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[RP] Vies et Péripéties au domaine d'Ytres...(Manoir d'Omby)

--Brandu
Brandu sauta de cheval a la hauteur de l'homme.

holla l'homme répond !!! On ne dérange pas la garde sans raison.
--Rufus
[Dans les dédales du manoir]





Rufus courait comme un dément, et filait dans les couloirs du manoir tout en tenant ses braies et marmonnant de manière bien à lui d'avoir omis de mettre son braïeul pour tenir tout ça comme il faut.

Au détour d'un de ces nombreux dédales, il percuta quelques choses qui le fit reculer d'un coup brutal en arrière et retomber sur son pauvre derrière. Se relevant cahin caha, il vociféra de plus belle.


Vandiousssssssssssssssssss, de nom de mère qu'est-ze donc qu'c'là !!!!
Qui zest qui zest foutu dans mes pattes, Bondiou de vain dieu !!!


Regardant devant lui, tout en poursuivant ses invectives, il croisa le regard noir de la jeune Laureline. Déglutissant dans un premier temps, il s'arrêta net ensuite de s'époumoner, la bouche entre ouverte.

Quoi les morveux zici, rooo, crénom d'une pipe en bois, y z acoutent rin de rin, des nefles, les mouflets ... marmonna-t-il dans sa barbe.

Ni une ni deux, il attrapa le petit Nathy par le cal but et de l'autre bras la fille de Néfi, qu'il bloqua sous ses aisselles nauséabondes mais bon, il n'allait pas s'embêter de ce genre de détail. Pas le temps et pis, d'un autre côté, pour lui, elles avaient une odeur normale, ses aisselles^^.



Allez, zon y va, les mioches, non de dieu !
Pas le temps de traînasser, zou de chouiner, za crâme de partout zen bas.
Bronchez pas, zest pour v'tre bien !
Et zon file trouver la Cap't..., enfin ta mère
Aboya-t-il en secouant le gamin concerné.

Allez, mainemain, Rufus, s'encouragea le vieux coursier à voix basse. Il n'en avait pas l'air devant les marmots, mais il n'en menait pas large. Il reprit sa course, chargé comme un mulet et la vue quelque peu obstruée par les ballotements des membres des deux enfants qui n'étaient pas vraiment des plus coopératifs dans ce sauvetage.
Ombeline
[Dans la Chambre de la jeune Baronne, puis fuite dans un des passages secrets du manoir d'Ytres]





Un Rire dépravé accueillît ses dernières paroles. La jeune Baronne nota dans le gestuel de l’archer, rien qui ne présageait de bon pour la suite et ses craintes furent rapidement confirmées en l’entendant parler, enfin parler… Elle était à dix mille lieux des paroles d’un gentilhomme … Elle ne pouvait en être complètement choquée, ayant l’expérience des champs de bataille et eut un aperçu de la perversité et cruauté des hommes notamment en tant de guerre mais là … tout de même et chez elle… et en Artois qui plus est.

Dans tes rêves femme ! J’ai été payé pour une mission et je ne vais pas m’en faire remontrer par une traînée qui bavasse au fond de son lit à ct’heur par les bourses d’Aristote le poilu ! L’client est Roy et l’client y veut ta tête et celle d’ton fils !
Femme ! Qu’es tu prête à m’donner pour que j’épargne ton fils ?


Trop interloquée, elle n’eut guère le réflexe de prendre garde aux gestes de l’homme et ne put retenir qu’in extrémis sa chemise pour dissimuler tant bien que mal sa poitrine. Tout cela ne tournait pas du tout sous les meilleurs auspices et elle avait intérêt à tenir le temps de l’arrivée des renforts, quelqu’un viendrait bien tout de même, peu importe qui, même ce grogneur de Rufus … Il fallait bien qu’elle se raccroche à quelque espoir.


Qui plus est, elle venait de prendre conscience que ce n’était pas seulement sa propre vie qui était en jeu. Bien pire pour elle. Son fils ne serait pas épargné. Et, il le tuerait quoiqu’elle s’abaisse à faire, elle le sentait rien que dans le regard de ce vil pervers… un vrai livre ouvert… et pis, les hommes de son genre était bien souvent de gros rustres bestial, il ne devait guère faire exception à la règle. Cet homme là, la répugnait au plus haut point.


Empoignant d’une main son médaillon qu’elle portait entre les pans de sa chemise déchirée, une grimace marqua son visage quand elle marmonna une prière. Une colère mêlée de rage sourde monta en elle. Non, elle ne pouvait point laisser faire, pas son propre fils, jamais.

Quand l’archer croisa de nouveau ses yeux, une détermination nouvelle encrait son regard perçant.


Rien, je ne vous donnerai rien, sale rustre.
Je sais que cela ne changera pas votre projet.
Vous ne porterez point la main sur mon fils, jamais, jamais moi vivante ! Vous entendez, jamais ! Et si je trépasse, les autres vous arrêterons, vous n’y arriverez pas.


