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[RP – 16 janvier] Cathédrale – Sacre / Coronation

Ingeburge

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" Reims, c'est pas le Stade de France " + contexte = boutade, ça ne vise personne. C'était juste une respiration dans un RP assez lourd à encadrer, RP qui n'est fermé à personne. Toujours dispo par mp.
LJD Inge.
Ingeburge
[A l'extérieur de la Cathédrale – 16 janvier, peu après les laudes]


Après un court passage par l'Hôtel de Nagan, destiné à prendre un bain et à changer de tenue – celle-là même qu'elle arborerait durant la cérémonie du sacre et l'office qui suivrait – elle était revenue aux aurores à la cathédrale, soucieuse de régler les derniers détails et d'être là avant les autres afin de pouvoir les recevoir. Elle arriva ainsi alors que les premiers rayons du soleil commençaient à poindre à l'horizon et que quelques hommes agiles accrochaient sur la façade occidentale, celle correspondant à l'entrée principale, les tentures bleues frappées des traditionnelles trois fleurs de lys d'or et quelques oriflammes reprenant les armes de France et le chiffre couronné de la nouvelle Reine de France.



D'un œil attentif et avisé, elle observa durant quelques minutes le numéro d'équilibre des manouvriers, positivement fascinée par leur habileté. Puis, un léger frisson causé par une petit vent aigrelet vint lui rappeler qu'elle ne pouvait demeurer ainsi, à l'extérieur, au risque d'en attraper du mal et qu'elle devait effectuer un dernier tour de l'intérieur de la Cathédrale de Reims afin de vérifier que tout était en ordre. Un dernier coup d'œil à l'imposant portail aux nombreuses statues – ici un groupe figurant le baptême de Clovis, ici la galerie dite des rois, composée de cinquante-six figures dotées des attributs traditionnels des rois – et elle pénétra dans l'édifice, non sans avoir avoir salué d'un léger signe du chef les gardes se trouvant en faction juste devant les portes. En ce jour, seule le double vantail du centre serait ouvert, les portes latérales resteraient closes et verrouillées, dûment gardées, comme toutes les issues que comportait le lieu.



[A l'intérieur de la Cathédrale, fermée au public – 16 janvier, office de prime]


L'heure était désormais à l'inspection générale. Elle avait passé quelques instants dans la sacristie, afin de poser ses affaires et de se recueillir. Elle était restée abîmée dans ses prières durant de longues minutes, puisant dans son introspection et son action de grâces la force de mener à bien sa mission. Certes, elle ne partait pas en guerre, elle n'entreprenait pas un voyage pastoral mais de cet événement majeur, d'une importance capitale et telle que l'on n'en avait pas vue depuis des années, dépendrait l'image que revêtirait la royauté pour les mois à venir. Et puis, même si elle ne serait là en ce jour qu'en sa qualité de Grand Maître des Cérémonies de France, elle ne pouvait laisser de côté le clerc et la servante du Très-Haut. Alliance du trône et de l'autel comme aimait à le dire son neveu, elle le symbolisait, en quelque sorte, duale mais une.
Elle sortit de la sacristie et décida de commencer son examen par le début de l'église, du côté du narthex. Elle rejoignit l'antéglise par une des nefs latérales, rapidement, ne voyant rien, ignorant tout, préférant avoir comme première vue celle qu'aurait les invités puis les cortèges officiels, en pénétrant dans la cathédrale.

Le narthex donc. C'était le second point de passage, après celui du portail et comme au niveau de celui-ci, quelques gardes seraient en poste. Il s'agirait pour eux d'observer les entrants mais aussi de contrôler le port d'armes, en effet, hormis les personnes chargées de la protection des lieux et des personnes et le Chevaliers de Rome, nul ne pourrait pénétrer en étant armé. Les gardes, au choix, confisqueraient les épées, dagues à rouelle et autres lames ou conduiraient au dehors ceux ne voulant pas se soumettre à la règle. Quelques exemplaires du Livre des Vertus seraient également mis à disposition des fidèles désireux de suivre la liturgie.

Quittant le narthex, elle rejoignit le vaisseau central – d'une rare homogénéité architecturale avec ses colonnettes rondes et ses piliers circulaires – composant, avec les collatéraux, la nef. Les bas-côtés en ce jour demeureraient vides, y seraient seulement postés quelques hommes en armes, seules les travées du vaisseau central étant destinées à être occupées. Et celui serait divisé en deux parts, l'une affectée au peuple qui entrerait dans la cathédrale une fois le couronnement fini, l'autre aux invités au sacre. La partie populaire était meublée de simples bancs de bois et était séparée du reste par un cordon de velours rouge devant lequel prendraient place quelques gardes, afin de contenir les mouvements de la foule et les éventuelles tentatives d'intrusion. L'Auxerroise fit quelques pas, avec lenteur, nez en l'air, afin d'observer les voûtes de style gothique et les chapiteaux ornés pour la plupart de décors végétaux et parfois, d'animaux et d'hommes. Un coup d'œil en arrière lui donna une perspective sur le revers de la façade occidentale chargé lui aussi de statues et trouvé d'une rosace de vitraux.

