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[RP] Maison de la lanterne aux lucioles

Iskander
[ Un autre moment, en vue de la maisons au de la lanterne aux lucioles, en revenant de Genève en compagnie ... ]

Eavan Gaëlig.

Monseigneur.

Genève semblait l'avoir oubliée. Ou pas vraiment. Ou était-elle une combattante parmi tant d’autres …

La ville portait encore les stigmates du siège. Des maisons en ruine, juste des murs calcinés encore, ou des tas de gravas. Les chemins et les ruelles étaient tous déblayés.

Mais, ça et là, il y avait encore quelques coups, quelques marques. Une personne qui boitait. Des gamins qui mendiaient. Une échoppe fermée depuis longtemps. Une famille qui déménageait, sans le père, sans la mère, sans le fils ...

Les prix de tout restaient élevés, encore que je ne sache si c'était de la guerre ou d'avant.

Les gens réapprenaient à vivre en paix. Tentaient de réapprendre. Vivaient. Les uns moins meurtris que les autres. Et les armes pas loin, encore.

Nous menions Eavan Gaëlig à travers tout cela, jusqu'à la poterne éboulée qui menait à la maison.

J'aidai mes compagnes à passer cet obstacle. Il faudrait que cela soit réparé. Un jour.

Puis la maison apparut, juste en face de la boulangerie de Camy. Bout de ville poussé hors des remparts, ravagé par la guerre, remontée déjà.

"Curvata resurgo" ... la Maison de la lanterne aux lucioles ...

Elle aussi avait souffert. Thor avait fait des merveilles pour la retaper en si peu de temps.

"Curvata resurgo"

La toiture d'ardoises couleur de ses yeux était achevée. Et l'intérieur s'aménageait. Il y avait fort à faire encore, mais la maison sentait le neuf. Elle serait tout à fait prête pour l'automne, qui viendrait bientôt.

Mais plus que cela. On y chantait. Je souris. Aubanne devait donner la tétée au jeune Florian.

La vie, partout. Les arbres du verger avaient leurs branches chargées de fruits déjà.

La vie.

Je me retournai vers Eavan et ...


Nous y voici. La route a été longue pour venir. Mais nous y sommes.

Soyez la bienvenue, Eavan Gaëlig, à la Maison de la Lanterne aux lucioles.

Nous avons prévu des chambres d'amis.

Hersende se repose en l'une d'elles.

Enfin, nous campons encore beaucoup. Mais vous verrez, c'est une belle demeure, qui sent bon.


Et de la laisser nous précéder au dedans ...
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Eavan
Genève.

Ville portant les stigmates de la guerre.

La guerre.

Eavan n'aimait pas la guerre. Il ne fallait pas croire que parce qu'elle était soldat, elle aimait ça. La jeune femme abhorrait les combats. Seulement parfois, le dialogue était systématiquement rejetté et à la violence on ne pouvait répondre que par la violence. Subir n'était pas la solution à tout.

Traverser Genève.
Chose qu'elle aurait considéré comme impensable, si elle n'avait pas été accompagnée et guidée par des gens de confiance.

Arriver enfin devant la porte, entrer. Iskander avait parlé de Thor ... Thorvald ? Son écuyer favori ? Un fin sourire s'était frayé un chemin jusqu'aux lèvres d'Eavan.
Passer la porte, oter le capuchon.
Voilà qu'elle allait bientot revoir Hersende. A Genève. Chose inattendue ... Depuis combien de mois ne l'avait elle pas vue ? Une éternité ? C'était la tempête sous le crâne de la Vidame. Tant de certitudes et d'incertitudes ... Avec quelquepart l'assurance qu'elle aurait des choix difficiles à faire. Protéger à la fois la Marquise, ses ravisseurs et l'honneur de son fiancé s'avèrerait sans doute compliqué. Eavan avait apprit avec le temps qu'il était bien plus simple d'obéir que de décider et qu'il était encore plus simple de ne décider que pour soi que de donner des ordres à autrui.
Oublier la tempête. Regarder la batisse. Oublier la tempête.


Oui, c'est une belle maison ...

Je ne veux pas paraitre impolie mais ... Puis je m'entretenir avec Hersende en privé ?

Léger sourire. Régler cela, être fixée sur les dilemnes qui se poseront. Savoir où elle met les pieds. Ensuite, elle pourra s'asseoir, parler avec ses amis et songer, peut être, à autre chose qu'à la guerre et qu'aux problèmes liés à cet enlèvement.

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Iskander
J'étais surpris par sa question.

