui qu'un corps sans vie qui bascule. Clodulf vient récupérer la flèche, tirant dessus, déchirant le mollet, et sa dague est remise dans sa fourre, après l'avoir essuyée sur les vêtements du mourant.

Il regarde autour de lui. Bien peu des leurs sont encore debout. Reste surtout la belle rousse... Mais pour combien de temps encore ?

Deux flèches pour faire la différence... pour tourner la bataille, pour faire tomber la folie meurtrière de celle qui leur tourne autour, ses flèches faisant bien trop souvent mouche à son goût. Mais elle est une fois encore bien trop loin... Récupéré, l'arc, et viser, encore une fois... Un autre homme tombe. Un inconnu de plus. Un sang versé inutilement pour la cause mauvaise. Un sourire carnassier. Encore une et il pourrait disparaitre.
Deedee
La bataille faisait rage dans l’esprit de la Baronne qui ne perdait rien de la scène horrible qui se déroulait devant elle. Elle avait beau être allongé dans cette ferme, les yeux clos, son esprit était bel et bien au coté des soldats, là-bas, dehors.
Elle voyait Pitt désarçonné, faisant tournoyé son épée, et Casmir venu le rejoindre, elle entendait les os craquer, le sang s’écouler, et puis se fut un trou noir. Une odeur affreuse, une lumière pale et des voix. Des voix et des visages bien réel cette fois.
On s’agitait autour d’elle, on élevait la voix aussi, et Adeline faisait tout les efforts qu’elle pouvait pour garder les yeux ouvert et remettre ses idées en place. Ce qu’elle avait vu lui restait encore en mémoire.
Se pouvait-il que… Mais que pouvait-elle faire maintenant ?


Mabelle a écrit:
- Deedee, reste là tu m'entends ? Tu ne sors pas d'ici tant que vous êtes à l'abri, surveilles Maurice, je te laisse ma besace avec mes remèdes, je ne suis pas médicastre mais tu y trouveras l'essentiel. Puis aussi une gourde de calva. Surtout, Deedee, ne sors pas d'ici tant que tu n'y es pas obligée sinon je viens te botter le séant et je suis sérieuse....


La voix douce de Mabelle lui parvint aux oreilles, elle devina son sourire et répondit en fronçant les sourcils.
Le temps que ses paroles fasse leur cheminement, la jeune femme avait disparut suivit du petit homme. Dans le silence revenu de la maison, Adeline recouvra ses esprits petit à petit. Les yeux maintenant grands ouverts, la jeune femme posa une main sur sa blessure en grimaçant. Dans quel merdier elle s’était fourrée… Dans quel état elle s’était mise… Qu’est ce qu’elle avait voulu prouver au juste a jouer les soldats… La dernière fois qu’elle avait tenu une épée il s’était passé la même chose. Décidément.

Grommelant légèrement la jeune baronne se redressa non sans gémir sous la douleur, elle devait faire quelque chose, ne pas rester là inactive…
Si ce qu’elle avait vu durant sa semi conscience était vrai, alors son frère de cœur, son compagnon d’arme était en danger, alors Mabelle courrait droit vers la mort, et cela elle ne pouvait l’accepter.
Mais que pouvait-elle faire ?
Et Annah ? Si son père et ses hommes étaient pris par la bataille que faisait rage, pris dans le feu de l’action, comment la retrouveraient-ils ? Et où pouvait-elle être.

Adeline secoua la tête, trop de chose venait l’assaillir, trop de question, trop d’inquiétude, elle devait absolument bouger, sortir peut être, ou du moins essayer.
Maurice grogna a ses coté et la jeune femme se tourna vers lui. Il était bien amoché, et devait souffrir le martyr lui aussi.
Doucement, elle s’empara d’un des flacons de Mabelle et s’approcha de lui pour lui faire boire. Si elle ne pouvait plus se battre, elle pourrait au moins soigner ceux qui avaient besoin.

