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[RP] Le chemin obscure procurant la vissitude.

Melyanna
je fonçais droit vers l'étranger une lame dans chaque main me laissant guider par ma
rage et ma soif de vengeance, je vis du coin de l'oeil Ezio réussir a se relever pas sans
difficulté et titubant violemment, je ne comprenais pas se qu'il faisait je le voyais partir
dans la direction que j'avais dit a Ixia de suivre quelques instant plus tôt.
Ezio m'abandonnait voila la seul chose qui me venait a l'esprit il fuyait me laissant la
face au brigand malgré tout quelque chose se brisa en moi et je sus que je ne resterais
pas a Espalion avec eux j'y resterais certes quelques jours car ils m'avaient invité
mais je ne m'y attarderais pas au moins j'étais fixée et c'est ainsi que je fut distraite.
Je ne cessais de me demander pourquoi il m'abandonnait alors qu'il m'avait
promis le contraire je le croyais mon ami, j'avais moi aussi promis de les protéger
lui et Ixia et c'était pour cela que j'avais d'abord foncer faire la fillette pour l'envoyer
se mettre en sécurité et c'est pour la même raison que malgré qu'Ezio me plantait la
pour sauver sa peau je ne baissais toujours pas les bras et c'est avec la colère de me
retrouvé encore abandonnée en plus de la rage que je fonçait déterminée vers le
brigand qui se trouvait encore a quelques pas devant moi.
Mais le geste de mon ami m'avait plus blessée que je ne l'aurais cru et je ne vit pas
la lame de l'étranger plonger vers moi et je ne la remarqua que lorsque mon capuchon
tomba, lui dévoilant mon visage, et que cette même lame dans la continuité de son
geste entailla ma chaire au niveau de mon bras mais ce n'est pas mon cri que l'on
entendit mais celui de la fillette je me stoppait sous l'effet de la surprise combinée
d'entendre ma protégée hurler et de sentir un liquide chaud couler le long de mon bras
tachant le blanc immaculé de la neige goutte après goutte.
Que se passait-il la-bas? pourquoi criait-elle? Et Ezio est il avec elle?
Toutes sorte de question me tourmentaient je grognais sous la douleur qui traversait
mon bras et je portais mon regard dans les yeux de l'inconnu sans vraiment le voir.
Je ne voyais plus, je n'entendais plus non plus en faites je n'étais plus vraiment
consciente de es geste je le fixais toujours quand je commença l'assaut balançant ma lame
de mon bras non blessé dans sa direction....

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bannière et avatar fait par moi-même.
Ixia
La mioche hurle toujours.. la colère et la blessure d'être abandonnée encore une fois est insoutenable, elle se sent soulevé par quelqu'un.. Qui? elle ne sait pas elle hurle toujours fort, bien que sa voix se brise à force.. Son regard est obligé de se poser sur cette personne, il lui cache sa maman.. bien qu'elle soit plus là... Elle voit que c'est Ezio.. il la rassure, elle entend.. Oui elle entend... mais ne veux pas vraiment entendre au fond.. Elle veux rester là.. elle veux mourir, elle veux la rejoindre même si elle veux pas.. Elle voudrais hurler à Ezio laisse moi.. lâche moiii, mais elle le voit blesser aussi.. et Melimélo l'est où??? Tout ça c'est de sa faute, uniquement de sa faute..

Oui c'était de sa faute à elle, elle avais fait des pieds et des mains pour aller chercher des fruits.. on lui avais dit non.. elle a rien écouter.. le poid de cette réalité lui tombe dessus.... C'est lourd à porter pour une si petite fille.. et si jamais mélimélo était morte? Nan ça elle s'en remettrait jamais... jamais...


Ezio court et la porte toujours, elle ne dis pas un mot.. elle reste bloqué dans ses pensées obscures, pis d'un coup elle l'aggrippe fort.. tellement fort.. Qu'elle doit bien lui faire mal à son bras!

