Cobra.
Elle ne va rien....je sens son déplacement et me dresse de ma chaise, laissant là ma prose à votre intention.
D'un geste rapide et sur, je l'attire à moi et l'embrasse avec fièvre, son corps épousant le mien.
Tu pensais me punir Hilde Mienne ?
Je me redresse et la pousse d'un mouvement ferme sur notre couche, ne lui laisse aucun répit en venant la chevaucher de tout mon poids, elle rue, se débat, mais le combat est perdu d'avance face à ma détermination.
De la poche de mes braies je sors deux liens en soie noires que j'ai pris soin de découper dans une de ses robes du soir sans état d'âme. Elle lutte encore, mais ses poignets se retrouvent entravés à la tête du lit.
Voyez le tableau ? Elle fulmine, menace de me mordre, ose me dire que je suis un salaud ! Quelle folle ...! Je me penche prenant garde à me tenir hors de portée de ses dents, et noue à nouveau un bandeau opaque sur ses yeux. Mon souffle court effleurant juste l'ourlet de ses lèvres pleines. Elle s'énerve je le vois à la tension de ses bras, qui teste la solidité de mes attaches.
Ses cuisses se serrent l'une contre l'autre, se frottent, je souris amusé.
Penses tu que de serrer tes cuisses, va entamer ma détermination à te punir Pincesse ?
Un délicieux rire rauque fait écho à mes propos, elle se cambre à nouveau, ses dents claquent dans le vide, elle râle de ne pouvoir m'atteindre. Les miennes par contre font mouche sur ses lèvres entrouvertes et se referment sur sa lèvre inférieure qui se fend à ma morsure, laissant perler une goutte carmine.
Je m'empare sans quitter du regard le bout de sa langue qui se repait du goût acre de son sang, d'une dague qui se glisse entre sa peau et le premier bouton de sa robe, le froid du métal la fait trésaillir, ma bouche chaude se dépose sur la peau dénudée, je la goute sous ma langue. Elle grogne me demandant si je vais ruiner une fois encore une nouvelle robe.
Je me fous .....du prix que cela me coutera ..crois moi !
Les autres boutons cèdent les uns après les autres sous ma lame aiguisée, j'ouvre à deux mains dans un bruit de tissu déchiré les pans de sa robe. J'inspire profondément, sa poitrine se gonfle d'excitation, non je ne vais pas perdre pied, mais lui faire perdre la tête.
L'orange qui m'a couté une couète en Alexandrie prône sur la table de chevet, je m'en empare, l'effluve du fruit que je pèle emplit la cabine et nos narines, je la sens frémir entre mes cuisses, plus dans l'attente que de peur.
Je la coupe en deux detache plusieurs quartiers, en porte un à tes levres que je caresse avec le fruit.
Croque !
Ses dents se referment sur le quartier, le suc coule sur son menton, du bout de ma langue je viens gouter ses lèvres et me delecter du suc du fruit.
Tu ne m'échapperas pas Hilde Mienne......
Ma voix tonne rauque à son oreille. Je me redresse et presse un quartier entre la vallée de ses seins, sa peau au jus plus frais se recouvre d'une chair de poule. Avec une lenteur folle ma langue suit et recueille le suc du fruit. Tu n'es qu'un enfoiré ! Les mots doux pleuvent, je n'en ai cure je la porte lentement vers la folie, ne lui laissant aucun répit.
On dit un divin Salaud ......Hilde......divin !!
Le va te faire foutre qui sort de ses lèvres me fait rire, j'arrache le bas de sa robe et d'une main ferme écarte ses cuisses et y loge ma tête, ma langue, mes lèvres et mes dents font le reste. Elle ne lutte plus, elle coule, me livre sa jouissance sans retenue, une punition que je vous ai abrégée pour ne point subir les foudres verte.
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D'un geste rapide et sur, je l'attire à moi et l'embrasse avec fièvre, son corps épousant le mien.
Tu pensais me punir Hilde Mienne ?
Je me redresse et la pousse d'un mouvement ferme sur notre couche, ne lui laisse aucun répit en venant la chevaucher de tout mon poids, elle rue, se débat, mais le combat est perdu d'avance face à ma détermination.
De la poche de mes braies je sors deux liens en soie noires que j'ai pris soin de découper dans une de ses robes du soir sans état d'âme. Elle lutte encore, mais ses poignets se retrouvent entravés à la tête du lit.
Voyez le tableau ? Elle fulmine, menace de me mordre, ose me dire que je suis un salaud ! Quelle folle ...! Je me penche prenant garde à me tenir hors de portée de ses dents, et noue à nouveau un bandeau opaque sur ses yeux. Mon souffle court effleurant juste l'ourlet de ses lèvres pleines. Elle s'énerve je le vois à la tension de ses bras, qui teste la solidité de mes attaches.
Ses cuisses se serrent l'une contre l'autre, se frottent, je souris amusé.
Penses tu que de serrer tes cuisses, va entamer ma détermination à te punir Pincesse ?
Un délicieux rire rauque fait écho à mes propos, elle se cambre à nouveau, ses dents claquent dans le vide, elle râle de ne pouvoir m'atteindre. Les miennes par contre font mouche sur ses lèvres entrouvertes et se referment sur sa lèvre inférieure qui se fend à ma morsure, laissant perler une goutte carmine.
Je m'empare sans quitter du regard le bout de sa langue qui se repait du goût acre de son sang, d'une dague qui se glisse entre sa peau et le premier bouton de sa robe, le froid du métal la fait trésaillir, ma bouche chaude se dépose sur la peau dénudée, je la goute sous ma langue. Elle grogne me demandant si je vais ruiner une fois encore une nouvelle robe.
Je me fous .....du prix que cela me coutera ..crois moi !
Les autres boutons cèdent les uns après les autres sous ma lame aiguisée, j'ouvre à deux mains dans un bruit de tissu déchiré les pans de sa robe. J'inspire profondément, sa poitrine se gonfle d'excitation, non je ne vais pas perdre pied, mais lui faire perdre la tête.
L'orange qui m'a couté une couète en Alexandrie prône sur la table de chevet, je m'en empare, l'effluve du fruit que je pèle emplit la cabine et nos narines, je la sens frémir entre mes cuisses, plus dans l'attente que de peur.
Je la coupe en deux detache plusieurs quartiers, en porte un à tes levres que je caresse avec le fruit.
Croque !
Ses dents se referment sur le quartier, le suc coule sur son menton, du bout de ma langue je viens gouter ses lèvres et me delecter du suc du fruit.
Tu ne m'échapperas pas Hilde Mienne......
Ma voix tonne rauque à son oreille. Je me redresse et presse un quartier entre la vallée de ses seins, sa peau au jus plus frais se recouvre d'une chair de poule. Avec une lenteur folle ma langue suit et recueille le suc du fruit. Tu n'es qu'un enfoiré ! Les mots doux pleuvent, je n'en ai cure je la porte lentement vers la folie, ne lui laissant aucun répit.
On dit un divin Salaud ......Hilde......divin !!
Le va te faire foutre qui sort de ses lèvres me fait rire, j'arrache le bas de sa robe et d'une main ferme écarte ses cuisses et y loge ma tête, ma langue, mes lèvres et mes dents font le reste. Elle ne lutte plus, elle coule, me livre sa jouissance sans retenue, une punition que je vous ai abrégée pour ne point subir les foudres verte.
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