Je répondis d'instinct.


Il faudrait lui demander. Mais je suppose qu'elle sera d'accord.

Puis réalisai.

... et rougis.

Nous faisons vraiment des ravisseurs pitoyables.

Nous n'avions vraiment pas l'air du tout.


Sa chambre est juste à l'étage. Avec une vue imprenable sur les montagnes. Yvain dort juste à côté. Il ne l'a pas quittée d'une semelle. Enfin, nous "campons" encore.

A moins qu'elle soit partie se ballader.

Le mieux serait d'aller voir.


Avisant mes soeurs, Adèle renfrognée, Blanche vaguement amusée et Jeanne souriant.

Monseigneur, voici mes soeurs, Blanche, Adèle et Jeanne.

Blanche, Adèle, Jeanne, je vous présente Monseigneur Eavan Gaëlig.

Thorvald, Aubanne et Florian doivent être ... pas loin.

...

Venez, je vous conduis à Hersende.


Et de la conduire jusque là, à travers l'immense chantier qu'est la Maison.
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Eavan
Léger sourire aux trois soeurs, accompagné d'un mouvement de tête poli. Tout en suivant Iskander à travers la maison, Eavan défit la cape qu'elle portait et d'un geste inconscient la plia sur son bras. Ah, qui aurait cru que la jeune femme avait des gens à son service, un castel et un corps de gardes personnels. La Baronne avait tellement l'habitude de partir en campagne militaire seule, en laissant la gestion quotidienne de son domaine à ses gens, qu'elle n'attendait aucune attention particulière.

La cape désormais enlevée, on pouvait voir la mise de la jeune femme. Chemise blanche portée par dessus une brigandine qu'on pouvait deviner sous le tissu et des braies beiges qui retombaient un peu sur de hautes cuissardes cavalières. Tenue simple, de matières de bonne qualité. Une ceinture supportant une épée batarde au fourreau et une petite bourse de cuir.

D'une voix qu'elle aurait souhaité plus légère et un peu moins tendue.


Et comment va ce cher Thorvald ?
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Vero5
Et si on prenait le tout en vrac? Roi dame valet..cœur sur le carreau effleure qui pique.. flic floc..

Totalement dépassée, errance et travaux, plaisir et petits bonheurs.. tant trop, désolée du pas assez.
Ne plus savoir ou donner, pas plus que de prendre.
Tenté le dédoublage.. voir même plus, troublant.

Ne plus savoir, perdre ses repères totalement. Confuse. Se rendre compte que sa petite vie réglée était chamboulée, la nouveauté passée, reconstruire, trier, poser des repères autres, décaler le quotidien, se perdre un peu, songer au bords de ce lac cristal de la route a suivre.
Poser des priorités et se mirer dans l'eau claire regarder en face celle qui s'y trouve et réussir à lui faire promettre que les vœux émis seront exhaussés, du moins dans les grandes lignes.

Poser les mains à plat contre les pierres de leurs maison, l'écouter lui murmurer des bribes d'histoire, que d'eau qui a coulé.

Soirées découpées sur fond de rêves, senteurs fraiches, palabres du tout, sérieusement, subtilement.

Adriano curieux, éveillant à des vérités, posées sans soucis , réponse immédiate sans l'ombre d'un doute, des questions vrais , un rire à y songer encore plus tard. Quel bonheur de le redécouvrir, de le sentir proche et si lui même.. différent, muri dans des questionnements, blessé et si fauchant.

L'évidence...l'amour sous ces facettes multiple, avoir ce besoin d'aimer, donner et recevoir selon ce qui est, non pas possible mais qui... est.

Dérouler encore la pelote...chercher les fils qui serons une toile solide, nettoyage de la cours, rire avec les sœurs, défrichage, les mains en terre puisant.

Récolte d'herbes qui piquent, sournoise soyeuse, mise en botte et ligotée, oui forcement plus facile à ravir que l'amie qui erre parfois un peu trop le long du port. Battue, blanchie.. l'eau claire encore.. la feuille fine sort enfin, fibres emmêlées, douce si douce... Regarder les boucles blondes qui converse à grand geste sur les chemin, Yvain à ses cotées, comme toujours.

Se demander si c'est une suite heureuse de la rencontre avec Genève ou encore une multitude de questionnement...
Retour vers la feuille.
Tenter un jour d'y poser de l'encre.. pas encore, mais un jour.

