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[RP] Le Palazzo

Lorenz
Lorenz suit des yeux Dante et l'Epervier se diriger vers la salle d'entrainement. Ils auront tôt fait de la trouver vu les portes closes du Palazzo. A croire que ce palais à une âme et sait se protêger, si besoin était.

Nouvelles engueulades des Licorneux. Mots méprisants, tons qui montent. Tout ce vent... on se croirait sur un navire en pleine mer... Et Ilm qui en remet une couche, Rhuyzar préférant s'isoler. Sans doute pour mieux se concentrer sur ce qui les attend.

D'ailleurs ils ne savent guère ce qui les attend. Nul ne peut prédire l'avenir.

Un pas vers Thorolf.


On va rejoindre les deux autres. Direction les tours. J'passe prendre un arc pour moi au passage.

Demi tour vers l'entrée. Regard qui se perd vers le bout de la ruelle où Nim, Llian et Marlowe's ont disparu. Ses yeux se posent sur une femme rousse en conversation avec Nicolas. Il semble la connaître et lui donner des indications.
Plus loin, contre le mur d'en face, deux soldats semblent attendre. Le Cap'tain a parlé d'eux tout à l'heure. Lorenz s'avance un peu pour se mettre à découvert et leur fait signe d'entrer. Un geste de la tête à Nicolas pour lui faire comprendre qu'il n'y a pas de problème.

Les soldats s'approchent et la saluent.


Moi, c'est Lorenz. L'Cap'tain vous a peut-être parlé de moi. J'imagine qu'il vous a laissé des ordres aussi. Les seuls que je vous donnerai, puisque je dois vous en donner, les voici: ou bien vous venez avec moi et trois autres hommes par les toits, ou bien vous vous joignez au groupe des Licorneux mené par Ilm, la blonde que vous voyez à l'entrée là.
Geste de la main en direction d'Ilmarin et Rhuyzar. De toute façon, notre destination est la même. A peu de chose près. A vous de voir par où vous souhaitez passer.
Faites votrre choix rapidement. Nous partons vers les tours. Maintenant.


Sans attendre de réponse, Lorenz fait demi tour. Un signe de la tête vers Thorolf pour lui indiquer l'escalier. Elle grimpe quelques marches rapidement. Se retourne et regarde les hommes présents dans la cour intérieure. Toute son attention est tendue vers Cal. Mais elle ne peut s'empêcher de penser à eux tous. Combien même leurs idées et leurs manières de faire divergent, à ce moment précis, ils unissent leur vie pour en sauver une autre.

Deux autres.

Un murmure s'échappe vers sa complice des nuits à hanter les couloirs du Palazzo.


Gaffe à toi P'tite Ilm...

Cavalcade dans l'escalier. Bientôt la salle d'armes est traversée.

Maintenant les tours.

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---fromFRCinharis
Echange de regards interrogateurs avec le sergent à ses côtés. D'un même mouvement, ils s'avancent, pénètrent dans le Palazzo. Bref salut de la tête en direction de la compagnie hâtivement assemblée, suivant le salut à la cheftaine. Une femme dans l'armée, ils connaissent peu. Les ordres ont été donnés, ne subsitent qu'une chose. Exécution. Et reprend ses ordres. Sans la lâcher. Retient un haussement d'épaule, et dans son dos se contente de répondre

On vous suit

La tignasse brune du lieutenant tournoie un instant pour amener les yeux verts se poser sur une intruse. Rien ne correspond. Ou pas à la bonne chose.

L'espèce de chose en question a débarqué au Palais contre les gardes, complètement frappée. Un signe, rapide, en direction du sergent. Une dague et une épée crissent hors de leur fourreau, dague pour le lieutenant, épée pour le sergent, plus à l'aise. Et se déploient. Le sergent, expérimenté, sait y faire, pare une erreur de son supérieur, et se rapprochent de ce qui ressemble de loin à... une fille? Un dernier regard du coin de l'oeil, question muette d'Asermath à laquelle Cinharis répond par un hochement de tête affirmatif et résolu. Armes libres. L'ennemi a un nom, des armes et un uniforme. Temps de guerre. Il se détourne un instant vers la grille, constate que les gardes l'ont fermée, mains sur le pommeau de leurs armes.
De l'autre côté, deux étrangers redescendent des étages, bloquant l'autre et seule sortie de la cour. La frappadingue continue à tourner, criant dans tous les sens, insupportable à l'oreille. Le lieutenant sert son poing, resserre son étau. Les deux soldats se rapprochent encore, l'acculent dans un angle. C'est la curée. En garde basse, en appui sur leurs genous fléchis, ils regardent venir.