Elle est où??? Faut la retrouver.. on retourne la bas.. je court.. pose moi!!!

Oui c'était devenu son obssession.. je souffre oui.. mais de la perdre.. ca sera pire... Oui pire.. je vais courir... Je vais le faire oui oui!!!! je peux le faire. Ezio ne voulait pas trop.. et elle avait compris la gamine, sauf qu'elle avait décidé hein, donc bouge.. il lâchera c'est sur!

Après de longues minutes.. il finit par céder, et la mioche court... Oui elle court, et surtout commence à faire la grimpette, parce qu'elle sait que c'était en haut, oui.. par là...

Par lààà, je suis sure c'est par là.... Faut qu'on aille l'aider... tu court plus vite.. va la rejoindre.. je vais y arriver toute seule.. c'est rpomis.. tu court plus vite que moi.. viteeeeeeeeeeeeeeee!!!!!!!!!!

La mioche n'avait plus peur de rien, finalement l'entrevue avec la mort.. c'était plus que formidable.. alors la peur de mourir était partie.. c'était presque un souhaits.. c'était presque une volonté!
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Serregill
Ma lame toucha la furie au bras, lui laissant une belle estafilade ensanglantée à travers la tunique. Je retire mon arme et me remet en garde. Quelques gouttes de sang perlent de la lame et tombent , souillant quelque peu la neige.

Son capuchon tombe en arrière au moment ou je retire mon arme et laisse apercevoir le visage d'une jeune fille, qui n'a pas plus de 18 ans.
Un très beau visage, mais marqué à vie par de profondes cicatrices qui se détachent nettement sur sa peau.
Ces balafres ne semblent pas accidentelles. On dirait qu'elles ont été tracées avec une précision perverse, dans le seul but de défigurer cette jeune fille.
Comment peut on être sadique à ce point...

La fille regarde sa blessure, comme étonnée. Du sang commence à couler le long de son bras. Je participe malgré moi, à continuer l'oeuvre qu'un inconnu à commencer sur son visage.
Je m'en voudrais si elle ne m'avait pas foncée dessus ainsi.

Un cri retentit dans la nuit. Plus qu'un cri, un hurlement. Un hurlement d'enfant. Je me rappelle de la petite silhouette qui a quitté la charrette au début des combats. Je devine maintenant qu'il s'agissait d'une petite fille.

L'assaut me surprend à ce moment. Je vois la jeune fille porter un coup avec le poignard de son bras gauche. Je me recule pour éviter le coup. Pas assez rapide. La lame me taillade l'épaule gauche, et fini par venir heurter le plastron en cuir que je porte sous mon manteau. La blessure ne doit pas être profonde, mais la douleur est décuplée par le froid mordant de la nuit.
Je grogne de douleur et lâche ma dague. Furieux par mon erreur, je donne un coup de poing dans la direction du visage de la jeune fille.
Melyanna
Pour ma plus grande surprise mon coup l'atteint a l'épaule gauche,
pas une blessure mortel mais assez pour faire perler le sang qui tombe dans la neige en goutte
à goutte la teintant rapidement de rouge.
Un sourire malsain étira mes lèvres a la vue de son sang couler, je repris confiance, même
si le cris d'Ixia me parvenait toujours faisant monter mon inquiétude et le désir de terminer se combats au plus vite pour aller sauver la fillette.
Car si elle crie ainsi c'est qu'elle est en danger et je ne me pardonnerais jamais de l'avoir
envoyée dans cette direction seul s'il lui arrivait malheur je m'en voudrais toute ma vie aussi misérable soit-elle.
j'ai alors levé mes yeux au ciel plongeant mon regard dans le vide céleste regardant les étoiles:


- Luna, mi hija, ayúdame a protegerla como me lo habría gustado hacer para ti...(²)

