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[RP] Bal de bienvenue à la Lorraine

Elianor_de_vergy
Etait-il besoin de souligner qu'encore une fois, les Cérémonies s'étaient tirées avec brio du défi qui leur avait été lancé? La Grand Chambellan, fière de ses officiers, se promit mentalement de les féliciter dès le lendemain pour leur labeur. S'arrêtant au seuil de la porte, elle lissa discrètement les plis de la robe qu'elle étrennait pour la circonstance tout en balayant du regard l'intérieur de la salle.

Si elle ne trouvait rien à redire à l'organisation, elle ne pouvait s'empêcher de craindre un peu l'élément hasardeux de toute manifestation au Louvre: le public. Le précédent bal, celui donné pour les prétendantes du feu roi Jean, s'était achevé dans un charivari de mauvais goût. Quant au couronnement d'Angélyque, il avait laissé assez d'amertume chez ses huissiers pour qu'elle les dispense ce soir d'annoncer officiellement les invités. Le rôle avait donc été confié à l'un des sous-fifres de la Maison Royale doté de deux atouts majeurs pour l'exercer: un coffre impressionnant et une carrure à l'avenant. De quoi lui permettre de dégager manu militari les enquiquineurs si le besoin s'en faisait sentir.

Notant parmi les petits groupes qui se formaient déjà ça et là dans la salle plusieurs connaissances qu'elle aurait plaisir à saluer, elle se tourna en souriant vers son cavalier pour lui faire remarquer que français et lorrains semblaient décidés à ne pas bouder leur plaisir ce soir.


Voyez votre Grâce, il n'y a pas que Sa Majesté pour se réjouir de l'arrivée de la Lorraine au sein du royaume!
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Scath_la_grande
- Rosalinde Wolback-Carrann, en fait. Enchantée, marquis.

Oui ben c'est ce qu'elle vient de dire, non ?
A peu près... quelle idée aussi d'avoir un nom barbare.


- Voilà bien longtemps, Scath ! Comment allez-vous depuis la dernière fois ? C'était au plaid, je crois.

Les doigts saisissent un verre au passage, elle y prélève son dû.

- « Il y a bien longtemps en effet, Rosa. On l'aura un jour. On l'aura ! La lippe s'étire d'un sourire renardier, qu'elle appuie d'un clin d'oeil, nul besoin d'en dire plus. Je vais comme vous pouvez vous même le constater.
Nous allons vous laisser, vous avez fort à faire mais je me devais de saluer une connaissance de longue date. »


Le museau s'incline roidement avant de suivre son époux vers un horizon plus houleux.
De toute apparence, le Namay vient en banc, comme tous les poissons qui craignent les prédateurs.
La Musteile ne peux s'empêcher de claquer la langue contre son palais, on le sait, Rouge et Carmin ne peuvent s'accorder, les veilles rancunes du Sud sont tenaces et peut importe la bannière du Salmo Salar, elle sait bien que le briscard ne roule que pour sa pomme.
Moue ennuyée lorsque le Montjoye vient prendre langue avec le Pontoise, le rousse esquisse un bref salue à la petite assemblée en appuyant un fin sourire au lorrain de sa connaissance.
Avare en bien des mots, elle ne peut s'empêcher une remarque.


-« Général, si je ne savais la Reyne bien allante et en grande forme, j'aurai pu parier que votre présence n'avait de but que de faire une pré-campagne royale. Mais la Dieu mercé, cela n'est pas le cas. Ou pas... un léger salut avant de prendre congé. Permettez, je dois aller saluer mon vieux père. »

Avant qu'il ne devienne grabataire, hin hin.
Et c'est surtout l'occasion de se carapater loin des dialogues stériles, et du soi-disant héros lorrain sans qui rien n'aurait pu arriver. Ben voyons, mon colon !
Petit clin d'oeil au passage à une gitane qu'elle irait peut-être tancer plus tard, et enfin les fauves s'accaparent l'austère face paternelle.
Visage impassible, dans la famille on se passe des effusions de joie.


-« Lo bon jorn, alors vous êtes de piquet ? Léger sourire en gouaille alors qu'elle prend le ton de la confidence. Vous surveillez la volaille, au cas où un renard ou un vieux lynx viendrait à égorger quelques dindes pimpantes ? »

L'on sait bien, Scath n'affectionne guère les mondanités, et encore moins tout ce qui est festif qui revêt pour elle une futilité nuisible à l’élévation de l'âme.
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Scath : 0 - La Mort : 1 / Red is Dead
Pattricia
[Chacun porte sa croix moi j'porte une brune...]