Hurlant à en perçant les tympans, elle le poussa avec toute l’énergie possible du désespoir. Surpris, il en perdit l’équilibre. Essoufflée par un tel effort, elle n’en resta pas là. Elle n’avait pas de temps à perdre et malgré la douleur, souleva les draps et les jeta devant elle. Elle se hissa, un brin vacillant hors du lit. Le refus d’abandonner de l’ancienne Ombeline accompagné d’une résolution inflexible d’une mère craignant pour la vie de sa propre chair, faisait son chemin en elle. Elle fera tout pour éloigner cet homme de son fils, tout pour repousser cette échéance monstrueuse.


Elle se devait de faire grand bruit pour attirer la domesticité au plus vite et ainsi avoir des renforts car seule, elle ne tiendrait guère longtemps. Elle n’était pas encore en état de rivaliser… pas assez remise sur pied malgré les soins prodigués et pis st Ange n’était pas à portée. Et encore, réussirait-elle vraiment à manier son épée après tant de jours alitée … Aucune arme, d’ailleurs, ne se trouvait dans sa chambre.


Elle devait réfléchir vite et trouver de quoi affronter cet énergumène… Son seul atout était qu’elle connaissait le manoir comme sa poche, pas lui, mais elle ne pourrait guère traverser la chambre en courant plus vite que l’archer pour prendre la porte. Il barrerait forcement sa course. La cheminée ! pensa-t-elle soudain. Ignorant sous ses pieds nus la morsure du dallage glacé, elle se précipita enfin alla si vite qu’elle le pouvait au vu de son état physique, en direction de la première chaise trouvée et la lança avec toute la force possible qu’il lui restait en ces instants, sur son adversaire. Celle-ci n’eut pas l’effet escompté, pas assez de prise pour blesser l’homme, juste le retardé et le mettre encore plus en rage.

Elle convergea vers la cheminée où crépitait encore quelques flammèches, attrapa le tison d’une main tremblotante, et de l’autre actionna d’un geste familier, l’une des pierres portant le blason du Domaine.

Grincement rocailleux.

Le pan de mur de la cheminée pivota. Elle jeta un regard inquiet derrière elle et s’engouffra à l’intérieur.

Second grincement rocailleux.

Elle se retrouva dans le noir, seule, quelque peu déboussolée. Cela faisait des mois qu’elle n’avait pas parcouru ce dédale. Vite, avant qu’il ne la suive. Elle avança droit devant elle, ne lâchant pas le tison, et de son autre main, se guida grâce au pan de mur. Elle s’habitua au fur et à mesure à la pénombre. Droit devant, le passage débouchait sur un des couloirs du manoir. Elle prenait un risque par un tel choix mais elle ne se sentait pas de taille à l’affronter et rejoindre l'une des bifurcations menant vers la cave ou les bois du Domaine.

Elle était à bout de souffle quand au loin le grincement familier résonna dans le corridor. Elle n’y arriverait pas… Il la rattraperait, et l’achèverait là. On ne retrouverait même pas sa dépouille, peu avait connaissance de ce passage.

Epuisée, elle allait fléchir mais l’image de son fils fracassa toute pensée de renoncement, elle se reprit et se précipita sur le premier pan de sortie. Grattant avec acharnement jusqu'au sang sur la manivelle, elle réussit à débloquer le système d’ouverture rongé par la rouille. La lumière l’éblouit. Elle s’écroula de fatigue dans le couloir, lâchant le tison au sol.

Un cri strident jaillit du fond de sa gorge et retentit dans tout le corridor éclairé du manoir.


A l’aideeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee


A l'aideeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee


Elle se retourna, écarquillant les yeux d’horreur…

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Laureline_squire




[[Toute maladie est une confession par le corps. Ou quand Laurie confesse que Rufus pu des dessous de bras ...]]


La blondinette se retrouva en moins d'un quart de temps enlacée, coincée sous le bras puant de rufus.
La gamine essaya de s'en dégager , en se débattant comme une petite folle, ne souhaitant que respirer de l'air pur, mais rien à y faire elle était belle et bien coincée.
L'odeur nauséabonde des aisselles du bougon se faisant de plus en plus horrible et de moins en moins irrespirable, en deux temps trois mouvements la môme vira du rose fillette au blanc colombe pour finir verte blafarde et lâcher son estomac mixé et vert caca d'oie sur les chausses du vieux râleur.

Une parole et un grognement laurelinesque plus tard la course continuait quand même ...


Beuh ....

Groumph...


Laureline les yeux rivés sur les chausses couleur abhorré de rufus, les écoutait faire schploc, schploc...
L'odeur toujours insoutenable et la vision des chausses lui donner la nausée encore un peu plus à chaque pas, la faisant renvoyer son repas toutes les minutes imparties.

