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RP : Raul Volfoni, heureux gagnant d'une mise en procès

--L_agresseur
L'agresseur allait rompre l'engagement contre le garde lorsque soudain, ce dernier fut pris à parti par son supérieur qui commença à lui donner des coups d'épée pour une raison incompréhensible....
Le coup sur le "con casque" avait du perturber la perception du gradé. Il s’était relevé, avait ramassé son épée et venait lui prêter main forte. Parfait !
Il allait achever son propre soldat.
Toujours ça de moins à faire...
Fernand
C'était la pause et tout le monde avait besoin de détente.
C'est à cet instant qu'un coup lointain retentit au fond du bâtiment....

- Vous avez entendu?
- Je crois que ça venait de la porte....

D'abord pas très fort.... ensuite... pas mieux..... puis moins fort.....
Une pause..... et quelques coups timides mais poussifs suivirent....
On sentait que le coeur n'y était pas.....


Fernand beugla :
Récréation!!!!!!!!!!

Les cavaliers se massèrent dans l'entrée en hurlant pour attendre en trépignant....mais après une bonne minute, les coups de bélier contre la porte devenaient de plus en plus sporadiques....
Les gens commencèrent à s'impatienter et à protester....

- Ils vont pas y arriver, c'est sûr, dit quelqu'un en machônnant un pilon de volaille...

Fernand pesta, se redressa , jeta une main par dessus sa tête et grogna :

- Bon, que quelqu'un aille leur ouvrir, ça commence à être ridicule à la fin!!!!!

Ils attendirent un coup de plus, puis, juste avant que la porte ne soit à nouveau heurtée, ils l'ouvrirent en grand.
les hommes qui manipulaient le bélier trébuchèrent dans le vestibule et s'affalèrent en bout de course. Ils disparurent aussitôt passés par les armes.

Puis un mur d'épées et de haches se dressa contre les assaillants, un hurlement de joie meurtrière retentit et le combat commença.Vous savez, schkling! schklong! argh! oh non, mon moignon... tout ça...

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droit devant!
--Sam_le_cordonnier


Les six hommes arrivèrent devant la porte de derrière.
Ils déposèrent leur matériel et commencèrent à s'équiper


- Pourquoi as-tu pris six arbalètes, Bassi?
- Eh bien on est six, non?
- Oui, mais Tagadin aussi a pris Six arbalètes....
- Je me suis dit que ça pouvait être utile...
- Mais avions-nous vraiment besoin de prendre deux épées chacun?
- Eh quoi? Tu as deux mains, pas vrai?
- Certes.... Mais alors avec quoi allons-nous tenir les six hallebardes de Romuald, et les six boucliers de Monier. Pierre, pour une fois, je dois louer ta paresse....tu n'as rien pris sans quoi nous aurions surement douze casques à empiler sur nos têtes....
- Messieurs, je vous assure, je ne partage pas du tout ces façons de faire... Il ne faut s'encombrer que du strict nécessaire... Eh bien que fait-on maintenant....?
--Tagadin


Eh bien maintenant, on tient cette porte.... martela Tagadin en tapant dans le creux de sa main avec le poing
Il s'agenouilla et commença à charger les arbalètes.


- La petite porte hein???
- èhèhèhèhèh......
- Oh... ça va hein.....
- Dis, Tagadin, elle est vraiment secrète cette porte?
- Sur qu'elle l'est mon grand....
- alors pourquoi on l'a trouvée aussi vite?
- Ecoute, Monier, Tu te poses trop de questions, tiens prend donc une hallebarde et si tu vois quelqu'un, coupe le en deux....
- J'ai faim.....
- Oh, la ferme j'ai l'impression d'être dans l'armée.....
Sidonie114
Sidonie avait reçu un pigeon urgent parlant d'une prise du tribunal. Ne cherchant pas à comprendre le pourquoi du comment, la jeune femme fonça aux écuries pour seller Faran. Ce faisant, elle croisa une vingtaine de cavaliers à l'entrainement. Elle les réquisitionna aussitôt, envoya l'un d'entre eux quérir des renforts puis partit vers le tribunal sans plus attendre à la tête d'une jolie petite troupe. Elle mit pied à terre et s'engouffra dans la tente qu'elle supposait être le quartier de commandement. Elle se planta devant son époux.