Le temps que le baobab réagisse, la brune remplit les verres et reluque le postérieur lorrain. "Alors ?" demandent les jades mais l'arrivée du lynx ne permettra pas à la rousse d'avoir dans l'immédiat sa réponse. Pis le lynx cause, "'tain comme son frangin, jt'enveloppe ça de velours et hop ça succombe... Sait-il qu'il a des neveux et nièces non reconnus ? Mouarf laisse tomber tu vas fatiguer ton neurone". Ouais ça fume chez elle, l'alcool en trop petite quantité laissant passage à des souvenirs importuns. Et de basculer sec son verre histoire d'y remédier et de barrer la route au passé.
Et hop voilà que la brune prend le relai et fait les présentations. Patt se penche à son oreille et lui murmure
Ah là par contre, quand il s'agit de présenter deux mâles dominants l'un à l'autre ça t'y penses hein ! Moi par contre j'peux crever..." D'façon ça serait comme si elle pissait dans une vielle, mais au moins c'était dit. Mais le baobab prend la mouche, lui fait la leçon, les jades se plissent. 'Pwêt d'abord !"

Sachez Messire qu'on ne se réjouit jamais trop tôt et dans une guerre tout est complémentaire. Je gage que l'on associera les Lorrains à la libération de la Savoie également. C'est un tout Messire, un tout...
J'ai moi-même combattu ces 15 dernières années, refusant de porter médailles et colliers, ainsi que les honneurs dus aux services rendus et voire les autres en tirer profit ne m'a jamais posé souci. Tout est dans le coeur voyez-vous, pas la pacotille et les discours...


C'est le moment qu'elle choisit pour vérifier par elle-même, contournant l'arbre lorrain, elle pose son verre vide sur le plateau d'un valet et en récupère un autre, zieutant au passage le popotin bien ferme avec un léger sourire. Mais Namay, avant de relever les dires du Lorrain lui répond à elle et gentiment en plus "Damned, qui que vous soyez sortez de ce corps !!!"

Décidément j'ai vraiment de la chance ce soir nous sommes en été !!!

Elle taquine évidemment, ce bal même si conçu, entre autre, pour fêter des victoires, n'était pas un lieu pour fanfaronner ou jouter, mais titiller un peu était permis, si si... Elle lève son verre avec les autres et, le temps de l'aparté brune/lynx, balaie la salle et les convives de ses jades. Ça se marre peu, certaines personnes leur jettent des regards agacés, d'autre les toisent, mais la rousse leur rend sourire pour grimace. Elle aime quand ça bouillonne sans que ça sorte, ça la fait marrer elle qui ne garde rien pour elle. "C'est difficile pour certains d'oser..." Mais le balayage finit par lui faire remarquer une personne près d'un buffet à l'autre bout de la salle et la gaité patochienne prend une autre tournure "mais qu'est-ce qu'il fout là ????"
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Albin.
L'influence commençait à venir. De nombreuses personnes venues d'un peu partout en France mais aussi des Lorrains pénétrèrent dans la salle.

Aemilia était parti de son côté voir Rosalinde, allez savoir si ça ne va pas parler couture au bout d'un moment tant l'agnelle était une grande couturière.

L'Ar Sparfel aperçu Hélène Elizabeth et d'un petit geste de la main salua celle qui est la fille d'une bonne amie avant de la voir partir s'installer dans un coin comme si la jeune Apostolakis Giffard voulait partir, n'était pas très à l'aise.

L'ancien duc Tourangeau désormais co porte parole du duché présenta des excuses à Linoa.

Eleïce, j'en suis désolé mais je crains devoir t'abandonner à mon tour.

Ben quoi ! Aemilia a quartier libre alors pourquoi pas lui, pas de raisons à cela et sans vouloir être désobligeant avec Phylogène mais en sa présence Albin se sent plus vieux, c'est l'effet dinosaure.

Le jeune Baron s'écarta de Linoa avant de disparaître complètement du périmètre devant le nouvel afflux de personnes. Une chose est sure c'est que parfois quand il le voulait Albin savait se fondre dans la masse sauf que c'est quand il veut comme à ce moment précis.
Dans ce moment d'oublie de sa présence, Albin dans un premier temps passa près de Key en discussion avec le Carmin et un autre homme, de quoi attiser encore les journaux du Perigord qui avaient fait part d'un calendrier très agité pour la " Rose du Périgord" notamment un passage où une scène avec l'Ar Sparfel serait évoqué.
Une petite rose noir déposée sur l'épaule de la Comtesse Perigoudine Angounoise en guise de sympathie et Albin continua son chemin comme une ombre, l'air de rien, jusqu'à rejoindre Héléna Elizabeth.


Bonjour vous. Me poursuivez vous?

Au moins c'était direct mais le but principal était de faire sourire et rire la rose de Damas afin qu'elle soit un peu plus libéré tellement elle semblait crispé devant toute cette foule qui se présentait dans la salle.
L'Ar Sparfel adressa un sourire à la jeune femme qu'il avait rencontré à plusieurs occasions tout d'abord à Vendôme puis à Tours et la revoir aux joutes de Fontrailles en tribunes, ils se croisaient beaucoup ces derniers temps.


Plus sérieusement, pourquoi restez vous ici toute seule ce n'est pas votre place.
Vous êtes ravissante, votre mère a de quoi être fière de vous Héléna et je ne doute pas qu'elle l'est...


Et là Albin tilta.

..Je sais, je vais vous aidez à vous trouvez un cavalier digne de vous avec qui vous danserez et vous vous lierez peu être.