Et puis, un bruit se fit entendre a nouveau dans la fermette, suivit de suite de Roderic qui semblait fort mécontent tenant la main de ….


-Annah !


Pour une surprise, c’était une surprise. Pour une dénouement heureux, s’était un dénouement heureux. La petite ! Le chevalier de Brecey !
Adeline ne put s’empêcher de pousser un long soupire de soulagement et s’approcha tant bien que mal de l’enfant, déguenillé, sale et visiblement apeuré.


-Bonjour Chevalier Annah. Tu te rappelles de moi ? Je suis Deedee une amie de ton papa…. Vient petit chevalier, vient, c’est fini maintenant…
lui murmura-t-elle en lui ouvrant son bras valide pour qu’elle vienne s’y blottir.

Pour elle, le combat était fini, mais pour les autres dehors… Pour son père…


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Pitt.bull
les jambes étaient lourdes, les bras ressemblaient au granit breton,solides mais pesant tellement de livres.

A chaque coup d'épée, pitt encaissait, il tentait de tromper son adversaire, coriace, mais il commençait à sérieusement faiblir.

Sa poitrine le faisait souffrir, le sang perdu avait emmené avec lui nombre d'énergie, les chocs sur son arme résonnaient, la vue de Mabelle avait crée une inquiétude, ou était son nuage secret, ou donc était sa belle, elles étaient censées être ensemble.

Pitt esquiva un coup, il tourna sur lui même, tapa à l'aveugle, puis pivota encore, les deux combattants se toisaient.

Soudain, une cavalière arriva dans la mélée, haute sur son destrier, fière, l'allure guerrière, elle planta devant eux bannière et pieu, bien droit.

elle se mit à hurler


Citation:
ANNAH EST VIVANTE! EN SÉCURITÉ !


Quoi? comment? mais ou çà? le doute planait, mais qui était cette femme?
très vite le doute se dispersa au milieu des landes, il fixa son adversaire rousse, son visage se décomposait à la nouvelle, elle blêmissait, pas de doute , nanah leur avait échappée, fière De Brécey, cette petite décidément avait du caractère.

Parfois il se disait que sans liens de sang elle comptait bien ceux du coeur .

Il voyait en elle une rochane, combattante, dur façon de penser douce et maligne, une mabelle, forte de caractère et réfléchie.

Pitt en attrapa motivation, il releva ses bras,il fallait en finir


L'inconnue leva haut le bras au ciel

Citation:
POUR ANNAH ET POUR LE SANG VERSÉ DES INNOCENTS !


Oui pour les innocents, il planta ses jambes dans le sol, solides, prêt


Madame,il semble que vostre seul moyen de pression vous ai été retiré, ou vous sauvez vos chiens, ou vous mourrez, je rêve de vous voir hurler de douleur, mais priorité à ma fille, finissons en de la façon qui sera vostre, nombre de gens ont prouvés qu'ils iront jusqu'au bout, nombre m'ont prouvés qu'ils sauraient s'occuper de ma fille, vous ne m'impressionnez plus, chienne que vous êtes, alors par pitié, montrez enfin de quoi vous êtes capable...
Je me suis régalé sur cette muette qui ne ressemblait à rien, je me suis délecté avec ce gros empalé, quel plaisir pour vostre cheval, j'ai été généreux avec les corbeaux qui ont festoyés gratuitement, finirez vous en repas de volatile du malin ?


Pour sûre que cette fois cette foutue histoire allait finir, il imaginait déjà cette foutue rousse, les yeux vitreux en train de râler un ultime soupire
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--.annah.


Doux moments rassurant, convoyés par cette dame inconnue, surgi du soleil certainement.
Annah bût dans l'outre tendue, la jeune enfant sentait l'espoir et l'insouciance renaître en elle.

Elle avait répondue à nombre de questions, quiconque aurait assister à cela, aurait rit, mais elle s'était mise à la hauteur de la petite.