Elle reprit sa marche, lentement, subjuguée par les couleurs que jetaient la lumière matinale jouant au travers des hauts vitraux du chœur et du transept. Première travée après le cordon, destinée à accueillir sur la gauche, lorsque l'on fait face à l'autel, les membres de l'Ordre Royal du Lys. Devant eux, dans la travée suivante, prendrait place la noblesse de France à la droite de laquelle s'assiéraient les officiers royaux, tous offices confondus. Ici, les bancs étaient sculptés et accompagnés de prie-dieu. Avançant toujours, elle passa dans la travée suivante, celle destinée, sur la droite, aux vassaux d'Île-de-France, aux Grands Maîtres des Ordres Royaux et aux invités personnels de la reine et sur la gauche aux membres de l'Assemblée Episcopale de France. Quelques pas de plus, et elle gagna la dernière travée avant le transept, travée garnie de banquettes moelleuses et confortables, avec le prie-dieu assorti, sur lesquelles prendraient place sur la gauche, les souverains étrangers et sur la droite, les grands feudataires du royaume français.

Ingeburge s'immobilisa. Là, devant elle, au niveau de la croisée du transept, s'élevait l'échafaud sur lequel prendraient place Béatrice et Guise une fois qu'ils auraient été couronnés. L'ouvrage de bois, au sommet duquel l'on parvenait par des degrés, avait été recouvert de tentures de velours bleu profond sur lequel avaient été rebrodées, avec du fil d'or, des fleurs de lys. Cet échafaudage accueillait tout en haut deux trônes, l'un massif, celui de la reine et l'autre, de dimensions plus modestes mais à l'ornementation non moins riche, celui de son époux. C'était là que le couple royal suivrait la messe suivant le sacre, face à la nef, afin que tous puissent voir, des invités au peuple qui serait introduit à ce moment précis, la reine Béatrice en majesté, c'est-à-dire parée des symboles de sa charge. D'une main précautionneuse, le Grand Maître des Cérémonies arrangea le tombé d'une des tentures, puis, fit le tour, une fois, deux fois, de l'échafaud qui serait gardé par des hommes en arme.

Ayant finalement contourné l'édifice éphémère, elle alla d'un bout à l'autre du transept, vérifiant que tout était en ordre dan ce coin-ci. Ce serait là, que sur la gauche, seraient installés les membres de la Très Sainte Curie romaine et derrière eux, les porteurs de la Sainte Ampoule. Face à ces éminents prélats et pieux laïcs, la tribune des Pairs de France, dans le dos desquels s'assiéraient les Grands Officiers de la Couronne et tous pourraient ainsi se voir, malgré les trônes surélevés, l'échafaud étant suffisamment décalé vers l'arrière. Banquettes confortables garnissaient le transept, elle venait de s'en assurer.

Quelques pas lui furent ensuite nécessaires afin de rallier le chœur. A l'extrémité de celui-ci, au plus près de la croisée du transept, avaient été installées deux cathèdres garnies de coussins, une pour la reine et l'autre, légèrement en retrait, pour son époux. C'était là que tous deux suivraient la cérémonie du sacre, seraient oints et recevraient les regalia. Les sièges royaux faisaient face à l'autel. Derrière celui-ci, dans les stalles situées entre lui et l'abisde, viendraient prendre place les officiants de la cérémonie et de la messe. La table sacrée avait été recouverte d'une nappe à la blancheur immaculée et semée de fleurs de lys de fils de soie blanc et c'est là que seraient disposés les insignes royaux et les objets du culte. Et, au fond du chœur, juste devant l'abside, avaient été accrochées en hauteur deux tapisseries issues des grands ateliers du nord du royaume, l'une représentant le baptême de Clovis, l'autre, plus abstraite, exaltant, à grands renforts de symboles – cerfs ailés, fleurs de lys, couronne, banderoles aux caractères gothiques porteuses de messages d'encouragement, armes des provinces françaises – la royauté.



[A l'intérieur de la Cathédrale, fermée au public – 16 janvier, tierce]

L'heure était arrivée d'ouvrir les portes aux invités qui ne manqueraient pas de se presser sur le parvis. Avant cela, quelques mots furent de nouveau échangés avec les responsables de la garde royale, des ordres royaux et de la garde épiscopale afin de donner les dernières recommandations et d'autres dits aux huissiers royaux chargés du placement. Puis, le Grand Maître des Cérémonies de France retourna durant quelques instants dans la sacristie. Là, Ingeburge acheva sa toilette et ressortit de la petite pièce totalement apprêtée. Du noir, encore du noir, toujours du noir. Vêtue d'une houppelande de velours noir aux manches évasées laissant deviner une cotte de taffetas et à l'encolure en V pudiquement entrouverte sur un tassel de cendal, elle avait passé par-dessus son baudrier de cuir ornementé et sombre et ceint ensuite son épée de chevalier. Et plus que jamais du noir, de la tête aux cheveux couleur ébène divisés en deux longues nattes retenues par un nœud de velours aux pieds glissés dans des souliers de cuir fin. Seuls éclats de couleur, les bagues ornant chacun de ses doigts, sa couronne ducale aux pierreries scintillantes et le lourd collier de la Toison d'Or aux briquets dorés et aux flammes de rubis déposé sur ses épaules éclairaient cette débauche soyeuse et obscure. Et du noir enfin, dans la main de la Prinzessin qui tenait fermement en main son caducée de velours noir chaussé d'or et surmonté d'une couronne fermée du même, symbole de sa charge de Grand Maître des Cérémonies de France.