Charge du lieutenant. Directe, sans plus prévenir. La main gauche crispée jaillissant vers le cou, la dague dans la main droite vers l'épaule. Brève piqûre, sans savoir si elle a portée, continue le mouvement. Sert son cou, de deux doigts crispés sur l'artère carotide autour de la trachée et la renverse, puis se décalant fait remonter son genou vers sa tête, visant l'arête nasale. Choc sourd. La saisit par le dos et la plaque au sol, un genou s'abattant sur sa colonne vertébrale. La dague revient et s'immisce en direction de la nuque, poiçon glacé, puis s'interrompt. Relevant légèrement le nez, la voix forte pour monter vers les étages, cherchant Lorenz


MADAME?
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Cinharis In Ered Nimrayan
---fromFRLa Balafre
Alors qu'elle attendait une réponse du rouquin, la plus folle et charmante de toutes les créatures, fit son apparition. Ange de divagation, elle hurlait et vint se cogner contre elle, pour la marteler de coups et lui souhaiter la mort.
Loin de lui créer de la douleur, Labal, se trouvait presque attendrie par cet être fébrile emprunt de déraison. Après tout, libertad n'était que folie dans chacun de ses membres, sous différents aspects.
Alors qu'elle allait tenter de raisonner tant bien que mal, la beauté hystérique, deux hommes virent à elle arme au poing.
Avant même qu'elle ait eu le temps de réagir, la jeune apparition se retrouvait molestée et au sol.
Ah les hommes!
Tous les mêmes!
Son sang ne fit qu'un tour, elle se précipita sur l'homme au sol en prenant soin d'éviter l'autre et plaça sa dague sous la gorge du premier, faisant face au second. La pression était sûre, mais pas faite pour trancher.


Alors écoute moi bien mon mignon! Je vais t'apprendre les bonnes manières. Tu vas gentiment lâcher la dame, ou je répands ton sang de rat sur tout les murs du Palazzo!Son sang cogne dans ses tempes.Je ne sais pas qui est cette jeune femme, ni ce qu'elle a fait, mais en aucun cas elle ne mérite cela! L'honneur, tu sais ce que c'est? Non certainement pas! S'attaquer à elle alors qu'elle n'a pas d'arme, tu trouve cela respectable? Je trouve ça minable! Qui que cela puisse être, elle mérite de pouvoir se défendre! Elle ne cesse de parler, sans même laisser le temps à l'homme au sol de répondre.Donc comme je te l'ai dit, tu vas lâcher la dame, lever ton postérieur viril et aller jouer avec tes petits camarades avant que je fasse de toi un castra! Ou mieux encore. Si tu veux attaquer une femme, viens! Je suis ton homme...

Sans lâcher la pression de sa dague, elle attend la réaction du sanguin. Elle ne cesse de surveiller son acolyte, au cas où il aurait lui aussi des envies de chanter dans les aigus.
Son cœur bat la chamade, mais elle n'a pas peur. Si tôt arrivée, que déjà elle se retrouve dans une situation gênante. Si c'est ça Libertad, peut être qu'elle n'en voudra plus...

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La vie n'est pas simple, la mienne l'est encore moins...
---fromFRCinharis
Délicate caresse glacée sous sa gorge. Le lieutenant se laisserait bien aller à un sourire, mais la pression l'empêche de déglutir. Les yeux verts roulent vers le sergent, léger battement de paupière, calme, alors qu'empreints de finesse ses doigts se resserrent sur sa dague, caressant le manche. La tête brune ébouriffée recule un peu sa gorge, dégageant de l'espace pour parler

Minable? Tient, des sentiments à la Cour, ça faisait longtemps.
Cinharis, lieutenant, enchanté. A côté Asermath, à mes ordres.

Pour la dame, je crains que l'état actuel de son nez l'empêche d'être pleinement consciente pour un p'ti moment, mais si dans l'absolu vous souhaitez qu'on rejoue le match, suis à vot' disposition. Elle avait l'air d'avoir un peu d'mal à tenir sur ses guiboles, mais ça sera toujours marrant.

L'officier lentement se relève, déplace sa jambe droite pour la placer sur la nuque de la femme à terre, déplaçant son poids et accentuant la pression sur son cou. Sa main droite tourne et glisse, la gauche remonte, se saisit du poignet féminin, surmonté de roux. Les yeux verts brillent, lueur dansante au fond réhaussant leur éclat. La voix se fait chargée de colère, dure.

On va se mettre d'accord. Cette fille là en-dessous est apparemment la meilleure chose qui nous soit arrivée depuis un p'ti moment, à vous de voir mais vous vous ferez pas des copains.

La lame entaille son cou, posée sur la trachée, enfonçant le cartilage

Me crever vous pouvez toujours essayer. Quelqu'un d'autre au moins en plus que mon cher camarade à côté sera pas content, je vous y souhaiterai bien du plaisir. Si d'ici-là vous avez rien de mieux à foutre, rangez ça.

