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Le retour du fils prodigue ?

--Pierrot


Pierrot un peu craintif.

Eccoute bien, Jeune!...

Il marque un temp d'arret.

La jeune demoiselle Noéline va étre séquestrer.
CHUT!! Laisse moi parler. Bon ton zinzou de chef est un rustre un vil. Quand à Eloras tu le range dans le même sac! Alors sois tu l'aide sois tu reste groupir ici seul! C'est compris? ...... J'ai pas très bien saisi le pourquoi du comment. Mais ils veulent d'une façon horrible qu'elle quitte le fameux roi Arkadien. Dabord j'ai plusieur aide pour arkadien. Dans l'immédiat J'ai un ami preu chevalier. Il faut le faire mander, il te sera util. C'est compris?


Le bougre le menace de sa canne.
Akaryne
Akaryne raccompagné Pierrot chez lui quand se dernier voulut qu'il attrape une lapine dans la poulardise. Au moment où il l'attrapa, Pierrot ferma le loquet de la cabane.

Akaryne lâcha la lapine et ferma la cage. Puis se retourna vers Pierrot, la main posé sur la garde de son épée.
Pierrot n'avait pas l'air menaçant, bien au contraire. Il avait l'air craintif.

Nous devons parler...


Akaryne s'adossa au clapier et lui fit un signe de tête approbateur.

Pierrot parla. Les craintes qu'il avait eu suite à la discutions avec Charles et suite à son comportement étaient belle et bien fondé.

A quoi jouent t-ils?.... pensa t-il.

Puis il reporta son attention à Pierrot.

Qui est cet homme? Quel aide peut il avoir pour aider le futur roi?
Pourquoi m'apporte t-il son aide?

Cet homme est mystérieux et Akaryne ne connait rien de lui à part le fait que c'est un ami d'Eloras. Akaryne ne savait pas quoi penser de ce vieillard. Et décida donc d'avoir quelque info supplémentaire sur son mystérieux interlocuteur.


J'ai compris ce que tu as dit.


Puis il reporta la main sur la garde de son épée.

Qu'est ce qui te fait dire, Pierrot, que je ne suis pas de mèche avec Charles et Eloras?
--Pierrot


Piarrot rit.

Pourquoi crois tu que je prend soin de te mettre dans cette cage? Enfin bref j'ai eu vent de ton humeur et de tes faits. Je pense aisément que tu es un bon gars. Comprend tu? J'ai mes sources! Enfin voilà avec une téte d'ange au vent je ne pense pas que tu puisse être dans ce complot.
Bon avant de te laché sur un destrier pour faire mander mon neveu, prend cette lapine et ce lapin et cette pentade là. Je compte bien me faire payer par le roi pour ce service si. C'ets peu cher je trouve faut pas perdre le nord.


Piarrot ouvre la poulardise. Il decoche de sa canne l'épée qui était dissimuler dans celle ci. Il avit également un gourdin.

Je suis un vieux averti comme tu peux le voire. En avant, on va prendre ton cheval. Allez oust pas de temps à perdre.

Il pousse et menace le jeune homme.

Ah j'oubliai si tes serviable le roi de Malte te couvrira d'or par mes soins. Avance maintenant. Allez prestement.
--Charles_guydo


Charles est un peu irrité de voir Arkadien aussi désemparé et indécis, prêt à fondre de nouveau en larmes. Il se tourne vers Eloras haussant ses broussailleux sourcils en une mimique interrogative.


Est-il donc possible par Aristote, d'être aussi niaiseux ? Il va falloir refaire sérieusement son éducation. Lui trouver une belle de nuit le plus tôt possible afin de lui faire connaitre que les plaisirs de la chair n'ont rien à voir avec l'amour !
Elles ne manqueront pas les courtisanes promptes à vouloir partager sa couche, une fois qu'il aura fait reconnaitre son titre.


C'est d'un ton légèrement condescendant et teinté d'une pointe de mépris qu'il tance Arkadien :

- Allons ! Mon prince nous devons partir maintenant ! Faîtes vos adieux à Eloras !
Si nous voulons avoir une chance de rattraper Noëllie sur le chemin, il faut départir avec célérité.


Cet argument semble le faire réagir, mais le jeune homme oscille encore entre partir ou rester. Charles le saisi alors par la manche, l'entraine avec lui sur le pas de la porte et le presse d'une voix, cette fois, très autoritaire :

- Mon Prince !
Il s'en faut prendre la route tout de suite !
Essayez de deviner où votre belle a pu trouver refuge. Donnez-moi une piste et nous la retrouverons.
Mais partons ! Il ne sert à rien de s'appesantir ici.