Un signe, un seul, et un bedeau se précipita dans le narthex. Le silence régnait dans la cathédrale, seulement troublé par la rumeur provenant de l'extérieur et la course de l'homme qui bientôt ne produit plus aucun bruit. Profitant de cet ultime répit avant la tempête, Ingeburge se remémora les premiers temps forts : les invités d'abord, à placer selon la préséance, puis, une fois ceux-ci installés, c'était l'entrée solennelle des Pairs de France, des Grands Officiers et des cardinaux. Ensuite, le cortège des porteurs de la Sainte Ampoule se présenteraient, prélude à l'arrivée de la reine et de son époux. Jusque là, Ingeburge ne respirerait pas, après non plus d'ailleurs, mais elle préférait se concentrer pour le moment sur cette première partie.

Et le silence fut rompu, les cloches tintinnabulèrent, marquant le début de l'événement et, une minute après le début de l'appel argentin, les portes centrales de la Cathédrale de Reims furent ouvertes. Le Grand Maître des Cérémonies, placé au niveau de la croisée du transept, attendit les premières apparitions, le cœur battant.

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" Reims, c'est pas le Stade de France " + contexte = boutade, ça ne vise personne. C'était juste une respiration dans un RP assez lourd à encadrer, RP qui n'est fermé à personne. Toujours dispo par mp.
LJD Inge.
Actarius
[Hôtel de Nagan - 16 janvier]

Le temps était venu. Insipide, inaltérable en son majestueux cours, il avait coulé parsemant ses sillons sur le visage du Vicomte. Pour qui l'avait connu jeune et fringant, le changement paraissait invraisemblable. Des folles et longues mèches d'autrefois ne subsistaient que la décadence. Si nulle calvitie ne s'était insidieusement immiscée en cette chevelure de sombre écorce, les premiers fils d'argent, eux, s'offraient avec indolence au léger souffle qui parcourait la pièce.

La peau si lisse était désormais creusée de quelques rides, les joues imberbes avaient fleuri d'un poil dru, aussi sauvage que l'hiver cévénol. Le collier de barbe s'affranchissait en un bouc à la taille particulière, franche, aiguisée presque qui n'était pas sans rappeler quelques figurations diaboliques. Et ces yeux, seules reliques oubliées par le temps, ils avaient la profondeur des champs de bataille, de l'amour comme de la mort, ils scintillaient encore de cette teinte rare, pareille à de la terre d'ocre qu'on aurait brûlée, de cette fougue d'autrefois.

Sans doute un peu frêle, sa silhouette s'était durcie sous les entraînements. Les épaules avaient pris le large trahissant la robustesse d'un corps aguerri. Voilà le reflet que cet homme avait face à lui, l'image du temps, de ses bienfaits, de ses ravages. Il esquissa un mystérieux sourire, réajusta son pourpoint azuré, l'azur, l'azur, toujours l'azur, ceignit sa couronne vicomtale, revêtit son mantel et disparut, caducée de velours noir en main. L'homme de guerre laissait place à l'homme de cour. Mais le père, le mari demeurait. Et celui-ci souhaita le bonjour à son aimée puis à son cadet, avant d'offrir les dernières recommandations, à savoir notamment qu'il convenait de se placer aux rangs réservés à la Noblesse de France.



[A l'intérieur de la Cathédrale, fermée au public – 16 janvier]

Tandis que le Grand Maître des Cérémonies opérait les derniers réajustements vestimentaires dans la sacristie, le Phénix fit son entrée. Aujourd'hui plus que jamais encore, il ressentit l'infinie puissance de la majesté des lieux. Ils incitaient à la plus pure des componctions, à la plus humble des attitudes. Plus que jamais, il pressentit que l'âme de sa défunte suzeraine le rejoindrait bientôt, aux premiers chants, aux premières paroles... elle surgirait dans sa robe d'albâtre et survolerait la nef. Il le sentait déjà ce parfum de Fleur d'Oc et il s'en réjouissait en son for intérieur.

Il se signa et s'abandonna à la contemplation. Devant lui l'échafaud, la mort de la monarchie héréditaire, l'avènement de la monarchie élective. Devant lui se jouerait bientôt un pan d'histoire, lui, le fils de paysans, lui, l'enfant de Margéride. Il inspira profondément, une dernière fois, comme il le faisait avant un assaut et avança, masqué par l'écho des pas du brave bedeau.

