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[RP] Couronnement de Sa Majesté Angelyque

Rosalinde
Désolée pour le retaaaaard !


Dimanche 15 mars.

Un an très exactement après le couronnement du roi Jean. Et pourtant, la date avait été choisie au hasard, ce n'était qu'en consultant le registre des cérémonies deux jours auparavant que Rosalinde s'était rendu compte de cette coïncidence. Et que de péripéties. Date fixée un mois avant, et ils n'avaient connu la nature exacte de la cérémonie moins d'une semaine avant le jour J, à cause de quelques prélats récalcitrants à réaliser un sacre, chose qui décidément dépassait Rosa... C'était comme s'ils sciaient la branche sur laquelle ils étaient assis en refusant que le souverain de France soit reconnu comme appartenant à l'Église, enfin ça c'était son avis... Et bien heureusement, personne ne le lui avait demandé, elle n'était que celle chargée d'organiser le tout. Et ce serait donc un couronnement. Plus pratique, pas besoin de déplacer toute la cour à Reims, donc moins de cheveux blancs pour la maison royale.

Salle aux mille lys.

Murs tendus d'azur et d'une profusion de lys d'or, et duo de trônes d’apparat au bout d'une allée centrale. Derrière eux, et en arc de cercle, les cathèdres qui accueilleraient les pairs de France, tandis que les grands officiers se tiendraient de part et d'autre des souverains. Les regalias, retirés la veille à Saint Denis, attendaient sagement sur leurs coussins, veillés par un garde qui avait été spécialement dévolu à leur surveillance.

Tout était prêt, les portes s'ouvrirent et les invités pouvaient dès à présent entrer, tandis que Rosa, dans sa robe toute neuve, se tenait un peu en retrait, dans l'ombre, veillant qu'aucune tache ne vienne entraver sa réalisation.

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Vittoria
Salle aux mille lys


La Comtesse était arrivée un peu après le Grand Maitre des Cérémonies pour la seconder dans la mise en place de l'événement. Elle s'était donc faite discrète pour, en tant que Maitre des cérémonies, pour aider, jusqu'au bout à ce que le couronnement prenne progressivement forme.
Puis lorsque tout fut achevé, c'est en tant que Premier Huissier de France, qu'elle alla se placer aux portes de la salle aux mille lys, où les huissiers Monsieur Spartacus et Son Altesse Royale Mélissandre devraient sous peu la rejoindre, pour accueillir les inviter, dont ils seront en charge, de placer.

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Spartacus60
Spartacus vêtu de manière très élégante arriva dans la salle du couronnement qu’on nommait la salle aux mille Lys .Il fallait avouer qu’elle portait bien son nom, cette salle était l’une des plus lumineuses et des plus joliment décorées du Palais.

Le blondinet qui travaillait depuis quelques mois déjà au Palais, restait toujours impressionné par le souci du détail dont faisait preuve les décorateurs.

Il ne fit que quelques pas dans la salle sans vraiment aller au fond de celle-ci. En effet sa place était à l’avant étant huissier.
Il était un peu l’avant-garde , non pas la chair à canon quand même mais pas loin ^^ .
L’huissier se plaça donc au niveau de la porte où déjà la Comtesse Vittoria l’attendait lui et Son Altesse Royale Mélissandre .Après l’avoir salué poliment, il lui posa une question histoire de passer le temps .


Bonjour votre Grandeur, vous allez bien ?
Vous avez déjà officié lors d’un couronnement vous ?

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Melissandre_malemort
Dire que Mélissandre était mal à l'aise serait une délicieuse figure de style. Ce fut mortifiée que la jeune Altesse Royale prit son office ce jour là, rassurée par la présence de ses collègues non loin. Un sourire exquis à l'intention de Vittoria et Spartacus avant de s'installer a leur coté, le visage maussade, presque jolie malgré son front creusé par une petite ride. Combien de connaissances allaient elles s'amuser de la voir privée de la fête?

Au delà du fait que ce genre de cérémonie lui était normalement familière en raison de son rang, le fait de devoir porter une toilette excessivement simple était un véritable camouflet pour l'orgueilleuse petite princesse. Ce fut donc dans une robe de brocard ocre qu'elle prit son poste, délaissant le bleu royal pour le laisser aux invités. La couronne lui ceignait cependant le front, évidemment. Un joyau orné de lys qui scintillait sous les candélabres et rappelait à quiconque que le manque de respect se solderait par une très probable gifle mentale, à défaut de mieux.

