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[RP] Cérémonie d'allégeance au Duc (27 mars 1458)

Theudbald
Della a écrit:
Bourgogne, j'ai ici, l'allégeance de ma chère Duchesse de Nevers. Je souris à Bourgogne en prononçant Nevers...Je vous la livre car je sens une méchante migraine menacer ma pauvre tête et le repos est la seule médication qui soit réellement efficace. J'espère que vous ne la perdrez pas...je parle de l'allégeance.


Agacé d'être dérangé alors qu'il était souffrant, le héraut fit une grimace de dénégation. Il refusa de prendre la lettre. D'habitude affable et bienveillant envers Railly, celle-ci venait de le mettre en rogne.

Duchesse de Nevers, ce n'est pas un titre, c'est une usurpation. Dois-je aussi noter que votre suzeraine abandonne le Nivernais ?
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Porte-Parole du Conseil Ducal
Della
Wawouw...c'est qu'il avait de grandes quenottes quand il mordait, l'ex-héros !
Je reculai légèrement, comme pour me protéger d'un éventuel coup de griffe qui aurait suivi.

Hé !

Oups, j'avais peut-être fait trop de bruit...et plongeai le nez vers Theudbald, une fois encore, en murmurant :
Oui, bon, je taquinais...je recommence...J'ai ici, l'allégeance de la Duchesse de Nivernais, vous savez de qui je parle...Béatrice de Castelmaure, maintenant souveraine du Bolchen...Voulez-vous bien la prendre, je vous prie, très cher Héraut, il faut que je me retire...Finis-je par soupirer dans un de ces soupirs transpirants la souffrance comme seules les femmes peuvent la laisser deviner.
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*** Fan de "pas de prépa au RP" ***
Angelyque
Toujours en plein essayage

Son air candide n'eût apparemment pas l'effet escompté sur le Duc, son teint avait tendance à virer au violet

Heu, non! C’est vous qui n’allez pas bouger! Un mouvement brusque et vous allez me révéler vos dessous…

La Baronne baissa les yeux sur sa tenue, bon, elle était un peu courte c'est vrai, mais il suffisait de rajouter un petit liséré de dentelle tout en bas afin de la rallonger...et puis c'est pas comme s'il y avait un avis de tempête annoncé dans la salle du trône, le Vaxou était décidémment très vieux jeu!

Prise d'une subite inspiration, elle allait répondre de façon à entourloupiner le rabat-joie quand elle entendit


-Je crois que vous allez avoir besoin d’aide pour choisir…

ne lui laissant pas même une minute pour les proposer d'autres modèles choisis qu'il se tourna vers la couturière et passa commande pour une robe couvrante...

Bien entendu la couturière s'activa à aller chercher un modèle correspondant aux ordres, dans la partie réservée aux rombières...qu'elle avait délibérémment ignorée et revint avec un modèle répondant aux critères.

La Baronne poussa un profond soupir résigné, elle n'oubliait pas la menace que lui avait fait son père adoptif dans le coche et une robe, ma foy, même hideuse, ça pouvait toujours s'ôter facilement...tandis que..

direction salon d'essayage et re-défilé devant le trouble-fête qui avait pourtant une réputation dont elle-même n'avait pas à pâlir, bienséance oblige, elle devait s'y plier...


Celle-ci vous sied mieux? j'ai l'impression d'étouffer moi là-dedans, si mon époux me voit la-dedans il retournera aussitôt au monastère pour ne plus jamais en sortir...


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Ingeburge
Sauvée!

Certes ce ne fut pas par un de ses vaillants vassaux – deux en fâcheuse posture en Provence, un agonisant en Bourgogne – ce ne fut pas non plus par un quelconque messie venu sur terre afin de les préserver de la damnation éternelle et ce fut pas plus par un groupement de fiers Bourguignons à la sanglante Croix de Saint-André leur barrant la poitrine venus délivrer une ville aux mains des Infidèles mais cela y ressemblait furieusement dans l'esprit perturbé de la Duchesse d'Auxerre qui ne se privait pas d'établir ces parallèles pour le moins audacieux. Mais l'horreur, l'effroi, expliquaient largement ces réflexions intimes.

Enfin, elle venait d'être sauvée. Elle avait bien perçu du mouvement derrière elle mais elle n'y avait fait guère attention tant elle était attirée par les portes et mue par son désir de quitter les lieux au plus vite afin de de respirer l'air extérieur. Et c'est alors qu'elle tentait de fuir le les lieux de l'ignominie qu'elle avait été secourue par une Sorane qui avait gardé ouvert l'œil et le bon.

