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[RP] Couronnement de Sa Majesté Angelyque

Melissandre_malemort
Mélissandre aurait sans doute du répondre à Gade. Lui objecter qu'il se fourvoyait totalement, ou jouer les amusée, ou encore soulever du doigt le fait qu'elle serait bientôt mariée. Cela ne rimait à rien. Le Comte savait pertinemment comment la faire sortir de ses gonds et entrer dans son jeu aboutirait, encore et encore, à se faire entortiller comme une débutante. Elle ne releva donc pas et s’apprêtait à le laisser s'éloigner quand une voix attira son attention. L'épouse du Comte semblait avoir entendu sa petite pique familière, ce qui la surprise, ne l'ayant pas vu approché et ayant parlé à voix assez basse pour éviter un esclandre publique. Les lieux ne se prétaient pas à leurs disputes coutumières. A croire que sa voix trouvait un écho entre les murs.

De fait, elle s'empourpra vaguement, sachant que si Gade s'amusait de leurs joutes verbales, elle aurait pu paraître insultante. Ses yeux sombres s'abaissèrent par contrition et elle salua Elisabeth aimablement avant de se détourner. L'envie était grande de s'en aller d'ici. L'insulte était vivace, le manque de respect quasi unanime et les yeux de Vittoria lançaient des éclairs, preuve s'il en est que la chose ne saurait être pardonné de si tôt. Un échange de regard désolée entre elle et Spart. Le doux Spart. Il allait probablement en entendre de belles, lui aussi.

Mélissandre se réfugia donc dans un silence uniquement perturbé par quelques formules de politesse au fur et à mesure des arrivées. En théorie, ils étaient censés placer les invités... Dans les faits... La foule s'épaississait et le tumulte lui donnait mal à la tête, tambourinant ses tempes d'un marteau impie. Dieu fasse que tout se termine très vite.

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Riwenn


Le vieux duc, coms, baron, senhor et héraut d'Armanhac e Comenge, entre autres choses, avait faict la route jusqu'au Louvre, lieu où il ne s'estait pas rendu depuis un certain temps déjà, ce afin d'assister au couronnement de la Reyne Angélyque. En tant qu'officier royal il se devait d'estre présent.

Mesme s'il avait déjà fréquenté le coin, la salle aux mille lys lui estait totalement inconnue, mais cela n'aurait su durer, puisqu'il s'y dirigeait. Parcourir le Royaume de France du Sud au Nord ne fut pas chose aisée, bien que tout se passa correctement bien. Mais se faire guider dans les couloirs du Louvre jusqu'à la fameuse salle fut une péripétie tout aussi éprouvante. Fort heureusement, cela ne dura que quelques minutes au bout desquelles il put passer la porte de la dicte pièce.

Il fut accueilli par le Premier Huissier de France et deux autres personnes, dont une qu'il avait pu rencontrer dernièrement : la sòr jumelle de sa vassale, princesse Malemort de France. Un sourire pour commencer, le reste suivrait sans doute.

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Héraldique européenne
Jglth
Nouvelle Reyne, nouvelle cérémonie, nouveau lieu.
Son épouse étant retirée chez les soeurs depuis plusieurs semaines, il avait demandé à sa fille de l'accompagner. Celle ci n'était visiblement pas encore arrivée mais ne voulant pas être en retard, il s'avança tout de même afin qu'on le guide vers sa place.
Il remarqua alors sa filleule/fille de coeur qui désormais était officier royal. Il tenta d'attirer son attention d'un petit signe de la main et salua de la tête les présents.

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Absent du 8/06 au soir au 12/06 inclus
Spartacus60
Spartacus se sentait vraiment très seul pour le coup. Il y avait tant de personnes avec chacune un titre différent.
Prince, Princesse, Comte, Chevalier, Seigneur si seulement ils pouvaient tous être roturiers la tâche serait beaucoup plus simple.

Le jeune huissier salua respectueusement le Comte Gade, le laissant se lancer dans une mini joute verbale avec son Altesse Royale Mélissandre .
Spartacus écouta le trait d’humour plus que douteux d’un Prince, trait d’humour qui fut de suite réprimandé par Mélissandre et la Comtesse Vittoria .
Le blondinet n’ajouta rien d’une part car il n’y avait à ajouter d’autre part car il n’avait que faire de cette remarque.


