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[RP] Le Palazzo

Kalimalice
Cette fois l’heure était plus à la guerre, il fallait rentrer à la commanderie, que chacune ramène quelqu’un .Un regard autour d’elle et elle vit que les choses se mettaient en place .Récupération de Mys et des autres crucifiées sur la grille .Les sœurs valident emmènent les sœurs blessées .Heureusement il ne paraissait pas y avoir de perte dans la liste des Blanches

A trois sur le cheval, elles étaient serrées, mais elles étaient jeunes et minces donc cela était possible

Kali tenait les rennes, Teia au milieu est azzera a la fin tenant de ses mains Kali pour bien maintenir la plus mal en point .
L’esquire talonna son grison, il leur fallait sortir de la ,de cette cour des miracles et prendre la direction de la commanderie

Palazzo non féerique, mirobolant qu'il fallait fuir rapidement

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kalimalice.....
Azelie
Aider, soutenir, accompagner, regarder de toute part pour n’oublier personne, écouter le bruit, le chao régnant, essayer de reconnaître les voix des Blanches, assimiler les ordres, les appels à l’aide, et avancer vers Zezula.

La jument est aperçue par les yeux émeraude, elle est là trépignant, tirant sur sa longe, voulant se dégager, ses petites oreilles sont en arrières, signe d’extrême tension, Azelie la regarde comme on regarde son sauveur, elle sait qu’elle la sortira de ces lieux, de cette puanteur, de cette bassesse où ici ne règne que chao et lie de l’humanité, gens sans valeur, ni honneur, personnes égarées par la vie.

Certaines de ses sœurs sont déjà en selle, s’agripper à la crinière blanche, se hisser, et aider une Blanche sans monture à venir avec elle, l’encercler pour éviter toute chute, rentrer, vite que cette idée en tête, soigner les plaies du corps comme de l’âme.

La jument et ses deux cavalière franchirent au galop les portes de la cours des miracles, suivant les capes frappés de l’écu vert.

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Zya62
Nanny qui part, de nouveau. Seule avec Baile qui fait des siennes. C'est qu'elle veut se lever, la bougresse. M'enfin, elle voit pas tout ce qu'elle a perdu?
Dilemne. La laisser là, sans que les autres ne s'occupent d'elle, vu qu'ils fuient tous? Ou l'emmener? L'emmener... Elle sent déjà les remouds que cela causerait. Et puis quoi? Il lui faudrait prendre une place sur un cheval... Et c'est qu'elles étaient à court de moyen de locomotion!! pour rentrer. Appuyer fermement sur ses épaules, pour la recoucher. En même temps, vu sa faiblesse, elle n'opposa aucune résistance, un bon point pour la Blanche qui peut alors agir à sa guise.


Je reviens...

Se redresse, mettant la main de Baile en appui sur sa blessure. Et elle cherche la guerisseuse... ou plutôt, sa sacoche... son énorme sacoche de survie!! Elle passe la trainée noire où il y avait eu un feu un peu avant, et repère sa cible! Sac en vue, sur lequel elle se précipite. Et de fouiller fébrilement à l'intérieur, une fois à genoux devant. Retenir un claquement des dents, une fois la tension et la chaleur retombées.
Et elle note l'impression que ses vêtements collent, quelque part en son esprit. Elle est plus ou moins trempée. Ses braies sont plaquées, la chemise est humide sur tout le bas. Et l'humidité remonte petit à petit pour l'envahir toute entière.
Mains qui fouillent, soulèvent, bougent et mettent de côté certains produits. Et quand elle en a assez, selon elle, elle revient. Elle fera avec ce qu'elle a eu sous la main, et qui était en grande quantité, pour ne pas en priver ses Soeurs. Retour près de la Baile. Dépôt des fioles et repérage du JB, affalé dans la neige. Il lui faut des bandages... Il lui en faut... mais où va-t-elle en trouver? Un retour sur JB, un second... Pas de cape, dommage. Elle en aperçoit une au loin, sur laquelle elle se précipite. Elle n'appartient à personne? Soit! La miséricorde, effilée, est sortie de sa cache, pour défaire des bandages de cet amas de tissu.


Serre les dents...!

Jus de citron sorti, qu'elle injecte dans la plaie, en très fin filet. La machoire dela Baile se crispe, les veines se dessinent. La douleur ne doit pas faire du bien. Refaire son manège, et alterner avec de la neige, la plus blanche qu'elle trouve. La zone s'endort, petit à petit. Et se désinfecte. Alors, après une dernière projection de jus de citron, elle attrape la pochette retenant les feuilles de plantain broyées. Elle saupoudre sur la plaie, et attrape les bandes. Et enfourer une sur la blessure, en occlusion, regrettant de ne pas avoir de saindoux. Puis, elle soulève la Baile.
Une bande qui l'entoure. Puis deux... trois... Le tout amplement serré sur le pansement occlusif. Frotter ses mains avec de la neige, pour faire partir le sang de ses doigts. Ramasser fiole et bourse. Se pencher à l'oreille de Baile.


Je ne peux t'emmener... Pas assez de place pour toi... Mais ce n'est que partie remise, Rebaile. Tu dois servir l'Ordre? Tu vas le faire, crois moi... si tu survis! Ce qu'a dit Nanny n'est pas tombée dans l'oreille d'une sourde.

Se redresse un peu, et fixe ses yeux dans les noisettes la scrutant.