Empressée, celle-ci se garda bien de la toucher mais lui fit comprendre de la suivre. Ingeburge put ainsi voir la Vicomtesse de Couches se saisir du fauteuil qui avait été le sien et le sien seul depuis le début de la cérémonie et en bouter hors et sans ménagement le Seigneur de Dennevy qui semblait avoir reçu une illumination quasi mystique. Ingeburge ne s'attacha guère à l'air béat du Grand Maître de l'Ordre de la Toison d'Or car elle tâchait de contenir les soubresauts de son cœur et les frémissements de son corps outragé. La seule chose qui lui comptait pour elle était de sortir au plus vite et peu lui importait les airs des uns et des autres, elle regardait sans voir, entendait sans écouter, tout lui paraissait environné de brume. Elle observa donc le fauteuil libéré d'un œil éteint et il fallut à nouveau un geste de Sorane pour qu'elle comprît qu'elle devait se rasseoir et se reposer là, et pas ailleurs. Elle consentit donc à avancer, peu rassurée par la perspective de ce qu'elle pourrait encore rencontrer comme obstacle sur son chemin mais encouragée par les bons offices de son amie. A celle-ci, elle dédia un sourire timide qui était la seule chose qu'elle était en mesure d'accorder dans son état avant de se tourner à nouveau vers le siège.

C'est donc mi-craintive mi-motivée, qu'elle retourna vers celui-ci, reprenant peu à peu conscience de de ce qui l'entourait, le brouhaha de la salle commençant à revenir à ses oreilles et les objets et les gens à sa vue. Et ce qui acheva de la faire revenir totalement à elle fut la saillie du Héraut de Bourgogne qui avait élevé la voix lui qui depuis le début ne s'exprimait qu'avec parcimonie. Stupéfaite et recouvrant les inquiétudes qui étaient les siennes depuis le début de la cérémonie, elle put ainsi voir son maître aux prises avec la Dame de Railly qui s'était exclamée à son tour et qui tentait manifestement de remettre un pli à Theudbald. Décidément, l'emplacement de la délégation héraldique bourguignonne était à la mode! Pas moyen d'être tranquilles alors qu'elle aurait aimé que ce soit le cas au vu de l'état du héraut et parce qu'après tout, c'était devant le trône ducal qu'il s'agissait d'être assidu.

Dans un délicat bruissement de soieries, Ingeburge se résigna à reprendre sa place non sans s'être assurée que personne ne s'y était subrepticement glissé et si elle n'entendit guère, et même pas du tout, ce que Della servit comme réponse à la réplique du héraut, elle intervint néanmoins car en ce jour c'était plus que jamais son rôle que de soulager son maître. La Poursuivante d'Armes de Bourgogne tendit donc une main baguée toujours tremblotante vers le porte-parole ducal et lui présenta sa paume ouverte, indiquant simplement, la voix quelque peu altérée :

— Je vais prendre la missive, ma dame.

Un valet vint présenter un hanap à ce moment-là, attention amicale de Sorane et détournant un instant les yeux, la Duchesse d'Auxerre désigna la petite table placée non loin d'un léger signe de tête. Elle boirait, pour sûr, elle en avait grand besoin mais il était de son devoir de maintenir le calme et le vide autour de l'Irancyçois.
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Vaxilart
Bien que le Duc fasse confiance à la tenancière de l’établissement de couture, la crainte que la Baronne prépare d’autre ignominie vestimentaire ne s’était pas du tout dissipée. De fait, quelle réjouissance ce fut d’enfin trouver devant lui sa fille digne de son rang.

-Vous êtes magnifiques Baronne. Les couleurs sobre s’agencent bien à l’humilité aristotélicienne, et la coupe est digne d’une princesse – si si!

À ce moment, il n’était plus question de parler de prix, mais bien de payer. Le Duc fit donc dos à la baronne question de se rendre au comptoir, quant un dernier article attira son attention.



Combien pour cette ceinture?
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Angelyque
La Baronne fit une grimace tandis que le Duc avait le dos tourné, il commençait à prendre son rôle de père un peu trop au sérieux...même son époux n'était point si sévère...