Le sourire se glisse, arrive enfin sur les traits du jeune officier, se coulant au travers de la barbe naissante. Franc et droit, malgré la colère au fond des yeux. Peut-être une légère touche narquoise aussi, voire méprisante. Impossible qu'il juge pour le moment, bien trop occupé. La fait disparaître dans la foulée. La poigne se resserre, tandis qu'il hésite à cracher son bout de chique. Pas en faire trop, ça agace.
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Cinharis In Ered Nimrayan
---fromFRakzanss
Mais où était-elle donc encore passée ? Alvera avait filé comme une flêche après avoir chapardé chez le boiteux.
Sacré démarrage, il n'arriverait décidément pas à s'y faire : la follette, quand elle était affamée, glissait entre les doigts telle une anguille.
Toujours pareil : la faim la poussait... la faim, et la hargne. La gnaque, quoi...

Il l'avait perdue au coin de la ruelle. Elle s'était faufilée, courbée sur le sol, encore plus menue comme ca. Elle avait tourné là, il était sûr d'avoir vu sa silhouette sombre disparaître, avalée par la venelle.
Seulement voila : immobile au coin de la rue obscure, il ne voyait rien bouger. Il était rarement passé dans le coin, et n'y connaissait pas grand monde. La main sur la poignée de son poignard, il s'engagea prudemment. Elle ne devait pas être bien loin, sûrement terrée dans quelque recoin, en train d'engloutir son maigre butin.

Un bruit de lutte plus loin, étouffé... puis le son de voix : il se précipita.

Une grille fermant une cour, et au fond, un groupe indistinct.
Une femme maîtrisant un type, sous le regard menaçant d'un autre.
Tendu, c'était tendu ! Ils ne l'avaient pas entendu.
Il cogna à la grille.


Hé là ! Je cherche ma brindezingue : z'auriez pas vu passer un petit bout de folette ? Toute noiraude, toute menue, et un peu cintrée.
Mais pas mauvaise, hein !
Elle a dû passer par là, l'auriez pas vue ?
---fromFRAlvera
C'était quoi ? C'était quoi ?

Non non ça doit pas te toucher non non

Te laisser partir oui oui


Ils s'amassent, sont combien. Elle ne sait pas, jamais su compter, elle recule, touche l'angle.

Sont trop oui oui

tu vois dans leurs yeux oui oui

veulent te tuer

tu voulais juste être seule


Il s'élance, elle se baisse, se recroqueville, plus petite encore, disparaître. Elle étouffe, remue en tout sens pour se dégager, voudrait hurler son dégoût de ces mains sur son corps. Impossible, les sons meurent dans sa gorge, l'air n'arrive plus. Une pointe s'enfonce juste dans la blessure qui avait eu tant de mal à se refermer après la grande guerre. Fulgurante, la haine l'emplie, les images défilent, la peur revient, l'odeur du sang, les corps partout, elle se souvient. Son corps se démène, se libérer, repartir, tant pis, la rue, le vilain rat même s'il fallait, mais repartir.
Ca ne lui suffit pas, elle doit souffrir, il frappe encore, son visage explose, elle vacille du sang plein la gorge, nuit .......... des coups encore ... elle ne sent plus rien ... le sol, sa tête frappe par terre ..... gémissement de douleur ........ des coups encore ..... elle voulait juste être seule ........ seule ...............seule ...........................................

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Ilmarin
Cours du Palazzo, grilles fermées et gardées.


Cinq minutes... Cinq toutes petites minutes... Cinq putain de minutes... Elle ne demandait que ce laps de temps pour pouvoir se serrer contre lui, pour pouvoir se regarder mutuellement encore sereins, encore normaux, encore vivants...
Cinq minutes... Même pas accordées... Les pas de Bralic et Alde résonnent déjà sur les marches.


Pardon mon ange... Il semblerait que cette malédiction qui est mienne devienne tienne aussi en ne nous laissant aucun répit... A la guerre mon am....

Des cris. Sordides. Angoissés. Torturés. Qu'elle aurait pu pousser. A peine le temps de se retourner qu'un des soldats dont Lo lui a laissé les soins maitrise une furie. Lui même attaqué par... La jeune femme qu'elle voulait accoster... Décidément, le Palazzo allait devenir le dernier salon à la mode. Heureusement que le Rouquin avait titillé les soldats et qu'ils veillaient aux grilles. Sinon ils allaient se retrouver avec plus de monde dans l'allée que le marché un dimanche matin d'été.

En soupirant, mais gardant une main dans celle de son fiancé qu'elle tire avec elle, ses pas l'approchent de l'altercation.


Mais vous vous êtes donnés le mot ou quoi? Mon transit intestinal vous me remercie mais vous le facilitez un poil trop TOUS!! Je...

Sa phrase meurt sur ses lèvres alors que la rousse qui lui fait face se retourne quelque peu, rapidement pour ne pas laisser de prise à Cinharis.
Un visage familier sans l'être. Un regard commun malgré les traces d'une vie douloureuse. Une cicatrice... Superposition devant ses yeux. Une statue balafrée comme celle qui lui fait face. Les histoires contés par Sélène sur les fondateurs, le Noyau.