Un peu d'exagération volontaire connaissant déjà la réaction que va avoir Héléna aux propos qu'il tient et à l'imagination qui peut s'en suivre mais en tant qu'ami il ne pouvait pas laisser Héléna seule dans un coin ce serait tristounet surtout qu'en ce jour il faut des rires, de l'amusement, de la joie et bonne humeur.
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Laceter
[ Une Délégation ou une soirée pyjama, Comptez pas sur lui, pour la solidarité féminine, déjà donné...]

*

Pas tout. Il va falloir fendre les eaux de cette foule. Mine de rien, il y en a, et du beau monde. Il ne laisse rien voir. Il connait la plupart. C'est l'avantage de l'ancienneté. D'avoir tous les sens, en état, malgré les longues années. Les mondanités des femmes, la vanité et vantardise des hommes, et ce qu'il ne supporte que peu, les ravages de l'alcool. Un visage d'apparence de visiteur comblé d'y faire apparition. Il vient se poster sur le côté de la Délégation. Un peu décalé en avance. Cela lui permet de faire libérer le chemin. Sa carrure impose de bien vouloir le laisser se faufiler entre les corps agglutinés vers le buffet. Avec doigté, intelligence, un regard chaleureux pour obtenir ce qu'il désire. Laceter ouvre, scinde en deux, les eaux de la marèe humaine pour la Gouverneur Shantaram d'Orléans. Pour son Epouse Garance, Diacre, représentante de la Lorraine, en cette occasion. Ce bal. Pour marquer sa volonté de leur offrir assistance et protection. Tout y est distillé avec professionnalisme, tout était parti de:

Je vous ouvre le chemin vers le Buffet ?

Une recommandation de la Gouverneur Shantaram:

Gentiment tout de même, sinon on va nous virer manu militari

Laceter hausse un sourcil:

Gouverneur, je prendrai exemple sur vous, quand vous étiez Sergent et Maréchale. Que vous me protégiez et que vous vous jetiez, main à l'épée, dés que cela fourmillait trop autour de moi ou que ma voix montée de trop...Que vous preniez cela pour un appel au secours...

Il taquine:

Souvenez-vous...Le " Poussez, poussez-vous, il est en danger", vous en aviez poussé des épaules de droite à gauche, pour en découdre.

Son visage se déforme. Il se retient de rire. Il cherche la complicité de Garance au diable, les convenances:

Tu te souviens ma Chérie ?

Devant le buffet, malgré lui:

Je vous prépare vos verres ?

Il garde un oeil autour d'eux. Le Garde du Corps reconnait au milieu du plus gros groupe formé, un visage connu depuis peu, et d'autres croisés:

C'est très dangereux . Tu donnes de ta personne. La distribution de baffes en taverne aussi, Gouverneur. Il a fallut réquisitionner tous les bouchers pour tailler l'escalope pour vous soigner avec l'Avocate et votre Sergent. Vous oubliez....

Et de rajouter, un baiser sur les lèvres de son Epouse, volé. Dérobé. Un léger rire, il commence à se sentir à l'aise:

Moi et Garance, on rate toujours les meilleurs instants. On aurait bien aimé nous aussi partager une bonne escalope avec vous. Donc gentiment, oui, je ferai. Je suivrai votre exemple, Gouverneur.

N'avait-elle pas cassé le manche à balai sur la tête du fauteur de trouble. La mémoire courte la Gouverneur. Il fait une moue. Y a assez d'objets insolites dans cette grande salle, fort bien décorée, pour dans l'élan de l'improvision, s'en saisir.

Et les meilleurs conseils de son Epouse. Un regard la couve longuement. Prendre beaucoup soin de ce petit bout de femme. Il lui fait l'honneur, de la prendre entre ses bras, tête contre tête, lèvres sur son front. Bon sang, les verres, lui qui propose en plus. Le Garde du Corps détaille les deux jeunes femmes:


Doucement donc...Ce sera de même pour l'apéritif, la mise en bouche.