Quand elle le vit porter son attention sur une chose bizarre, elle prit tout de même peur et d'une voix mal assurée elle lui dit


Votre Grâce, il faudrait peut être que nous nous mettions en route, le Duc ne nous attendra pas indéfiniment...vous achèterez un présent pour votre promise une autre fois...tenez regardez la vilaine robe que voilà!!! si vous voulez je puis la porter...elle me couvre encore plus que l'autre...mais par pitié...reprenons la route!!


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Vaxilart
D’un regard malicieux, le Duc se retourna vers sa douce Angelyque.

-Vous avez raison, le temps presse. Voilà déjà deux ou trois heures que nous sommes partis, pas le temps de vous changer – gardez la brune. Nous reviendrons bien une autre fois…

Allez, houst houst, au coche! Je finis le paiement et vous rejoint.


Après avoir déposé une bourse bien pleine sur la table, le Duc avait tel que promis rejoint sa fille et la cabriole démarra prestement. Il ne fallait quand même pas retourner trop tardivement sous peine d’insulter sa grasce.
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Saxaltesse
La Vicomtesse était toujours alitée et ne pouvait se rendre aux Allégeances, elle fit parvenir une missive au Chateau, en priant le valet de Bien vouloir signaler qu'elle n'allait toujours pas fortement.

Citation:
Par la grâce d'Aristote,
nous, Saxaltesse Vicomtesse du Chatel de Ligny, en Bourgogne,

à vous, Eusaias de Blanc-Combaz, Duc de Bourgogne par la grâce des urnes,

salut.

Par la présente, nous reconnaissons comme suzerain vous, Eusaias de Blanc-Combaz, Duc de Bourgogne par la grâce des urnes.

Que nous vous devons désormais respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium),

Que si un conflit venait vous opposer vous, Eusaias de Blanc-Combaz, Duc de Bourgogne , notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Que nous ne puissions enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre par un courage téméraire. Si cependant nous osions le tenter, que nous sachions que nous encourrerions l'indignation du Dieu tout-puissant et de ses bienheureux prophètes.

Pour que l'autorité de notre sermentation obtienne une vigueur plus ferme dans les temps à venir, nous avons décidé de la confirmer par notre main et de la signer par l'impression de notre sceau.

nous Saxaltesse Vicomtesse du Chatel de Ligny en Bourgogne, a écrit et ratifié,

Date en l'enceinte du château de Dijon, le 27 Avril 1458.

Qu'il en soit ainsi et heureusement. Amen.



quelques petits problème m'empêche de participer, désolée

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Aubin Fichot, incarné par Ingeburge
Hé bé, quand la Patronne d'Auxerre se mettait à gueuler, elle y allqit de bon cœur, à s'en péter les cordes vocales et à en faire souffrir les esgourdes de ses Morvandiaux! Et c'est ce cri surgi de la gorge de la duchesse qui possédait donc un coffre que semblait démentir pourtant son corps menu qui paralysa un instant Aubin Fichot. Car il ne crut pas tout d'abord que ça venait de sa maîtresse. Elle qui ne parlait jamais, qui ne réagissait à rien et qui ne paraissait même pas respirer, hurler comme ça? Pour sûr que ça le surprit et ce ne fut que la vue du Cardinal de Fer pas au mieux de sa forme qui le fit se remuer le train. Il sortit laborieusement son épée de son fourreau – laborieusement car ça ne lui arrivait pas souvent – prêt à écrabouiller celui qui avait causé une telle frayeur à l'Auxerroise. Mais Aubin Fichot ne vit rien, rien de remarquable en tous les cas et remisa arme et bonnes intentions là où elles auraient dû rester. Après tout, les autres gars n'avaient pas l'air concernés et le vassal lui-même ne semblait pas être ému. Ça, c'était certain, vassal de la Duchesse d'Auxerre, c'était le bon plan, mieux en tous les cas que chargé de veiller sur le portail du castel, pas besoin d'être debout tout le temps, pour rien – qui se serait avisé d'aller emmerder la pénible princesse impériale? – de subir les gueulantes de Lambert Harserieux ni d'être contraint de regarder ailleurs quand une baronne peu farouche décidait de s'effeuiller. Non, ce n'était pas une vie même si c'était mieux que de devoir se crever la santé aux champs ou dans les vignes et si au châtelet, il avait droit à cette belle cotte argent et azur et le droit de se pavaner, poitrail barré de la Croix de Bourgogne dressé fièrement en avant.