Je replongea mon regard dans celui de l'homme en face de moi ne remarquant
que la couleur de ceux-ci grâce a la lanterne toujours sur la charrette, j'imprimais en moi se
regard et trouvait malgré la situation qu'il avait de beau yeux vert mais je me reprit dans la
seconde et lui porta une nouvelle attaqumais celle-ci nu pas le temps de l'atteindre que déjà
je reçu un coup en pleine figure,
je m'écroulais dans la neige sous la force de son poing qui me sonna quelque peu et me fit
lâcher mes deux dagues que j'essaya aussitôt de récupérer a peine après avoir retrouvé mes
esprits je rampait a 4 patte dans la neige les cherchant a tâtons maudissant cette nuit sans
lune qui rendait les lames presque invisible dans la neige tachée de sang mais un poids
m'empêcha d'aller plus loin et je tenta alors de me retourner face a mon agresseur posant ma
main sur mon ventre ma cicatrice me tirant encore lors de certain mouvement et me mit a grogner de nouveau...






(²) Luna, ma fille, aides-moi à la protéger comme j'aurais aimé le faire pour toi
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Serregill
Mon poing toucha la jeune fille à la tempe, la faisant s'écrouler dans la neige dans un bruit étouffé.
Une douleur saisit ma main un court instant.
Les hurlements de la gamine continuent de résonner dans le vallon. Ils semblent se rapprocher. Reviendrait-elle vers nous? Aurait-elle trouver de l'aide? Ou est-ce l’écho qui donne cette impression?

La jeune fille, toujours à terre, a lâché ses armes. J'en aperçoit une, à quelques mètres d'elle, dans la neige, au pied de la charrette.
Soudainement, elle se met à ramper, d'abord à plat ventre puis, à 4 pattes dans la direction de son arme. Elle avance rapidement. Le manche est presque à porté de sa main.

Je ne peux pas faire autrement. Je cours après la fille, lève mon fauchon et donne un coup de taille, visant son dos, de haut en bas.
Carha
Les deux plus couards avaient fui, sans demander leur reste. Sans risquer la moindre égratignure, ils avaient jeté bagages et autres biens personnels à terre pour prendre leur jambe à leur cou, sans se retourner, hurlant ce qu’ils pouvaient et tremblant de peur au point de mouiller leurs braies.

L’azur clair de la culotte de l’homme avait viré au marine entre ses jambes, et Carha en avait ri de bon cœur, les mains sur les hanches, lui rappelant de courir plus vite pour ne pas prendre froid.
La dame en avait perdu son chapeau dans la neige. Il était rouge et ne plaisait pas à Carha, tant et si bien qu’elle le piétina faisant mine de poursuivre les deux tourtereaux.

Son rire s’arrêta aussi rapidement qu’il lui était venu lorsqu’elle remarqua que l’autre homme s’éloignait, cherchant sans doute à rejoindre cette enfant dont les cris stridents raisonnaient un peu plus loin.
De son œil sournois, elle guettait, suivant l’homme d’un pas de loup jusqu’à la pauvre petite brebis égarée et terrifiée, laissant Serregill s’occuper seule de leur compagne.

Tapi dans l’ombre, elle observa les retrouvailles de l’homme et de l’enfant, fronçant les sourcils et grimaçant de dégout devant cette émotion qui lui échappait complétement. Elle ne pourrait sans doute jamais comprendre.

Heureuse de voir ces mièvreries s’achever pour enfin reprendre ce qu’elle considérait comme le meilleur moment de cette soirée, elle s’écrasa dans la neige en voyant la gamine qui fonçait tête baissée dans sa direction.

Lorsque la gosse se trouva à peine d’un mètre à coté de Carha, cette dernière se redressa en ricanant, la dague à la main, pointant le visage innocent, et prête à le défigurer pour obtenir ce qu’elle était venu chercher.


Où tu vas comme ça chipette ? On t’a jamais dit d’pas sortir toute seule quand il faisait nuit ?