Brigadier Sidonie, à vos ordres Major. Je suis venue dès que j'ai pu avec une vingtaine de cavaliers. D'autres devraient arriver incessamment. Quelles sont les consignes? Avisant la blessure à la jambe T'as déjà réussi à te faire blesser?? Ca va, rien de trop grave?
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Bernadotte
Bernadotte observa les manoeuvres commandées par les brigadiers Mac Fifou et Lord_dylan lorsqu'une voix familière l'interpella. Il regarda son épouse et lui rendit son salut: "Bienvenue ici... et bonne initiative pour les renforts. Ma blessure?? Non rien de méchant. Le Brigadier Mac l'a soignée, enfin pour le moment"

L'officier observa chaque mouvement de Dylan et de ses hommes... lorsqu'il vit que la situation tournait au vinaigre il bondit sur son destrier et parcourut les lignes au galop. Le Major hurla aux hommes d'armes, l'épée en l'air: "SOLDATS DU BA VOUS AVEZ PRETES SERMENT!!!! POUR NOTRE DUC NOUS VERSERONS NOTRE SANG!!!!!!"

Il se tourna vers Sidonie: "Amenez vos cavaliers et suivez moi." Puis se tournant vers les hommes d'armes: "CE QUE VOUS AVEZ DEVANT VOUS, CE NE SONT PAS DES HOMMES NI DES FEMMES, MAIS D'IGNOBLES VERMINES POURCEAUX SE VAUTRANT DANS LEUR FANGE. LE CORNU LUI MÊME AURAIT HONTE D'EUX DANS SON ENFER.... RENDONS LEUR SERVICE EN LES TUANT!!! POUR LE DUC, POUR CHRISTOS ET POUR NOTRE ROY!!!"

Le major entendit les voix des hommes s'élever et fit battre l'assaut au son des tambours de guerre. L'officier regardait le capitaine d'armes et dit: "Nous ouvriront la route avec les cavaliers et vous nous suivrez avec l'infanterie. Tuez les tous sur votre passage et soyez sans pitié car il n'en auront aucune..."

La cavalerie auvergnate était déjà présente et Bern se tourna vers elle en criant: "Soldats, Vous avez prêté serment.... Pour le BA" Le major lança Bucéphale au galop et fonça dans le tas de brigands, l'épée au clair.
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Giana
Sous la pluie de projectile et le bouclier ayant paré un grand nombre de ceux-ci, ils avaient pu entrer par la grande porte. L'épée bien en main et le bouclier plus que jamais utile, le corps d'armes livrait bataille dans l'enceinte du bâtiment sous les paroles du Brigadier.

Bloquant le coup du brigand en face d'elle, Giana pu d'un coup vif l'abattre avant de sentir une lame frôler son épaule droite. Esquivant, comme elle le pu, l'attaque de celui-ci, elle se retourna afin lui faire face et de lui ôter la vie. Au prises avec plusieurs brigand, la brune du faire preuve de beaucoup de souplesse pour éviter les coups que le bouclier ne parvenant plus à arrêter.

Après déjà quelques temps de combat acharné et plusieurs soldats à terre, Giana entendis
les bruits de sabot ainsi que les encouragements du Major qui indiquait que la cavalerie arrivait. La situation n'étant pas réellement favorable aux soldats, la cavalerie arrivait un bon moment.
Sidonie114
Au moment où Sidonie et Bernadotte sortaient de la tente, un nuage de poussière s'éleva au loin. Sidonie enfourcha Faran et talonna sa monture en lançant à Bernadotte:

Voilà les renforts Major, prenez le commandement de ces 20 là, moi je mènerai l'autre colonne. Enfin, sans vouloir vous commander

Sidonie vit avec plaisir arriver une bonne trentaine de cavaliers arborant les armes de la Coba. Elle reconnut certains soldats, d'autres non. Elle se porta au devant de la colonne et dit d'une voix forte.

Je suis le Brigadier Sidonie, de la garnison d'Aurillac. C'est moi qui vous ai fait mander. Le Major Bernadotte a déjà prit la tête des premiers cavaliers arrivés sur place. Vous, vous me suivez, l'objectif est de les prendre en tenaille, de ne laisser personne s'en sortir. On fonce dans le tas, on les empêche de charger nos fantassins et nos archers. Les ordres du Major sont clairs: pas de quartier! Il faut absolument les empêcher d'organiser une charge. Suis-je claire?