C'est ainsi qu'Aubin Fichot se lamentait et se réjouissait tout à la fois, songeant à cette partie qu'il se promettait, pour le soir, quand la duchesse aurait regagné ses quartiers dijonnais et qu'il serait libéré de son boulot du jour. Oui, une belle nuit qui s'annonçait en taverne avant de regagner Auxerre et son foutu châtelet. Une belle soirée pour se délasser car nom de Dieu, il en avait marre de poireauter debout, là!

Du mouvement se fit aux portes et il avisa un valet, pli à la main. Certainement une lettre d'un de ces nobles de Bourgogne qui ne pouvait se traîner jusqu'en la capitale. Aubin Fichot tergiversa durant quelques secondes : bouger ou ne pas bouger? Bouger signifiait travailler, ce qui était une chose inconcevable pour lui mais bouger signifiait se dérouiller les guiboles et de ça, il en avait bien besoin.

C'est ainsi que pour la première fois depuis bien deux mois, Aubin Fichot prit une initiative et intercepta et le domestique et le courrier, servant au premier dans un délicieux patois que nous ne retranscrirons pas un truc tout à fait inutile tout en s'emparant du second.
Puis Aubin Fichot retourna vers sa maîtresse afin de lui remettre une missive qu'il lui présenta en lui adressant un sourire des plus charmeurs...

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Ingeburge
... enfin, c'est ce qu'il croyait. Le sourire était niais, simplement niais – si Aubin l'avait su, il s'en aurait été mortifié – mais elle ne le vit point. Elle ne le vit point car elle était trop occupée à dodeliner de la tête pour signifier au valet venu lui servir un hanap de vin qu'il devait déposer son chargement là et à attendre que la Dame de Railly lui remît sa lettre.

De sa main libre, la Duchesse d'Auxerre accueillit néanmoins le pli présenté par son nonchalant Morvandiau, regardant à peine celui-ci... Il faut dire qu'elle venait d'aviser que le Baron de Cudot avait reçu réponse du duc.

Décidément, elle avait recouvré ses pleines capacités, elle remarquait tout ce qu'elle devait constater, elle était prête à rependre son office et à suppléer le héraut défaillant. Elle éleva donc la voix :

– Le Vicomte de Chamilly est prié de s'avancer jusqu'au trône ducal.

Cette fois, elle prit bien garde de ne pas se lever, elle était encore trop marquée par l'événement récent qui avait fait suite à son avant-dernier appel. Non, il n'était pas question, là, de risquer à nouveau de se mettre sur ses pieds et de risquer ensuite et surtout une nouvelle malencontreuse rencontre.

Ayant œuvré pour la cérémonie avance, elle regarda à nouveau Della.

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Angelyque
La Baronne avait donc gardé la robe brune non sans avoir passé commande discrètement pour la bleue...la couturière enverrait tout simplement la facture à son époux...comme d'habitude...

Sans plus se soucier de ces détails elle monta dans le coche et attendit en tapotant du pied que le Duc la rejoigne, priant de ne pas avoir raté d'événements croustillants..

Direction la salles des allégeances...leur absence n'avait que trop duré!

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Erikdejosseliniere
Le corps est ici, mais sa tête est ailleurs...

C'était encore parti pour une tournée -dire qu'il en avait sa claque de cette cérémonie tout aussi inutile qu'ennuyeuse relevait du lieu commun éculé le plus absolument partagé par tous ses pairs et paires- d'allégeances.

Mais il avait fait promesse au neuf Duc de Printemps qu'il montrerait sa trombine une fois encore, pour la plus grande gloire de la Bourgogne et de ses petits enfants.

Enfants...

Empêtrés dans des vêtements un peu trop amples (cette fois, il ne se laisserait plus surprendre, comme la dernière, à devoir échanger son vieux surcot, son mantel élimé, ses chausses de campagne, avec les atours modernes de cérémonie de son bien aimé vassal, entre deux cahots d'un vilain carrosse), Le Tri ressemblait à un bourgeois endimanché, quoi que content de lui -ce qui n'était pas forcément antinomique- que les besoins d'une campagne de guerre ne saurait plus surprendre ! Ainsi, il s'était fendu la bourse dans une échoppe parisienne des abords du Louvre. Les Galeries Levanettes lui avaient été chaudement conseillées par un collègue feudataire avant de quitter le Royal Palais et, bien que peu porté sur les choses de la mode pas plus que les fanfreluches, il devait s'avouer ne point regretter ses emplettes. C'est qu'il se devait d'être beau pour accueillir son épouse et, surtout, avant tout, d'abord, en premier lieu, plus que le reste, évidemment, bien sur, forcément, inévitablement, sans hésitation, superbement, incroyablement, indubitablement, certainement, paternellement, fièrement, trop-content-de-luiment le nouveau né qui s'annonçait, toutes voiles dehors -du moins, bedon angevin qui s'en dédie- en ces jours prochains !