Les verres en main propre, donnés. Il prend une pose et une pause. Les deux. Ils ne sont pas beaucoup dans leur délégation. Qui manque-t-il ? N'en aurait-il pas perdu en cours de chemin. Ne devrait-il pas avoir une liste avec les noms pour savoir qui il a en charge ? Peut-être fallut y songer avant. D'un autre côté, c'est son baptème, il innove sa première fois. Le Duc devrait être du cortège. L'est où Ursus ? Un tintement de verres pour trinquer, il porte le bord à ses lèvres, son regard en mode vision panoramique pour survoler, les visages, de toute part. Un cent qutre vingt degré parfait rotatif puisque en son dos, aucun invité. Curieux quand même. Il efface cette pensée. Une conversation animée était entamée à proximité de leur groupe. C'est ce qu'il appréhende de trop en ce genre d'occasions. Que l'alcool coule à flot, que les langues se délient et qu'un coup d'éclat ne vienne troubler le bal. Il suffit de peu. Il suffit de beaucoup. Et de ce qu'il peut en voir, les présents sont tout de même des hommes et femmes d'armes ou avec des positions importantes. Non qu'il n'est peur. C'est juste qu'il aurait tendance à prendre sur lui, pour ne pas, intervenir. Les joutes verbales, c'est une de ses passions. Il en a même remportée une, en Bretagne. Y a si longtemps. Lors d'un concours. C'était bon de s'envoyer des mots d'amour en prose face à Kenshiro. Un excellent adversaire. Le compagnon de sa soeur de coeur Maelfea. Et son témoin à lui, lors de leur mariage.Cela le ramène si loin en arrière. Il devrait sans doute, reprendre contact, tant d'années sans de leurs nouvelles, depuis qu'il avait quitté la Bretagne, non point fâché avec beaucoup, juste, différent et assez intelligent pour vouloir vivre sans prise de tête.Donc si cela monte un peu, cela s'échauffe, il prendra la décision, de s'éloigner et de faire éloigner sa Délégation, pour ne pas avoir à entrer, participer à un déballage semi-politique sur un ton de guerrier assoiffé de reconnaissance .

C'est son travail.

Mais surtout, y a rien de pire qu'un homme pour protéger son Epouse, qui porte le fruit de leur Amour. Redoutable.Féroce. Carnassier. D'un Loup à sa Louve. Il en montrerait presque les crocs. Mais encore plus déroutant, c'est qu'il avait découvert un jour suite à une altercation entre Garance et une autre, que Sa Femme, portait des dagues partout sur elle. Une découverte parmi d'autres. De taille.

Pas pour l'instant, un sourire aux lèvres, innocent.



*

La jeune gouverneur – range une mèche blonde rebelle derrière son oreille. Geste pour se donner une contenance. Elle n'est pas à l'aise dans cette foule chic qui lui donne l'impression d'être présente pour la forme. Elle entend par ci-par là des bribes de conversations – bien souvent superficielles, parfois elle croit distinguer des mots ou des réflexions acerbes... Mais elle ne s'attarde pas. Elle ne connaît pas grand monde et pratiquement personne.

Elle prend une profonde inspiration pour contenir son angoisse de la foule qui lui apparaît austère et inquiètante. Elle n'est vraiment pas à l'aise, elle a entraîné avec elle ses amis blésois et ne regrette pas cette initiative qui la réconforte.

Elle jette un regard vers Laceter, qui lui sert de garde du corps à elle et à Garance. Elles n'ont pas grand chose à craindre en présence de l'ancien juge. Sa masse corporelle défie quiconque de le contrarier. Elle se détend et sourit en le voyant lui ouvrir un passage dans la foule pour les diriger elle et son amie vers le buffet.

Elle éclate de rire franchement à l'évocation des souvenirs passés -


Oh ouii Laceter, je me souviens de ces temps là ! Je me souviens aussi de mon œil au beurre noir !Que n'aurai-je pas fait pour vous protéger à l'époque de ceux qui vous cherchaient noise. Souvenez-vous comment vous m'aviez soignée ? Avec une escalope !

Elle éclate de rire.Tout en suivant l'ex juge qui leur fraie doucement un chemin, elle lui dit tout en regardant amusée Garance:

Je me souviens aussi d'un juge déguisé en mariée pour échapper à ses assassins dans Blois. Le plus drôle de l'histoire, Garance, était que sous le voile, il y avait un casque ! Juge plutôt original que Laceter !

Ils sont devant le buffet, laceter leur offre à boire. Elle est désormais un peu plus détendue. Les souvenirs remontent dans le présent et occultent les tensions du moment. La gouverneur orléanaise en a bien besoin de détente ! Laceter a dû bien le comprendre, elle lui en est reconnaissante.


*

Personne qu'elle connaissait pour l'instant venant de Lorraine, peux être que si elle entendait des noms, les souvenirs reviendraient, Pour l'instant elle profitait du moment avec leur amie Shanta, Gouverneur d' Orléans, Le trio était reformé, ce qui fit sourire, comment ne pas se souvenir de tout ces moments avec son Époux chacun est bien gardé en elle, pour toujours, Garance se souvient de soirées en taverne mémorables à danser sur les tables ou poutres, qui donnait des frayeurs à la jeune Gouverneur qui ne l'était pas encore ..... que de temps passé depuis, chacun à son rythme Il y avait aussi cette soirée où Laceter avait cru bon de se transformer en femme ..... Garance jette un œil amusée dehors voir si la nuit était tombée et d’assurer que ce n'était pas une pleine lune, Elle se retient de rire et répond doucement à Shanta,

_ Oui je me souviens, c'est pas la pleine lune aujourd'hui ?

Elle éclate de rire en concerto avec son amie.Comment se rendre au buffet, suffit d'avoir un garde du corps personnel, son Époux baraqué en V et d'une hauteur hors du commun, deux métres de haut, imaginez vous ce colosse, c'est le sien et on y touche pas sinon elle montre les dents et sort ses dagues toujours cachées sur elle, Faut pas croire qu'un petit bout de femme Lorraine, Diacre à Blois et ex Procureur se laisserait embêter, elle aussi peut faire garde du corps, Elle n'a pas de musculature développée, juste un ventre arrondi qui présage un heureux événement, La, elle serait pas prise au sérieux, mais on peut lui laisser croire.