Citation:
Va falloir y aller petite. Ecoute... t'es un chevalier.
Le plus jeune et le plus courageux que je connaisse mais là ou j' vais, tu peux pas m'accompagner...
du moins aussi loin. Je vais te déposer dans une ferme avec des gens qui te protégeront.


Courte angoisse, des gens, qui?

Pourquoi madame? J'ai des petites jambes mais je peu aller loin moi, et pis avec ton cheval ben on va vite,pffff je veux pas que tu me laisses.

Annah se vit se faire dévêtir et la dame fit de même, elle ouvra des yeux de charrette, tradition familiale, puis sourit en voyant le cadeau

Citation:
Pas la bonne taille mais c'est mieux ... pis tu pueras moins, me suis lavée y a deux jours.


Ben si c'est la bonne taille, t'as les yeux sales madame, tu vois pas que je suis grande, papa me le dis "t'es une grande fille", de toute façon, les grands nous disent toujours ça....

Alors que le cheval prend la route, douce étreinte sécuritaire de la dame inconnue, Doutes, douleurs et appréhension envolés

Citation:
N'aies pas peur, j' laisserais personne te faire du mal.


Ben tes noreilles aussi elles sont sales madame, je t'ai dit que j'ai jamais peur moi , pfffff sombre mensonge innocent.
On lui cache les yeux, furtivement, un jeu peut être, elle est bien cette dame, plus tard Annah sera comme elle, puis elle les ouvres et rigole, tranchant avec la situation qui se passe à quelques pieds de là, elle entend des bruits d'armes des cris mais n'y prête aucune attention, elle voit là devant elle, elle rit


Citation:
Manquait plus qu'ça !!


Ouaisssssssss c'est ma copine Guert, c'est la noie à ma tata Mabelle, et pis lui c'est son chien, hihihihi, tata est là, tata est là, tata est là

Foutu innocence de gosse

Annah est déposée, confiée à un gamin tout sale,

Citation:
Je reviendrais.... Au fait chevalier Annah, il faudra que tu m'expliques ce que c'est un pinpin.


Petit coucou à la dame, rassurée, tata est là, loin de Dieppe mais tata est là et c'est sûre qu'elle sait ou est papa.
Bien sympa ce jeune garçon , il l'aida à entrer, la levant par la taille lui poussant les fesses, dès qu'elle pourra Annah lui dira on met pas sa main sur les fesses d'une damoiselle non mais ohhh,


oHHHH HISTTEEEEEEE

Citation:
-Bonjour Chevalier Annah. Tu te rappelles de moi ? Je suis Deedee une amie de ton papa…. Vient petit chevalier, vient, c’est fini maintenant…


Annah regarda dans la ferme, toute joyeuse, Papi maurice était là et la dame la baronne, la copine de papa.

Ben dis donc papi, t'as une drôle de tête, tu ressemble à tata mabelle quand tu es en colère; hihihihih..
t'as des bobos partout hihihihih,


Citation:
-Bonjour Chevalier Annah. Tu te rappelles de moi ? Je suis Deedee une amie de ton papa…. Vient petit chevalier, vient, c’est fini maintenant…


Annah regarda deedee, elle s'inclina, puis elle sauta dans les bras ouvert, sans prêter attention aux blessures, peu importe, elle était avec ses proches,

Oh que oui je me rappelle t'es la maman de Erwan, le pirate qui à peur des fantômes, même que il veut pas venir chasser les dragons avec judi et moi.

Dis tu me ramènes à papa, et toi papi quand est ce qu'on part??

Ben vous savez pas , ben y'a brennus dehors.
Tata est ou , elle fait des galettes?
Et ben y'a une dame qui m'a amené sur son beau cheval, regarde elle m'a donné une chemise, t'as vu suis grande, tu diras madame a mami Berthe que je suis une grande? on y va, il est ou papa? et les gens qui crient dehors c'est quoi?? des fantômes?? ils jouent à quoi?? Et si c'est un dragon ben moi j'ai pas peur...
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