Tes frères rouges vont bien s'occuper de toi, je présume... ceux à l'intérieur...

Se lève, le surplombant. Regard qui s'abaisse.

Tu n'as plus besoin de moi, à présent... Tente de ne pas gâcher mon travail... petit travail... sur ta personne.

Et l'Arduilet tourne les talons, et franchit la ligne du feu ancien. Un regard, un sifflement, et quelques instants plus tard, c'est une Vélyane qui débarque, en chef de meute presque, avec un autre cheval avançant au même rythme... Monter sur selle. Vérifier que les dernières partent de là et comme il ne reste plus personne, talonner la bête pour rentrer chez Elles, avec leur Soeur retrouvée.
Moults évènements sur si peu de temps. Leçon de vie que cet épisode. Des caractères se sont affirmés. D'autres se sont éteint... Mais toutes ont appris!
Un Mal pour un Bien, dirons-nous...

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Finute
Ambiance froide, morose... que de blessées... Aidant qui elle pouvait à se redresser où soigner... Piètre tableau qu'était ce jour... Des Dames Blanches couvertes de sang... des morts, des blessés... Air froid... glaçant.
Yeux qui s'ouvrent en grands en apercevant Baile, avançant vers Nanny... lame dans son ventre...
Puis ils se plissèrent et elle reporta son regard vers ses soeurs.
Nuit composée de Blanches... alentour rouge..sang.

Sifflant entre ses dents, la belle appela sa fidèle amie, sa jument Poupine et aida l'une de ses sœurs à monter dessus. Il était temps de se regrouper et aider celle qui avait besoin d'être soignée.
C'est à pieds qu'elle rentrera à la Commanderie.

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Jeanbaptiste63
Noir, son univers du moment peu ce résumer en ce seul mot. Les yeux pas encore ouvert, pas sur d'être mort ou vivant, attend un signe pour savoir. La douleur lentement revient, vivant il été vivant à moins d'être tomber en enfer personne a encore dit qu'on gardait pas ses blessures quand on passait de l'autre côté.

Un seul moyen de vérifier ouvrir les yeux, il le fait lentement et le noir laisse place au rouge. Du sang, partout du sang, le sien mais pas que, aujourd'hui tous auront payer de leur sang, dame blanche comme Libertad et lui aussi bien sur. Il se souvient de tout, il se souvient de sa défaite, il se souvient de son nom: Zya. Une promesse de revanche quand il serait sur pied, il saura la retrouver le jour ou tout devra se terminer. Mais pour l'instant essayer de se lever, avec douceur il se remet sur ses jambes et contemple la place, dame blanche enfui, plus de prisonnière et encore un corps au milieu de cette neige ensanglanté.

Vers ce corps il avance dans le silence, il cri mais personne ne lui répond, personne pour l'aider. Le Palazzo serait il abandonner? Les dames blanche aurait elle vaincu les autres membres qu'il avait vu avant de combattre, Libertad se serait il éteint?
Il pouvait pas tout vérifier en même temps, d'abord vérifier si ce corps vit encore et a qui il appartient. Plus que quelque pas a faire mais dans son état sa prend une éternité. Faut dire qu'il c'est fait sacrement amoché, oué c'est pas de sitôt qu'il allait gambader ou tenir une épée correctement. Fallait donc qu'il se trouve un abri, ba si y a encore du monde il irait squatter le Palazzo, ça semblait sympa et pas du genre a refuser l'accueil.
Mais pour le moment le blessé devait s'occuper d'une à moitié morte. Oué il se rappelait de son nom, Baille qu'on l'appelait mais pour l'instant il devait la ramener à l'intérieur parce que elle était pas encore morte mais si elle bougeait pas ça tarderait pas.
Vu comment il était y avait pas des masses de solution, il pouvait que la trainer jusqu'au chaude. Opération qui se voulait délicate pour éviter qu'elle ne meurt en chemin. C'est don avec toute la délicatesse qui lui était permi qu'il l'enleva à la cour et à la mort. En chemin sa passagère se réveilla et c'est avec un sourire de circonstance qui devait être plus effrayant qu'autre chose qu'il l'accueillis.

Oui je sais ça doit pas être agréable mais je pensais pas que tu te réveille, enfin ta eu de la chance quelqu'un a soigné tes blessures, je sais pas qui à fait ça mais je croit bien qu'elle ta sauver la vie . Enfin maintenant tout le monde est parti mais bien sur plus de prisonnière. Enfin j'espère que tu à pu régler tes comptes avec elles.

Faut pas croire qu'il tapait la discute pour le plaisir, pas que ce soit pas agréable mais il parlait pour détourner l'attention de la Baille le temps qu'il la traine jusqu'au Palazzo. Il voudrait pas qu'elle s'agite temps qu'ils étaient a l'extérieur, la blessure était encore fragile comme la barrière qui la séparait de la mort.
Mais bon toute les bonnes choses on une fin et les voila devant la porte du Palazzo qu'il ouvre après avoir reposer Baille, aucune trace de lutte premier bon signe de la journée.

TU croit pouvoir te relever parce que je pourrait pas te porter?

Pas de réponse, il tourna la tête vers elle et la vit debout mais c'était comme si elle ne voulait pas pénétrer, elle avait déjà reculer de quelque pas et son regard se poser au loin. Lui attendait toujours une réponse de sa part, une explication peut être après tout ce qui c'était passé.
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