Le temps de replacer une boucle de ses cheveux derrière son oreille et elle fut prète. Que le spectacle commence...

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Spartacus60
Spartacus accueillit l’arrivée de son Altesse Royale d’un sourire et connaissant son inquiétude, se pencha vers elle et lui murmura ceci.

Ne vous en faites pas votre Altesse Royale le premier qui vous manque de respect vous me le montrez et je demanderais aux serviteurs de faire tomber un plat en sauce sur lui lors du repas.

Il ne le ferait sûrement pas mais cela détendrait peut être son Altesse.
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Gade
Que le spectacle commence …

Pourquoi ne pas commencer par Gade ? Après tout, il fallait s'attendre à le croiser là, et même s'il n'avait pas été l'époux d'Elisabeth, il serait venu parce qu'il était noble mais aussi pour le plaisir de quelques moqueries. Comme un enfant, s'il se lassait vite de ses jouets, il s'amusait également d'un rien. Et c'était un sacré atout dans ce genre de réunion. Ils étaient tous plus beaux, courageux, méritants et surtout sérieux les uns que les autres alors que lui … Eh bien lui n'était que Gade. Un comte du Limousin et de la Marche, mais si, vous savez, l'espèce d'immense faubourg où règnent en maîtresses incontestées les (peaux de) vaches et les pommes …

Rien de plus transcendants chez le barbu donc, si ce n'est sa capacité à marquer les esprits. A commencer par celui de Rosalinde d'ailleurs, dont il avait marqué le corps avec autant d'ardeur et de passion. A son entrée, il posa un regard sur elle, prenant même la peine de lui adresser un sourire poli de circonstance. Il l'avait aimée si fort qu'il la méprisait à présent si bien …
Gade offrit le même sourire et la même inclinaison de tête à Vittoria, qu'il avait dû croiser lors de ses allégeances à la couronne de France, et à Spartacus qu'il ne connaissait pas.

Et bien évidemment, il avait gardé le meilleur pour la fin. L'Altesse Royale qui pour ce jour n'en était plus vraiment une. Il s'avança vers elle d'un pas lent, frottant l'ongle de son index droit contre la pulpe de son pouce tout aussi droit et étira un sourire malicieux.


    Madame l'Huissier, vous, ici.

Il retint malgré tout son petit ricanement, autant éviter de se faire remercier immédiatement. Il avait encore quelques discussions à avoir, notamment avec Rosa qui lui avait annoncé le couronnement un jour plus tard. Erreur qu'il ne croyait pas involontaire.
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Melissandre_malemort
Evidemment.

Il aurait été étonnant que Gade ne débaroule pas à l'instant même quand Mélissandre se retrouve en position de faiblesse. C'était l'histoire de sa vie. Déjà enfant, elle avait à peine le loisir d'amorcer une sottise que ce fichu Comte sortait de l'ombre pour la prendre le doigt dans le pot de confiture et se gausser de sa déconvenue.

En l’occurrence il était aisé de voir sur le visage du barbu qu'il exultait. Ses yeux d'aciers pétillaient d'amusement avec ce rien de sadisme qui teintait absolument chaque acte du Veynel et Mélissandre n'eut d'autre choix que de s'empourprer jusqu'à la racine des cheveux. Par dieu, probablement aurait elle du le detester depuis des lustres... Mais elle avait toujours éprouvé un plaisir coupable à se faire un rien malmené quand la majorité de son entourage la poliçait comme une jolie petite poupée royale niaise et creuse.

La roseur s'étendit jusqu'à sa gorge lorsqu'il eu le culot, l'infamie, le toupet de l’appeler "Madame". La capacité de Gade quant à se montrer odieux relevait presque du surnaturelle et Mélissandre se fendit d'un sourire onctueux qui puait l'hypocrisie à deux mètres.


- Veynel, vous ici. Je vous pensais plus prompt à fréquenter les bouges infâmes que les salles du Louvre. Je puis vous indiquer l'office peut-être? Je gage que quelque bonniche effarouchée saura vous en indiquer le chemin.

Et de pencher la tête sur le côté dans un doux tintinnabulement de joyaux, le visage encore légèrement rosie mais dans une attitude qu'un œil moins entraîné et qu'une oreille plus sourde aurait sans doute qualifié d'adorable. C'était là un talent cultivé depuis quatorze années, après tout.