Pardon de m'immicer dans votre... hum... Discussion. Un clin d'oeil rapide à Rhuyzar pour s'excuser de le lâcher et ses mains surplombent leurs armes, pestant intérieurement contre des tremblements trahissant trop de... Failles...

Cinharis si j'ai bien entendu? Je vous prie, tous deux, de bien vouloir baisser vos armes puisque le sujet est... Maîtrisé... Un rictus fend ses lèvres en regardant le sang s'écouler des narines explosées de l'inconnue.
Puis-je...? Ton ferme mais ne tolérant aucune répartie, aucun geste malheureux, prête à agir et se défendre. Ses mains glissent des armes qu'elle ne touche pas vers les épaules des protagonistes et les repoussent de quelques pas.

Bien. Soldat. Merci d'avoir maitrisé à la place des gardes du Palazzo cette inconnue. Nous sommes en guerre, nul intrus toléré. Et c'est une intruse inconnue. Nim a délégué son autorité à Lorenz, qui elle-même vous a laissé en ma compagnie jusque la porte de l'Antre. Je vous la confie une minute?

Ma Dame... Seriez-vous celle que Marlowe's, Mara, et plus anciennement Sélène nous aurait décrit comme La Balâfre? Une des fondatrices du Noyau qui est devenu comme ma seconde famille? Elle s'incline respectueusement devant elle, enchantée et impressionnée, malgré l'urgence, de rencontrer ce qui n'était pour elle qu'une image perdue dans sa propre quête lointaine...

Je me nomme Ilmarin, Insurgée libertadienne entrée dans ses murs peu après votre départ... Je vais vous paraître audacieuse mais nous sommes en GUERRE depuis peu... Une des notres, Calembredaine, Insurgée elle aussi, a été enlevé par ma faute... Nul être vivant ne méritera ma pitié tant que je ne la verrais pas libre. Tout inconnu est notre ennemi et mérite notre châtiment. Je sais que je vous fais confiance sans confirmation de votre part mais... La description est si proche... Et je ne suis pas seule... Sa main gauche indique le groupe de ses amis qui ne la quitte pas des yeux, mains sur leurs armes.

Elle a dû passer par là, l'auriez pas vue ?

Un grondement monte de sa gorge. Enervement. Perte de temps. Un mal de crâne commence à sourdre à ses tempes, marquant les secondes qui s'égrènent alors que ses amis partent à l'Antre, alors que son amie est entre leurs mains. Temps qui fuit entre ses doigts comme des grains de sable.

MA CLAQUE!!!!! CIN!!! Toi et ton pote vous me ficelez le roti qui s'agite!!!
Bralic!! Vois si tu peux en tirer quelque chose le plus vite possible!!! Alde!! Rhuy!! Kratos!! Vous l'aidez!!
A moins que...
Baissant le regard, ses mots deviennent feulement à mesure qu'elle approche à pas chaloupés des grilles.
A moins que l'idiot qui s'approche de chez nous sans s'annoncer ne nous dise rapidement qui elle est et comment il compte qu'elle en sorte vivante...
Elle sera MA prisonnière... Si vous parlez, on la libère à mon retour...
Si vous vous taisez... On se charge de lui faire retrouver ses esprits sous votre nez...

Alors...? Vous avez... Deux minutes...
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---fromFRakzanss
Du nouveau peut-etre : voix cassante et autoritaire, une donzelle rapplique, traînant un type en remorque.
Les autres se taisent immédiatement et s'ecartent...

Alvera !
Mais qu'est-ce qu'....


Dans le maigre paquet de hardes noires gisant au sol, Akzanns a reconnu sa follette. Inerte.
D'un élan il se précipite contre la grille, la heurte d'un grand coup de front, se cramponne aux barreaux.
Comme un couperet, la voix s'abat sur lui.
Idiot, idiot... Il l'est sans doute.


C'est Alvera. La folle Alvera !
L'était chez les Ténébris, ils la tolèrent là-bas. Mais apparemment elle a fait ce qu'il fallait pas.
Halleck est furieux, et elle a filé. Faut que je l'emmene loin d'ici, l'est pas faite pour la Cour. Trop de monde ici, trop de foule. La ramener au mas, y a personne là-bas, elle se tiendra tranquille.
---fromFRBralic
Le vicomte rangea sa Flasque de 'sky au milieu de la cour du Palazzo

Ils étaient vraiment tarés ces pauvres.... les deux gardes semblaient se faire agresser par derriére par une jolie rousse balafrée qu'ils avaient laissés entrer... Ce alors qu'ils maitrisaient une brunette visiblement à moitié folle s'étant glissée dans l'endroit sans ce faire inviter.