Un sourire à son Époux:


_ Oui je veux bien un verre pas trop plein, chéri!Dis moi Shanta, ou sont le reste de la délégation ? Ils se sont perdus en route ?

Elle se retourne vers Laceter, un doux baiser, un regard complice et qui en dit long, Elle prend le verre trinque et déguste le breuvage et les petits fours.

( Post effectué à trois mains en accord: Jd Shantaram, Jd Garance et Jd Laceter )
Helene.blackney
    Nous avions été conviés à participer à un bal, mais ce qui m'avait le plus scandalisé c'est que rien n'avait été prévu niveau nourriture. Comment cela se fait? J'étais scandalisée par cette perspective. Il n'y avait pas que cela qui m'exaspérait, je n'avais aucun cavalier pour m'accompagner danser. En même temps, le susdit ne perdrait rien car je ne savais pas danser, je préférais chanter. Le chant me manquait, un jour, je recommencerais, mais pas aujourd'hui il y avait bal. Je n'avais pas de cavalier mais j'avais une des plus grandes couturières et donc une magnifique robe à arborer.



    Je n'avais pas pu me passer du ravitaillement et donc dans mon escarcelle en soie, il y avait des biscuits. J'allais faire un malaise si je n'avais pas un petit bout de sucré. Je me présentais dans la salle de réception, saluant les huissiers. Je repérais vite Neyco, la déesse biscuitale, je poussais du coude jusqu'à elle et je lui dis:

    - Tu imagines ça déesse, il n'y a rien à béqueter. Psssst, tu veux des biscuits?

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Kirinn
Du haut de son perchoir, Kirinn regardait ceux qui lui paraissaient être en couple, se taquiner, se chercher avec un léger sourire au coin de la barbe. Il se dit qu'il y en aurait au moins deux qui ne s'ennuieraient pas, plus tard dans la nuit. Le roux laissa la brune jouer à la patronne. Puis la rousse s'y mit à son tour. Visiblement, le second degré avait été de trop, peut-être incompréhensible. Kirinn se sentit, pour la première fois de la soirée, mal à son aise. Il n'était visiblement pas chez lui. Il soupira dans son gobelet. Machinalement, il pencha la tête sur le côté, un certain signe d'agacement, de lassitude. Il ne voyait aucun soldat dans le secteur, juste des politiciens. Ce fut ce que lui confirma Scath la Rouge lorsqu'elle fit une brève apparition. Kirinn se dit que ces français là étaient en représentation. Il commença à croire que l'adage qui veut que les français soient arrogants avait peut-être raison. Dans le fond, ça l'agaçait autant que ça l'amusait. Il n'arrivait pas à déceler ce qui se cachait derrière les apparences. Elles sont parfois si trompeuses.

Le Marquis avait été bref mais il résumait bien la situation. Tout comme sa femme le fit un peu plus tard. Kirinn regretta de ne pas avoir la gouaille de son cousin, Ersinn. Dans le même temps, c'était un bal, pas un pugilat et encore moins une soirée caritative. Lorraine se portait bien et France l'enlaçait de ses bras. Au final, c'était ce que tout le monde avait voulu. Kirinn s'inclina légèrement et prit congé du petit groupe. Il avait faim et ce n'était pas en restant là, à parler pour ne rien dire et à écouter les autres se lancer dans l'emphase du fantasme inassouvi qu'il sustenterait sa faim.

Kirinn pivota à cent quatre-vingt degrés, Graal dans la pogne. Il fit quelques pas afin de se retrouver assez loin pour qu'on le croit seul, mais suffisamment proche des autres convives pour ne pas laisser croire qu'il préférait la solitude. Vu que le banquet était de bonne taille, il bougeait beaucoup afin de se servir de tout ce qui lui passait sous la main. Il faut dire que ça mange, un doberman, surtout un de cette taille là. Remplissage de gobelet, de gorge et de ventre, liquide et solide entraient dans une danse du ventre endiablée. Kirinn eut soudain presque envie de rire. Il pensa que le Créateur avait eu la bonne idée de s'abstenir d'instiller l'idée d'un bal masqué. D'ailleurs, en quoi ce serait-il déguisé ?
Neyco
Auprès d'Ancelin la mini biscuit flattait les oreilles de Hans, ce dernier bien content qu'on s'occupe de lui. Entouré d'autant de gens possédant autant de mains et pas un seul pour lui faire un câlin. Toujours est il que la mini pensant être dans son coin laissant ceux ayant des choses nul doute plus intéressante à dire, elle écoutait d'une oreille peu attentive les propos lancé par les hommes. Bientôt on aurait droit à un concours de celui qui sait décapiter plus proprement ou plus rapidement. Toujours est il que lorsque ce genre de jeu viendrait il lui faudrait vite prendre la poudre d'escampette.