Relevant légèrement la tête, elle posa son regard sur l’homme qui suivait de près la gamine :


Doucement mon lapin, tout doux si tu veux la garder en vie. On va aller faire un p’tit tour vers ta copine là bas.
Melyanna
J'hurlais sous la pression soudaine qui m'avais saisi, il
me fallu un certain temps pour comprendre se qui se passait.
La lame avait transpercé ma cape et ma tunique, pour s'enfoncer dans ma chaire
provoquant une profonde entaille qui m'immobilisa au sol. La morsure du froid
m’empêcha de m’évanouir sous l'intensité de la douleur.
Je m’effondra dans la neige sentant le liquide chaud qui coulait contrastant avec le
froid de cette nuit d'hiver, sur le coup je ne pouvais plus bouger je n'avais plus de
volonté.
Ma respiration ralentit doucement, mes nerfs qui me permettaient de tenir ses
derniers temps, venaient de me lâcher. Je n'avais plus la force de me relever, durant
un court temps qui me sembla interminable. Je réussis tant bien que mal a me
retourner sur le dos la douleur me lançant violemment mais sachant pertinemment
que le froid de la neige stopperait le saignement et elle plongea son regard dans celui
de son assaillant un sourire au lèvre.
Les cris de la petite demoiselle avaient cessé et je sentis un soulagement me gagner
me disant que tout compte fait Ezio avait eu raison de m'abandonner il avait du
rejoindre Ixia, et maintenant ils devaient être en sécurité...
Je soupirais doucement le regardant toujours malgré la pénombre, ses yeux traduisaient
qu'il n'avais pas l'habitude de faire du mal par plaisir.
Je le défiais du regard l'obligeant a voir se dont il était coupable puis mes yeux finirent
pas se fermer doucement.
Un lourd voile noir commençait a recouvrir mes yeux, se qui me fit sombrer dans un
semi sommeil d'ou je percevais toujours les bruits alentour...

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Serregill
La lame de mon arme déchira aisément la cape, la tunique et la chaire de la jeune fille, traçant un long et profond sillon rouge écarlate dans son dos.
Elle s’effondra dans la neige, la main reposant sur la dague qu'elle avait presque attrapée.
Elle se retourne, s’allongeant sur le dos. Ses yeux captent mon regard et elle me dévisage, un faible sourire se dessinant sur ses lèvres.
Je soutient son regard quelques secondes, jusqu'à ce que ses yeux commencent à se fermer, doucement. Sa tête s'affaisse sur le coté. Elle à l'air évanouie.

Je m'approche d'elle et m'agenouille à ses coté. Sa poitrine bouge encore au rythme de ses respirations. Au moins, elle n'est pas morte. Pas encore.
Je détache le col de sa cape. Trois pendentifs pendent à son cou. Le premier est sans valeur, une simple rose en tissu qui devait aider à cacher une de ses cicatrices. Quand aux deux autres, l'un était composé de perles formant une demi lune, l'autre est en acier, avec de petites pierres rouges, peut être des rubis. Ceux là devraient pouvoir être vendus. Je les détache et les fourre dans une poche, tout comme la bourse de la jeune femme.

Ce n'est qu'à ce moment là que je remarque l'absence de Carha. Je me relève et ramasse ma dague, laissée tombé suite au coup de la jeune fille.

J'avance doucement, dans la pénombre. Plus aucun bruit, l'enfant à arrêter de hurler. Les deux autre voyageurs ne sont plus là, ils se sont probablement enfuis.

Je rattrape ma monture, ramassant mon arbalète au passage. Je remonte en selle et décide de longer la pente assez raide, non loin de la route.
C'est par là que l'enfant et l'homme ce sont enfuis, et, connaissant mon amie, il y a de grande chance pour qu'elle se soit lancée à leur poursuite...
Ixia
Ixia grimpait toujours, la douleur était toujours présente, cela lui arrachait quelques larmes qui lui restait encore... Mais la volonté est plus forte que cette souffrance que physique. les images de la mioche dans sa gaboche ne cessait, et cette douleur là.. était atroce...