L'enfant avait finit par fermer ses deux yeux couleur vert aigue-marine pour essayer d'oublier son calvaire, espérant que cette course folle et interminable cesserait bientôt.
Sinon elle ne savait pas trop ce qu'elle allait continué rendre et devenir, et si elle pourrait encore répondre d'elle tellement la situation fut cauchemardesque pour la jeune demoiselle.
Cyann
Arrivée sur les lieux de l'incendie, Cyann n'avait eu que le temps d'entendre la voix nasillarde de Rufus lancer quelques ordres avant de le voir disparaître entre deux colonnes de fumées. Elle toussa. réfléchit. Ici avec son bras planté d'une flèche , elle ne pouvait être d'aucune utilité : elle ne pouvait tout simplement pas porter de seau. Cela la fit enrager. En plus ,elle aurait préféré si possible que personne ne la vit accoutrer ainsi. Elle jeta un regard de droite et de gauche, se drapa dans sa cape et la vieille cape pressée pour l’occasion et dans sa dignité. Elle hâta le pas et suivit de loin ce qu'elle croyait être la silhouette de Rufus. celui ci disparut dans les dédales du château d'Ytres. La jeune femme s’y engouffrer à son tout indécise sur les chemin à suivre. Où pouvaient-ils donc bien être Lord Shazame & Néfi ? Pour vu qu’ils aient eu le temps de mettre les enfant et Ombeline à l’abri. Cyann se décida. Elle irait s’assurer que les chambres étaient bien vides.
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pnj
La donzelle marmonnait un truc entre ses lèvres, une prière

ça pour sur qu'tu peux prier par tous les seins de Sainte Boulasse !!!

En parlant de seins... la vue que lui offrait le décolleté de la drôlesse lui fit se passer la langue sur les lèvres. Une barre était apparue un peu plus bas dans ses braies et son désir forcit quand il vit le regard de défi dans les yeux de la belle, elle allait crier et se débattre, tout ce qu'il adorait !

Rien, je ne vous donnerai rien, sale rustre.
Je sais que cela ne changera pas votre projet.
Vous ne porterez point la main sur mon fils, jamais, jamais moi vivante ! Vous entendez, jamais ! Et si je trépasse, les autres vous arrêterons, vous n’y arriverez pas.


Elle hurlait , il souriait et approcha sa grosse pogne de la peau blanche, ses lèvres retroussées sur ses gencives, laissant apparaître quelques chicots manquantes, il allait lui arracher ses vêtements, lorsqu'elle rua et se cabra telle une jument fougueuse et lui assena un coup de pied en travers du sternum. Il en eut le souffle coupé et se remit bien vite esquissant un grand sourire cynique. Il lui assena à son tour un coup de coude dans le ventre. Elle se tortilla un moment puis, parut se calmer, elle devait enfin avoir compris qui est le maître se dit il mais au lieu de cela, elle sauta hors du lit il ne fit ni une ni deux et se précipita sur elle. Elle ne pouvait pas lui échapper , il lui suffisait de la coincer là et il la prendrai.

Par les burnes du grand cornu que comptes-tu faire sans arme contre un homme et un vrai mmhh ?

Elle se précipita en direction de la première chaise trouvée et la lança sur lui. IL repoussa la chaise d’un mouvement de son avant bras et se dit qu’il était temps. Pas que mais bon. Il avait deux meurtres à commettre et le feu n’éloignerait pas les domestiques éternellement hein. Il avança sur elle, le poignard brandi savourant déjà son plaisir. Au moment même où il allait l’atteindre, elle disparut dans la cheminée, il se précipita et s’engouffra à sa suite en jurant derrière elle.

Noir tout était noir. Ses yeux s’habituèrent à l’obscurité. Il hâta le pas, elle juste devant, il entendait son souffle. L’endroit lui parut soudain tout à fait adapté à ses projets, ici nul chance qu’on les interrompent. Il lui fallait la rattraper. Plus il avançait plus il la sentait proche. Il la vit se tourner vers lui, le visage effrayé sous le tison. Il ricana. Il n‘avait plus qu’à la saisir. Il agrippa son bras. Elle était à bout de souffle ce qui expliquait sans doute qu’elle n’ait pas continuer dans le passage secret. Il ne compris pas tout de suite ce qu’elle faisait et il ne lui resta bientôt plus dans la main qu’un pan de la chemise de nuit qu’il avait arraché. Il manquait de tomber et la lumière l’éblouit. Elle gisait là sur le sol devant elle, ses cuisses nues. Il sourit.
Quand elle tourna son visage de marbre vers lui, ses traits reflétèrent la peur ,e elle était mur, il ne réagit pas assez vite et elle eut le temps de hurler. IL se précipita et lui fichu un coup de pied dans le ventre ce qui stoppa net le cri. Il la releva avec brutalité et l’entraîna vers le passage secret. Il n’en avait pas finit avec elle. C’est alors que des bruits de schploc, schploc... se firent entendre… et un


Groumph...