Souriante à Charlyelle qui les avait rejoins.


Le plaisir est partagée ma chère amie. Voilà bien des jours que je ne vous ai vu et vous m'avez manqué.

Désignant le poitevin.


Charlyelle, je vous présence Ancelin actuel Comte du Poitou mon cavalier pour ces festivités.

Enchaînant vite, n'étant du genre à trop s'étaler sur sa vie privée et connaissant Ancelin bien vite Charly pourrait mettre une autre titulature que Comte du Poitou.


Comment vous portez vous? La route fut bonne depuis le Périgord?


Alors qu'elle regardait les gens se faire écarter et bousculer que la blonde reyne des biscuits arriva. Écarquillant les yeux, il y aurai rien pour la fin de soirée? Bon sang si il y avait que du boire sans manger, les gens allaient mourir de faim.


Nom d'un biscuit moi qui croyait que les plateaux arriveraient par la suite.


Lâchant un soupir.


C'est bien dommage, une chance que toi et moi connaissions les lieux, une visite aux cuisines risque de s'imposer.


Regardant Hélène en sauveuse de soirée.


Vendu.
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Angelyque
Les petites mains s’affairent telles des fourmis consciencieuses. Les cheveux sont lissés puis relevés en une coiffure aérienne pouvant recevoir la couronne tandis que la caresse du tissu soyeux de la robe épouse le corps royal. La houppette en duvet d’oie parsème la peau d’un albâtre délicat au point d’en chatouiller désagréablement le nez de la Reyne de France. Un regard détaille l’image que lui renvoie le miroir, satisfaite, d’un geste de la main, agacée elle chasse les caméristes trop envahissantes. Le visage se tourne afin d’observer le Duc d’Oingt qui semble particulièrement ravi d’être spectateur des préparatifs, un sourire s’esquisse alors que la main ornée d’une alliance dont la brillance révèle en partie le secret de la récente échappée belle en Anjou, se tend vers lui en une invitation à être auprès d’elle et ce jusqu’à la fin.

Le bras se tend, la main délicate se dépose sur le poing offert, les époux clandestins sont introduits dans la salle de bal, peu avant le regard de la Reyne traduisait un avertissement muet envers Phelim, le connaissant il serait capable de la contrarier par plaisir et pourtant on peut déceler au fond des prunelles royales qui couvent le Duc, tout l’amour qu’elle lui porte. Ainsi la Reyne de France et son époux secret passent devant la Cour, vêtue d’une magnifique robe de soie bleue roy brodée de Lys d’or et réhaussée de pierreries, le port altier et le visage rayonnant de bonheur, elle rejoint le Dais Royal accompagnée de Phelim dont la tenue sombre, dueil d'un frère perdu, contraste avec la sienne. Assise sur le Trône Royal, la Souveraine, heureuse, maintient encore la main du Duc qui prend place près d’elle, un sourire accroché sur les lèvres la Majesté observe la salle de bal ouverte en l’honneur de l’arrivée de la Lorraine en France.

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Rosalinde
La reine fit son entrée au bras de Phelim. Une fois qu'elle fut assise, Rosalinde se tourna vers les musiciens, et lança le signal de départ. Ils se mirent à jouer le premier morceau, une pavane bien connue, intitulée « Belle qui tiens ma vie ».

La salle s'était encore remplie, et le ballet des salutations continuait. Lorsque Angelyque était entrée, la rousse était plongée dans une courtoise révérence, saluant ainsi comme il se devait sa souveraine. Arriva ensuite Jenifael qui la salua, elle en fit de même.

- Bonsoir Jenifael ! Je vais bien, et vous ?

Elle allait, oui, mais sa réponse dut paraître un peu évasive à la Castelnau. C'est qu'elle était assez perturbée par la présence de Phelim sous le dais, à l'endroit où aurait dû se trouver Crezus. Ce n'était pas très très convenable ! D'ailleurs, le consort se montrait fort peu en ce moment, y aurait-il baleine sous gravillon ?

Elle diligenterait son enquête plus tard. Pour l'heure, elle avait bien envie de danser, mais n'avait point amené de cavalier avec elle, faute de trouver quelqu'un dans son entourage capable d'assumer ce rôle. Qu'à cela ne tienne. Tapotant son gobelet, elle se le fit remplir à nouveau par un grouillot qui passait par là, tandis que son regard croisait la silhouette imposante d'un roux qui semblait déterminé à se remplir la panse à ras-bord, chose qui n'était pas tellement conseillée en pareille occasion, la danse requérait après tout d'avoir le pied léger. Mais qu'à cela ne tienne. Buvant tranquillement, elle se mit à fixer Kirinn, espérant une épiphanie, qu'il vienne et l'invite à danser. Histoire qu'elle puisse se remuer au moins une fois dans la soirée.