Une ombre soudain se plante en face d'elle, elle lui parle.. La colère, la haine monte dans son esprit, son âme, et son corps n'obeit plus qu'à ses deux vieilles copines pourtant éloignées ces quelques temps. Oui elle était ptite, mais avait déjà bien souffert.. trop.. bien trop. Elle voit la dague, mais elle n'a pas peur cette fois ci, oh que non, pour deux raisons, la première étant que le fait de mourir serait beau et elle serait à nouveau avec sa maman, la deuxième raison était qu'elle avait eu une dague de Lestat. Il lui avait donné en lui disant qu'elle était magique. Alors les dagues n'étaient pas quelque chose qui lui faisait peur, mais plutôt la fascinait la mioche.

Son regard ne lâchait pas cette donà, une vilaine toute pas belle. Oh elle avait un sourire remplit de quelque chose de sans coeur, sans émotions ou seule la cruauté existait. La gamine lui fait un joli sourire bien moqueur, bien sadique finalement, car en cet instant... C'était bel et bien la méchanceté qui emplissait son petit corps.


Bah dis donc.. ta vie doit être bien plate et sans intérêt... ça se voit dans ton visage moche!

La gosse ne lâche pas le regard de celle-ci, la dague elle s'en foutait complet, et elle met la main dans les poches de son manteau de peaux de mouton, elle fouille de ses petits doigts parmis ses trésors de mioche... Elle avait décidé de faire une collection de petits cailloux, de toutes les couleurs, de toutes les tailles... Bon là elle n'en avais pas certes.. c'était bien dommage.. Seulement.. les cailloux sont remplit de terre qui seche, qui s'effrite et qui reste bien au fond des poches.
Sa main en pris donc une belle poignée, certes petite puisque sa main l'est n'oublions pas... Elle ressort sa main, toujours en souriant à la donà, d'un air bien mesquin, remplit de pitié. Oui la gosse avait pitié pour elle. Puis quelques mots sortent, d'une intonation qui montrait bien ses sentiments profond de haine, à cause d'eux elle venait de perdre une seconde sa maman...


Je te hais!!!

Elle lui balance la terre bien sèche au visage, en visant bien les yeux, pour ça elle était douée, avec le bel entrainement avec les boules de neige, puis elle se met à genoux, et rampe pour aller lui mordre le mollet de toute ses forces. Elle avait des dents assez bien pointues, comme toutes les petites fille de son âge. La mioche était vive, et rapide, mais assez contre la brigande sans coeur qui pensait qu'à leur faire du mal?
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Ezio
Ma tête et mon visage me font mal. Je grimace, en courant à allure réduite. J'ai mal, mais c'est signe que je suis toujours en vie. Je le vois comme ça...
Je suis Ixia. Elle a encore la force de courir. Tant mieux.
Je suis les petits pas dans la neige. Elle est déjà un peu plus loin que moi. C'est ce que je crois... Quand tout à coup...


Carha a écrit:
Doucement mon lapin, tout doux si tu veux la garder en vie. On va aller faire un p’tit tour vers ta copine là bas.


Je soupire. Pas encore une fois... Elle était là, dans mes bras, il y a quelques secondes. Pourquoi l'ai-je lâchée? Encore une erreur. J'aurais du la garder dans mes bras, l'empêcher de partir.
Je regarde la femme. La fusille du regard. Elle ne me fait pas peur. Et c'est bien la première fois qu'une femme me menace. D'habitude, elles sont à mes pieds. Cela dit, je tente le tout pour le tout. Ce n'est qu'une femme après tout. Les femmes aiment les beaux hommes...