Il bâillonna la baronne épuisée étouffée entre ses bras musclés d’une main, et jeta un pied anxieux au foutu passage secret qui, après avoir grincer, ne daignait pas s’ouvrir tout à fait , las empêchant de pénétrer dans ses tunnels en sens inverse. Nul autre issu ne s’ouvrait devant lui. Il sera plus fort sa cible et les précipita tout deux avec une force inouïe sur le mur de pierre entrouvert, La porte tourna sur ses gond en grinçant si fort que tout l’aile l’avait entendu à n’en pas douter. Il écrasa son dos sur le fameux passage maisi celui-ci ne céda pas. La baronne se débattait , il n’arrivait pas à réfléchir, il posa sa lame sur son cou, du sang se mit à couler lentement. La terreur s’installa dans ses prunelle set elle ne bougea plus .Pour survivre il lui fallait remplir son contrat : tuer uniquement la mère ne le sauverait pas et pour le moment elle; pouvait servir à la fois d’otage et d’appât … car si dans le couloir, tout semblait calme pour le moment, son instinct lui disait qu’ils l’avaient entendu et qu’il n’était pas loin alors pourquoi ce silence ? Il serra les dents et planta le bout de sa lame sur le ventre d’Ombeline. D’un mouvement du menton , il lui indiqua le couloir vers la droite. Ses poils se hérissèrent tout à coup sur sa nuque
Nefi


entendant un crie de femme déchirant de frayeur et de surprise mêlé suivit d un bruit de chute elle se précipita dans le couloir, entendant des bruits et des souffles après le coude que faisait le couloir elle ralentit puis saisissant sa dague dans sa main elle hasarda un oeil dans le couloir à sa droite. c'est la qu'elle vit ce qui se passait le crie étant celui de omby, l'homme s'acharnait sur le mur va comprendre pourquoi il pensait peut être avoir raison de la maçonnerie se prenant pour un passe muraille...

dague en main elle s'approcha doucement essayant de ne point faire de bruit malgré sa démarche claudicante et sa cheville énorme.
il avait stoppé visiblement au aguets entendant comme elle du bruit venant de l'autre coté du couloir et un grounph bien connue d'elle.

alors que l'homme entraînait sa proie vers le couloir en face ne prêtant pas attention à ses arrières elle lui glissa sa dague sous le cou en un geste vif, éraflant au passage sa peau qui perla.

lâche la de suite ou je t égorge comme le porc que tu es...

tirant de sa ceinture un autre de ses coutelas elle lui piqua le dos avec pour plus de dissuasion.

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porte de l'"Auberja Amoreta" ouverte à tous
Ombeline
[Dans un des couloirs, à la sortie du passage secret]






Une atroce douleur la submergea au niveau du ventre, lui coupant la respiration. Avec brutalité, elle fut soulevée et bâillonnée sans avoir eu la moindre chance de répliquer. Puis, ce fut une sorte de choc assourdissant comme si elle venait d’être projetée contre un mur de béton. Estourbie dans un premier temps, elle ne savait plus où elle était puis peu à peu son instinct de survie reprit le dessus et la jeune Baronne se débattit avec le peu de force restante… Coups qui n’eurent guère d’effet à part de l’essouffler un peu plus.

La sensation froide de la lame sur son coup, suivie d’une perle de sang glissant sur sa peau stoppa instantanément ses vaines tentatives de se sortir des griffes de l’archer. Elle resta là immobile, sa vie ne tenait sans doute plus qu’à un fil… Il n’avait servi à rien donc d’emprunter ce passage secret pour fuir et alerter. Pourtant quelqu’un l’aura sans doute entendu, elle y croyait encore… et elle devait s’y raccrocher…

Elle allait … la lame changea de cible, il se passait quelque chose… Elle le ressentait rien qu'à cette pression plus forte sur elle qu'il exerçait et cette respiration désagréable au creux de sa nuque. L’homme aurait-il senti la présence de quelqu’un ? Trop concentrée sur eux deux, la jeune femme n’avait guère prêtée attention aux bruits les environnants. Elle n’aurait pas le loisir de l’interroger et d’ailleurs n’était pas en position de le faire. d'un geste du menton, il lui indiqua clairement de bifurquer vers la droite, où il passerait non loin d’une des armures reconstituées de chevalier du manoir.



lâche la de suite ou je t égorge comme le porc que tu es...


Cette voix… murmura Ombeline…

La pression sur son bras se fit plus forte, plus douloureuse aussi, lui soutirant un cri. Malgré la menace évidente de Nefi, il ne semblait pas décidé à lâcher prise… mais contre toute attente, il s’exécuta. La jeune Baronne resta sur place, ne réalisant pas encore que ce dernier ne la tenait plus. Ces minutes d’immobilisme sans le savoir lui couteraient pour la suite.