L'amour, oui encore elle celle qui permets de commettre des folies, réunir ici, Une croisée au cœur magnifique, une marquise dévote ravie ou raptée selon qui pense.
Doutes toujours mais heureuse de voir les rencontres de ceux qui ont toujours répondu présent dans l'attente d’émotions.

Dormir sereinement, écouter et s'éloigner encore..trop tôt, contrariée de ne pas s'être réveillée plus tôt, sourire quand on lui conte la visite éclaire. Grogner, fulminer et qu’espérer qu'ils leurs reviendra vite. N'ayant aucun droit sur leurs chemin au vu des capacités qu'elle a de gérer l'éloignement. Reprendre les fibres et refaire des feuilles qui prennent vie sous ses doigts.

Rattraper au seuil de la porte, la guerrière au cœur d'or entendre qu'elle prends nouvelles du géant, son ecuyer peu fidèle mais tellement aimable.
Grand sourire et pointe de malice.


Semblerait qu'il se fasse un sang d'encre..Papa.. c'est un grande aventure!

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Eavan
Des mots doux à l'oreille. Paternité ... Regarde Véro avec une espèce de sourire tendre. Inhabituel pourrait on dire ...

Papa ? ... Je ne le voyais pas dans ce rôle ... Mais ... Pourquoi pas ? ...

Et continuant à sourire.

Oui ... Une aventure ... une jolie aventure ...

Continuer à suivre Iskander. Sourire à Véro en laissant un petit silence, sans doute un peu entendu. Laisser son regard se ballader sur les parties en chantier de la maison.
Eavan butta contre une planche. C'est ce qui arrive quand on marche le nez en l'air. Pas de chute, un rattrapage peu baronnique. Un geste pour assurer que tout allait bi...
Et puis soudain, plus d'air dans les poumons, une pointe au coté. Une pointe de douleur. Le souffle coupé. Un visage qui perd en couleurs. Fichue blessure de guerre qui se réveille encore sans prévenir ...
Vaciller ...
Tenter de se rattraper avant de tomber ...
De l'air, de nouveau, un peu. Le souffle court.

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Iskander
Progresser dans le dédale ... ici des pierres, là des madriers, des poutres, des planches, des dalles, des ardoises, des sacs de chaux, de bacs d'eau, des couleurs, des pigments, tant et tant à déplacer, replacer, poser, faire, défaire ... et tout cela à parcourir comme une anguille verte ...

La chambre de Hersende ... nous y étions presque.

Elle n'avait qu'un rideau encore, pour préserver son intimité. Bien loin de l'huis renforcé qui pourrait l'empêcher de s'évader. Un rideau bleu, couleur du ciel ...

J'entendis un choc, un gémissement à peine ...

Toupie et voir Eavan choir, blême, bras épars, souffle court ...

La rattraper à plein bras, accroupi ... et m'étonner de sa légèreté, malgré l'armure.

La tenir fort tout contre moi un instant, comme un enfançon, assez près pour sentir son pouls ... sa vie, son souffle rauque ...

La laisser prendre l'air, le visage libre, et lui parler doucement.


Ce n'est rien. Ce n'est rien. Juste la douleur qui remonte.

Elle vous enveloppe, engourdit tout, puis sort, passe ...

Et vous serez bien à nouveau.

Nous restons avec vous, Eavan Gaëlig, le temps que vous soyez tout à fait bien à nouveau, et autant qu'il vous plaira.

Restez avec nous, Eavan Gaëlig, le temps que vous soyez tout à fait bien, à nouveau, et autant qu'il vous plaira.


Et de sentir une moiteur sourdre entre mes mains. Ne pas oser trop la regarder.

Faut-il qu'elle aime à ce point pour venir déjà ainsi, la première, malgré toutes ses blessures affleurantes encore ?

Croiser le regard de ma Vero.


Tu as les mains d'une fée pour ceux que tu aimes. Pourrais-tu ... ?
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Alinoe_de_chenot
La jeune duchesse remonta dans son carrosse, elle avait des gens à voir mais elle avait voulu voir le lac.
Ce même lac qui baignait les pieds de son château à Thonon, elle voulait le voir de Genève. Il était si beau, jamais elle ne s'en lasserait. Il lui vait tant manqué lors de ses pérégrinations dans le Royaume de France, elle avait vu de beaux paysages mais rien comme le lac Léman, son lac, qu'elle partageait avec tant de savoyards et d’helvètes. A cause de ce lac, ils n'auraient jamais du être ennemis.
Il fallait repartir, elle reviendrait dans la soirée. D'abord aller dans une belle auberge puis chez lui et sa famille.