Spartacus se dirigea vers La Connétable et le Sire qui l’accompagnait, quoique vu leurs positions l’inverse était plus plausible. Il accueillit respectueusement .

Bonjour à vous Vicomtesse, Sire. Bienvenue au Palais Royal.
Je suis Spartacus huissier de France enchanté de vous rencontrer, si vous voulez bien me suivre je vais vous indiquer vos places respectives.


Le jeune huissier attendit poliment qu’ils le suivent et s’enfonça au cœur de salle immense.
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Vittoria
Après que Spartacus ait accueilli la connétable et l'homme qui l'accompagnait, Vittoria s'avança vers la Comtesse Elisabeth qui semblait attirer par ce que faisait son époux, arrivé un peu plus tôt. Se grattant doucement la gorge, Vittoria l'accueillit néanmoins :

Le Bonjour Votre Grandeur, voilà bien longtemps que je ne vous ai pas vu. J'espère que vous allez bien.
Ce jour, pour le Couronnement de Sa Majesté, je vous invite à aller prendre place parmi les assises à votre gauche, derrière le premier rang.
Si vous voulez bien me suivre...


Et la Comtesse entreprit d'accompagner l'autre Comtesse jusqu'à la place désignée.
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Aemilia
En retard? Même pas. En plus, elle commençait à connaître les locaux. C'était son deuxième sac... cour... euh... On ne savait plus trop à force... bon, cérémonie où la reine deviendrait encore plus officiellement reine, quoi. Sauf que cette fois-ci, on n'aurait pas fait travailler l'agnelle comme une forcenée une semaine avant à coudre mille et une fleurs de lys sur un velours ciselé bleu roi qui serait porté par le monarque. Il n'y aurait ni reluquage de la maistre-artisane, ni sous-entendu foireux sur des aiguilles sales ou sur des loups aperçus. Ni tapisserie tombante, ni passage secret. C'est donc l'esprit tranquille que l'Amahir s'était rendue jusqu'à Paris, où elle résiderait dans l'hostel familial de Cluny. Là-bas, ses appartements avaient déjà été préparés, près de l'aile est, et donc du Comptoir parisien de son atelier auvergnat qu'elle avait pour habitude de visiter afin de vérifier que tout était en ordre. Toujours sans se presser, elle avait ensuite retrouvé son père, en charmante compagnie, et avait froncé quelques instants son sourcil droit. Sans se formaliser davantage, d'ailleurs. Elle pensait voir Prudence à ses côtés, puisqu'elle en était restée là depuis son dernier voyage orléanais. Mais, la présence de la Mainoise, qu'elle pensait encore à ce moment-là simple amie du phoenix, ne l'embarrassa pas davantage. Ayant apprécié leurs précédents échanges, le repas partagé fut des plus plaisants, pensant que les deux hérauts s'étaient retrouvé à Cluny pour quelques sujets de blasonnement.

Prenant congé d'eux pour aller se préparer convenablement, la jeune fashionista s'était comme d'habitude laissée aller entre les mains habiles de ses caméristes. Car si elle avait des doigts de fée, comme on lui disait, pour coudre de beaux habits, elle s'avérait être aussi mauvaise habilleuse que coiffeuse. Par-dessus sa chainse propre, l'on avait, malgré ses minuscules noisettes en comparaison avec la mamelue, entouré sa poitrine d'une bande de maintien, comme toute femme qui se respecte, avant qu'on ne lui fasse enfiler sa cotte de satin d'un bleu profond. Hommage aux souverains passés et à venir. Une fois la couche intermédiaire lacée, mini-Lexhor passa une cotardie perlée, de soie damasquinée crème à manches évasées et ballon, que l'on vint agrémenter d'une ceinture demi-ceint d'orfèvrerie. Nul maquillage, qui était là pratique des femmes de petite vie que l'on retrouvait dans les lupanars, mais un collier d'or que son père lui avait offert, et une tiare assortie, qui remplaçait sa couronne bien trop lourde et trop cérémonieuse pour l'occasion. Et puis, ça n'allait pas avec le reste, il fallait l'avouer.