Alors qu'il assistait à la scéne en sifflant une gorgée d'alcool, riant intérieurement à cette situation sans queue ni tête, Ilmarin se met à crier... toujours drole à entendre ça aussi, sa voix de crécelle aux poumons ruinés sifflant dans le vent nocturne...
la situation devient de pire en pire et suite à ce cri tout le monde se calme, fabuleuse mini représentation de la théorie de l'entropie... tout systéme chaotique générant encore plus de chaos jusqu'à l'autodestruction finale remettant le systéme dans l'ordre jusqu'à ce qu'il sombre à nouveau dans le chaos.... amusant et fascinant que ce microcosme de la cour des miracles, au moins ça n'avait pas changé. Et lui se complaisait toujours autant dans les situations chaotiques.

Son nom résonne, apparement Ilmarin veut qu'il s'occupe de la nana... dommage, c'est pas la rousse... Il a toujours eu un faible pour les belles rousses... le coté succube surement... belles et dangereuses, comme le feu qui se reflete dans leur chevelure.

S'avançant vers les deux gardes, il les salue d'un signe de tête, signe un peu plus appuyé devant la belle balafrée.


Houla les gars.... calmez vous.... vous allez me l'abimer. Tenez la bien et allez me trouver un baquet de flotte, des bougies et de quoi allumer un feu....

Il posa ses mains sur le visage de la folle, caressant doucement sa peau en plantant son regard sombre piqueté de vert dans ses yeux, courant ses doigts sur le galbe de son visage tel un chat jouant avec une souris. La délaissant soudain pour se diriger vers Ilmarin et l'homme s'agitant contre la grille.

Chouquette.... je veux bien la faire parler, mais elle est visiblement tordue.... je vais devoir y aller méchant pour obtenir un truc correcte... C'est toujours plus dur avec les syphonnés.

Ses yeux se posérent sur l'homme alors qu'il caressait son couteau de chasse à tête de loup. Des yeux de prédateurs, étrangement froid et détachés.

Vous semblez bien renseignés..... écoutez... j'ai horreur de faire mal aux gens inutilement. Surtout les azymutés. Donc je vous propose un truc... vous nous dites si les In Tenebris détiennent toujours une certaine "Cal", parait il une grande rousse aux yeux verts... et à grosse poitrine d'aprés Ilmarin... ça peut pas se louper ce genre de nana, à moins d'être aveugle ou sodomite... 'fin, vous me direz que dans la cour, ce genre de personne ne manque pas...

Bref, vous nous dites si les zozos la détiennent.... sinon je vais devoir découper un peu votre copine. Rien de personel, c'est juste le boulot.

Approchant ses lévres d'Ilmarin, il murmura doucement à sa comparse

Je vais faire mon possible, mais ce serait mieux si je pouvais aussi questionner ce monsieur.... dans une salle prévue à cet effet... j'ai horreur de faire ça en publique, on est pas des bêtes. Et tu sera gentille de cesser de me gueuler dessus.
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"N'est pas mort, ce qui à jamais dort." disait Lovecraft. Rassurez vous. Bralic ne dort pas et ne dormira plus jamais tant il est ardu de trouver le sommeil avec un dos transpercé de 37 coups de couteaux "amis".
---fromFRAsermath
[Cour intérieure du Palazzo]

Un simple coup d'oeil, froid. Le sergent s'en mord la lèvre de dépit et de rage, connaissant son erreur. Il aurait dû être en train de le protéger. Incroyable que la fille soit arrivée aussi rapidement, et maintenant... Par réflexe son pied gauche s'est déplacé derrière le droit, dans l'alignement de ses épaules maintenant tournées légèrement de profil, ne reposant plus que sur la pointe. Jambes légèrement brisées. Axé vers la rouquine. Dans la main sèche qui s'est refermée avec plus de force sur la garde de son épée, une légère tension est apparue, induisant un éveil et une sensibilité nouvelle. Pointe maintenant relevée au-dessus de la môme au sol, légère et mobile au bout du poing. Le visage vieilli lui ne transmet rien, restant impassible sous les cheveux blancs de l'homme. Au pire...

Nouvelle arrivée, bref récapitulatif de la chaîne de commandement, et remise à niveau. Un autre s'avance, son lieutenant reste sous la menace d'une dague, des ordres fusent. Le soldat franchit les trois pas en avant qui le séparent du groupe étrangement assemblé, et avisant un dernier coup d'oeil de son patron s'empare de la fille en dessous de sa main gauche, la relevant par le col. S'il n'y a rien de mieux à faire... Il passe le bras sous ses épaules, la soulevant à demi, puis reculant, tenant toujours son arme il garde les yeux fixés sur la balafrée. S'écarte du même nombre de pas qu'il était arrivé. Il s'arrête. Ecoute une dernière question du soldat de la Licorne. Un feu... Un rapide coup d'oeil, histoire de se remémorer un détail vu en rentrant. Avise le brasero des gardes, présent près de la porte, puis n'ajoute rien.

