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[RP] Cérémonie d'allégeance au Duc (27 mars 1458)

Aubin Fichot, incarné par Ingeburge
BAM.

Bruit des deux lourdes portes qui se referment, mues par un Aubin Fichot décidément en très grande forme.

Bruit des deux lourdes portes signifiant que nul ne peut désormais entrer en salle du trône, qu'il soit noble ou simple message d'un d'entre eux.

Bruit des deux lourdes portes ne marquant pas pour autant la fin de la cérémonie car certains doivent encore passer.

Bruit des deux portes définitivement closes par un Aubin Fichot qui retourna ensuite se placer derrière la délégation héraldique bourguignonne qui lui avait donné consigne d'agir ainsi.

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Theognis
Trouve les portes closes, alors qu'il se rendait à la salle du trône pour l'allégeance coutumière au Duc. Poings sur les hanches, s'exclame:

Elle est bien bonne, celle-là! Dois-je prendre ma hache pour défoncer la porte, ou me laisseras-t-on entrer?
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Partage des RP
Les Terres d'Arquian
Vaxilart
Après que le Duc Asdrubaelvect eut réponse à son allégeance. Le Duc, désormais las de la longueur de la cérémonie s’avança vers le Duc.

-Votre Grasce, devant Dieu et St-Bynarr, je vous assure pour les fiefs d’Auxonne et de St-Fargeau ma loyauté, mes conseils, et mon aide militaire.

Que d’Arquian mettre sa main sur ma bourse si à ce serment de défaillis!


Et intérieurement que Dieu l’en préserve!
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Theudbald
Le soir était arrivé, les portes étaient refermées, le héraut consulta péniblement le nobiliaire.
La plupart des absents avaient envoyé des lettres de demande d'allégeance, et celle-ci seraient étudiées dans la nuit, lors de l'habituelle séance privée qui devait avoir lieu avec le Riche Duc. Il remarqua deux noms auxquels il n'y avait rien de noté. Les valets bleus n'avaient rapporté aucun courrier et n'avaient pas non plus enregistré leur entrée au Palais des Ducs.

Morkail et Theognis.

De sa main gauche, il annota dans la marge
Default d'allegiance ?. Il conviendrait de vérifier plus tard l'exactitude de ce fait et de déclarer l'abandon des fiefs concernés, le cas échéant.
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Porte-Parole du Conseil Ducal
Eusaias, incarné par Theudbald





Salade ! Avait envie d’hurler le Duc. Salade, comme dans le jeu du foulard, lorsque tout le monde doit s’en mêler. Salade comme, finissons en vite fait avant d’aller retrouver nos assiettes. Salade comme foutaise aussi… Mais de cette idée, nul mot ne fut dit et ce fut avec sagesse que le balbuzard décida de continuer la cérémonie. Il salua de vive voix le duc Asdrubaelvect avec l’eternel réponse :

En ce jour de Mars, nous Eusaias Blanc-Combaz, Riche Duc, jurons, à vous Asdrubaelvect et pour vos terres d’Avallon et Sombernon protection, justice et subsistance.

Tape sur l’épaule Dijonnaise, baiser de paix et au suivant de celui qui suivait le suivant du précédent ! C’est que ça faisait la queue aujourd’hui pour avoir le Eusaiesque baiser. Le Duc Vaxilart s’avança à son tour et rebelote. Ah non… Le serment tait plus original, étant donné qu’il mettait un troisième larron en compte. D’ailleurs, où se trouvait Arquian ?

Votre Grace, Je prends bonne note de votre serment. Je dois avouer que de savoir la main d’Arquian suspendue au dessus de ses bourses doit être pour vous facteur de motivation pour ne pas faillir…

Un sourire de biais sur le visage du piaf.

… et c’est pourquoi en ce jour nous, Grand Lion, vous jurons protection, justice et subsistance pour la durée de notre mandat.

Bisous, tape sur l'épaule et dix de der !