Ainsi vestue, la Vernadienne rejoignit le Louvre, dans les temps, assez pour avoir le temps de se faire annoncer s'il le fallait pour se faire placer, et de chercher un visage connu avec lequel converser en attendant que la cérémonie ne débute.

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Image d'Anna Rettberg / Manoir des Artistes, Comptoir Parisien
Victoire.
Au pas de course, parce que le Grand Ecuyer courait vite, ou avait peut-être de grands pieds selon la poésie que l'on souhaitait donner au récit.
La duchesse se fraya donc un chemin pour rattraper Julien, sans jouer des coudes, en prenant garde de ne pas accrocher l'ourlet de sa robe, celle qui lui avait coûtée un bras. Manquerait plus que je me donne en spectacle en m'affalant sur ce tapis.
Oui, le chevalier soliloquait, car ce n'est pas au Page planté là qu'elle confiait sa crainte de ruiner sa tenue.

Un sourire à l'encontre de sa douce filleule, une inclinaison de la tête à droite, à gauche, à droite à gauche, au Capitaine de la garde, au Connétable, au Premier Huissier, à Aemilia, à.....stop, avant de choper un douloureux torticolis.
S'autorisait-elle le luxe de s'attarder à discuter ? Visiblement non, puisqu'elle était attendue et que bien trop d'agitateurs se donnaient en spectacle.
Elle marqua donc un temps d'arrêt, trahissant une courte réflexion, plissa les yeux pour repérer son Grand Ecuyer de père, le repéra pour le rejoindre enfin à la place où visiblement elle était attendue.

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Franckus
franckus avait eu il y a quelque jours la surprise de découvrir dans son pigeonnier l'invitation au couronnement.
tellement content d'y être convié il fit faire a un tailleur une tenue a la hauteur de l'événement. aussitôt la tenue prête il pris la route pour paris.

paris!!! premiére fois de sa vie qu'il y mettait les pieds et il se sentait un peu perdu dans la grandeur de cette ville.
il demanda plusieurs fois sa route avant enfin d'arrivé au louvre.

il entra au louvre et étant un peu perdu il décida de suivre la foule qui l'amménerai surement au bon endroit.

arrivé dans la salle il salua les personne qu'il croisé d'un signe de tête et attendit sont tour pour être placé.

il ne voyais aucun visage familier pour le moment mais il se dit qu'il croiserai bien quelqu'un!!!

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Orthon
Un huissier se présenta :

Bonjour à vous Vicomtesse, Sire. Bienvenue au Palais Royal. Je suis Spartacus huissier de France enchanté de vous rencontrer, si vous voulez bien me suivre je vais vous indiquer vos places respectives.

Orthon lui répondit:

Je vous remercie grandement, je commençais à désespérer car je devais gêner quelque peu à me trouver à l'embrasure de cette porte. Puis s'adressant à Alix. Je te suis !

Il suivit fidèlement la connétable de France. Il ne regardait plus autour de lui. Son point de mire était le jeune huissier, ce n'était pas le moment de le perdre au milieu de cette foule et se trouver ainsi au mauvais endroit.
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Melissandre_malemort
Mélissandre sortie de ses pensées pour s'approcher de son Parrain. En temps normal, elle aurait probablement traversée la salle pour lui sauter au cou et le couvrir de baiser. Mais elle officiait ce jour et se contenta donc d'un signe de tête appuyé, sachant que Julien saurait voir toute la tendresse que lui portait sa filleule.

- Votre Magnificence.

L'huissière invita Julien à le suivre d'un gracieux mouvement de la main avant de le guider jusqu'à son siège à coté du Trône Royal, osant presser son bras délicatement avant de se détourner dans un délicat froufrou de tissus et de retourner à l'entrée pour incliner le menton à l'intention d'Aemilia.

- Votre Grâce, la bienvenue. Je suis Mélissandre de Malemort, Princesse de France. J'espère que votre voyage fut bon? Vous êtes très en beauté.

Un coup d'oeil appréciateur à la toilette avant de la guider jusqu'à la droite de la salle et de lui indiquer un siège confortable, puis se détourner rapidement et s'approcher de sa marraine, hésitant là aussi à l'embrasser sur la joue.