Un autre cri retentit dans le couloir, long et strident… Ah pauvres tympans^^


Tout se passa rapidement. L'archer, profitant de cette diversion inopinée se dégagea de la menace de son adversaire. Ombeline, empoignée fermement d’une main par la chevelure, fut projetée comme une vulgaire poupée de chiffon en arrière, et s’écroula sur Nefi.



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Laureline_squire



C'en était trop pour la fillette l'odeur insoutenable et les balotant était devenue insuportable...
Dans un hurlement de fureur , elle s'attaqua au vieux rufus bougon bien décidé à le faire la lâcher.


AHHH !!!

Vous aller me lâcher rodoudiou....

lâchez moi ou je cri plus fort.

AHHH !!!


La blondinette était bien décidé à faire lâcher rufus et pour se faire elle s'agita, et mordit à pleine dent le bras de celui-ci avec toute la force d'une fillette en colère.

Le vieux bougon lâcha enfin prise, furieux à son tour après la môme, parce qu'il avait le bras en sang elle n'y avait pas était de main morte en le mordant...
Il déposa d'abord Nath au sol et dans son élan de fureur gifla la mouflette avant de se frotter le bras, s'en était trop pour lui elle venait de faire déborder le vase.

Tout en frottant sa joue, Laurie poussa un long hurlement strident de douleur qui retentit dans tout le château...


AIEUH !!!


Laissant rufus et nath elle partie en pleure en direction des chambres...
Jamais encore on ne l'avait giflée comme ça malgré qu'elle soit insupportable.



A toute fois utile: J'avais l'autorisation du joueur derrière Rufus pour que laurie morde celui-ciet le fasse agir ainsi...
--Rufus
[Dans les dédales du manoir]







Tenant les deux mouflets bien serrés contre sa carcasse, le vieux coursier avançait rapidement dans le couloir. La blondinette ne semblait guère apprécier ce sauvetage un peu bourru et les manières ou mœurs de l’homme.

Rufus ne s’en offusqua point, après tout, ce n’était pas une mouflette haute de quelques pommes qui aurait raison de sa personne. Plus costaud qu’il n’y paraît le Rufus, bondiou, que croyait-elle donc encore…grffarff… C’est qu’il en avait déjà vu des vertes et des pas mûres avec celle-là. Et dire, que l’adorable fils de la Baronne s’coltinait avec… arfff quoique adorable, adorable, lui aussi commençait à montrer du caractère… sans doute contaminé par les sornettes de La Squire. Elle devait lui bourricher le cerveau avec toutes ses facéties à la noix. Serrant plus fort ses prises, il accéléra l’allure surtout quand la blondinette se mit à geindre…




AHHH !!!

Vous aller me lâcher rodoudiou....

lâchez moi ou je cri plus fort.

AHHH !!!




Ben cries, vas-y, j’ t retiens pas, hein, fais toi ze plaizir ! p’tite peste, derniers mots grognés tout tout tout bas et en resserrant encore davantage la mioche sous ses aisselles aux odeurs si épicées^^ , histoire de lui faire apprécier le ballotage…


Vous zavez dit de pas chouiner, zest vraiment pas le moment, za crâme de partout zen bas.

Zest pour v'tre bien que fait tout za moi. J’suis pas qu’un garde chiourme, tudieu !

Zon trouver Dame Ombeline, vindiou, mais zest fini oui te te tortiller comme za, bonté de mère, Zarrêtes donc, fais finir par m’étaler par terre zavec vos deux carcasses, bon sang bon soir…



Soudain, une douleur atroce l’arrêta dans son avancée… Le vieux coursier lâcha les deux mouflets tel des sacs remplis de vieilles pommes de terre, enfin surtout la gamine. Il se tint le bras, marqué à sang par la dentition de Laureline puis fusilla d’un regard noir de fureur la responsable de cet outrage, de cette tentative de cannibalisme sur sa propre personne.


D’un coup, tout lui revint en mémoire…


Le harcèlement constant de cette dernière depuis des jours, et des jours à chacune de ses éternelles visites au Domaine d’Ytres …

Les insectes nageant, et se débattant pour leur vaine survie dans son pot de confiture du matin…

Les poignées de sa porte de chambre badigeonnées de miel dégoulinant et poisseux …

La flopée de boules de réglisse bien noires évoquant de vulgaires bêtes bêtes à tête (poux) aux premiers abords sur ce qui lui servait de peigne …

Le breuvage immonde de trèfles, d'eau de la gamelle du Kalagan (chien de l’ancien sénéchal Shazame), de craie et de charbon qui avait remplacé sa bonne et rafraîchissante cervoise, un jour de grande chaleur, dans sa gourde en peau de chèvre…

Les escaliers de la cave badigeonnés de cire de cierges et de suie, qu’il fallut récurer et lessiver comme un fou…


Et l’horrible acte de barbarie commis sur ses plantations d’amour car le jardinage, chose étrange, était dans ses passionnarias avec la bibine et hum d’autres choses plus hum, enfin guère besoin de dévoiler tous les petits secrets du bon vieux Rufus.