Bientôt les cloches retentirent, bientôt le Magnifique se mêla à l'ombre dans le sillage de la cardinalice Auxerroise. Il lui avait simplement souri, quels mots auraient pu être prononcés ? La cérémonie n'était pas commencée, pourtant la messe était dite.

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Stephandra
[La Cathédrale – 16 janvier...]

Journée particulière, levé ou plutôt nuit blanche l'ayant précédée, tombée du plume était le terme exact...
Une nuit glaciale puisqu'elle la passa seule, son époux n'ayant point pu se joindre à elle... Stéphandra avait enfilé sa tenue de Capitaine de la Garde Royale de cérémonie, Bleue et rouge, une robe malgré tout mais légère qui lui permettait monte à dos d'équidé et déplacement rapide.
Épée au fourreau bien disposée, fin prête elle retrouva ses hommes et femmes qui étaient sous ses ordres et donna les dernières directives.


Ricco et Dore en extérieur comme prévu au portail.

Coxynel et Tol dans le narthex afin de vérifier le dépôt d'arme, seuls les personnes citées hier sont autorisées à en porter.

Kevin et Fallgor vers le cordon..

Maccornel vous escortez la Reyne et son époux jusqu'à l'intérieur et resterez non loin un peu en retrait malgré tout, je doute que se poser sur leur genoux le fasse..
Léger sourire

Jason dans le coin des cardinaux, j'irai dans le coin de pairs de France, Anthoyne?
Hum où est il?
Anthoyne voilà, à la séparation invité peuple, pas la place la plus simple...Donc avec Kevin et Fallgor.

Les autres aux points stratégiques également..


La Capitaine passa en revue chacun de ses gardes, vérifiant que la tenue était conforme mais qu'elle tombait bien également. Ils étaient tous des officiers royaux, allaient assister à une cérémonie exceptionnelle, pour la plupart ils n'en avaient jamais vécu d'identique, ils devaient faire honneur à la Garde Royale et à leur Souveraine...aussi ils étaient tous un peu nerveux.

L'heure était venue de se rendre à l'endroit E, Stéphandra accompagnée de Tol et Coxy prit la direction d'un pas rapide mais léger du lieux du sacre...Arrivés sur le parvis bon nombre d'invités et badauds se trouvaient déjà là, tous tombé du plume?

La veille la jeune femme avait pris le temps d'admirer les détails architecturaux de la cathédrale, durant la nuit après la veillée, Stéph avait étudié le plan des lieux que leur avait fourni son Éminence Ingeburge, rien ne semblait être laissé au hasard.

Des rondes avaient étaient organisées pour toute la durée de la nuit, les entrées avaient été gardé. Collaboration des OR, GE et GR, grande première qui ne serait sûrement pas la dernière. Stéphandra espérait que cela serait également l'occasion d'une sorte de rapprochement de tous, mais peut être était elle encore une fois candide,mais " l'espoir fait vivre!"

Inclinaison de tête à ceux dont elle croisait le regard mais sans s'attarder fit son approche de l'entrée en douceur du lieux Saint.
Inclinaison du buste face à Ingeburge et Actarius, la tension était palpable, éclaircissement de voix


Vostre Éminence, messer Actarius, le bon jour...
Je viens poster mes gardes dans le narthex si vous me le permettez.


Bien que nombreux membres des différents ordres étaient déjà sur place également, valait mieux que le narthex soit préalablement muni de bons yeux avant les différentes entrées à venir.

Elle même resterait à l'entrée jusqu'à l'arrivée de sa Majesté, qui était plus que bien entourée pour sa venue icelieux.

La Capitaine attendit l'autorisation de son Éminence, sans poser plus avant de question, un "Comment allez vous?" aurait été poli mais comment peut on être lorsque telles responsabilités vous sont placées entre les mains à part tendu?

Sans plus attendre, le trio se rendit dans le narthex, derniers mots échangés entre eux, Stéphandra leur sourit, leur souhaiter "bon courage " ou leur signifier "tout se passera bien " aurait été de bon aloi, mais elle se tut, les gratifia d'un sourire et revint prendre place aux portes de la cathédrale, légèrement en retrait des deux présents...tentant au mieux d'être discrète.

Sa vigilance déjà bien éveillée, ses azurs balayaient le parvis en détaillant chaque personne. Vérifiant que les hommes déjà présents en faction étaient également en mode vigilance, pour avoir été en armée avec les OR elle savait que chaque membre était consciencieux aussi elle ne s'attarda pas plus sur eux et reprit sa vision d'ensemble en attendant les premières arrivées.

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"Être je peux, paraître ne veux..."
Kevin60330
[Reims, levé du soleil du 16 janvier, sur les remparts]


Le prévôt de Champagne qui connaissait le moindre recoin de Reims avait passé encore une nuit blanche à tourner sur les remparts de la ville en prévenance d'une éventuelle rébellion contre le conseil ducal en place, la fatigue de 4 mois de mandat se faisait sentir légèrement mais dans quelques jours cela sentait enfin le repos.