Theudbald
Un regard sur le nobiliaire. Il restait à entendre Monseigneur Virgile d’Erbamtour, Sa Grâce Erik de la Josselinière, Dame Angelyque de Montestier-Mirandole.
Et la duchesse d'Auxerre pour la fin, puisqu'elle devait officier.

D'une voix éraillée, il déclara :


Q-que le suivant s'avance, je vous prie.
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Porte-Parole du Conseil Ducal
Angelyque
La Baronne regarda à gauche...à droite...et se dépêcha d'approcher du trône avant que le Tri-pé-pair ne s'avance, il avait le chic pour faire durer son serment durant des plombes.

Tout en s'approchant du Duc, elle coula en sa direction un regard lumineux, pestant interieurement contre son pudibond de père, alors que celui-là même fréquentait les lieux les plus luxurieux la nuit....mais bien entendu, elle devait faire mine de ne pas savoir afin de ne pas subir son courroux.

Elle regrettait de n'avoir pu garder sur elle sa jolie robe, d'autant plus que le Duc avait semblé apprécier, si ce n'était l'Evesque qui le tenait à l'oeil, il lui aurait surement demandée de s'approcher un peu plus... finalement elle le trouvait ensorcelant ce Duc qui l'avait bien des fois fait tourner en bourrique....

Elle s'inclina devant lui dans une charmante courbette et jura


Nous, Angelyque, nous vous prêtons allégeance pour notre baronnie de Cruzy le Chastel. Nous vous jurons donc conseil, soutien et aide pour votre mandat.
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Eusaias, incarné par Ingeburge



L’astre solaire qui se levait en même temps que le Balbuzard et se couchait quelque peu avant lui, avait parcouru un bon bout de son chemin quotidien quand la Baronne réapparu. Eusaias, des yeux malins braqués sur elle, acquiesça d’un sourire les allégeances faites par celle qu’il aimerait rendre bien plus frivole. Bien que moins aguicheur sa nouvelle tenue restait bien agréable à regarder. Le Balbuzard donna l’accolade à la Joinvilloise et ponctuant d’un :

Nous Riche Duc, en ce jour, promettons à la jolie baronne de Cruzy le Chatel, protection, justice et subsistance et ceci pour la durée de notre mandat.

Il aurait fort bien parlé de gages et d’accords financiers, mais il se tut et porta ses lèvres sur celles de la baronne. Enfin un baiser à une autre dame !


Ingeburge
La Poursuivante d'Armes de Bourgogne qui avait décidé de ne plus se mettre en frais au vu de l'enthousiasme des présents avait donc laissé faire, observant d'un œil éteint le ballet des derniers intervenants. Et parce que cette manière de faire ne devait guère plaire à son maître, celui-ci s'anima quelque peu et invita les retardataires à se presser un peu. Cette activité renaissante chez son vassal ranima quelque peu la Duchesse d'Auxerre qui se gourmanda in petto de ne s'être point montrée attentive jusqu'au terme de la cérémonie.

Se redressant, elle suivit l'allégeance de la Baronne de Cruzy-le-Châtel, son visage marmoréen et boudeur se voilant d'une moue écœurée, bientôt, ce serait à son tour. Mais avant...

Mais avant :

— Le Duc d'Anj...
Interruption, juste à temps, le Pair-sifleur n'apprécierait guère :
— ... de Corbigny est invité à s'avancer jusqu'au trône.
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Theognis
Il glissa une lettre sous la porte.

Citation:
Moi, Theognis Montereau, Baron d'Arquian et de Seignelay, prête allégeance au Duc de Bourgogne Eusaias, jurant sur ma vie de lui donner assistance et conseil sous le sceau d'une irréfragable fidélité.