- "Va bene..." Dis-je en m'approchant doucement d'elle... "Beauté... Relâche la p'tite, et tu auras ce que tu veux..." Je lui fais un clin d'oeil, lui souriant, restant sur mes gardes.
- "Que veux-tu? De l'argent? Notre argent? Nos affaires?" Je fais non de la tête. Persuadé que ce n'est pas ce qu'elle veut. "Tu es une professionnelle. De l'argent, tu en as assez... Tu dors dessus, j'en suis certain..."
Je vise et lui montre l'horizon plus loin, du regard. Pensant, plutôt, espérant, que Mely combat l'homme avec plus de facilité que moi... Sans me douter une seconde qu'elle est inanimée là, à même le sol neigeux.
- "Que fais-tu avec un homme pareil? Relâche la petite, viens avec nous, contre l'homme qui t'accompagne... Tu ne le regretteras pas, si tu vois ce que je veux dire... Hmm?"

Je souris malgré moi. Je ne peux, à cet instant, m'empêcher de penser à ma Leonne. Si elle savait que je tente de séduire une autre femme... Elle m'en voudrait. Mais c'est pour le bien de la petite Ixia que je le fais. Il n'y a pas d'autre solution... Aucune dame ne peut résister à mon charme, et je le sais.
Je n'ai plus mon épée... J'ai toujours ma dague, mais trop risqué de s'en servir alors qu'elle tient Ixia en otage... Il ne me reste que ma dernière arme: Mon charme Florentin...

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Ma narration se fait à la première personne, en noir italique.
Mes paroles sont en rouge foncé, définies entre - "x" et en italique.
Carha
Une gamine qui s’acharnait sur sa cuisse et un italien qui lui faisait les yeux doux…..un tableau presque risible, inattendu, pour ne pas dire ridicule.

Bien que le gars en question soit des plus charmants, l’heure n’étaient pas au batifolage, et le plus urgent était de se débarrasser de la mioche qui finirait par y laisser quelques crocs. Le cuir du bottillon de la blonde en souffrirait et cette dernière n’avait pas envie d’en changer.

Un sourire se dessina au coin de ses lèvres, et Carha sentait ses zygomatiques remonter jusqu’aux oreilles. Un éclat de rire sincère et déconcertant éclata dans le silence de cette nuit sans fin.


Bello mio, voyons, ca ne marchera pas avec moi. Je ne suis pas de celles qui finiraient dans ta couche sur un simple sourire. Mais par contre…..

La tête inclinée sur le côté, un brin détachée de ce qui se passait à ses pieds, elle pouffa de rire en attrapant la gamine par les cheveux pour venir poser la pointe de sa lame sur sa gorge.

Par contre…..tout le reste m’intéresse en effet.


Elle le détailla de la tête aux pieds, souriant de plus belle en voyant l’espiègle qui gesticulait pour se dégager, battant l’air de ses pieds, griffant et pinçant tout ce qu’elle pouvait attraper de ses petites mains.

Légèrement agacée par les jérémiades sans fin d’Ixia, elle la calma d’un revers de main, l’assommant presque, tant et si bien qu’elle dû la trainer dans la neige en indiquant au Don Juan d’un hochement de tête de passer devant afin de rejoindre la charrette.


On y va, avance !
Ezio
Je la regarde... Elle a dit Bello mio? Serait-elle Florentine Vénitienne? Romaine? Mon regard reste dans le vague, quelques instants. Je tente le tout pour le tout. A entendre sa façon de parler, de toute évidence, nous sommes compatriotes. Elle et moi venons du même coin... Je tente le tout pour le tout, lui répond en italien. Peut-être arriverais-je à la convaincre de la sorte... Je l'interrompt, lui dit:

- "Aspetta... Parli italiano? Di dove sei? Firenze? Venezia? Roma? Vivo a Firenze... Ti prego di rilasciare la mia bambina... Lei è tutta la mia vita... Ti prego... Siamo compatriote..." (1)

Je la regarde... Loin de pouvoir rivaliser avec elle, qui tient Ixia en otage... Je n'ai plus d'autre choix...



Citation:
(1): Attends... Tu parles italien? D'où es-tu? Florence? Venise? Rome? Je vis à Florence... Je te supplie de relâcher ma petite fille... Elle est toute ma vie... Je t'en prie... Nous sommes compatriotes...