La nuit avait été plutôt étrangement calme pour une veille de sacre. Une fois le jour levée il retourna au castel ducal puis prit d'un coup, piqué au vif il allait encore une fois oublié un truc qui pourtant il avait bien noté.

Il courra alors direction la cathédrale puis en arrivant il ralenti le rythme pour retrouvant une marche normale et rassurante.

La tenue il la portait depuis la veille, celle des gardes royaux, tunique bleu et rouge mais comme souvent, Kevin portait un manteau avec un capuchon par dessus pour se mêler à la foule qui en ce matin était forcément nombreuse.

[Cathédrale de Reims, 16 janvier]

Il arriva enfin et rejoignait alors les ordres gardes royaux présents qui recevait leurs ordres enfin les derniers exactement.

Tant mieux Kevin semblait ne rien avoir loupé.


Citation:
Ricco et Dore en extérieur comme prévu au portail.

Coxynel et Tol dans le narthex afin de vérifier le dépôt d'arme, seuls les personnes citées hier sont autorisées à en porter.

Kevin et Fallgor vers le cordon..

Maccornel vous escortez la Reyne et son époux jusqu'à l'intérieur et resterez non loin un peu en retrait malgré tout, je doute que se poser sur leur genoux le fasse.. Léger sourire

Jason dans le coin des cardinaux, j'irai dans le coin de pairs de France, Anthoyne?
Hum où est il?
Anthoyne voilà, à la séparation invité peuple, pas la place la plus simple...Donc avec Kevin et Fallgor.

Les autres aux points stratégiques également..


Le prévôt de Champagne et du domaine d'Airain salua une dernière fois Coxynel et lui souhaita bon courage mais il avait toute confiance en elle pour le travail qu'elle a toujours très bien faite notamment quand elle était colonel dans l'OST de Champagne ou encore également Général en second de cette même OST.

Il parti alors avec Fallgor direction le cordon, la fameuse séparation entre les invités et le peuple, le peuple étant déjà nombreux en cette heure matinale pour ce qui est certainement l'évènement de l'an 1459.

En se rendant au fameux endroit il croisa certains gens dont la tête lui était pas inconnu.

Il s'excusa un petit instant auprès de Fallgor pour aller saluer très vite fait ces gens et s'arrêta devant Manon.

Bonjour Manon, bon ben on sera pas ensemble à la cérémonie, tant pis on se verra dans d'autres occasion.

Il la salua respectueusement et n'osais en dire plus en public et devant foule. Une grande complicité qui s'était créer entre eux 2, d'ailleurs Kevin devait bientôt se rendre en Alençon la voir sur invitation de cette dernière, pendant ses 4 derniers mois alors que les premiers contacts avaient été très compliqué.

Aussitôt, Kevin rejoignait Fal.
Jason
[La Cathédrale – 16 janvier...]

Stephandra a écrit:


Ricco et Dore en extérieur comme prévu au portail.

Coxynel et Tol dans le narthex afin de vérifier le dépôt d'arme, seuls les personnes citées hier sont autorisées à en porter.

Kevin et Fallgor vers le cordon..

Maccornel vous escortez la Reyne et son époux jusqu'à l'intérieur et resterez non loin un peu en retrait malgré tout, je doute que se poser sur leur genoux le fasse..
Léger sourire

Jason dans le coin des cardinaux, j'irai dans le coin de pairs de France, Anthoyne?
Hum où est il?
Anthoyne voilà, à la séparation invité peuple, pas la place la plus simple...Donc avec Kevin et Fallgor.

Les autres aux points stratégiques également..




Jason avait entendu les ordres, et devait assurer la sécurité des Cardinaux.
Il sait que cela ne serait pas simple, mais les ordres étaient les ordres


Bien mon Capitaine, je me positionne

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Tolanhdruth
Tol avait préparer cette cérémonie longtemps dans ca tête,il devait rester pendant plusieurs heures a son poste a surveiller les entré a a prendre les armes de toute personnes non autoriser.Après un inspections des tenues la capitaine distribua les postes a chacun.


Citation:


Coxynel et Tol dans le narthex afin de vérifier le dépôt d'arme, seuls les personnes citées hier sont autorisées à en porter.



Accompagner de Coxynel il suivie la capitaine jusqu'à son poste en saluant respectueusement chaque personne qu'il croisa.Les deux garde royal prit position a la place indiquer, une malle avait était préparer pour mettre des épées si certain personnes avait oublier de les enlever.

Peut de personne était encore arriver, le jeune de Sars était prêt,sur c'est garde pour faire en sorte que cette cérémonie ce déroule sans problème.
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Yolanda_isabel
Une rose, une rousse, une nourrice enceinte jusqu'aux yeux, un bébé blond, tout ça en même temps.