Les soldats répondirent d'un grand cri. La jeune femme, pour la première fois de sa carrière le commandement d'une escouade, prit sa respiration puis cria

Pour le BA, pour la Coba, Cavaliers ... Chargez!!!!!!
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Raulvolfoni
Nous en sommes à batifoler en retirant comme nous pouvons nos vêtements dans l'espace exigu du box que nous partageons, quand entre deux souffles je perçois l'argumentaire d'Emie.
Hé, intéressant ?
Pas mal même...
Sur le final, je sors discrètement la tête du drap qui nous couvre. Ouch, elle assure, la signora Emillane !
Puis vient la remarque de Fernand.
Vexant. Un peu, quand même. Ne pas intervenir serait... si peu volfonien...


Votre Horreur ! Suite à l'intervention de la défense, je souhaiterai répondre.
Petit sourire... Un peu brouillé quand je me rends compte que je me dresse, chemise largement ouverte et tombante, et que je dois avoir un jupon sur le crâne... Heu, à qui appartient-il, celui-là ? Ha, Rose, je le reconnais... Bah, chacun ses tromphés, hein ?
C'est quoi, ces bruits idiots, derrière, qui perturbent ?


Votre Horreur !
Je ne retire rien de ce que j'ai dit, ni sur la perfidie de la défense, ni l'admiration que j'éprouve pour sa plastique ! Néanmoins...
Une seconde, une seconde, le ragazze, j'arrive, j'arrive ! Hein ? Mais non, je ne la préfère pas à toi, voyons. Non, à toi non plus, à aucune de vous, ce n'est pas la question... Simple hommage, voyons, c'est de bon ton dans ce genre de disputatio, voyons... Hein ? Oui, heu, je comprends, mais attendez-moi quand même ? Non ? Vous êtes dures, les filles, vous êtes dures... Je, je me dépêche, j'arrive, oui...
Néanmoins, disais-je avant d'être interrompu par, par une, par un objet de convoitises, il me reste à rendre les armes. Si fait !
La défense a raison, et il me faut en tenir compte !
Regard un peu gêné vers le bas : Heu, les filles, déjà que vous ne m'attendez pas, si en plus, vous me sollicitez sans tenir compte de ma position ? Non, pas celle-là, rhô... On ne va jamais y arriver, enfin...Deux minutes, je vous dit, deux minutes...
Il, il faut en tenir compte, disais-je !
Et donc, face au choix qui nous est laissé, je ne vois qu'une réponse possible !
Mais comment voulez-vous être concentré et improviser avec brio quand vous êtes ainsi sollicité si impérieusement ! Et puis, ces bruits contre la grand porte, en bas ? Qu'est-ce que ? Ah ben, pourquoi demander quand ça vient tout seul ?

Une courbe délicate et chaude. Sensuelle. Un instant d'éternité et de plénitude. Une sorte de perfection*.
Qui part de loin et arrive droit dans la salle par la fenêtre de gauche.
Une flèche enflammée.
Seule.
Ça doit être une erreur de tir, mais ça ne change pas grand chose....

Ah oui, tiens, le bruit, ça y est, j'y suis ! C'est celui d'un bélier contre la porte d'entrée du palais de justice, tout simplement...
Tout ça se complète bien, tiens ?


Les filles ? C'est terminé, y'a plus urgent !!!!
Votre Horreur ?! Je propose de brûler en grande pompe le palais de justice, témoin affligeant de la prétention à la souveraineté de ce duché face à la quasi-parfaite liberté, signe de la tribu de l'Her..., heu, non, de l'Hydre !
Et je ne suis pas le seul à le penser :
Fernand a écrit:
Récréation!!!!!!!!!!

* Oui, j'aime bien les lieux communs, pourquoi ?
Fernand
Le bâtiment du tribunal offrait une place facile à tenir. L'affrontement ne pouvait guère se mener que devant la porte où quelques cavaliers de l'hydre disposés coude à coude bloquaient farouchement le passage. Les assaillants ne pouvaient se déployer en largeur ou contourner les défenseurs. Ils se gênaient plus qu'autre chose...

- Charge de cavalerie!!!!
- Voilà autre chose.... ils sont pas bien décidément... à quoi ça peut bien leur servir? on est pas dans la pampa, quand même....
- Ils croient peut-être qu'ils vont nous en remontrer en matière de bourrins....
- Dîtes, vous croyez qu'il y a vraiment autant de monde dans toute l'Auvergne???
- Chais pas... y a qu'à les tuer d'abord, on les comptera après!Ce sera plus facile rapport au fait qu'ils bougeront moins....


Rires gras dans la foule.... Fernand se gratta le menton....

- Bon, amenez les bancs de la salle d'audience! Deux lignes de hallebardes au troisième rang, vous savez quoi faire Tenez-vous prêts! ...J'oublie quelque chose... mais quoi...