Bref, la moutarde venait de lui monter au nez à vive allure… Tout cela en était trop… Cette morsure était la goutte d’eau qui venait de faire exploser son vase de patience en mille morceaux … Trop, c’en était trop pour lui … Il était à bout… Et là, elle venait de le mordre lui, oui lui… qui faisait tout bien comme il faut, qui avait su ne point répliquer face à toutes ses incessantes attaques de gamine écervelée, qui fermait les yeux et suivait les recommandations, quasiment à la virgule près, de la Baronne qui enfin qui donnait de ses tripes, lui, elle venait de le mordre comme cette espèce de roquet qui suivait partout le Shazame…

Il était en furie, prêt à commettre l’irréparable… Grimaçant, serrant les dents, les yeux en feu, d’un geste sec et claquant, il leva la main sur la jeune Squire.


Une gifle bien sonnante résonna dans tout le couloir, suivie de quelques secondes près par un long hurlement strident de la petite cannibale.




AIEUH !!!



Tudieu.

Tu l’as bien cherché, espèze de p’tite peste, sal’ cabocharde d’ trois pommes !

Non de non, me mordre, moi… pire que le roquet !

Vais t’les apprendre, bondiou, moi à respecter les aînés … ah sacré nom dediou, jamais vu za encore.



Rufus, serrant son poing, ne cilla pas, la regardant droit dans les yeux. Ce geste venait de le soulager de toute sa colère, de toute sa frustration ressentie depuis des jours et des jours… Elle n’avait que ce qu’elle méritait, marmonna-t-il, cette petite peste, me mordre comme za… Pourtant, malgré ses pensées, il sentit que peu à peu éclorait en lui un sentiment de malaise de par son geste.
--Nathy



Nathanaël n’en mena pas large dans les bras de Rufus. Balloté comme un sac, il commençait à en avoir l’estomac tout retourné. Le môme n’était pas loin de vomir si ce manège se poursuivait à cette cadence.
Il tendit le cou afin d’apercevoir sa comparse qui était à son opposé mais la seule chose qu’il avait sous ses yeux était la vision de ses gambettes et de ses bas roses. Il suivit du regard la ligne dessinée de ces dernières. Ses joues rosirent soudain. La jupette faisait de temps à autre, à force d’être gigotée en tout sens, des vagues. Il put ainsi involontairement entrapercevoir la petite culotte de son amie. Ne pipant mot, il fixa son regard sur un autre point, certes nettement moins attrayant mais tout de même plus correct vis-à-vis de sa comparse. C’est d’ailleurs par cette pirouette là qu’il remarqua, malgré le ballotage, la poche arrière des braies du vieux coursier s’effilochait.

Laureline hurlait de plus belle tout en gesticulant de plus en plus… La jupette suivait le mouvement. Nathy ferma les yeux afin de se concentrer, pas regarder, pas regarder surtout…nan nan pas bien, pas bien du tout, pas regarder ça…



AHHH !!!
Vous aller me lâcher rodoudiou....lâchez moi ou je cri plus fort. AHHH !!!



Le vieux coursier avait réponse à tout et leur fit comprendre qu’il valait mieux se la boucler.
Tout à coup, il se mit à brailler comme un cochon que l’on égorge. Nathanaël se retrouva aussi sec au sol et regarda le Rufus avec un air tout estourbi tentant de comprendre ce qu’il venait de se passer. Il resta la bouche grande ouverte quand il vit la grosse paluche du coursier s’abattre sur la douce joue de son amie.




AIEUH !!!



Tudieu.

Tu l’as bien cherché, espèze de p’tite peste, sal’ cabocharde d’ trois pommes !

Non de non, me mordre, moi… pire que le roquet !

Vais t’les apprendre, bondiou, moi à respecter les aînés … ah sacré nom dediou, jamais vu za encore.





Laureline détala sans demander son reste laissant son comparse encore sous le choc. Nathy regarda Rufus avec des yeux d’incompréhension. Jamais, il ne l’avait vu faire preuve de violence. Jamais. Il ne l'avait vu frapper un enfant comme lui. Et là, il avait osé LA frapper, ELLE. Relevant son petit corps endolori, il essayait d’accuser le coup.


Mais euu pourquoi ??? Pourquoi ??? Pourquoi t’a giflé Laureline ? T’es méchant !!!

Elle a pas fait exprès, elle, d’abord, t’es vilain !!!

Vais le dire à maman !!! Pourquoi, pourquoi ???