- Votre Grâce.

Un sourire tendre. Inutile de se présenter, même si cela aurait été tentant.

- Vous êtes ravissante, puis je vous conduire à votre place?

Et de la guider jusqu'au siège aux cotés d'Aemilia avant de disposer, regrettant plus que jamais de ne point avoir la possibilité de bavarder.
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Sancte
La foule débarque, toujours plus compacte au fil des secondes. Il entraperçoit le Grand Maître des Hospitaliers à qui il adresse un salut strict mais cordial. Il en fait d'ailleurs de même avec le Comte Gade, à la réputation si particulière mais qui, loin d'évoquer chez lui une forme raréfiée de dégoût, de mépris, ou d'admiration, lui inspire surtout le besoin de conserver une saine et bienveillante distance à son endroit, comme deux sortes de prédateurs similaires opérant sur des territoires & des procédés bien différents. Si fait, il décide de poursuivre son entretien en aparté avec le Grand Maître des Cérémonies, lui donnant -enfin- une tournure plus professionnelle.

« La Garde Royale est prête. Vous n'avez pas à vous inquiéter. »

Allons, allons, Iohannes. Une simple petite journée à passer. Ce n'est pas la mer à boire. Le tout est de ne jamais perdre de vue le but de sa présence en ces lieux. N'empêche. Ces introductrices ont-elles grandi sans père ? Une chose est certaine, ce n'est pas avec elles qu'il prendrait un malin plaisir à partager un morceau autour d'une table, et moins encore à les posséder sauvagement à l'écart de ces festivités qui de toutes façons, ne manqueront pas d'attirer toutes sortes d'individus bien moins recommandables que lui. Mais visiblement, les huissiers se croient seuls habilités à se vautrer dans le mépris à l'exemple de ces parfaits affranchis envers qui la verge de la justice ne saurait s'abattre sans provoquer un esclandre.

Vittoria a écrit:
Votre Altesse, votre interrogation plus que déplacée n'a pas sa place, ce jour, en ce lieu. N'oubliez pas que vous vous adressez à des officiers royaux. Je ne doute pas que vous ayez pris connaissance de l'annonce royale de Sa Majesté mentionnant que les officiers royaux sont les représentants de la Couronne de France. Que toute entrave et manque de respect à leur personne de par leur charge est une atteinte à la Couronne.
Et qu'une telle atteinte pouvait avoir des conséquences.


« La place de Saint Titus est à Rome. Je veux dire que chacun doit rester à la sienne en exerçant le métier pour lequel il est né. C'est donc le terme "bonniche" qui vous indispose ? »
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Axelle
Un couronnement. La foule. L’éclat des joyaux. Les murmures des étoffes soyeuses. Des chuchotements étouffés. Des titres en pagaille. Voilà exactement tout ce que d’ordinaire, la gitane fuyait à toutes jambes. La gitane, certainement, mais la Garde Royale qu’elle était apprenait à s’en accommoder et même, singulièrement, à se plaire dans cette ombre silencieuse que sa fonction requérait. Et là, au secret de ses tempes brunes, elle devait bien avouer que ce couronnement avait une saveur toute particulière, ravivant à ses narines le parfum des pigments délaissés à regret. Ou pas finalement à bien y penser. Mais de cela, rien ne devait transparaitre et rien ne transparaissait sur sa mine ambrée. Le menton haut et l’œil vigilent, l’uniforme impeccable jusqu’au luisant du cuir des bottes cirées et les boucles sauvageonnes domptées d’un turban sombre, quelques visages attirèrent son attention d’être connus et reconnus, sans pourtant s’y attarder davantage.

Les jeux, le défis, les rancœurs, les regrets même peut-être, n’avaient pas leur place en ce lieu, et s’il était une silhouette sur laquelle le regard noir se posait régulièrement, c’était en toute logique sur celle du Capitaine de la Garde Royale qui d’un simple regard ou d’un signe de la main saurait se faire comprendre par ses hommes. Rien de plus, rien de moins quand chacun de ses frères et sœurs d’armes étaient en place.

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Melissandre_malemort
Mélissandre valsait littéralement entre les invités, inclinant la tête pour saluer quiconque croisait son regard avant de s'approcher de Riwenn.

