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[RP] Le Palazzo

---fromFRLe Rouquin
Sa colère fondit d'un coup devant le petit bonhomme au doigt levé qui lui intimait silence alors il se plia en deux endossant une mine de conspirateur avec les yeux plissés,

–l'enfance de Nicolas n'était pas si loin que sa mémoire ne puisse lui rappeler ses chevauchées sauvages dans les ruelles de la cour sur un fier destrier qui ressemblait étrangement à un bâton de bois -
Par contre pour l'homme de fer rouillé, il ne voyait pas le rapport…

Un navet ?
Surtout, SURTOUT, ne pas rire.
Ce gosse lui faisait venir le boyau de la rigolade en l’air.
Nicolas grimaça à la place, c’était pitoyable comme tout mais ça valait mieux qu’un ricanement que le moufflet aurait prit comme une injure à sa sagacité.
Il avait un air si sérieux.


Les navets font venir les mille pattes.
Prends plutôt deux noix, c’est mieux.

Et puis il en avait dans sa poche alors qu’un navet, pas la queue d’un.

Etre prudent, le moindre faux pas et l’Aznar le regarderait par en dessous comme un grand qui comprend rien.
Sa sorcière elle est bonne ou mauvaise ?

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Guenievre6
Ayant quitté la taverne qui portait le charmant nom de taverne des rats crevés,et ou elle avait failli être empoisonné par un liquide verdatre servi dans un verre crasseux qui ne semblait pas être la bière qu'elle avait commandée,elle s'était retrouvé dans la rue,cette rue pouilleuse,pleine de rats

*infect,ma parole,m'enfin apparemment y'a pas âme qui vive dans le coin,ça m'évitera des ennuis au moins.*

Continuant sa route elle s'était retrouvée devant une merveille,si si!!!C'était possible de trouver un logis convenable et même plus qu'acceptable dans ce bouge!!Admirable!!

*Mallhoz ma doué,j'rêve pas!C'est bien un véritable palais,regardez moi cette splendide façade et toutes ces petites fioritures,si tant est que j'oubliais ou j'étais je pourrais croire qu'un prince y vit*

Cette perspective la fit rire aux éclats,un prince dans ce quartier ça m'étonnerait,parce qu'à part les rats,elle ne voyait pas qui pouvait vivre ici!Même les vagabonds de Landreguer n'en aurait pas voulu!Elle attendit bêtement dehors,admirant l'architecture élaborée,n'osant pas rentrer...

*on ne sait jamais j'pourrais déranger les esprits,parce qu'assurément il y en a,j'entends des voix*
Guenievre6
Elle entendit des bruits de pas,cette fois venant de l'extérieur,se souvenant des étranges hommes de la taverne,elle prit peur,ce n'était point la première fois cette journée ci!!!!!!Elle se demandait que faire et finalement
prit son courage à deux mains.Les gens qui se trouvaient là dedans,ce n'était peut être pas des esprits après tout,pourraient peut être l'aider,si ils avaient un tant soit peu encore d'humanité.Elle n'avait jamais voulu arriver ici elle........

-hey,hey,bonne gens,ouvrez ,ouvrez ,j'vous en prie!!!!!Je suis poursuivie,aidez moi!!J'suis pas d'ici, je connais personne,me suis égarée!!!!!!

Cria t elle en tambourinant à la porte.
---fromFRGardes du Palazzo
QUI VA LA ?!
QUE VOULEZ VOUS AU PALAZZO ?!


Voix forte d’une tessiture de baryton.
C’est Giles le Boiteux.

Une légère boiterie pourrait l’empêcher de courir comme un lapin sur plusieurs lieux mais il n’en reste pas moins que le nouveau garde est vif et agile et surtout consciencieux.
C’est un homme dans la force de l’âge venu se présenter un beau matin au Palazzo pour louer ses services.
Sur la foi de sa bonne tête et de son évidente bonne volonté, il fut embauché par Nicolas pour cent cinquante écus par semaine, le couvert et le lit.

Le lendemain, avec l’accord du Rouquin, il fit venir un lointain cousin, Moriset l’Esperon et il fut décidé que ces deux là garderaient désormais les portes du Palazzo et garantiraient la tranquillité de ses occupants.

C’est pourquoi, quand il entendit appeler, il s’enquit de l’identité de la visiteuse avec force et application et attendit patiemment la réponse.