Une autre voix filtre. Alors, c'était bien une Ténébris. Et il y a un moment encore, c'était bien le nom désigné. Mais folle. A la voir inconsciente et recroquevillée, impossible de juger, ce qui est peut-être pire. Il la dépose lentement, gardant un oeil dessus, l'autre sur la rouquine balafrée. Il ne doit pas s'éloigner de son lieutenant, le sait et ne le souhaite pas.

Pas de mots. Son arc toujours accroché dans son dos le dérange bien en ce moment, mais il n'a pas le choix, à peine s'il peut le remettre un peu plus droit. Ne dit toujours rien, restant silencieux. S'avance simplement à côté de son lieutenant, le visage toujours figé, empli de calme. La colère sera pour plus tard, ne doit pas être présente.
La voix rocailleuse de l'ancien glisse simplement, à l'intention de la fille


Assez.

Il a ses ordres, et trop d'expérience pour se laisser aller. Et puis, les enjeux sont bien trop élevés. Ca, on le lui a dit tout à l'heure, au moment d'entrer dans l'affaire. La pointe de son arme redescend légèrement, poigne amollie. Attrape le lieutenant pas le bras et le tire en arrière, puis s'éloigne à son tour. Un dernier coup d'oeil, il rengaîne, et avise la prisonnière à terre. Pas de commentaire, pas même un regard à l'officier à côté de lui, surtout pas en cet instant. Une erreur, tant pis, plus tard. Ne restent que les ordres.
Dans la Cour, appuyé sur un autre mur siège un abreuvoir à chevaux, des seaux à côté. La glace, gelée, cède sous un coup de lame, aussitôt séchée et de nouveau rengaînée. De nuit, sans une lumière pour l'éclairer, l'eau apparaît bien noire, profonde et sans fin. Allez. Le seau plonge, en ressort rempli, puis file se poser près de l'inconsciente. L'ancien n'ajoute rien, se recule, rejoint son lieutenant

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---fromFRLa Balafre
[Cour intérieure du Palazzo]

La colère est sourde mais puissante.
Quelle sotte elle fait d'avoir oublié que la cour n'est emplie que de misérables hères sans sentiments. Pourtant Libertad n'est que sentiments et folies, alors comment expliquer qu'elle ait tant dérivé?
L'homme se présente, lui et son laquais en attrapant son poignet avec force sans même qu'elle ait eu le temps de réagir. La prise est sûre, mais elle a connu bien pire. Elle le laisse parler, la menacer à demi-mots sans même broncher. Si c'est là sa seule manière d'exprimer sa puissance, alors soit, elle le laissera faire.
C'est alors qu'une autre demoiselle fait son entrée. Une femme de tête certainement et elle l'a reconnu. Il n'y a rien de plus excitant qu'un joli minois qui sait clore le bec à des hommes musclés. Tous obéissent comme de gentils petits toutous et elle même ne voit rien d'autre à faire que de se laisser séparer d'avec Cinharis.
Sans prêter attention au sourire graveleux et appuyé d'un nouvel arrivant, elle voit alors le laquais nommé Asermath, récupérer son lieutenant et l'apparition.
Les choses sont allées trop vite, elle a dut louper quelque chose.
Elle a entendu plusieurs choses qui résonnent dans son esprit...
Ilm n'a parlé que de Mara, Marl et sélène... Où sont donc les autres?
Et pourquoi précise t'elle ""plus anciennement pour Sélène"? Lui est il arrivé quelque chose? Si oui, la personne qui lui aura fait du mal périra de ses propres mains!
Et les In ténébris... Qui sont-ils? Ils semblent clairement être des ennemis de Libertad mais pour quelles raisons?
En guerre? Comment est ce possible? La cour des miracles ne se lasse t'elle jamais de sang?
Et qui est cette Cal rousse aux yeux verts et à forte poitrine? Il faut absolument qu'elle la rencontre!
Elle a l'impression que sa tête va exploser prise d'assaut par tant d'interrogations. Pourtant, elle le sent bien, l'heure n'est pas aux réponses.
Il faut absolument qu'elle retrouve Marl et Mara dans cet antre! Eux seuls pourront lui répondre s’ils acceptent son retour.
Elle voit bien qu'Ilmarin semble très occupée, mais c'est elle qui mène le ballet ici, alors elle doit lui parler.


Ilmarin, ma mignonne, je suis bien celle que vous croyez et me trouve flattée que vous m'ayez reconnu. Je vous fais confiance comme vous l'avez fait avec moi, pour traiter convenablement votre prisonnière maintenant que vous avez pris les choses en main. Regard appuyé vers le baraqué, ne laissant aucun doute sur ce qu'elle lui fera si il ne se conduit pas correctement avec la belle dérangée. Je me doute bien que vous avez beaucoup de choses à faire, mais je dois absolument retrouver Marl et Mara! Si vous pouviez avoir l'obligeance de m'indiquer la direction, alors je vous laisserais à vos affaires.