Plus tard, la jeune duchesse descendit de son cheval, elle avait laissé son carrosse et s'était promenée dans Genève à cheval.
Bien entendu elle s'était égarée, elle n'avait voulu d'aucune escorte. pour l'instant, elle n'était qu'une jeune fille qui allait rendre visite pas la chancelière en mission.
De plus elle était armée jusqu'aux dents, elle avait son arc, son carquois, son épée et même une dague. Il faudrait se mettre à plusieurs pour la vaincre.

Ayant attaché Tonnerre, elle frappa à la porte de la demeure et attendit que l'on vienne lui ouvrir.

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Lemagefreng


Freng vint à cette heure - tardive, certes. Il avait profité du but de son "voyage" pour faire prendre l'air à Jean-Jacques le furet, Oligophrène Péouze et Stupide Péouze ainsi qu'à Gertrude la plante verte - portée par Freng en personne. Il faut dire que les Péouze sont tellement maladroit que la pauvre Gertrude aurait tôt fait de faire une regrettable chute. C'est pourquoi, c'était Freng qui portait sa plante verte sous le bras. Il ne la montrait pas au passant, mais elle était tout de même visible. Ou alors, c'est de voir un homme avec un pot à fleur sous le bras qui faisit que les gens se retournaient à son passage. Pourtant, il n'avait toujours pas mis la main sur un kilt.

C'est avec ces pensées qu'il ariva à la maison. Il avait dû se renseigner pour en arriver là. Mais maintenat qu'il y était, il toqua à la porte en attendant qu'on veuille bien lui ouvrir.

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Marquis de Lavaux-Oron et de Pays-d'Enhaut
Vero5
Dans le vent...la réponse?

La voire trébucher tant la tension est palpable, Vero sursaute et se glace quand la chute arrive. Heureusement le Berger est leste et l'amorti entame pas plus la pâleur de leurs convive.

Malgré les paroles rassurante de son Berger, ne peux s’empêcher de poser ses lèvres sur le front brulant, un souffle perceptible s'échappe, profond soupire.
Reprends le regard d'Iskan et hoche la tête ...

Oui.. oui ..
Porte la dans la chambre, je file chercher de quoi la soulager un peu.. je reviens de suite


Panique.. oui.. franchement oui!
Même dans la tente au pied de la muraille elle était moins blême...zut.. dévale les marches et farfouille comme une folle dans le coffre, tremble en sortant feuilles et écorces.. reste de tisane dodo .. non.. quelque chose de facilement absorbable.. oh.. ehh larmes de perles noire, très très efficace, voila enfumer la pièce..déliera les douleurs..

Toc Toc.. d'un coté...
toc toc de l'autre , des envies de hurler Au secours!

Une seconde d’hésitation puis finalement réalise que au plus fort de la tempête il faut croire!! a quoi.. diantre cela deviens compliquer mais on y croit.
Ouvre au plus proche, une demoiselle armée jusqu'au dents, vision de délire, des envies de reclaquer la porte et oublier la vision, Y croire nom de bleu...


Bonsoir Entrez... que puis je pour vous?
ehh non suivez moi plutôt...et portez moi ceci...


Ramasse le coffre et le lui fourre dans les mains

Passe a l'autre porte et l’entrebâille avec moins d'enthousiasme.

OOhh Valère et Tourbillon

le cliquetis de la matière grise s'enchaine

Bonheur de vous voir Ici.. Maintenant


Médicastre esquinté par la faute de Pons.. pas oublier de le remercier celui la..

Poser donc Gertrude la...


Désigne un coin abritée pour sa bien aimée .

Et Suivez moi.. j'ai besoin de vous et vous avez tout intérêt d'être à la hauteur!


Affiche le sourire Beausoleil et emmène tout la petite troupe vers la chambre ou Eavan serait sensé être allongée.

Passe la tête et ne s'étant pas trompée de direction


Je crois que nos doux prières exhaussent ...plutôt promptement!!

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Eavan
Des bras, des mots, des regards, inquiets ...

La jeune femme aurait voulu leur dire que ce n'était rien, s'excuser de leur causer du soucis ... Maudire sa faiblesse aussi ... Mais pour le moment, aucun mot de quittait sa gorge.
La douleur refluait lentement, bien plus lentement qu'elle n'était venue.

La respiration avait reprit son court. Cela manquait encore de fluidité mais la base y était. Et pourtant, Eavan ne parvenait pas à se redresser. Un bref sourire apparut sur les lèvres de la Vidame à l'invitation d'Iskander. Et rien n'empècha la provençale de répondre au berger :


"Vous n'allez tout de même pas m'enlever."