- Votre Grâce, bienvenu au Louvre. Je suis Mélissandre de Malemort, Princesse de France. J'espère que votre voyage fut bon?

Elle le guida jusqu'à la droite de la salle, lui indiqua un siège dans la rangé d'Aemilia et Victoire puis revint aux Portes.

- Monsieur Franckus, la bienvenue au Louvre. Je suis Mélissandre de Malemort, Princesse de France. Sa Majesté vous attend.

Et de l'accompagner jusqu'à son siège non loin des autres et de lui adresser un sourire très chaleureux pour le mettre à l'aise. Il semblait un peu perdu, ce qui était touchant. Elle pivota ensuite en direction de Sancte, intrigué par ce qui pouvait se passer dans la tête princière si prompt aux piques inutiles.

- Votre Altesse, inutile de me présenter à nouveau. Si vous voulez bien me suivre, je vais vous installer. Vous êtes très élégant.

Mélissandre inclina la menton à l'intention de Sancte, lui sourit et le guida jusqu'à Trône aux cotés de Julien à qui elle offrit un clin d’œil avant de retourner aux portes et d'adresser un salut éblouie à la belle exotique qui venait d’apparaître, la laissant faire sa ronde en paix.
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Franckus
et voilà le tour de Franckus d'être accueilli par la princesse en personne. franckus était un peu intimidé par toute ces personnes titré et avait tout de même la crainte de faire un geste, une parole déplacé ou encore une appellation du titre erronée lors des présentations.
mais il ne se laisse guère abattre par sa timidité et se lança.


Citation:
- Monsieur Franckus, la bienvenue au Louvre. Je suis Mélissandre de Malemort, Princesse de France. Sa Majesté vous attend.


- bonjour votre altesse, je suis ravie d'être ici et qu'elle honneur pour moi d'assisté a ce moment important.

il suivit la princesse jusqu’à son siège, qu'elle lui montra. il lui fit signe de la tête pour lui dire merci et s'installa dans le siège assez confortable. il refait un tour d'horizon avec sa tête pour apercevoir une tête connu mais en vain.
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Rosalinde
La garde royale était prête, c'était là le principal. Sur cette affirmation, elle emboîta le pas de Sancte qui se dirigeait vers les huissiers, ce pour s'assurer que tout allait bien de leur côté. Par bonheur, les premiers rangs, que devaient occuper les personnes les plus importantes du royaume, étaient encore très clairsemés, ce qui permit à Rosa de se rendre compte que... Cela n'allait pas du tout. Et le pompon fut atteint quand Melissandre proposa au capitaine de la garde d'aller s'asseoir. S'asseoir ! Le chef de la sécurité, assis !

C'était sa faute, d'un autre côté. Elle avait prévu de faire un plan de la salle à destination des huissiers, avec placement, et n'en avait pas eu le temps. Du coup, ne restait plus qu'à régler les choses en live. Rosa fit donc signe aux trois huissiers de la rejoindre, pour un ultime briefing.


- Mélis... Votre Altesse, Votre Grandeur, messire, un petit point sur le placement !
- Les pairs vont sur leurs sièges au fond de la salle.
- Les Grands Officiers qui ont une fonction particulière dans cette cérémonie, soit Alix du Viviers et Julien Giffard que j'ai déjà vu entrer, plus Elianor de Vergy, Agnès de Saint Just, Ingeburge de Malzac-Euphor, Zelha d'Aunou, Grégoire d'Ailhaud et Deedlitt de Cassel D'Ailhaud, devront être debout de part et d'autre des trônes. Il y a des tabourets pour l'attente, mais rappelez-leur qu'ils devront bien se trouver debout.
- Les officiers royaux, les nobles de France et les dignitaires étrangers sont à placer ensuite dans les premiers rangs, à votre convenance. Les roturiers au fond.
Et enfin, la garde royale reste debout et à son poste, capitaine inclus !


Bon, ok, elle avait compté sur ses doigts pour savoir si elle avait bien le nombre exact de grands officiers. Mais explication faite, elle leur adressa à tout trois un sourire d'encouragement.
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Vous voulez la même bannière ? Allez vous faire voir au Manoir des Artistes !
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