A sa gauche un défenseur reçut une flèche dans la gorge et tomba raide mort.

- Ah, oui! Merci! Et dîtes à Robur d'envoyer! et à Machette de se préparer
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droit devant!
Exquise
Exquise était restée silencieuse depuis qu'elle avait vu son mari se rendre aux brigands. Mais qu'est qui avait bien pu lui passer par la tête, surtout en ce moment. Puis lors ordres durent donné, elle sortit de sa torpeur et retrouva Gaïa. Exquise se mit en selle et se joignit au groupe du major Bernadotte et monta à l'assaut.
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Bernadotte
Le Major menait la charge lorsqu'il apperçut les hallebardes luisantes des membres l'Hydre.. Il donna un violent coup de bride à Bucéphale et hurla à ses troupes:

"PIEDS A TERRE SOLDATS!!!!! PRENEZ LES LANCES!!!!!" Bernadotte joignit le geste à la parole, brandit sa lance et chargea à pied et fut bientôt imités par ses soldats. "FORMEZ LA LIGNE SUR TROIS RANGEES!!!!! TAMBOUR BATTEZ LA CADENCE ON Y VA!!!!!" Revirement brutal de stratégie, le Major avançait avec une troupe de 50 soldats et défia les forces de l'Hydre
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--L_enclume


Ça le mettait hors de lui.

-Han ! Cerveau, cerveau, muscle !


L’enclume se frappa les biceps l’un après l’autre puis le crâne avec sa pogne. Comme il raisonnait assez simplement, personne ne sut si c’était pour lui ou pour ceux qui venaient de faire irruption dans la salle du tribunal. Pour une fois qu’il pouvait avoir les filles, la bouffe et l’alcool à volonté, les trois en même temps, il avait fallu qu’un groupe importun entre pour perturber la fête.
Un problème. Une solution. Raisonnement simple.
On ne voulait pas d’eux, on allait les mettre dehors.
L’enclume se leva du bout de son banc, et comme il faisait contre poids, le banc se souleva brusquement. Il attrapa l’extrémité et accentua la pente pour que l'abruti déjà bien imbibé de l’autre bout glisse par terre et libère le banc.
Ainsi, l’Enclume délogea les quelques spectateurs encore assis et apporta tous les bancs à l’entrée de la salle, juste devant la porte.
Fernand
Douze cavaliers munis de hallebardes vinrent se camper en position et attendirent le signal.
- ça alors, Patron, regardez, on dirait qu'ils sont devins, ils ont changé de tactique!
- Oui, oui... et il y a plus de choses dans le ciel et sur la terre, Horatio, que n'en rêve ta philosophie * .
- Mais moi, j' m' apelle boris, m'sieur.
- J' l'aurais su si je t'avais mieux regardé... De toute façon, C'est encore plus facile! En place!!!!!



Menés par un gars solide , la tortue en kit arriva enfin.

- C'est bien beau, mais si on les casse, sur quoi on va s'asseoir après, hein?
- Tâche de le garder et le problème ne se posera pas, voilà tout.

Lorsque les bancs anti-émeute furent amenés, le sergent La Fouine siffla entre ses doigts pas très propres vu qu'il venait de se soulager dans un seau et l'Hydre rompit le contact avec une soudaineté effrayante.
Tous reculèrent de quelques pas et vinrent se réfugier à l'abri des bancs brandis qui se refermèrent en tortue d'où ne dépassait plus que les pointes des lances.


Horizontales, les lances!!! et on pousse!!!! Jetez-moi ça dehors!

*( Shakespeare )
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droit devant!
--Le_sergent_la_fouine
Une grande clameur retentit marquant l'effort.
Le sergent resta en retrait pour regarder la mêlée de cavaliers qui en rangs serrés dégageaient toute la largeur du le couloir en plantant, piétinant, assommant écrasant tout sur leur passage.
Tous ceux qui passaient vivant par dessous le barrage de chêne mobile étaient prestement égorgés par les finisseurs.

La poussée fut brutale et les assaillants furent rejetés jusqu'à la porte comme une bonne grosse commission qui ne peut plus attendre...Le sergent beugla :


PORTIERS!!!! MAINTENANT!!!!!!!!

Quelques coups de lance finirent de dégager la porte, le barrage recula prestement et des hommes disposés de chaque côté refermèrent la porte avec un claquement sépulcral.

BLAM!!!!
mmmerrrdeuuuuhhh mon neeezzzzz!!!!!
- Désolé!!!
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