- Et bah, elle a mangé Ma reine, elle a aimé, c'est une reine aux macarons !! Plus tard, Elin aussi, elle sera aux macarons aussi ! Hein Elin ? Elin ! Bonjour Elin !

Epuisante et ravie, oui, c'est Yoli. Yoli qui sautille sous la cape bleue bordée d'hermine qui se veut être une copie de celle de Papa, pour essayer de voir Elin et lui faire des sourires. Yoli qui même si elle n'aime pas Reims, n'appréhende plus vraiment le sacre de Béatrice. Yoli qui ôte sa jolie cape bleue-comme-Papa pour dévoiler sa jolie robe made in Attia.



- On va du tout devant ! Papa il est pas là, je va dire que je représente Papa !

En voilà une idée qu'elle est bonne, pour sûre que la Reine acquiescerait. Et de rejoindre les admirables valets de la non moins admirable GM des Cérémonies anti-fraise. Un sourire au placeur qui lui indique l'endroit destiné à la noblesse de France, l'endroit est avisé, un instant, un court instant. Elle est petite, trop petite, elle ne pourra pas voir ! Alors la manche de Breiz est attrapée et profitant d'un instant d'inattention du placeur, Yolanda de tirer Breiz à sa suite direction l'aire des Pairs de France. La tête droite, le regard fier, comme son père ! Manque que la bouteille !
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Eilinn_melani
[H-0]

Certaines jeunes filles en fleur mettent parfois des jours, des semaines, à choisir une toilette pour un événement aussi important qu'un sacre Royal. Et quel tissu, et quelle couleur, et tu crois que l'hermine c'est assez chaud ? Ah non moi je préfère le lapin, etc, etc, etc... Ah mais non, pas le lapin ! ON NE TOUCHE PAS AUX LAPINS D'ABORD ! Pardon, Jehanne Elissa déteint.

Eilinn, en apprenant qu'elle assisterait au Sacre en tant qu'Officier Royal, avait su derechef quelle robe serait la sienne pour ce jour. La plus belle de toutes, et pourtant, ce n'était pas elle qui l'avait choisi.
Un caprice du destin, ou plutôt d'un fantôme étincelant, faisait que la jeune fille possédait une robe cousue par la Grande Maitre des Couturières, qui dépassait en finesse bien des toilettes qu'elle avait déjà porté. La jeune fille avait fait reprendre la longueur du jupon, étant plus petite que la précédente propriétaire de la robe, mais étant tout aussi dénuée de formes.

Car oui, c'était une robe d'occasion, déjà utilisée ! O ciel, me direz-vous, c'est monstrueux ! C'est trop cheap de porter de l'occas' !

Que nenni, le message avait été claire quand Agnès de Saint Just lui avait remis le coffret contenant les vêtements de feu Aléanore Jagellon Altérac : la robe devait permettre à décider à Eilinn de choisir entre la voie de Dieu, et celle des Hommes.

Après bien des doutes, Eilinn avait choisi Dieu.

Ainsi jamais elle ne pourrait porter pour ses propres épousailles cette robe, et la convergence des évènements, un sacre royal, celui de Béatritz, grande amie d'Aléanore, sa décision de rentrer dans les ordres, fit que la jeune Melani arbora pour le sacre...

la robe de mariée de feu Aléanore Jagellon Altérac, dicte l'Etincelle. Mariage qui n'eut jamais lieu, cruelle ironie.





Bliaud rouge d'Andrinople et surcot d'un brocard d'or damassé aux manches étroites, bordé de fourrure d'hermine sans mouchetures, sur lequel broche un pendant d'or ciselé à cinq rubis sertis.
Eilinn est coiffée de deux tresses enveloppées sur les oreilles dans une crépine. Un tressoir de cuivre serti de perle et posé sur le front porte un voile de mollequin, passant en mentonnière sous le visage de la jeune fille.*


Au côté de Jehanne Elissa de Volpilhat, Vicomtesse de Cauvisson, Eilinn Melani, Vicomtesse d'Avize, Premier Maitre d'Hôtel de la Reyne Beatritz, entra dans la cathédrale de Reims, remontant jusqu'aux bancs destinés aux officiers royaux, les yeux brillants d'émotion pour l'occasion. Elle salua d'un hochement de tête le Grand Maitre des Cérémonies tout de noire vétû, qui veillait au grain, et distingua également une silhouette rose déjà croisée à l'hérauderie.

Il y avait un peu de l'Etincelle qui assistait au sacre de Béatrice de Castelmaure ce jour là.


* copyright LJD Beatritz pour la description
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Breiz24
De quoiiiiiiiiiiiiiiii ?

Rétrospective : la rouquine connait une gamine toute rose. La rouquine connait une couturière toute préférée de la Reine de France.
La rouquine a reçu en cadeau une sublissime robe siglée ADJ et une rosy-fée à escorter à Reims pour un sacre. Occasion en or pour montrer sa sublissime robe ADJ, on est bien d’accord.
Mais jamais, nulle part, on ne lui avait dit que la nourrice serait malade, et qu’elle aurait besoin de se reposer à l’auberge puante de luxe où la rousse logeait sa petite famille aux frais de la princesse – enfin, du Pair de la princesse à vrai dire – et comme de par hasard, sa robe était assortie à une tenue de sa fille elle aussi ADJ et fournie avec. Si y’avait pas anguille sous roche, hein ! Et bah non, la rousse avait rien capté. Que dalle m’sieurs dames !