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Giles le Boiteux et Moriset l'Esperon
Gardes du Palazzo.
Guenievre6
Guenievre entendit une voix délicieuse lui crier dessus.....bien que la personne criait comme un ivrogne sa voix restait mélodieuse,c'était plaisant à l'oreille,vraiment.

-J'suis pas d'ici sire,j'demande rien sinon l'asile,j'sais que ça se pratique pas en dehors des églises,mais ici il n'y en a pas et puis je ne connais personne,je suis certaine d'être poursuivie.....je sens qu'ils me suivent ces truands armés.....Ils veulent ma peau..mais pourquoi?J'n'en sais rien!!Allez ouvrez,gentil damoiseau!!Je me doute que la galanterie doit pas s'appliquer par ici mais bon faites effort,je demande rien sinon d'être à l'abri,j'promets de repartir après quand la menace se sera éloignée.Et ne vous avisez pas de me prendre pour une folle,car foi de Bretonne,j'ai toute ma tête,Mallozh ma doué!!!

Elle grelottait,même bien vêtue,le froid transperçait son corps.Et puis elle se demandait si le bougre qui se tenait de l'autre côté aurait un tant soi peu d'amabilité pour une damoiselle en détresse.
---fromFRAznar de L'aube rouge
La contrariété pourrait ne pas se cacher trop profondément, mais le géant sait être magnanime, parfois et accorder une chance, infime, aux pseudo êtres doués de raison. Les murs se sont approchés, crissant sur leurs fondations de pierres, jouant de l'inclinaison indiscrète, curieux de l'échange à leurs pieds. L'édification des masses passe par la pédagogie, aussi, le ton se fait professoral.

Les milles pattes sont nos amis, qui, crois tu, plie ton linge quand tu dors ? On a toujours besoin d'un navet sur soi.

Murmures d'approbation courant d'un embriquement à l'autre, l'ogresse n'irait pas alléguer du contraire. Dommage qu'il n'y ait pas temps d'une leçon plus complète, la sorcière en profiterait pour encore gagner du terrain et mettre au jour plan peu ragoutant, pourtant l'homme de fer rouillé avait dû sauter quelques chapitres des essentialités universelles de ce côté et de l'autre, une remise à niveau eut été bien venue. Enfin, il est connu que le temps est monnaie rare qu'il faut savoir utiliser à bon escient. Plus tard, peut être.

La sorcière rousse est dans ce couloir, je l'ai vue, nez crochu, œil jaune, peau verdâtre, il faut que tu constates par toi même l'ampleur de notre ennemie. Elle veut investir la demeure de l'Ogresse et te voler ton chapeau. Le Seigneur Philémon l'a rapporté. Il demande de l'aide.

Expliquant la situation, le géant a repris le chemin inverse, entrainant l'homme de fer rouillé à sa suite. L'angle du mur se faisant proche, le pas se fait loup sur neige, le regard est emprunté au lynx, l'oreille à la chouette chasseuse nocturne, la voix copie le monde et ses certitudes. Le géant offre l'information qui sauvera la vie de l'homme, ne sachant pas pour les milles pattes, il pouvait honnêtement douter de sa connaissance dans l'utilisation des arrêtes de mur.

Un seul œil qui regarde, si l'autre dépasse, tu perds, tu ne repasses pas par la cuisine et tu termines directement dans son ventre.

Mots et démonstration, le géant en personne pose son front à la grisaille froide.

Les noix ça ira, donne moi la poêle.

Je suis Aznar de l'Aube Rouge, gardien des Trois, passeur de ce Côté à l'Autre.
---fromFRGardes du Palazzo
Le patron avait été bien clair sur qui entrait ou pas.
Le Palazzo ne refusait jamais assistance à qui la demandait pour peu que le visiteur inspira confiance et Giles n’avait son pareil pour lire la rouerie sur un visage.
Les hommes en armes devait passer leur chemin, sauf autorisation exceptionnelle.
Pour le reste, les gardes devaient faire preuve de bon sens et de vigilance.


Pas de gentil damoiseau ici Madame, vous parlez à la garde du Palazzo, la demeure de la Comtesse Diamante Di Ekarlate.

Repondit il en ouvrant la porte.

Que voulez vous ? Asile ?
Il ne me semble pas que l’on vous pourchasse, je ne vois personne ci devant
ajouta il en observant les abords immédiats de la bâtisse.
Mais entrez donc un instant,
Moriset ! Va donc faire un tour et vérifier les environs afin de rassurer Madame.