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Sancte
Inutile de dire qu'en cet instant de tension qu'est un couronnement, il aurait souhaité se trouver ailleurs en ce jour. Pas qu'il craigne les devoirs de sa charge, mais il sait qu'en cette occasion, ils ne doivent laisser la place à aucune faiblesse de sa part. Cela dit, avantage considérable, la Garde Royale lui permet de conserver son côté fruste en ces occasions si mondaines, et rien que pour cela, il se sent presque prêt à vénérer ses fonctions. Capitaine de la Garde il est, Capitaine de la Garde il restera, certainement jusqu'à ce qu'un Monarque ou un Grand Prévôt lui annonce que l'on se passera dorénavant de ses services. Son plan de carrière ne se compte de toute façon pas en annuités. Au demeurant, il estime ne plus avoir grand chose à prouver concernant son attachement à l'unité du Royaume.

Son regard embrasse la salle aux mille lys. Les huissiers sont déjà prêts, et au milieu d'eux, il aperçoit Barbu vaguement rencontré au Mans, qui semble rôder autour des officiels comme un renard autour d'un poulailler. Le Capitaine traverse la salle d'un pas lourd pour rejoindre le Grand Maître des Cérémonies, et saisit au vol la remarque de la Princesse Malemort sur la valetaille du Louvre. Diantre, cette fille a tout l'air d'un moulin à paroles.


« Curieux que vous disiez cela. Moi qui me suis toujours demandé ce qui distinguait foncièrement un huissier d'une bonniche. »

Et, arrivé aux côtés de Rosalinde :

« Je suis là. Trop beau pour être vrai, n'est-ce pas ? »

Avant d'arquer un léger sourcil devant la mise de son interlocuteur.

« Qu'est-ce que vous foutez en pyjama ? »
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Melissandre_malemort
Mélissandre darda sur Sancte un regard intrigué, qui sans être mauvais se voilait d'un rien d'agacement. Pourquoi les haut nés se sentaient ils toujours obligés de se montrer hautain? Il lui avait pourtant laissé un souvenir agréable quand sa soeur les avait présenté. Il est vrai que les circonstances ne se prétaient pas à un quelconque mépris.

- Ce qui nous différencie des bonniches tiens notamment de notre capacité à appliquer le protocole.

Un court silence, le temps de prendre son souffle et d'ajouter avec un sourire poli.

- Votre Altesse, bienvenue. Je vous remerciement cependant de vous souvenir qu'on s'adresse à une princesse de France en usant de son prédicat, à défaut d'attendre d'y être invité, quand bien même elle ferait son office. Dois je vous annoncer?
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Gade
Le Louvre avait sans doute des airs de poulailler aux yeux de certains. Pour autant, il n'était pas assuré que de tous les prédateurs, Gade soit le plus affamé et encore moins le plus assidu. Il n'usait de ruse que pour la distraction, laissant l'art du plumage à d'autres aux desseins autrement plus intéressés.

Il laissa le Prince passer, s'inclinant avec courtoisie. Il n'avait jamais su s'il fallait l'appeler Sancte ou Iohannès, mais il savait bien qu'il était prince. Ce qui lui imposait le minimum protocolaire au moins. Dès lors qu'il fut à la hauteur de Rosalinde, Gade se tourna à nouveau vers la Petite Altesse Royale, baissant d'un ton pour tenter d'échapper aux oreilles indiscrètes.


    Nous serions-nous déjà rencontrés dans ces « bouges infâmes » ou bien n'est-ce là qu'une attaque gratuite ? Quelque soit la réponse, c'est décevant. Enfin, moins lorsque l'on vous considère à la place que vous tenez ce jour, Madame l'Huissier.

Il glissa une main dans son propre dos, poing fermé, et repris un peu plus bas encore.