Il fonça tête baissée sur Rufus, resté immobile, comme un benêt devant la fuite de la Squire et le tambourina de ses petits poings. Des larmes parsemèrent ses joues.
pnj
Serrant les dents, l’archer planta le bout de sa lame sur le ventre de la Baronne d’Ytres. D’un mouvement du menton, il lui indiqua le couloir vers la droite. Ses poils se hérissèrent tout à coup sur sa nuque. La froideur d’une lame le glaça sur place. Une perle de sang ruissela sur son cou. Une seconde pression s’ajouta à la première au niveau de ses côtes. Etait-il fait ?

Lâche la de suite ou je t égorge comme le porc que tu es...


Serrant la mâchoire, il ne pouvait y croire, être pris au dépourvu par une femelle. Encore une de ces idiotes, qui passe son temps à se croire capable de rivaliser avec eux, les hommes ; bercer par ses rêve de contes de fées. Une femelle encore a rééduqué ! Et bien, il se fera un plaisir, non dissimulé à effondrer ses douces illusion. Pauvre naïve qu’elle était. Et de surcroit, il la troncherait là, à même le sol, avec la Baronne, deux pour le prix d’une. Il passa la langue sur ses lèvres pour les humecter et sourit de toutes ses dents, il avait déjà tissé les fils de son nouveau plan. Il resserra plus fermement son étreinte sur la Baronne d'Ytres qui gémit.

Tout alla très vite. De surcroît, la divine providence vint à son secours par le biais d’un hurlement strident, déconcentrant son adversaire, qui avait légèrement baissé sa garde et relâché la pression de ses dagues. L’homme lâcha sa première proie, quelques secondes, le temps de planter par l’arrière sa dague avec violence dans la cuisse de Nefi, et de la retirer immédiatement, écartant les chairs sans vergogne. Il empoigna ensuite fermement, sans crier gare, par le bras la Baronne s’en servant ainsi de bouclier humain pour son attaque qui suivit. L’assassin, d’un mouvement calculé et rapide, s’abaissa à reculons, pesant de tout son poids avec Ombeline sur l’autre femelle afin de la déstabiliser et la désarmer. Ils reculèrent d’un même bloc de quelques mètres, et plongèrent ainsi tous trois en plein sur l’armure de chevalier, installée dans l’un des renforcements du mur.

Le trio chuta de toute leur masse. L’armure fit de même, se désintégrant au sol en plusieurs parties, dans un boucan du tonnerre et laissant échapper par ses interstices une flopée de billes d’argile qui s’éparpillèrent. L’archer se releva non sans mal, et attrapa sa piètre adversaire blessée à la cuisse par la tignasse, délaissant Ombeline gisante encore au sol .


Par les burnes du grand cornu, tu vas morfler maudite femelle !
Je t’laisserai même pas le temps de prier que ton sang giclera sur le sol. Ah, j’aurai pu te faire gémir à damner à saint en te tronchant avec l’autre pét*** jusqu’à ton dernier souffle de vie ici même, mais plus le temps de batifoler, femelle.


L’archer, muni de sa dague ensanglantée, s’apprêta à lui infliger un coup dont elle se souviendra jusqu’aux portes du paradis, si tel lieu existait.
Un pas la ramenant plus fermement vers lui fut de trop. Il perdit l’équilibre sur les fameuses billes d’argile, et manqua de peu de se fracasser le nez sur le dallage.
Laureline_squire



Laurie fonçait tête baissé droit devant quand elle arriva sur Ombeline un homme coagulé et sa mère.
La gamine avait abandonné non loin derrière elle, au main de Rufus, son Nath, à regret, mais Rufus lui avait fait tellement mal en la giflant qu'elle voulait être loin du vieux bougon.

La blondinette se stoppa net en voyant la scène qui se déroulé sous ses yeux, Ombeline était inerte au sol, sa mère en très mauvaise posture.
Son sang ne fit qu'un tour aux paroles et à la vulgarité de l'homme qui tenait Néfi par les cheveux.
Et sans réfléchir la môme sortie sa dague de ses braies et trois mots et un hurlement strident, craintif et apeuré plus tard la fillette fonçait sur le dite homme qui venait de s'écrouler au sol glissant sur des billes d'argiles, piège que les enfants avaient installés pour se protéger et protéger la maison.


LÂCHE MA MAMAN !!!

AH !!!


Il n'est pas question que qui que ce soit prenne la vie de sa mère, personne ne lui enlèverait sa maman.
Laurie était haineuse et colérique, l'homme avait eut bien tort de touché à sa mère, la personne la plus sacré aux yeux de la petite.
Ses cris avaient alerté tout le monde Rufus et Nath n'avait pas trainaient à rejoindre le groupe et l'homme avait fait un demi tour sur lui pour apercevoir la fillette et surement par instinct de défense.

Laurie aveuglé par sa colère, fonça sur l'homme dague en avant et ne vit pas rufus se jeter instinctivement entre elle et l'archer pour la protéger du moindre malheur pouvant arriver si celui-ci avait laissé faire l'enfant.
La dague de la blondinette se planta alors dans le bras du vieux bougon plutôt que dans le ventre de l'homme.
Laureline réagissant fut furieuse, puis la môme fondit en larme elle n'avait pas voulut blesser Rufus...