Elle avait tranquillement pris un bain, tranquillement négocié avec son mari qu’il s’occupe de son fils – si tu gardes Gauvain ici, t’auras pas à porter de tenue de soie et de braies collantes en public mon amour – et avait tranquillement enfilé les multiples couches de la robe hors de prix que son maitre lui avait offerte. Offerte, à elle ! Une robe en soie d’orient !
Elle en prenait donc un soin considérable, et l’avait transportée dans un coffre de cèdre, soigneusement emballée dans un linge immaculé.

Et revêtue de sa tenue spleeeeeeeeeeeeendide – on ne le dira jamais assez ! – elle avait abandonné nourrice, fils et mari aux bons soins de la gouvernante, et s’était engouffré dans le coche armorié du péPair de France.

Mais l’idée d’aller s’assoir tout devant, avec la fraisy-rose, et surtout Elin dans les bras, ça, ça ne l’avait pas effleurée un seul instant.

C’est donc bouche bée qu’elle emboite le pas à la Rose. Bon, et elle ferme bien vite la bouche, et redresse le menton, calant bien sa fille contre elle, oui m’sieurs dames, je vais à un sacre avec un bébé, et même qu’il est sourd et ne s’entend pas crier, alors le premier qui essaye d’embêter Béa, je le pince pour qu’il brise les tympans de toute l’assemblée, et toc !

C’est donc dignement que la rouquine la plus pécore de l’assemblée fait son entrée, à la suite d’une princesse-guimauve.



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          Les Doigts d'Or, j'Adore!
Amory
[sur la route]

Il avait obtenu une permission exceptionnelle de quitter l'armée ou il combattait en Helvétie, pour cette incroyable cérémonie qui allait se dérouler en son diocèse. Monseigneur Kad en avait décidé ainsi. C'est donc en chngaent de monture dans les différentes villes traversées qu'Amory avait foncé vers Reims priant le long de la route pour ne pas arriver en retard.

Il avait poussé à bout ses montures et enfin la Cathédrale était en vue.
Il sauta de son cheval qui était tempé et écumait horriblement. La pauvre bête aurait du mal à se remettre de la course endiablé qu'on lui avait imposé.


[sur le parvis de la Cathédrale de Reims]

Il monta les marches du parvis de la Cathédral se hatant autant que sa hanche le lui permettait. Il était partit en uniforme d'apparat et n'avait pas passé inaperçu lors de son voyage de retour.

Arrivée à l'entrée il tapota la poussière qui s'était accumulée sur ses bottes et sur ses braies. Il était présentable et se devait d'être irréprochable. Un garde le stopa dans son élan.


"Ola on se calme. Je suis Amory de Lucas, Aspirant Vidame de Reims et je viens assuré mon devoir de protecteur des cardinaux. Qu'on m'annonce séant à Dame Stéphandra la capitaine de la Garde Royale. Je suis également l'adjoint du Prévot de Paris dame Kalimalice et de surcrois Noble de champagne. Ce qui fait que j'ai trois bonnes raisons d'être présent en ce jour. Allez pressez vous je suis déjà en retard."

Il avait été dur avec l'homme qui pourtant faisait son travail et cela le rassura sur l'éfficacité du service de sécurité. Tout devait être mis en oeuvre pour le bon déroulement d'un tel évènement. Il en allait aussi de sa responsabilité d'Aspirant Vidame de Reims.
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Haut Dignitaire de la GE / Sénéchal
Grand Officier de Saint Kyrène
Aspirant vidame de Reims
Duc de jouarre/Baron de Coulommiers
Seigneur de Brainville
Chevalier du guet royal
Page des chasses Royales
Alexandre*
[Jour du Sacre-Dans la Cathédrale encore fermée au public]

Les préparatifs avaient été organisés de mains de Maitre par la justement Grand Maitre des cérémonies et du Grand Chambellan pendant la dernière quinzaine qui venait de passer. Tout semblait prêt, mais tout le monde le sait, rien ne se passe comme il est prévu.

Les Huissiers Royaux avaient reçu mission d'orienter si besoin était les personnes invitées au sacre de sa Majesté la Reyne Beatritz.

Il tenait en ses mains un plan ou était indiqué ou devait se placer chaque groupe de personnalité. Il mémorisa tout cela pour ne point se tromper le moment venu :

A l'extréme droite de l'autel : les Grands Officiers Royaux
A droite le plus prés de l'autel: les Pairs de France
A l'extréme Gauche de l'autel: les Gardiens de l'Ampoule
A gauche au plus prés de l'autel: les Cardinaux

Et puis ensuite de chaque côté de l'allée centrale,

Sur le côté droit du plus prés de l'autel en allant vers le fonds de la Cathédrale au plus prés de l'entrée venait dans l'ordre : Les souverains étrangers, suivi par l'Assemblée Episcopale de France et derrière les Officiers Royaux.