Absolument,

Erikdejosseliniere
Puisqu'il en fallait bien un dernier, il serait celui-là ! Il lui avait semblé que tous les autres y étaient passés à cette sempiternelle bouffonnerie des allégeances, bien que totalement endormi sur la fin. Mais c'est que la journée était déjà fort avancée, qu'il n'avait rien pu manger ni surtout boire, et qu'à force, quelques soient les tentatives de son amie Angélyque et de quelques autres pour mettre un peu d'ambiance, d'Eusaias pour s'appliquer au mieux à la tache, tout cela avait décidément de moins en moins de sens et de vie. Que la hérauderie ne pouvait-elle, une bonne fois pour toute, décider que la noblesse ferait allégeance au Duché, et non au dépositaire momentané du trô, et tout le monde s'en porterait bien mieux, à commencer par l'estomac et le foie du tri. Enfin... Puisqu'il en fallait un dernier.

Erik, encore un peu ensommeillé d'avoir tant attendu que son tour arrive, se leva à l'appel de la Cerbère Héraldique, s'approcha au devant de son duc, visiblement lui aussi fort fatigué par la prestation, posa genou au sol et prononça, presque mécaniquement, des paroles qu'il ne parviendrait décidément jamais à se souvenir ni à prononcer de la manière rituelle :


Nous, Erik de Josselinière, Duc de Corbigny, duc consort d'Anjou malgré nous, duc de Chateau-Gonthier et Seigneur de Croixille par la grâce de notre épouse, Pair de France par celle de notre Roy, vous prêtons, à vous, Eusaias, Duc de Printemps et de Bourgogne, Balbuzard indomptable, allégeance pour le seul domaine qui vaille véritablement à mon coeur, celui qui me fut confié pour service rendu à notre commun duché. Nous vous promettons de vous assurer, quoi qu'il puisse vous arriver dans les jours et les mois à venir, le gîte et le couvert, mon bras armé, malgré l'âge avançant, bon vin si vous avez soif, quelques mots ici ou là s'il nous apparaissait qu'on vous ment, qu'on vous trompe ou que l'on tache de vous séduire malicieusement. Nous vous redisons ici-même que si nous estimions que vous ne gouverniez point notre Belle Bourgogne ainsi qu'elle le mérite, vous savez ma bouche assez prompte et assez franche pour vous l'exprimer face à face, quelques puissent en être les conséquences. Nous affirmons que nous jurons tout ceci sans l'ombre d'une hésitation, vous sachant bien assez doué pour ne pas vous laisser aller à vos antiques travers et trop direct pour ne pas répondre à l'affront par un autre affront, mais dans les règles de l'honneur et des devoirs physiologiques imposées par votre virilité.

Bref silence, déglutition instinctive et nécessaire après ces premières phrases, regard amical vers le Duc, et l'on en termine avec cette plaie bimestrielle :

Sous le ciel d'Aristote, je jure de respecter cette parole pour autant que je ne me sente moi-même trompé par vous, ou encore relaxe de ma parole par vos propres soins ou par des mensonges ou des tromperies dignes de femelles humeurs, ce que vous n'avez évidemment point, ou que vous ne vous détourniez de la seule vraie Foi ! Voilà, votre Grace ce que je souhaitais jurer devant vous et devant la noblesse de notre province. Que Christos vous prête longue vie !

Le genou toujours posé sur les froides dalles du Palais Ducal, un bras replié, le poing contre la poitrine, l'autunois attendit tout aussi patiemment que tous les autres avant lui que l'insaisissable Eusaias lui réponde... Mais bon diou qu'il faisait soif !
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EN REFECTION pour un temps indéterminé. Duc de Corbigny, de Chateau-Gonthier,etc. Pair de France, à l'occasion.
Eusaias, incarné par Ingeburge




Le pé-Paire s’avança après, ce moment silence que le balbuzard avait interprété comme un hommage de la noblesse, à l’un des pères Bourgogne et néanmoins pairs de France. Erik de Jossilinière, le génie Autnois. Erik incarnait le parfait bourguignon, loyal, hardi et pieu il était doté d’un génie et d’un verbe « Cardinalesque ». Mais Erik était bien plus que tout cela aux yeux du Duc. Il était son ami, un confident, la voix de la bonne conscience. C’est avec un regard ému, reconnaissant qu’il regarda le Grand Bourguignon lui porter allégeance. Une main amicale se porta sur l’épaule du Tri-omphant.