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Milite pour la pénalisation de l'emploi du mot « pantine »
Kirinn
Le calme était revenu dans la tête et le corps du Lorrain. Pas encore de chocolat mais bien assez de tout le reste pour se rasséréner. Kirinn goba une bouchée qui portait bien son nom. Il n'était pas fin cuisinier mais savait déguster comme personne. Parfois il prenait le temps, si si. Le roux s'était essayé à la cuisine un jour, ce fut un fiasco mémorable. Il avait traîné sa carcasse dans les cuisine de petit pied à terre toulois. Il avait bruyamment heurté une main contre l'autre puis les avait frotté. Il était près. Il était d'attaque. Il était grand, il était beau. Il était l'invincible, LE cuisinier de la mort qui tue.

Bon allez hop, t'as du pâté. T'as de la croûte. Tu fais du pâté en croûte.

Résultat, deux intoxications alimentaires et un chien de chasse devenu aveugle. Depuis, Kirinn en restait à la simple dégustation, question de sécurité nationale.

Soudain, quelque chose modifia l'atmosphère environnante. Il se passait quelque chose dans son dos et ça promettait d'être important. Le roux laissa là son excursion buccale du Palais. Il se retourna et se positionna dans une sorte de garde-à-vous discret. La reine. Deos qu'elle valait bien tout les coups d'épées du monde. Kirinn sourit intérieurement. L'Empereur n'avait aucune chance. C'était certain. Son imposante stature le faisait déjà remarquer. Sa voix de stentor avait tendance à faire le reste du boulot. Le Warenghien ne se fit pas prier pour brandir un broc de vin, parce que les gobelets c'est bien mais c'est pour les enfants.

Vive la Reine !

Voilà, ca c'était fait. Le bal put reprendre son court voire même devenir un peu plus sérieux. L'ogre reprit un petit encas sur le buffet. Il allait se l'enfourner lorsqu'il sentit une paire d'yeux sur lui. Oh une rousse, ces préférées ! Avec les brunes, il en fallait pour presque tout le monde. Kirinn sentit la pointe de ses oreilles chauffer légèrement. Il se demanda ce qu'il se passait. Dans un premier temps, il baissa les yeux sur l'uniforme qui lui recouvrait le torse, pensant qu'il avait fait montre de maladresse en se tâchant. Visiblement non, il s'agissait d'autre chose. La check-list défila dans sa tête de Lorrain. Partir en guerre, il savait faire. Coller des baffes aux empêcheurs de tourner en rond, il savait également. Chasser, c'était son petit truc en plus. La cuisine, on l'avait dit, non. Il savait enseigner, par contre. Précepteur, c'était son deuxième boulot. Que restait-il ? Danser ? A un bal, ça paraissait plausible. Seulement, demander à Kirinn de se mouvoir avec légèreté, c'était surtout prendre le risque de se faire écraser les petons par un pachyderme. Ceci dit, une femme le regardait avec insistance. Chose assez rare, d'après lui, pour ne pas lui mettre un vent, surtout que, finalement, elle avait un charme indéniable.

En désespoir de cause, Kirinn superposa quelques amuse-bouches sur une tranche de pain et se rendit auprès de la paire d'yeux qui l'avisait. Sur un malentendu, ça pouvait passer.

Le bon soir. Vous désirez manger un morceau ?

Kirinn jeta un bref coup d'oeil en direction de la piste de danse puis revint sur la jeune femme.

Je vous inviterais bien à danser mais je gage que vous auriez l'air moins ridicule au bras d'un cavalier digne de ce nom.

Petit sourire mi-amusé, mi gêné, le Warenghien se mordilla la lèvre inférieure.
Axelle
Du bruit, des paroles dans tous les sens, des saluts discrets auxquels le Lieutenant répondait sans étalage. Un clin d’œil rendu à une rousse, un regard plutôt satisfait devant l’impeccable des Gardes Royaux sinuant entre la foule. La Gitane pourrait bien retrouver le sourire et laisser sa mauvaise humeur se carapater si tant de monde ne lui fichait le tournis tout autant que la migraine. Pourtant, le regard charbonneux restait en alerte, même si rien des marivaudages qui se jouaient sous son nez ne semblaient porter la moindre alerte. Elle aurait pu même aller pioncer dans un coin si le brouhaha avait daigné se taire un peu. Alors, elle tournait, relevant parfois le museau pour tenter d’aspirer un peu d’air frais au dessus de la cohue, et si son pas se figea un instant, ce ne fut que par stupéfaction de voir la Reine entrer au bras du Guerrero. Un sourire retroussa le coin droit de sa bouche, aussitôt gommé pour retrouver le neutre de sa drôle de danse.
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Belmont


    Les élections en Normandie venaient tout juste de se terminer qu'une annonce avait été faite afin d'inviter le peuple et la Noblesse de France et de Lorraine à un bal pour fêter l'arrivée de la Lorraine en France. Alucard n'était pas un très grand danseur, ni même un adorateur des fêtes, mais c'était une occasion de voir du monde et de représenter un peu la Normandie en s'y rendant. Il ne savait pas vraiment qui irait à ce bal parmi les Normands, mais lui et une certaine blonde seraient présents ce jour au Louvre. Il se souvenait, durant le voyage jusque Paris, de la fois où ils s'étaient retrouvés dans le Salon aux mille Lys, c'était un souvenir inoubliable, comme beaucoup d'autres qu'il partageait avec elle, parmi de très bons et de moins bons. Mais c'était avec la Giffard Puycharic qu'il avait décidé de vivre ces moments là, et d'en façonner d'autres, et jamais il n'avait regretté cela. Et pourtant ils ne se voyaient pas souvent, très peu même, trop peu. Lui trop prit par l'armée ou par son travail au Conseil Ducal Normand depuis plus d'un an, elle par ses obligations de Premier Médecin Royal, les affaires de Bayeux et les enfants. Il donnait beaucoup de lui même pour son Duché et cela entravait totalement sa vie personnelle.