Sur le côté gauche dans le même ordre serait placé Les Grands Feudataires, ensuite les Vassaux d'Ile de France, les Grands Maître des Ordres Royaux et les invités personnels de la Reyne, puis ensuite la Noblesse du Royaume de France, et enfin les membres de l'Ordre du Lys.

Encore faudrait il reconnaitre qui était chacun, mais nul doute qu'ils se présenteraient aux Huissiers Royaux afin d'être placé si ils ne le savaient pas déjà puisque de nombreux plans avaient été mis en évidence.

Alexandre était arrivé de bonne heure dans sa tenue étincellante de Premier Huissier de France et arborant son collier aux deux clés d'or et se tiendrait à la disposition des invités.

Il était prêt pour ce grand jour qui consacrerait la première Reyne sortie de la voix du peuple

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Darkangeluna
[Entre Valence et Reims]

Ce fut un long trajet à cheval quelque halte, je pourais même dire beaucoup. Elle ne savait pas trop ce qui l'attendait là bas mais bon... la peur n'evite pas le danger, et puis c'est bien d'etre là pour ce jours si mportant!

Voyant les paysage défiller la brunette etait envahie de nostalgie, habiller d'une belle robe blanche digne de cette journée les cheveux bien attaché , près d'elle sa fille et son epou, Nathan etans trop jeune pour un voyage si long.


[ Arrivé a Reims]

La brunette déscendit sur le parvis de cette cathédrale,qui avait vue bien des sacres car, à ses minces connaisance de la noblesse, elle su tout de même que tous les Rois y étaient sacrés.
Son regards ne cessa de défiller, voulans absorber toute les informations à sa porter, les décors et puis... et puis les gardes... Pleins... Elle prit sa fille dans ses bras et lui chuchotta

-" Si tu n'es pas sage, je te laisse avec les garde"

Un sourire, ainsi c'etait sur que la jeune fillette serais bien sage!
Enfin arrivé , elle vit pas mal de personne qu'elle ne connaisait pas, les saluant d'un sourire pour certain, de petite reverence pour d'autre.. .

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Elisabeth_stilton
Elle était noble ... bon petite noblesse oui ... elle était Officier Royal et pas des moindre puisqu'elle faisait naître les chevaux de la Couronne, cependant elle ne savait pas où se mettre, côté noble avec tous ceux qu'elle connaissait ou côté officier royal avec tout ceux qu'elle connaissait aussi. Elle opta pour les Officiers Royaux, après tout elle y appréciait beaucoup de monde et il y aurait aussi moins de personne que dans les rangs de la noblesse. Voilà quelles étaient ses considérations pendant le voyage qui la menait depuis chez Cerberos, Vicomte de Châlons, jusque Reims. C'est avantageux d'avoir des connaissances partout dans le Royaume on trouve toujours de quoi loger d'agréable. Son Whirlicote importé direct d'Angleterre tiré par ses propres montures, des Shires première catégorie, traversa la ville pour venir près de la Cathédrale. La blonde descendit de son carrosse qui bientôt arborerait les couleurs de Lusigny et de celles de ces parents et beaux parents. Doucement elle défroissa sa robe made by ADJ - hé ouais on a la classe ou on l'a pas - Elle avait trouvé que le bleu et or serait parfait pour cette occasion.



Ses cheveux étaient nattés et relevés, si jamais Breiz apprenait que la blonde se baladait cheveux au vent à un sacre, il ne resterait pas grand chose de la dite blonde. Doucement elle avança sur le parvis et décida d'entrer dans la cathédrale, elle n'avait pas trop envie de croiser du monde étant souvent de mauvaise humeurs ses derniers temps. Autant faire profil bas que de se faire remarquer à une cérémonie tel qu'un sacre. C'est donc sereine de ne pas croisé beaucoup de monde qu'elle entra et s'avança vers les emplacements réservés attendant qu'on lui dise où aller.
Modjo
[Enfin à Reims]

Le voyage avait été bien long de Valence... mais Modjo était heureux d'assister au sacre de la nouvelle Reyne de France. Accompagné de son épouse, cousine de Béatrice, il se rappelait de sa rencontre avec elle, dans son domaine... Jamais il n'aurait pensé qu'il demandait la main de sa future femme à la future reine. Enfin, la vie ne lui avait réservée plein de surprises depuis sa rencontre avec Darka... ou Angèle comme l'appelait sa cousine.

Il donnait le bras à son épouse en arrivant sur le parvis de la cathédrale, espérant que tout se passerait pour le mieux. Il se doutait qu'il ne reconnaitrait personne icelieu, mais là n'était pas l'essentiel. Le moment était historique pour le royaume, et il en retirait une certaine fierté de pouvoir y assister.
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