Allons debout mon ami. Un homme de ton gabarit ne devrait poser genou au sol devant le Très Haut seulement. Mais prions pour que tu ne sois pas présenté à lui tout de suite, la Bourgogne a trop besoin de toi encore.

L’aidant à se relever.

Nous Eusaias, Riche Duc, de part ce geste sans ambiguïté nous te promettons de t’apporter en tout temps, Justice protection et subsistance.

Il lui donna le baiser et l’accolade sans autre commentaire. Après tout, les deux hommes se connaissaient assez pour savoir ce que pensait l’autre. Nul besoin de mot lorsqu’une franche tape sur l’épaule faisait résonner leur amitié.

BAM !


Celle-ci résonnerait à travers le royaume.



Ingeburge
Ou simplement dans la tête de plus en plus douloureuse de la Duchesse d'Auxerre.

Celle-ci, fatiguée et lasse, les tempes vrillées par une migraine de plus en plus aigüe n'en pouvait plus et n'attendait qu'une chose : pouvoir prêter allégeance à son tour, clore la cérémonie et enchaîner avec la corvée des réponses aux allégeances épistolaires. Alors, cette claque sur l'épaule, cette bourrade virile résonna pour elle comme un coup de gong l'invitant à se lever et à débiter son serment.

C'est donc pressée d'en finir et encore plus ennuyée que de coutume que la Duchesse d'Auxerre se remit sur ses pieds et se dirigea vers le trône. Elle ne s'avança guère que de quelques pas, peu désireuse de se trouver à proximité immédiate de son suzerain et s'ouvrant ainsi un plus large champ en cas de retraite précipitée. Elle avait vu, elle ne les avait que trop vus, les baisers de paix administrés de force aux rares femmes de l'assemblée, elle ne serait pas la troisième.

Ainsi placée à un distance conséquente du Balbuzard, la Prinzessin déclara d'une voix ferme et légèrement haussée afin qu'on l'entende clairement :

— Moi, Ingeburge, Duchesse d'Auxerre, prête allégeance à l'aristotélicienne Couronne de Bourgogne et jure fidélité à son titulaire, vous, Eusaias, à qui je vous promets conséquemment aide, service armé et conseil.

Hop, plus qu'à attendre la ducale réponse et ce serait fini.

Promis.

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Eusaias, incarné par Ingeburge




L'ennui ayant pris place de l'envie, le Balbuzard ne tenta même pas de faire rapprocher Auxerre.

Tres bien Auxerre, nous vous jurons donc protection, justice et subsistance en retour.

Amen !



Olivier1er
Le Seigneur de Dennevy contemplait la Duchesse D'Auxerre faisant son allégeance...Le Baiser Vassalique... un sentiment de jalousie naissait instantanément...Eusaias...allait pouvoir toucher des levres la douceur de celle de la Duchesse....

Ah...non...elle reste à distance.... Il sourit interieurement...Il jubilait meme... Ainsi, il ne s'était pas trompé. Elle s'était sciement assise sur ses genoux...et là elle refusait un geste protocolaire.

Leurs échanges vifs...n'étaient donc que l'expression d'une passion naissante. Il n'en avait pas conscience lui. Il avait fallut que cette femme d'action prenne l'initiative en lui faisant volontairement du rentre dedans. La ficelle était certe grosse - surtout devant la Bourgogne quasi entiere - mais il faut reconnaitre qu'elle sait y faire. L'air de rien elle avait declenché en lui un incendie qui maintenant commencait à le consumer : il l'a desirait...

Elle repoussait le Duc de Bourgogne...et s'était "offerte" à lui...enfin à ses genoux...

ll la devorait yeux : d'un regard intense et brillant..

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