Durant son monologue elle n'a cessé de lorgner les courbes sculpturales d'Ilmarin. Après tout, si l'on est en temps de guerre, il ne faut se priver de rien... Au cas ou...
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La vie n'est pas simple, la mienne l'est encore moins...
Rhuyzar
Pensées agitées, une châleur soudain qui l'enlevoppe, le soutire à ce monologue qui s'éveille dans son esprit, cette voix qui refuse de partir étouffée par le doux timbre de sa panthère...

Ses mains se décrispent, elle l'a déja laché, déja repartie, affairée pour maitriser le bordel qui s'installe au Palazzo.

Quelques pas, il se rapproche du groupe qui se forme, regarde Bralic et la folle qui vient d'arriver, sang, larmes, violence, de quoi réveiller le loup qui sommeille, soif...

Sa voix se fait grave, presque rauque, celle d'autrefois, celle du tourmenté et de ses folies. Il détaille la jeune femme qui délire et glisse à son frère demandé pour ses talents:

Si t'as besoin de moi, fais signe hein ?

Un regard haineux en direction de la Rouquine, le loup n'aime pas la manière dont elle observe sa panthère. La prudence et la sagesse encore présentes, heureusement, il a massacré des imbéciles pour moins que ça.

Il va se poser dans un coin en attendant, tirant quelques bandages qu'il enroule soigneusement autour de ses poignets et de ses mains, il ne faudrait pas que la douleur se réveille et le paralyse, l'heure est venue d'en finir, de vivre enfin, après...

Comme au bon vieux temps l'ami ? Fait plaisir à voir ça, debout Cursed, on n'attend plus que toi hi hi hi !

La voix encore, revenue, le loup sourit, sourire carnassier, dents blanches dans la pénombre, les yeux qui luisent, qui s'injectent de sang, le capuchon rabbatu soudain en arrière, un rire clair dans l'air, il tâte le pommeau de son épée.

Les danseurs se figent !

Mots prononcés à son intention, on l'a souvent pris pour un dérangé, avant... Il se relève et revient près du groupe.
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---fromFRmara.des.acoma
Décidément.
Ça tonne à Nostre Dame, ça tonne à la Cour et pourtant je jure n’avoir eu cette fois d’impures idées depuis la Cathédrale ! La colère du ciel me poursuit ou bien ?


La guerrière cherchant la réponse aux nues aperçoit un champignon de fumée plus sombre encore que le ciel mais plus loin, du coté des grottes justement, d’où elle vient. Etrange. En tous cas, c’est une explosion, pas un simple effondrement. Elle n’a vu pourtant là bas ni gens d’armes, ni tonneaux de poudre noire. Mais elle n’est pas sortie par la voie habituelle, du moins la plus usitée et par là où tous sont entrés pour célébrer les fous. Alors représailles ? Y retourner ? Voir qui est resté ? Ne restait presque plus que les corneilles à tête de corbillards. Bien leur en prit d’y venir mettre le pif, ça oui, elle ne va pas s’inquiéter d’eux.

Son pas claque dans le silence de la ruelle.

Pourtant d’instinct elle sait ce silence habité de bruits inhabituels. Lève les yeux vers la mouvance des ombres, sans succès.
A peine croit elle apercevoir un éclat d’acier qu’un noir de poix s’y substitue. Il est temps de disparaître avant de jouer belle cible. Mara allonge le pas se rapprochant des murs. Main déjà revenue de la botte, la dague du livide serrée entre ses doigts.

Le Palazzo est encore une silhouette imprécise mais se rapproche.

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---fromFRakzanss
Illmarin ? Ce nom ne lui est pas inconnu, si le visage ne lui dit rien.
Illmarin... Libertad ?

Son cœur l'oppresse douloureusement. Le martèlement est intense.
Voir Alvera en si périlleuse posture ne lui plait guère. Il doute de sa capacité à la sauver.

Un regard vers le type qui lui adresse la parole. Cherchent une rouquine ? Voyons...

Il a repéré les armoiries qui ornent les armures.
Hystérique, névrosé, il crache en rafale des mots qui déferlent :


Gros sac à merdasse !
Bouffe ton cul et clos ton bec. Que font vos sales gueules à la cour ? Au côté des Libertad, couriens autoproclamés qui affichent leur hostilité envers les titres…

Mais on en viendrait à croire que vous vous connaissez...

Non, la tête me tourne, je délire…


S’adressant au gros baraqué :

La grognasse blonde t’a astiqué le jonc des mois durant pour que tu tombes si bas ?
Pas aussi bas qu’eux fort heureusement, impossible de faire mieux que leur double jeu de palabre.

C’est combien la licorne ?
J’ai entendu dire que le père Yarko avait perdu son chat…
Trois coups dans l’fion à qui le lui rendra.
Tenté le gros porc ?