Puis il referma la porte et conduisit la jeune femme dans la grande salle, près de la cheminée.
C’est ici que les visiteurs doivent attendre.
Je dois retourner à la porte Madame.


Puis il s’en fut, le dos droit, reprendre son poste.
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Giles le Boiteux et Moriset l'Esperon
Gardes du Palazzo.
Guenievre6
A coup sûr il la prenait pour une paranoiaque,et pourtant elle ne l'était pas...peut être que ces hommes,enfin si on peut encore les appeler ainsi,ces mercenaires,se cachaient,ils n'avaient pas semblé pressés mais elle avait entendu des bruits de pas réguliers derrière elle qui s'arrêtaient dès qu'elle même stoppait sa marche et des bruits de ferrailles,d'armes.Elle n'avait pas la berlu.Quoiqu'en pense ce garde.Sachant pertinemment qu'ils étaient déjà tous deux repartis,elle tint tout de même à dire

-Trugarez...euh....Merci....pour tout!

Ah ce feu était vraiment le bienvenue.Il crépitait,des étincelles sautaient comme prise d'un élan joyeux,dansant autour de la bûche qui se consumait.Elle n'aurait jamais pensé qu'une comtesse vivait dans ce quartier misérable,mais quelle belle demeure.
---fromFRLe Rouquin
Une mauvaise donc, de sorcière.
Evidemment, les sorcières sont toujours des vilaines.
Et bien sur que les mille pattes s’occupent de mes caleçons la nuit… Qui d’autre hein ? Les libellules argentées peut être ?


Je me souviendrai, pour le navet.
Il opine de la tête, concentré.
Pince sans rire le Nicolas qui se gratte le crâne en repoussant un prétendu chapeau ramené par un illustre inconnu nommé Philémon qu’une ogresse rou…, non, une sorcière rousse au teint verdasse aurait l’audace de vouloir lui barboter. Il se perd dans les méandres fumeux de l’imagination du nain bavard qui lui conte des histoires saugrenues, serre les dents pour ne pas s’égayer et suit sans rechigner au bout du compte, amusé.


Et la vaisselle que tu as cassée c’était quand tu as combattu le Gnourf ?
Chuchote-t-il en lui remettant deux petites noix ridées dans la main.
A son tour, quelques crans au dessus de la tête du farfadet, il colle la moitié de son visage sur le mur rugueux en suivant scrupuleusement les instructions et voit d’un œil unique passer Giles le Boiteux accompagné d’une demoiselle.


Non ! Toi donnes moi la poêle. Je suis plus grand.
Et ne marches que sur les carreaux noirs. Tu entends ? Les noirs seulement !

Et hop, on avance, prudemment, en sautillant, d’où l’on était venus, là où sa mère doit attendre, avec des crêpes.
Il aura compris que les blancs s’effritent et vous font disparaitre dieu sait où, les blancs sont des mensonges.

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Elderlyne
Les murs et les maisons ne sont pas faites pour elle, et celle ci ne fait pas exception.
Le couloir est sombre, tortueux et elle le sent hostile.
L'obscurité est peuplée de bruissements, de craquements. Pour un peu, elle entendrait presque des chuchotements derrière le coin le plus proche.

Les portes hautes et closes semblent cacher des mystères, des souvenirs de jours anciens où elle n'a pas sa place.
Son frère a vécu là, elle le sait.
Curieuse, elle laisse sa main glisser sur les panneaux de bois des portes, les pierres froides.
Si elles pouvaient raconter tout ce qui s'est passé ici...
L'histoire serait sans doute faite de moments sombres, heureux ou agités. La vie de Marl n'était jamais un long fleuve tranquille.

Finalement ses pas la conduisent au pied d'un escalier, raide et étroit.
Il tient plus de l'échelle de meunier d'ailleurs.
Hésitante, elle pose le pied sur la première marche.
Aznar aurait il entrepris la périlleuse escalade ?

Le bois grince sous son poids alors qu'elle s'élève lentement, marche après marche.
Aucune trace dans la poussière, elle doit faire fausse route.
Par acquis de conscience, elle jettera un coup d'oeil avant de redescendre.


- Aznar ?

Sa voix trouble le silence. Bruissements de souris qui fuient à son approche, non, personne n'est venu là depuis longtemps.
Ca n'est qu'un couloir de service semble-t-il.
Elle observe, le paquet brut, l'étroit corridor, et avance encore de quelques pas. Le silence est lourd, presque réprobateur devant son intrusion.