Rufus il veut faire mal à maman.

'tention c'est un méchant.


La fillette c'était reculé se trouvant à coté de Nathy à qui elle prit la main par peur, angoisse.
Sa maman à lui était au sol, la sienne à elle était blanche et pas bien.

--Rufus
[Dans les dédales du manoir]






Rufus, serrait toujours le poing, la regarda partir comme une voleuse. Il n’aurait peut-être pas du, mais elle l’avait réellement mis à bout cette petite perfide de peste… vraiment… Il passa le revers de son bras sur son front, cracha un bon gros glaire bien verdâtre au sol puis ronchonna d’une voix caverneuse.


Tudieu, vais t’en fichtre moi.
Sale morveuse, va, reviens là !!!
Vais pas t’la laisser partir comme za. Va me fout’re des ennuis zencore dans les pattes cette peste.


Jette un regard furibond à Nathanael.

Toi, pas intérêt à piper un yota de ce qu’t’a vu là sinon … Il n’en rajouta pas plus, suffisait de paraître convaincant au yeux du gamin qu’il en avait le droit et les moyens … car il savait bien qu’il ne pourrait point toucher un cheveu du gamin sans en subir les conséquences. Pour la morveuse, c’était autre chose, mais pour l’heure, fallait la rattraper.

Zors du manoir ou zuis-moi mais n’ reste pas tout seul. Z’est le branle bas combat en bas avec l’incendie.

Le vieux coursier partit à la suite de la petite Squire. Il eut tôt fait de la rattraper dans les dédales du couloir. Elle ne courait guère vite la gamine. Elle s’était encore remise à braire. Ma parole, za devenait une habitude et une mauvaise za, va falloir remettre de l’ordre dans tout za, persifla-t-il sans vraiment avoir écouté et prit le temps de comprendre la portée des paroles braillées... foutu bonnes femmes.


LÂCHE MA MAMAN !!!

AH !!!



Rufus regarda la scène devant lui complètement estomaqué et prenant enfin le temps de l’écouter brailler. Il tenta d’analyser la situation avec la dose de jugeote en sa possession... écarquillant les noeilnoeils … un sale type tirait Nefi par les cheveux, la Baronne gisait à quelques pas…

Zest quoi ce bordel ? s’écria-t-il cette fois.

Il vit la jeune Squire dégainer une dague…Qu’est-ze que foutre diable, faisait-elle avec za, la morveuse aurait pu le harponner avec. Tudieu, il l’avait échappé bel. Mais, mais…. Vindiouuuuuuuuuu, il se précipita… elle était folle, bon zang bon soir, crénom d'une pipe en bois.



AAAAAAAAH !!!


Rufus sans plus réfléchir, s’interposa prestement entre les deux, voulant à tout prix protéger la peste inconsciente de son acte. Ce dernier fut embroché par les deux telle une poularde que l’on préparait pour rôtir. La dague de la blondinette se planta alors dans le bras du vieux bougon tandis que celle de l’archer par réflexe d’auto défense, lui vrilla le bas du dos, glissant dans sa chair moelle. La douleur fut atroce, lui arrachant un cri rauque de bête blessée. Il repoussa la gamine qui ruisselait de larme afin de l'éloigner du maraud.



Rufus il veut faire mal à maman.

'tention c'est un méchant.



Elle recula vers Nathy qui avait assisté à ce carnage. Rufus croisa leurs regards apeurés, il ne pouvait plus rien faire, tenta de crier un sauvez-vous mais les mots furent étouffés par le manque d’air et ne ressemblèrent qu’à de vulgaires balbutiements … puis il s’écroula sur le dallage.
Nefi


un crie strident qu elle identifia comme celui de sa fille suivit d une cavalcade dans le couloir la déconcentrèrent un quart de seconde.
juste quelque seconde qui firent basculer toute la situation. elle qui avait maîtrisé l'archer se retrouvait maintenant un poignard dans la cuisse tournant dans ses chairs lui arrachant un hurlement de douleur.

tout s enchaîna ensuite très vite la chute, puis le fracas de l armure s'éclatant au sol, le bille, l'homme la tirant par les cheveux lui arrachant un crie de douleur, confondu avec ceux de lauri fonçant sur l homme dague en avant...

lauryyyyyyy noooonnnnnnnn

elle n'en pouvait plus, ses forces la quittaient à mesure que le sang s'écoulait de la plaie béante de sa cuisse. elle voyait bien sa dague non loin mais elle ne parvenait pas à l'atteindre. du sang gicla à nouveau mais cette fois pas le sien celui de rufus qui venait de se faire prendre en brochette entre deux dague, sauvant ainsi la vie de sa fille...

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porte de l'"Auberja Amoreta" ouverte à tous
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