    Je gage que vous seriez plus à même que n'importe qui de m'indiquer le chemin, Mélissandre. Si seul'ment vos fantasmes ne vous empêchez pas d'être aimable avec moi …

Il n'en dirait pas plus, qu'il l'ait connue enfant ne lui ôtait pas pour autant de la tête qu'elle était une princesse royale. Il se détourna sans trop attendre de réponse, elle n'en aurait pas, il en était persuadé, et partit rejoindre son épouse qui, évidemment, n'était jamais bien loin.
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Orthon
Les portes étaient ouvertes, Orthon devançait Alix du Vivier, Connétable de France. Orthon n'était pas habillé richement mais il avait fait de son mieux pour paraître. Il était homme de terrain, chasseurs de brigands, il avait plus l'habitude des bivouacs, des poursuites mais il fallait assister au couronnement. Ce n'était pas une perte de temps car il appartenait aux Bureaux des Grands Offices de la Curia et en temps que Lieutenant d'état-Major Royal, il se devait de représenter la Connétablie. "Il", ce n'était pas le sujet véritable, car il savait que d'autres officiers allaient entrer.

Personnellement, il était fier d'oeuvrer pour le royaume. Homme de l'ombre puisque loin de la Cour mais homme de coeur. Il entra dans la salle aux mille lys, ne faisant que quelques pas, saisi par la beauté de l'espace. Il se ressaisit rapidement et observa d'éminents personnages. Ne voulant les interrompre dans leur conversation et ne sachant où il devait se tenir ou plutôt où devait se poster les membres de la Curia, il attendit qu'un huissier, un garde, quelqu'un vienne lui donner quelques explications.

Les regards se posaient sur sa personne, intrus quelque part devant ces têtes couronnées, mais il représentait aussi son connétable. Patiemment, figé dans un garde à vous parfait, il observait sans mot dire.

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Vittoria
Vittoria se tenait là, non loin de ses deux huissiers qui commençaient à accueillir les premiers invités. Elle répondit d'un signe de tête au salut du Comte Gade qu'elle avait déjà croisé auparavant, puis continua de surveiller tranquillement lorsqu'elle vit arriver Sancte.
Son regard s'assombrit soudainement à l'entente du terme "bonniche" en référence aux huissiers. Et bien que la princesse de France tenta de recadrer le Prince qui n'avait rien de princier, la Comtesse qui ne tolérait pas ce genre de comportement, surtout venant d'un "censé" Prince intervint :


Votre Altesse, votre interrogation plus que déplacée n'a pas sa place, ce jour, en ce lieu. N'oubliez pas que vous vous adressez à des officiers royaux. Je ne doute pas que vous ayez pris connaissance de l'annonce royale de Sa Majesté mentionnant que les officiers royaux sont les représentants de la Couronne de France. Que toute entrave et manque de respect à leur personne de par leur charge est une atteinte à la Couronne.
Et qu'une telle atteinte pouvait avoir des conséquences.


Puis elle le regarda partir, lâchement, après avoir balancé sa bêtise aussi grosse que son titre qu'il ne mérite pas, vers le Grand Maitre des cérémonies qui semblait être l'étrange attraction du jour ... Vittoria n'en resterait pas là. Oh non... Elle défendait bec et ongle, l'Office des Huissiers, la Maison Royale et la Couronne et il était hors de question qu'on l'insulte de la sorte. Prince ou non.
Un mot de plus, et elle planterait le Couronnement là, suivit ou non de ses huissiers. Qui sait, peut-être qu'elle étendra la chose à la salle du plaid et à la salle du trône.
Grève générale !
Mais pour l'heure, il y avait des gens plus respectueux qui se présentaient et qui méritaient amplement d'être accueillis par les huissiers.

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Rosalinde
Arrivée de Vittoria, à qui Rosa adressa un sourire un rien tendu et un petit croisement de doigts, manifestant ainsi son espoir que tout se déroule bien. Les huissiers entrèrent à sa suite, elle reconnut notamment la princesse Melissandre, croisée à Limoges lorsque la rousse y vivait encore. A l'époque gamine curieuse de tout, qui semblait avoir bien grandi depuis. Mais l'heure n'était pas à la nostalgie, d'autant qu'elle eut la désagréable surprise de voir Gade entrer. Premier arrivant non-membre de l'équipage de ce fichu navire, et qui se paya même le luxe de lui adresser un sourire, l'air de rien. Peu encline à se laisser démonter pour si peu, elle se contenta de lui répondre par la pareille, avant de détourner son regard vers les regalia, comme pour vérifier qu'ils étaient toujours bien là.

Distraite un instant, elle reprit le cours de ses pensées pour voir apparaître Sancte à ses côtés. Un sourire pour le prince de Clichy, à qui elle répondit tout d'abord :


- Croyez bien que si vous ne vous étiez pas pointé je serais venue vous chercher par la peau des fesses !