- Aznar ? Tu es là ?
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Guenievre6
Guen' quoique jeunette et parfois distraite entendit des voix.Elle se crut d'abord folle,il y avait la voix muante d'un garçon et celle d'un homme dans la force de l'âge...

*Mais non ma pauvre guen',ce ne peuvent être des esprits,enlève de ta tête ces croyances ridicules,ça ne te mènera à rien,ces personnes là sont bien vivantes*

-fidamdoustig ! Ne sera pas dit que je manque de courage...je vais aller voir ce que c'est.

Surmontant sa peur,elle se glissa dans un long couloir,déambula quelques instants,ne trouva personne,et s'en fut....C'est alors qu'elle entendit,une voix claire et voilée,semblait il,d'inquiétude et de tristesse,une voix chevrottante .La peur tenaillait cette personne ,sans doute autant qu'elle.

-Qui va là??

Puis pensant à la crainte que pourrait ressentir cette femme en entendant une voix survenir des tréfonds,elle se reprit et ajouta

-Je ne sais pas qui vous êtes mais qui que vous soyez,sachez que je ne vous veux aucun mal.
---fromFRAznar de L'aube rouge
Outrage, blasphème, ignoble corruption de la parole, il est des choses qui ne peuvent être dîtes, des mensonges tellement éhontés qu’ils pervertissent à jamais la réalité des faits. Colère sourde.

Le dernier Gnourf, le Monde l’a gobé à son petit déjeuner et ma Saveur a tanné sa peau pour m’en faire des chausses. Constate par toi-même vil incrédule.

Pied levé et soumis à l’examen du foutriquet, ça c’est de la godasse môsieur ! De la pompe à Gnourf, qui dit mieux, personne évidemment, n’est point Aznar de l’Aube Rouge qui veut. Et si jamais il prenait la doucereuse autant que malencontreuse envie à l’homme de fer rouillé de jouer encore les marioles sur un sujet si délicat, il pourrait constater qu’un pied, même pointure vingt-sept, équipé de telles splendeurs se fourrant dans un arrière train dodu peut vous faire découvrir sensation dont la Luxure en personne pourrait revendiquer propriété.

Quant à la vaisselle, sache que c’est elle qui n’a pas su tenir sa place.

L’univers, au frémissement d’aile d’un papillon égaré dans l’hiver à son mitan, a failli basculer dans l’abysse insondable du doute. Main gauche sur carreau noir à gauche, main droite sur dalle noire à droite, un pied en l’air prêt à franchir l’espace vide entre deux blancs, l’autre jouant de l’équilibre en pointe de Gnourf, le géant lève un regard assombri sur les cannes articulées de l’élève homme de fer rouillé.

Qui est grand ici ?!

La poursuite de la discussion allait s’avérer aussi houleuse que la façon dont la question fut posée, mais une ombre double vint ternir l’échiquier du sol, coupant court à toute dissertation sur le gigantisme intérieur. Fi des blancheurs dallées, il n’est plus temps d’être précautionneux quant à sa vie, la sorcière s’est faite hydre à deux têtes, le géant se propulse dos collé au mur, murmure en coin de lèvres, regard indiquant l’ouverture sur le prochain couloir.

Elle s’est dédoublée, nous avons perdu trop de temps en discussions, c’est de ta faute, tu aurais eu le navet …. Il va falloir faire diversion.

Glissant le long de la muraille, ventre rentré, talons plaqués aux pierres, le géant avance par reptation verticale, deux noix voletant entre ses doigts.

Toi, tu te sacrifies pour me sauver en te jetant en pâture entre leurs griffes acérées, moi je les assomme avec les noix, je te pleurerais promis.

Je suis Aznar de l’Aube Rouge, concepteur de plans d’évasion, éveilleur d'héroïsme.
---fromFRLe Rouquin
Le navet, LE NAVET ! LE NAVET !
C’est une idée fixe chez toi ! J’en ai pas des navets, j’aime pas les navets, je HAIS les navets !
Les noix c’est mieux.

Voilà c’est dit. C’est pas un gosse de.. Quoi ? Deux ans ? Qui va faire la loi ici bas !

N’empêche que tu as marché sur le blanc.
Et c’est tant pis pour toi, je viendrais pas te chercher.
Je t’avais prévenu, Aznar de la Zizanie.


C’est sorti tout seul dis donc. Sur qu’il va se vexer le mouflet. Pas grave, ça lui fera les pieds. Il a cassé de la vaisselle qui était dans la famille de Diamante depuis des lustres. C’est pas elle qui va lui reprocher, toute éteinte qu’elle est, mais quand même, il est le gardien de toutes ses choses et ça lui fait mal quand elles rendent l’âme.