    Alors qu'ils arrivaient au Louvre, on leur indiqua le chemin qui était tracé par de nombreuses décorations ainsi que par les personne qui se rendaient au bal afin d'y participer, afin de fêter cette entrée en France du Duché de Lorraine. Le petit groupe de Normands qui avaient prévu de faire le chemin ensemble jusqu'au Louvre, suivait alors la foule qui se rendait au même endroit qu'eux.


    Tous arrivèrent dans le salon où allait avoir lieu le bal, l'endroit était richement décoré et l'on pouvait rencontré toute sorte de personne. Alucard se sentait un petit peu à l'étroit, lui qui n'avait l'habitude de se retrouver entouré d'autant de monde seulement sur un champ de bataille, mais cela n'était pas particulièrement déplaisant. Il faisait un peu chaud, les voix des gens se mélangeaient pour former un bruit de fond témoignant du nombre ahurissant de personnes présentes en ce salon. De loin, il vie une crinière blonde qu'il reconnu en voyant un bout de visage, il s'agissait d'Hélène Blackney, la Vicomtesse du Mont Saint-Michel. Alucard s'approcha de cette dernière afin de la saluer. Ils venaient à souvent se croiser ces derniers temps en Normandie, mais c'était alors agréable de voir les gens dans un autre contexte comme celui-ci.



      - Hélène, un plaisir de vous rencontrer ici, vous êtes venu faire profiter le Louvre de vos biscuits ?


    Il lui adressa un très léger sourire, observant discrètement les gens autour de lui, veillant.


    La Reyne de France fit alors son entrée dans le salon et à ce moment là les choses commençaient à doucement s'accélérer. Les musiciens s'attelèrent à donner une ambiance festive pendant que d'autres proposaient aux Dames de danser... voir de grignoter. Ce moment où la musique commence doucement à prendre place et à enchanter les personnes présentes... il tourne la tête vers Anya afin de lui glisser quelques mots à l'oreille.



      - Cela ne vous rappelles rien ?


    Et c'était un léger sourire angélique qui se dessinait alors sur son visage.
Lemerco
Parait que y a un bal.
Parait qu'il est convié.

Parait qu'il s'y rend.
Notamment pour dire à la Reyne qu'avec son collier, il a plus l'air d'un mondain du Marais où les hommes s'accrochent aux bites, mais pas d'amarrage car non, il n'y a pas d'arsenal dans Paris.

Il y a bien des quais. Et des guets. Surtout des guets. Avec ce collier, il ne peut en être autrement.

Lemerco pénètre dans la salle de bal en marmonnant son identité.
Va falloir boire, et éviter la quiche. Et surtout gare au mal aux reins - mal aux reins, Lorrain, humour ah ah!


Elle va m'entendre l'Angélyque!
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Timothee_octavin
"Il serait de bon ton que vous vous y rendiez Votre Grasce, après tout il s’agit d’un bal en l’honneur de la Lorraine."

Des conseils, toujours des conseils mais jamais personne pour lui prêter main forte. Timothée finissait de boutonner sa manchette lorsque son convoi arriva pour le mener en la demeure royale dont on lui avait tant parlé. Qu’espérait-il en s’y rendant ?

A vrai dire, rien du tout. C’était son devoir, point barre. Comme à son habitude, c’est un regard froid, un visage de marbre qui se présenta à l’entrée du Louvre. Le Beauregard se stoppa afin de laisser la Reyne de France faire son entrée fracassante. La royauté française n’avait rien à voir avec l’empire, le jeune homme commençait à comprendre pourquoi l’une brillait davantage que l’autre.

Lorsqu’il pénétra enfin dans la salle de bal, son regard se posa immédiatement sur la seule personne qu’il reconnaissait et pour cause. Elle était comme sa mère, son mentor, l’une des seules femmes en qui il avait une totale confiance. Ses pas le menèrent rapidement à elle, ses doigts se glissant sur l’épaule de Barberine.

Vicomtesse, c’est une réelle surprise que de vous voir en ces lieux. Je vous pensais devenue un ermite mais il faut croire que je me sois trompé. Vous ne semblez guère accompagner, permettez-moi d’être votre cavalier pour cette soirée.

Première fois en cette soirée qu’une sorte de grimace ressemblant à un sourire ornait son jeune visage.
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