Et de perdre doucement son sourire en reconnaissant la sensation désagréable du sang qui imprègne les vêtements. Une partie de ses blessures s'était réouverte.
Allongée sous le regard inquiet de ses deux amis, la jeune femme ne pouvait qu'admettre qu'elle était au bord de l'épuisement. Depuis des semaines déjà, elle tirait sur ses forces. Sa blessure s'était refermée difficilement, elle ne s'était accordé aucun repos. Une tête de mule en somme ... Qu'y avait il de surprenant ?
Relève les yeux, déjà Véro n'est plus visible. Elle a parlé d'une chambre.


Je peux marcher, avec un peu d'aide ...

Mobilise ses forces pour se lever. Une idée commence à naitre dans l'esprit de la jeune femme. Elle pourrait prendre un peu de repos. Bien sur, tout dépendrait d'Hersende mais ... elle avait besoin de reposer son corps et son esprit.
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Alinoe_de_chenot
La porte s'ouvre brutalement et la jeune duchesse se retrouve devant une femme qui visiblement à l'air pressée.
Oui la femme est pressée, elle n'a pas le temps de se présenter que paf, la dame lui met un coffret dans la main, Alinoë n'a rien le temps de dire que la femme l'ayant demandé de la suivre, ouvre une autre porte et demande aussi de la suivre.

La jeune duchesse ne connaissait pas la femme mais dans le ton de sa voix, on pouvait ressentir de la nervosité voir de l'anxiété, alors la jeune fille portant le coffre, obéit et suivit sans dire un mot. Il était clair que l'heure n'était pas aux mondanités et que Alinoë ne se formalisait pas dans ce genre de circonstances.
Mais que se passait-il donc ? Elle était arrivée à un mauvais moment.
La jeune fille espérait simplement pouvoir être utile et pouvoir repartir pour aller à son rendez-vous plus tard dans la journée.

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Iskander
[ Aux étages en plein travaux ]

Eavan Gaëlig délirait. Ou presque ... ou pas ...

Vous enlever ?

Elle serait capable de m'envoyer six pieds sous terre d'une pichenette. Ou pas, vu son état.

Capable de marcher ... oui, mais combien de temps.


Et bien, un petit peu. Et si je ne le faisais pas, je suppose que Vero s'en chargerait.

Vous me direz qui je dois prévenir, ce sera plus facile ainsi.

Venez. La Chambre de Hersende est toute voisine et grande. Vous aurez ainsi une "compagne de captivité" avec qui converser ... loin de la poussière des travaux.

Ce sera plus agréable que de vous reposer seule.


Je l'aidai à se lever et l'emmener au delà des rideaux bleus.

La chambre était toute simple, spartiate presque, encore que ce fût la seule pourvue d'un grand lit, où toute une famille eût pu loger.

Pour le reste, presque rien, une chaise, deux tabourets, un guéridon et un coffre. Nous n'avions pas eu le temps d'emmener les grandes robes d'Hersende. Et un bouquet de violettes. Adèle devait être passée là. Sa Marque...

Je l'aidai à se coucher, n'osant pas trop toucher à la blessure.

J'otai ma chemise et lui donnai.


Hersende ne devrait pas trop tarder. Enfin, j'espère.

Je vais rechercher Vero, et ses cataplasmes et ses tisanes.

Pressez fort sur la blessure en attendant !

Je reviens vite.


...

[ Et quatre à quatre en bas ... ]

Voir une jeune dame chargée du coffre à simples de Vero, et de loin, vero en conversation avec l'homme à la Gertrude ...

Venez vite, Eavan est navrée ! J'ai dû l'enlever et l'ai couchée dans le lit d'Hersende et ...

Si vous voulez, je peux porter le coffre jusque là haut ...


La jeune dame avait un air de déjà vu quelque part et de ...

Je déglûtis et devins pivoine et saluai maladroitement.


Excellence ...

Votre Grâce ...

C'est ... c'est ...

Soyez la bienvenue chez nous !

Vous ... vous avez sans doute déjà rencontré Dame Vero de Beausoleil, ma vie, qui ... et mes soeurs ?

Eeeeh ... Eavan ...


Mille biques ... et maintenant ? Faudrait-il que je l'enlève, elle aussi ?
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Lemagefreng


Citation:
Passe a l'autre porte et l’entrebâille avec moins d'enthousiasme.