Bientôt tu vas te dissoudre, à cause du blanc, et ta mère trouvera juste un petit tas par terre. Et voilà. Et c’est moi qui mangerai toutes les crêpes, répondit-il en souriant largement et sautant sur un carreau noir, un très beau saut, net et précis. Restes là si tu veux, moi je retourne au foyer et si une sorcière il y a, qu’elle ait deux têtes au lieu d’une, et bien je les lui couperai aussi facilement qu’une seule, avec un fil magique.

Schlack !
Claquement de doigt.
Nicolas n’a que faire des sorcières velues sous les bras et aux joues verdelettes.

De noir en noir il approche de la grande salle, happé par diverses odeurs alléchantes, laissant derrière lui un farfadet sacrément cabochard !


Je me sacrifie tu vois ! Et hop il disparait dans la salle pour n’y trouver rien ni personne…
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Languededragon
Les Mercenaires poursuivirent la jeune femme. La vue de celle-ci courant le plus vite qu'elle puisse et étant désespérée leur donna encore plus envie de jouer avec ... De la faire gémir !
Soudain alors qu'ils allaient la rattraper, une voix forte et grave s'éleva.
Elle provenait de gardes ... Que voici un étrange endroit où les pas de l'étrangère les avaient mené. Sachant qu'ils ne pouvaient pas se permettre de compromettre leur mission en risquant leur vie, ils ne purent retenir un soupir de déception à l'idée d'être privé de leur proie !

Des femmes comme celle-là, la Cour en grouillaient ! Les Mercenaires du Chaos n'étaient visibles de nul part.
Bien dissimulé dans une flaque d'ombre intense dans laquelle ils s'étaient fondés sans difficulté, ils observaient le déroulement des choses.

La femme put rentrer dans l'étrange bâtisse alors qu'un homme, certainement venu vérifier les environs, s'approchait de leur cachette.
Celui-ci passa à côté de la flaque d'ombre sans les apercevoir.
Une main s'échappa un court instant de l'ombre et happa l'homme.
Il faisait face bravement aux six Mercenaires du Chaos dont une lueur malveillante faisait pétiller les yeux.


- Hep' là ! T'vois la femme qui est entrée en votre demeure ? Elle nous a provoqué et nous sommes en droit de la punir. S'tu veux pas d'problèmes ave'c nous, s'qui serait regrétable, retire ta permission de lui accorder l'asile !

L'homme n'avait pas encore répondu mais il semblait évident au Mercenaires du Chaos qu'il n'accepterait pas.

- Tu ne repartiras pas les poches vides si tu t'en occupes tout de suite !

Les Mercenaires se léchèrent les babines et un d'eux frotta sa lame contre le mur ce qui eut pour effet de produire un son très déplaisant et peu rassurant ...
Ils étaient certain que ces hommes étaient complètement fous mais non dénué de ruse et d'habileté au combat.

Serait-il intelligent ? Ou chercherait-il les ennuis ?

Quoi qu'il se passerait, les Mercenaires du Chaos auraient du sang dans les prochaines minutes ...
Guenievre6
Personne ne lui répondit,peut être que la jeune femme après tout,car c'en était à coup sûr une,préférait ne pas se dévoiler aux yeux de tous.Cela ne la regardait pas,et puis si l'envie en prenait à cette personne de lui parler,elle n'aurait qu'à crier plus fort comme elle semblait si bien savoir le faire.Guenievre par ailleurs saurait lui répondre comme il convenait,elle n'était pas peu fière de ses cordes vocales.
Un peu déçue tout de même,elle décida de revenir sur ses pas,elle se sentait un peu seule,mais elle était à présent dans un foyer accueillant,chaleureux,ou rien ne pouvait lui arriver.Malgré cela ,elle n'arrivait pas à se sentir bien.Elle ne devait pas s'éterniser dans ces lieux,ce n'était pas chez elle.
Elle arriva alors dans la grande salle et s'approcha de l'âtre brulant avec vivacité et dont les flammes semblaient toujours aussi joyeuses,prise dans un moment de réflexion elle se retourna et se retrouva nez à nez avec un garçon roux.
Paniquée elle se mit à crier ,du plus fort qu'elle pouvait,brisant presque ses propres oreilles à l'occasion!!!!!

-AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAhhhhhhh!!!!!!!!
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