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Ma narration se fait à la première personne, en noir italique.
Mes paroles sont en rouge foncé, définies entre - "x" et en italique.
Ixia
En effet la mioche était emplit de haine et de violence, tout y passait, pis en plus elle la choppe par les cheveux.. dédiou que ça fait mal.. pis elle a horreur qu'on touche à ses cheveux la gamine, la rage était bel et bien là.. et rien rien ne pourrait la faire cesser.. Et vas y qu'elle y met tout son coeur à faire mal à cette vilaine moche. Même qu'elle voit même pas ce que fait Ezio.. Ni n'entend ce qu'il dit, de toute façon l'Italien elle comprend que quelques mots.. et encore de travers bien évidemment... Pis la vilaine c'était pareil.. vas y donc causes.. tu pourras pu causer dans deux secondes.. Et paf, et bling.. et blammm, et bimmm!!! Elle était devenu une vraie furie qui ne ressemblait même plus du tout à Ixia finalement... Une enfant qui agit par instinct tel un animal des plus féroces, qui veux qu'une chose achever sa proie d'une manière ou d'une autre.

Une lame qui devrait la tétaniser.. Une lame qui pouvait ouvrir en une demi seconde sa gorge... Une lame qui peut ôter son âme... Une lame dont l'importance est pourtant bien ignorée, une lame qu'elle sent et voit.. mais dont elle n'a point la conscience de tout ce geste si dangereux ainsi que les conséquences que cela peux avoir.

Elle continue donc tous les gestes méchants pour cogner, arracher, griffer, faire des plaies, mordre elle aimerait bien.. mais la garce est pas à portée de dents.. pour le moment ma jolie.. pour le moment.. approche et je te bouffe en entier...Vas y sourit.. Je vais te le faire ravaler jusqu'à tes doigts de pieds moi ton joli sourire, tu vas voir! Elle pense plus vraiment à autre chose, et seul des sons de grognements sortent de sa bouche déjà bien gonflé qui ressemble déjà plus à rien.. Oui l'animal sauvage dans tous les sens du terme.

Son regard envoie des foudres d'une violence à faire brûler des villages entiers, son souffle pourrait peut-être même faire envoler chaque éléments dans les airs jusque dans le grand nord des terres encore inconnues, des rugissements à vous exploser les tympans en un temps record. Tout son corps, son esprit et son âme joue la symphonie de l'acrimonie totale et irréversible à jamais envers la vilaine, rien ne l'arrêtera.. rien..

Aller continue ma petite ixia, avec un peu de chance.. tu lui feras une jolie marque avec cet acharnement... oui peut-être...un bleu? Oui peut-être aussi.. aller courage.. sans espoir la vie n'est rien, tu as raison de le croire aussi fort que ça! bats toi donc... elle pourra tout te voler, sauf.. sauf.. ta dignité.. et encore que.. c'est déjà fait aussi.. mais reste convaincue du contraire ma belle mioche aller..

BIMMMM, rien ne l'arrêtera jamais pensait elle? Bah voilà ça aussi c'est fait... anéantissement de tous gestes en un seul de la vilaine en pleine face.
Encore une fois de jolies lumières blanches apparaissent.. seulement cette fois c'est plutôt celle des trente six chandelles qui dansent le balai de la moquerie la plus ignoble qu'elle ai jamais vu encore... Ca tourne tel une valse endiablée qui cadence le rythme des douleurs qui s'en donne à coeur joie au travers tout son corps, sur le joli tintement des cloches... Son esprit? Oh bah là.. il est partit visiter les environs pour un moment, quand à son âme elle, elle visite les profondeurs sombres de la vengeance surement... Seulement faudrait il encore qu'elle retrouve un jour sa copine l'esprit... Et main dans la main retrouver leurs habitations dans le corps de la mioche... Autant vous dire que ça prendra surement du temps... Et une fois cela fait.. faudra t'il encore que l'amie mémoire reviennent faire coucou au reste de la bande...