Akzanss fait mine de baisser son froc, et s’agite comme pour donner le change. Il préfère régler d’avance…

Libertad se meurt,
s’abaisse à l’alliance risible.
L’issu de la ruelle mande l’aide
du sot à col roulé.
La blague est exquise.

Fruit de Krivda
je vous cède,
Qui vos nobles chausses parsème,
bas.

Trop bas :
je ne ris plus.
Je pleure vraiment
devant ce qui est advenu…

De toi !


Il lève les yeux sur le Palazzo.
Le dernier mot n'aura été que pour lui.

Les chiens ne lacheront pas leur proie, c'est l'évidence même.

Fols que voici : d'elle ils ne pourront rien tirer. Qui mieux qu'Akzanss le saurait ?
Alvera est etrangère aux Royaumes, son monde n'est qu'à elle.
Et nul n'y peut entrer.

Un regard vers le tas de chiffons qui la couvre à peine.


Pardonne-moi, soeurette !

Et sans crier gare, il file par les venelles.

Le temps que les autres soient à leur grille, lui est déjà loin.

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Ilmarin
Début de la nuit du Jour J: Les grilles du Palazzo.


Je te gueule dessus si je veux... Ca me défoule... Nous voir retarder ici me bouffe les nerfs....

Elle s'arrête à quelques pas des grilles. Son esprit livrant une bataille des plus tortueuses. La Liberté vaut-elle la torture et la mort? Cal vaut-elle ce qu'elle s'apprête à cautionner et encourager? La vie de ses amis vaut-elle celle d'une ennemie? Sans hésiter, elle dirait oui. Mais une part en elle hurle qu'ils se rabaissent au niveau des bourreaux qu'il lui coûte de plus en plus de supporter dans la même enceinte qu'eux.
Son regard se pose sur la folle. Mais l'étincelle de pitié s'éteint, flammèche vacillante étouffée par l'impérieuse nécessité de sauver les Libertad.

Sa bouche s'ouvrait pour répondre à la Balafre lorsque l'intrus se met à hurler des horreurs à l'adresse de ses compagnons, lorsque son ouïe retrouve les vieux réflexes en captant une voix ancienne mais pas oubliée dans la direction de son Loup.

L'énervement monte en elle, comprimant ses poumons, brûlant sa gorge. Liberté n'était pas chaos. Ni perte de temps.


PERSONNE NE BOUGE! On le laisse se barrer... Qu'il crève en Enfer serait le plus souhaitable... Que je ne le retrouve pas...

Bralic, Alde! Je vous laisse disposer d'elle en dehors des grilles. Sa vue me gonfle!!
Ma Dame, je vous demande une minute... Et je répond à vos questions...

Un rictus déforme à nouveau ses lèvres. Celui de la détermination et du combat qui se mélange à la douleur de ses poumons. Claquant ses bottes, elle entre dans le Palazzo pour vider sa toux, s'appuyant sur le mur. Cacher sa faiblesse. Cacher sa main tremblante. Reprendre contenance par un isolement d'une minute à peine. Jetant dans un coin un linge dont la nuit bénie permet de dissimuler la couleur. Trop d'effort pour contenir les émotions qui se bousculent.

Revenant dehors, sans jeter le moindre regard aux hommes, pour ne pas voir dans leurs regards si son visage trahit trop sa maladie, elle se dirige vers la Balafre, roulant des hanches pour lui faire comprendre qu'elle avait capté son regard sur son corps.


Ma Dame... Main sur le coeur, nouvelle inclinaison devant elle, en excuses de la patience qu'elle lui a imposé. Je suis navrée d'en arriver là mais visiblement, les In Tenebris sont partout et ne nous veulent pas que du bien. Quoiqu'elle sache, quoiqu'elle joue comme rôle, nous ne pouvons nous permettre de la garder parmi nous.
Concernant nos amis communs, je ne puis vous indiquer que la direction de M. Si le combat ne vous effraie pas, et je n'en doute pas un instant, venez avec nous. Nous serons votre escorte. Les rues sont... Moins sûres que jamais...

Se retournant vers les soldats, son instinct hurle que quelque chose ne va pas. Et si les IT apprenaient la désertion du Palazzo....

Cin? Organisez une garde avec les soldats des Di Ekarlate. Verrouillez toutes les issues. Personne n'entre, personne ne sort... Compris?

Avancée déterminée dans la cour, elle attrape la main de son Loup; juste attirer son attention; juste un regard de compréhension de ce qui lui arrive. Elle-même ayant du mal à retenir ses bouffées anciennes. Pourquoi parler? Il est au-delà des mots, quelque part en lui. Déjà prêt. Juste lui indiquer la route...

ON DECALE!! LE SANG NOUS ATTEND!!

Les grilles ouvertes par les gardes à son cri grincent sur leurs gonds, heurtent les battants à la volée. A la guerre. Puisque les IT le veulent ainsi...
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