Criskool
Les deux jeunes femmes et l’enfant furent rejoints par Grodard qui avait des petits soucis vestimentaires … ou plutôt des soucis de couverture.
- Ma famille à moi ! Cris, mon amour, ma douce aimée, ma promise ... Ewann, mon fils de cœur, mon fils tout court ... Neti, ma belle-sœur, ma diaconesse préférée, mon amie !!! Pfffiouuu ... que d'émotions ces dernières vingt-quatre heures ... on en a tous baver ... bon les toutous, ils ont l'habitude ... mais nous ...
Les présentations à l’assistance étaient faites. Puis un sanglot dans la voix de Grod, Cris caressa la joue de son aimé tendrement et lui sourit.
Etreinte familiale au beau milieu de la taverne et des anglois qui devaient se dirent que les français ont de bien curieuses coutumes.
Une fois les démonstrations affectives passées, Cris se sentant d’humeur joviale, posa sa main sur le torse dévêtu de son tendre amour et s’approchant tout prêt de lui commença à chantonner
Mets-toi tout nu, si t'es un homme.
Histoire de voir où nous en sommes.
Qu'on me donne un primate.
Sans cravate.
Un héro.
Sans rien sur le dos...
T'es bien plus beau comme ça.
Un point c'est tout.
Un point c'est toi.
Je t'aime comme ça.
Un point c'est tout.
Un point c'est toi.
Sans artifice.
Un point c'est tout.
Un point c'est toi.
Où est le vice...
Le poussant légèrement, elle continua un peu plus fort
Enlève la tenue.
Si t'es un homme.
Qui peut le plus.
Peut le minimum.
Et comme ça.
Tu restes la faiblesse.
De mon for intérieur.
Et moi, maîtresse.
En ta demeure...
T'es bien plus mâle comme ça.
Un point c'est tout.
Un point c'est toi.
Je t'aime comme ça.
Un point c'est tout.
Un point c'est toi.
Sans dessus, ni dessous.
Et puis c'est tout.
Et c'est comme ça...
Tournant autour de lui et ne faisant plus cas de tout ce qu’il se passait autour d’eux
Gageons que tes états sauvages.
Feront moins de ravages.
Que tes plumes de paon.
Quand toi géant.
Moi j'aime.
Quand tu tiens d'Oane *.
Moi je tiens à toi.
Je t’aime comme ça.
Un point c'est tout.
Un point c'est toi...
Je t'aime comme ça.
Sans rien du tout.
Sans rien que toi.
Un point c'est tout.**
Oui décidément ils sont bizarres les français, ou peut être que c’est juste CES français là.
Cris jeta un coup d’œil autour d’elle et vit tous les regards pointés sur elle. La jeune maman rougit, elle d'habitude si réservée était le centre de l'attention, et se blotti timidement dans les bras de son futur époux. L’embrassant longuement, elle senti la couverture qui le couvrait se dénouer, elle la rattrapa avant qu’elle ne tombe à leurs pieds et ne les fasse passer pour des exhibitionnistes. Cris ne pu s’empêcher de dire tout bas à son fiancé :
Pour la pratique, pas en public on verra ça en privé
Puis elle passa ses bras autour de la taille de Grod maintenant la couverture fugueuse, lui sourit et l’embrassa tendrement.
* Oane le premier homme à avoir ressenti le lien avec Dieu
** « Un point c’est toi » de Zazie, légèrement modifié pour la cohérence avec l’époque
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- Ma famille à moi ! Cris, mon amour, ma douce aimée, ma promise ... Ewann, mon fils de cœur, mon fils tout court ... Neti, ma belle-sœur, ma diaconesse préférée, mon amie !!! Pfffiouuu ... que d'émotions ces dernières vingt-quatre heures ... on en a tous baver ... bon les toutous, ils ont l'habitude ... mais nous ...
Les présentations à l’assistance étaient faites. Puis un sanglot dans la voix de Grod, Cris caressa la joue de son aimé tendrement et lui sourit.
Etreinte familiale au beau milieu de la taverne et des anglois qui devaient se dirent que les français ont de bien curieuses coutumes.
Une fois les démonstrations affectives passées, Cris se sentant d’humeur joviale, posa sa main sur le torse dévêtu de son tendre amour et s’approchant tout prêt de lui commença à chantonner
Mets-toi tout nu, si t'es un homme.
Histoire de voir où nous en sommes.
Qu'on me donne un primate.
Sans cravate.
Un héro.
Sans rien sur le dos...
T'es bien plus beau comme ça.
Un point c'est tout.
Un point c'est toi.
Je t'aime comme ça.
Un point c'est tout.
Un point c'est toi.
Sans artifice.
Un point c'est tout.
Un point c'est toi.
Où est le vice...
Le poussant légèrement, elle continua un peu plus fort
Enlève la tenue.
Si t'es un homme.
Qui peut le plus.
Peut le minimum.
Et comme ça.
Tu restes la faiblesse.
De mon for intérieur.
Et moi, maîtresse.
En ta demeure...
T'es bien plus mâle comme ça.
Un point c'est tout.
Un point c'est toi.
Je t'aime comme ça.
Un point c'est tout.
Un point c'est toi.
Sans dessus, ni dessous.
Et puis c'est tout.
Et c'est comme ça...
Tournant autour de lui et ne faisant plus cas de tout ce qu’il se passait autour d’eux
Gageons que tes états sauvages.
Feront moins de ravages.
Que tes plumes de paon.
Quand toi géant.
Moi j'aime.
Quand tu tiens d'Oane *.
Moi je tiens à toi.
Je t’aime comme ça.
Un point c'est tout.
Un point c'est toi...
Je t'aime comme ça.
Sans rien du tout.
Sans rien que toi.
Un point c'est tout.**
Oui décidément ils sont bizarres les français, ou peut être que c’est juste CES français là.
Cris jeta un coup d’œil autour d’elle et vit tous les regards pointés sur elle. La jeune maman rougit, elle d'habitude si réservée était le centre de l'attention, et se blotti timidement dans les bras de son futur époux. L’embrassant longuement, elle senti la couverture qui le couvrait se dénouer, elle la rattrapa avant qu’elle ne tombe à leurs pieds et ne les fasse passer pour des exhibitionnistes. Cris ne pu s’empêcher de dire tout bas à son fiancé :
Pour la pratique, pas en public on verra ça en privé
Puis elle passa ses bras autour de la taille de Grod maintenant la couverture fugueuse, lui sourit et l’embrassa tendrement.
* Oane le premier homme à avoir ressenti le lien avec Dieu
** « Un point c’est toi » de Zazie, légèrement modifié pour la cohérence avec l’époque
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