Quand à sa maman, pas la moindre trace d'une ombre lointaine à perte de vue au delà du spectacle, l'abandon total, le néant! Son corps n'est plus rien.. Mais quand à son coeur.. une partie est totalement devenu poussière, tant cette torture l'a explosé. Et l'enfer à envahit les lieux, avec une joie indescriptible, qui aura surement raison sur le bon sens de l'ingénuité de notre mini châtaigne.

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Serregill.
Je continuerais à poster en PNJ pour cause de déplacement IG

Je l'attend depuis plusieurs longues minutes. Mais que fait elle. La connaissant, elle ne devrait pas avoir de mal à s'occuper d'une gamine et d'un homme déjà bien amoché.
A moins qu'ils ne lui ai tendu un piège...
Cette idée me fait frémir. Je n'y avais pas pensé. Je saute à bas de ma monture, tire mon fauchon hors de son fourreau, et descend lentement et silencieusement la pente, restant le plus possible dans l'ombre des arbre et buissons qui la parsème.

Au bout d'un moment, j'entend une discussion. Carha discute avec l'homme. Je n'entend pas ce qu'ils se disent, mais ça à l'air d'amuser mon amie. Puis, l'homme semble implorer quelque chose, mais en Italien. Je ne comprend pas un traître mot de ce qu'il dit.
Je vois Carha, face à lui. Elle tient la gamine par les cheveux, étrangement calme. Probablement sonnée ou inconsciente.
Je choisi ce moment pour sortir de l'ombre. Je m'avance vers lui, ma lame pointé sur son torse.


"Te fatigue pas bonhomme, je crois pas qu'elle comprenne l'Italien".

Je fais un signe de tête en direction de la pente, et des chariot, ou leur amie est toujours inanimée dans la neige.

"Aller, avance"
Ezio
Citation:
"Te fatigue pas bonhomme, je crois pas qu'elle comprenne l'Italien".
"Aller, avance"


Je soupire... J'aurais je crois, tout essayé. Et tenter quelque chose dans cette situation plus qu'inconfortable mettrait la petite en danger... Il ne le faut pas. Je suis la direction de la pente. Je me demande où est Mely... Je le regarde, le foudroie du regard, mais ne me contente que de ça...

- "Dov'è Mely figlio di puttana?!?! Où est Mely?!? Si tu lui as fait du mal... Je jure que...."

Je coupe court. Que faire? Je suis désarmé... en tout cas, il est trop dangereux de sortir ma dague. Je préfère la laisser dans ma manche. A cet instant, je prie pour Mely. Je m'en veux de l'avoir laissée seule. Mais je n'avais pas le choix... C'était elle, et Ixia... Non pas elle ou Ixia, mais elle ET Ixia. Je ne pouvais me couper en deux. Et je n'pouvais laisser Ixia seule, sans savoir ce qui allait lui arriver.
Mais je n'pouvais pas non plus laisser Mely, seule. Alors que pouvais-je faire d'autre? Les laisser seules, toutes les deux? Et fuir?
Je n'en aurais pas dormi de la nuit. Je n'aurais plus pu me regarder dans une glace fièrement. Et dieu sait combien je suis fier lorsque je me regarde dans une glace. Je veux que ça dure. Même après cette foutue nuit, qui me parait être un cauchemar.
J'ai promis à la petite Ixia de prendre soin d'elle, je le ferai, jusqu'au bout. Je le ferai jusqu'à ce qu'il ne me reste plus d'air dans mes poumons, jusqu'à ce que mon coeur s'éteigne. Et je sais que ce jour n'est pas encore pour aujourd'hui.
Peut-être qu'il faudrait calmer le jeu... Cela mettrait Ixia en sécurité si je me calmais d'abord?
J'essaie... Qu'on en finisse...

- "Dites-nous ce que vous voulez, tous les deux... Qu'on en finisse, porci..."


* Dov'è Mely figlio di puttana: Où est Mely, fils de péripatéticienne.
* Porci: Porcs.

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