Et la seconde remarque n'altéra même pas sa risette. Les hommes et la mode... Aussi, la Wolback se fit-elle malicieuse.

- Je savais que vous aimeriez. C'est la dernière mode en Italie !

Choix peut-être peu patriotique, mais toute amatrice éclairée sait bien que les tendances n'ont pas de frontières.

- Même si... Je dois avouer que je n'arriverai jamais à la cheville de votre épouse le jour de vos noces.

Et quand on savait ce que Rosa avait écrit dans l'AAP à propos de cette dernière tenue, il y avait de quoi rire. Elle s'en empêcha néanmoins en se mordant la lèvre, se préparant déjà à recevoir une cinglante répartie de la part du von Frayner ; il en était coutumier.

Mais trêve de plaisanteries, les choses sérieuses ne devaient pas être laissées de côté.


- Tout est prêt de votre côté ? Je ne sais plus si je vous avais dit... Sa Majesté a émis un doute vis à vis de l'une de ses filles, Evanaelle. Je ne sais si elle se laissera aller à quelque débordement dont elle semble être coutumière, mais si vous pouvez vous assurer qu'un garde sera bien posté dans son secteur... Il faut aussi noter que, selon les ambassades royales, les Bretons viendront en nombre. Et vous connaissez les Bretons...

Son auguste nez se fronça un rien à leur évocation. Elle n'avait jamais aimé les Bretons, et ne les aimerait sans doute jamais. Cela dit, il y aurait une de ses cousines dans la délégation, qu'elle n'avait jamais rencontré auparavant. Cela lui promettait de pouvoir jouer à qui est qui.
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Alix_du_vivier
Elle était arrivée en compagnie de ses officiers Royaux, vêtue d'une robe noire et d'une longue cape de la même couleur, Alix se trouvait au coté d'Orthon, son ami depuis toujours et Lieutenant à la connétablie Royale depuis un bon moment déjà.
Les autres officiers, se tenaient non loin d'elle impatient et peut être un peu nerveux de l'évènement à venir.
C'est avec une certaine fierté que la Connétable assisterait à ce couronnement d'Angélyque.
Femme qu'elle avait appris à connaitre au fil des mois, connaitre et apprécier.

Un sourire quand Orthon entra d'un pas ou deux dans le salon des mille Lys, elle savait son ami respectueux du protocole .
Elle attendit donc à ses cotés la suite et qu'une huissier ne revienne vers eux.
Elisabeth_stilton
La dernière fois elle avait été là comme Grand Chancelier, cette fois elle n'était que Héraut d'Armes et Premier Ecuyer de France, en plus d'être noble d'Île de France. En gros ne pas venir était un affront fait à son souverain et suzerain. La blonde avait donc passé une robe d’apparat pour cet évènement où elle irait accompagné de son époux. Les stigmates de leur dernière disputes ne se voyaient plus du tout si on mettait de côté son dos toujours marqué par ce qu'elle s'était infligée. Son masque de cérémonie ornait son visage, elle était la parfaite épouse.

Elle s'arrêta un instant regardant les regalias un brin nostalgique, un autre temps qu'elle préférait oublié, elle était soumise à des crises de dépression et avait très mal supporter le règne de Jean, du moins la partie qu'elle avait vécu comme grand officier de la couronne. A peine le temps de se souvenir de tout cela que son époux avait disparut. Elle le chercha du regard pour le trouver en pleine discussion avec la petite Malemort qu'elle soupçonnait avoir un faible pour Gade. Enfin comment pouvait elle reprocher aux femmes d'apprécier un homme qui l'avait fait elle même succomber. Elle fronça les sourcils un instant aux paroles de la jeune femme qui se permettait une familiarité qui ne lui plaisait guère surtout pour raconter ce genre de chose sur son époux devant tout à chacun. Elle qui faisait tout pour étouffer chaque rumeur. Une fois près de son géant elle ne pu que lui faire la remarque qu'il ne l'aidait guère.


Mon ami, je fais tout pour que votre réputation soit irréprochable mais si vos femmes s'amusent à dire tout et n'importe quoi, n'importe quand et devant n'importe qui. Je ne peux pas faire de miracle non plus.
Trouvons nous une place tranquille.

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Premier Ecuyer de France et héraut généalogique de N à Z. ~ Si vous voulez jouer, un MP.
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