A part lui, Charles pense qu'il n'est pas prêt de la retrouver cette catin-là. Eloras saura la garder prisonnière le temps qu'il faudra. Et Charles va s'employer à la lui faire oublier.

Face à lui dans l'ombre de l'acacia, Charles aperçoit la silhouette de la servante qui guette leur sortie.

Elle n'est pas allé bien loin celle-là ! Risque-t-elle de faire échouer mon plan ?
Akaryne
Akaryne acquiesça d'un signe de la tête au propos de Pierrot. Il ne valait mieux pas en rajouter pour le moment.Le temps viendra où il en apprendra plus.

Puis il attrapa les lapins et la pentade, et les mis dans un sac qui tendit à Pierrot.

Tout deux sortir de la cabane. Et se dirigèrent vers les chevaux.


Qui est cette homme que je dois retrouver? Et où le trouverais je?

En attendant la réponse, il monta sur son cheval. Il avait une autre question en tête mais il ne la posa pas.

Pourquoi le roi de Malte? Que vient il faire dans cette histoire?

Voilà un mystère qu'il devra résoudre. Mais pour le moment vaut mieux suivre le vieux, il s'avère être un allié opportint.

Quant à Charles, l'ami de son père.... il ne préféra pas y penser
Noëllie
Elle avait mal partout et dans sa demi-conscience, Noëllie ne percevait que les battements de son cœur dans son crâne et dans son côté gauche.
Ses bras étaient douloureux et son genou gauche l’élançait méchamment.
Elle respirait mal, elle avait chaud. Tout était moite.
Aucun son ne venait briser le silence de coton dans lequel elle évoluait.

Dans son esprit tout était confus. Il lui semblait qu’elle sortait d’un rêve étrange duquel elle gardait un vague souvenir de ce qui s’y était passé et une drôle de sensation de malaise.

Dans son rêve, il était question d’Arkadien, de son père mais c’était une histoire très compliquée…
Par flash, elle voyait tour à tour des visages d’hommes âgés et barbus, au regard sévère et méprisant puis celui parsemé de tâches de rousseur d’une jeune fille à la bouche boudeuse.
Elle avait beau essayer de se concentrer, Noëllie n’arrivait pas à mettre un nom sur ces visages.

Akaryne…
Subitement elle se rappela de ce prénom… Mais elle ne pouvait l’associer à personne et tout cela commença à l’agacer.
Noëllie n’était pas spécialement douée de patience. Elle secoua rageusement la tête ce qui raviva douloureusement son mal.

Elle tenta de porter sa main à l’endroit précis qui la faisait souffrir mais ses mouvements étaient limités, un peu comme si elle était engoncée dans des vêtements trop étroits.
Elle voulait écarter la mèche qui lui chatouillait le nez et après une rude épreuve de contorsions, elle parvint à atteindre son front gluant et poisseux.

Soudain elle prit peur et suffoqua. Ce sursaut la réveilla tout à fait.
Elle ouvrit alors les yeux sur une obscurité totale. Comme elle n’y voyait goutte, elle porta la main à ses narines et huma ses doigts.
Écœurée, elle reconnut l’odeur de son sang et le cœur au bord des lèvres, elle refoula un hoquet.

De plus en plus effrayée, elle tenta de se redresser.
Ses efforts furent vains et Noëllie constata avec effarement qu’elle était enfermée dans un sac. Assurément celui que tenait Eloras entre ses vieilles mains crochues...

Les souvenirs jaillirent et elle revécut avec horreur la scène avec Eloras et Charles…

Les deux vieux grigous ne reculaient devant rien. Elle n’était qu’un pion dérangeant qu’il fallait éliminer et c’est ce qu’ils avaient fait.
Dieu seul savait maintenant ce qu’il adviendrait d’elle…

Et Arkadien dans tout ça ? Peut-être était il enfin rentré et sans doute chercherait-il à savoir où elle était !
Quoi que les deux affreux jojos lui aient raconté, il constaterait que ses affaires étaient toujours dans la chambre et qu’elle n’avait pu partir sans les emporter et il viendrait à son secours.

Après quelques minutes d’abattement, Noëllie eut un regain d’espoir et elle se mit à crier :


Au secours !!! A l’aide !!! Arkadien !!!

De quelque endroit où elle fut, ses cris finiraient bien par attirer l’attention.

Elle redoubla d’effort :


AU SECOURS !!!! AU SECOURS !!!! A L’AIDE !!!

ARRR… KAAAA…DIEENN !!!!!!!!!!!!!!

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Un sourire, un baiser et la vie est tellement plus belle !

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