C'est donc un Duc un peu dindon, dodelinant du derrière comme donzelle dans un défilé, qui débita, dodécaphonant, au diable de gardien défendant la lourde entrée de la salle :


Diantre ! C'est moi que v'la ! Ecart' toi donc, maraud !

Poussant, sans délicatesse ni qu'on lui laisse le temps d'ouir l'invite, la dite porte d'entrée...
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EN REFECTION pour un temps indéterminé. Duc de Corbigny, de Chateau-Gonthier,etc. Pair de France, à l'occasion.
Verbam
Le vicomte entendit son nom, comme sorti d’un rêve, avait il vu ce qu’il avait vu ou alors s’était il assoupit?
Ce ne semblait pas un rêve, s’avançant vers le trône, la vision était la même, un héraut a l’agonie et la duchesse poursuivante tentait de poursuivre, la baronne printanière poursuivit par quelques démons avait disparue tout comme celui qui tout a coup s’était rappelé qu’il était son père adoptif.
Le vicomte arrivant au trône, ne trouvait pas le duc en grande forme et pensa qu’il valait mieux faire vite avant qu’une catastrophe n’arrive.

Il ne pu réprimer un sourire de voir Eusais sur le trône, les deux hommes ne s’appréciait plus, mais un lien les tiendra toujours, Enyz.

il s’inclina devant le duc et les représentants de l’hérauderie en plus ou moins bon état.


Nous Virgile d’Erbamtour, viens ce jour, prêter une fois de plus allégeance a la Bourgogne.
Je vous reconnais vous Eusaias de Blanc-Combaz, duc de Bourgogne par la grâce des urnes, comme suzerain.
Vous jure respect aide et conseil que vous souhaiterez réclamer.

Que le très haut veille sur ce serment et me frappe si j’en suis parjure.

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Olivier1er
Le Seigneur de Dennevy encore tout "chose" du contact inopiné de l'inaccessible Prinzess... n'en revenait toujours pas.

Elle s'était assise sur lui. Sûre qu'elle l'avait fait expres. Sûre qu'elle avait mijoté cela dans son charmant minois.

Chassé par le Duchesse Sorane du siege encannaillant de la Prinzess-duchesse-archiseche aux bas d'eminence...Il ne put s'empecher de crier au "Scandale" en son fort interieur. Sorane venait de briser un charme naissant, un moment magique, qui avait électrisés a la fois la Duchesse d'Auxerre et le Seigneur de Dennevy.

Il repensa au moment où le princier fessier vint à la recontre de son Seigneur...euh.non petit Jesus...enfin petit...n'exagerons pas non plus...un Jesus de taille normale, raisonnable meme...et puis au hurlement qu'elle a poussé, la prinzess a certainement cru tomber sur un os... et depuis elle est cuite.

Il tourna un regard vers la Prinzess qui prenait maitenant un plie, appelait son Suzerain le Vicomte de Chamilly et donnait des ordres pour qu'on deposa du vin a sa porté.

Il sourit en la regardant faire. L'emotion du contact qu'elle considerait certainement comme charnel, l'avait tourneboullée.. Elle n'osait meme pas le Regarder...de peur de rougir certainement avec ces sentiments nouveaux.

Il détaillait cette femme etrange, tout à la fois belle et adorable, froide et distante.

Lui, venait de voir la braise sous la couche épaisse de Glace... Alors que tous le monde ne voyait en elle que la chantilly.

Elle lui avait ouvert l'appetit avec son manege et sa technique du rentre dedant...

Il l'observait avec attention et malgres lui, un sourire carnassier se dessinait sur visage.

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Asdrubaelvect
Le Duc, à côté de sa fille, commençait à s'ennuyer. Soudain, sorti de ses rêveries, il lui demanda :

Depuis combien de temps sommes-nous ici ?
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