OOhh Valère et Tourbillon


Freng remarqua que ce n'était pas le grand enthousiame en le voyant. Pauvre de lui! on lui disait de venir et il semblait presque que sa venue dérangeait.
Le petit Freng continua à entretenirde fausses pensées de tristesse jusqu'à ce que :


Citation:
Bonheur de vous voir Ici.. Maintenant


A ben quand même! bon! voilà qui lui semblait mieux. Un peu de joie en le voyant! Franchement, se faire inviter et ne pas voir de la joie dans les yeux de son hôte! quelle tristesse c'eût été pour lui. Il recommença à se farcir la tête de fausses pensées tristounettes. Pendant ce temps là, il se demandait quand même ce qui se passait. Il n'était pas vraiment affolé en la voyant un peu hystérique. Mais il se questionnait tout de même sur ce qui provoquait autant d'agiations en elle. Il restait de marbre.

Citation:
Poser donc Gertrude la...

Désigne un coin abritée pour sa bien aimée .


Ce n'était visiblement pas le moment de lui demander pourquoi ici et pas ailleurs. Il posa donc rapidement, mais délicatement Gertrude la plante verte. Il fit un signe aux deux Péouze. Ces derniers se mirent au garde-à-vous devant la plante verte et ne voulurent pas bouger de peur de ce qui se passerait si Gertrude la plante verte perdait ne serait-ce qu'une feuille.
Jean-Jacques le furet était tout excité par l'ambiance actuelle. Il ne courrait pas dans les jambes des gens, mais il avançait rapidement dans tous les sens en suivant son maître de quelques pas.

Puis un homme déboula de l'escalier. Lui aussi semblait pressé. Et quand cet homme - qu'il avait reconnu pour le berger de la bergère - salua fort maladroitement, il se rendit compte qu'il y avait une autre jeune femme proche de lui. Il se demandait ce qu'elle pouvait bien faire ici.


Citation:
Eeeeh ... Eavan ...


Mais qui est Eavan? Est-ce que Freng ouvrira la bouche dans cet épisode? sauvera-t-il la jeune inconnue?
Freng le saura au prochain épisode!

Mais d'abord, une courte page de publicité!

"Ho! mais qu'il a le poil doux!
-Oui, j'utilse poils dur pour mon furet.
-Poil dur?
-Oui. Quel jeu de mot, n'est-ce pas?
-Hahaha!
-Hahaha!

C'était une courte page de publicité.
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Marquis de Lavaux-Oron et de Pays-d'Enhaut
































Vero5
Pas de six.. pique et pique et colle dans le drame

Heureuse de voir Le Berger prendre en main la demoiselle si mal accueilli, repartions des rôles, à moi les plantes et les moustaches, à lui les armes et les frêles diaphane au biceps de fer..

Entrainer mon poser au moustaches presque empesé de cire, avec ou sans poil de brosse doux dur.. tout comme il veux.

Regarde la jeune femme allongée qui semble baigner dans une tache écarlate espérons que c'est l'ombre du velours qui orne le lit. Douteux...

S'en approche a petit pas et se penche.
Lui caresse le front et la trouve encore plus crayeuse et moite que tantôt

Je suis la .. je crois que j'ai apporté ce qu'il faut.. la providence..

Se retourne vers Val et Tour et le sonde rapidement


Je vous présente Eavan, une amie en fort mauvaise état, je vous le concède... votre science pourrait il en faire qu'il soit autre?
Pas trop envie de la perdre ni maintenant ni jamais.


Se tâte de lui proposer un portrait contre ses bons soins, se ravise, un il ne s’achète pas, deux elle le lui avait promis sans contrepartie, soyons pas mesquin, il ne sait même pas si elle sait tenir un pinceaux.
Il est la, c'est tout ce qui importe


Je crois que ses... sa blessure a du se rouvrir, pas une à se ménager, ni à prendre grand soin d'elle même.
Fou comme ceux que j'aime prennent jamais le temps pour eux.
Elle est ravissable sans aucun doute, bien que ce soit un sujet tout autre!


Juste le temps de songer a la phrase d'Isk et ses balbutiements, "Grace Excellence"..oups ben zut.. voila voila.. Encore une qui va la prendre pour ce qu'elle est, soupire, aucune respect ni tenue, une fadate belle teinte juste décalée plus au nord est, un peu moins de soleil.

L'invite a s'approcher et se pose de l'autre coté tenant la main qui semble fondre dans la sienne.


Aidez moi.. s'il vous plait...
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