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[RP] Bal de bienvenue à la Lorraine

Ancelin_herbst
Enfin, la voila, il avait eu peur qu'elle puisse eu l'avoir oublié ! Lui le diable de ses nuits et son futur mari .....

Non tu ne m'a pas fait attendre, je me languissais de te retrouver lui dit il en lui mettant une petite claque discrète sur le fessier

elle lui fît découvrir l'endroit, lui présenta des gens puis elle répondit à une dame, au demeurant reservée, la suite de la soirée lui ferait peut être changer d'avis ....
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Odeline_de_vissac
Elyzabeth manqua de s'étouffer en voyant la reine entrer. Elle était superbe dans sa robe bleue.
Elyzabeth, après avoir saluer de son mieux la reine, alla se servir un grand verre d'eau qu'elle avala d'un seul trait.C'était la première fois qu'elle la voyait en personne et la reine avait une forte impression sur la soldat.
Elle regarda sa tenue de soldat et pensa qu'elle ne pourrait jamais porter une tenue comme les gens rassemblés dans la salle de bal. Elle n'avait pas le gabarit ni les bonnes manières.
Quand elle regardait les grandes dames réunies ici, elle se dit qu'elle n'avait pas l'allure et le maintien de ces belles dames. Secouant la tête, elle se demanda d'où lui venait ces idées étranges et déplacées.
Elle reprit ses esprits et revient à la raison de sa présence ici: la protection de gens à ce bal.

Tant de monde, Elyzabeth, commençait à s'inquiéter. Il y avait trop de monde. Elle regarda l'assemblée et rechercha un point de vue qui lui permettrait de voir la foule d'un peu plus haut.
Mais si elle se perchait en hauteur, elle ne pourrait pas intervenir si quelque chose arrivait. Elle ce décida donc à faire le tour de la salle en inspectant chaque recoin de la salle.

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Rosalinde
Rosalinde non plus ne savait pas cuisiner, si on excluait les tartes, les pets de nonne et le lapin au sirop. Ce qui était déjà beaucoup pour quelqu'un qui avait toujours laissé à d'autres le soin de mitonner ses repas. Mais est-ce ce qui nous intéresse ici ? Absolument pas.

En tous les cas, sa technique du regard de psychopathe semblait avoir fonctionné, puisque après s'être demandé s'il n'avait pas renversé de la sauce sur son tabard — ou quelque chose dans l'idée, elle n'était pas devineresse ! — le grand roux finit par s'approcher d'elle. Avec une pile de bouffe sur un tranchoir. Pourquoi pas, après tout ? Délicatement, elle inclina la tête, et répondit dans un sourire à l'offre qu'il lui faisait de partager sa pitance.


- Pourquoi pas ! Il me faudrait au moins ça pour aller avec ce petit vin de Beaune.

Elle suivit son regard jusqu'au centre de la salle, où les premiers danseurs prenaient place. Sa remarque la fit sourire davantage encore, elle était même clairement amusée.

- Et pourtant, après bien des tentatives, le ridicule n'a pas encore réussi à me tuer !

Saisissant un morceau sur la pile entassée par le Lorrain, elle le glissa entre ses lèvres et n'en fit qu'une bouchée, avant de reprendre.

- Quant à trouver un cavalier « digne de ce nom », ma foi, je crains que ces derniers ne préfèrent les tendrons... Ou les femmes plus titrées que moi, c'est selon.

A nouveau son sourire amusé la gagna, faisant naître des petites rides de malice au coin de ses yeux. C'est que la plupart des célibataires qui se présentaient aux bals n'étaient pas là par hasard, tant hommes que femmes d'ailleurs, ce n'était un mystère pour personne. Et elle, pauvre trentenaire, avec sa petite seigneurie certes prospère, faisait bien pâle figure à côté de toutes ces éternelles jeunes filles bardées de titres tombés de Dieu sait où. Par bonheur, elle n'était pas ici pour chasser le mâle, mais bien pour superviser la tenue des événements, ce qui lui évitait bien des tracas.

- Cela dit, si vous ne voulez pas danser, nous pouvons aussi rester là et bavarder en nous goinfrant comme il se doit.
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Milite pour la pénalisation de l'emploi du mot « pantine »
Kirinn
Kirinn eut un nouveau sourire. Visiblement, ils avaient le point commun du vin, peut-être à des degrés différents mais quand même. Le roux regarda autour de lui et se décida à poser son armada de victuailles près d'eux. Il serait ainsi plus facile de discuter. Aux innocents les mains pleines, l'une de celles du lorrain se trouvait à présent vide. Il fallait, à présent, enchaîner. Kirinn n'était pas le parangon de la séduction, loin s'en fallait. Il se demanda comment poursuivre cette conversation avec la femme qui lui faisait face. Comment ça fonctionne ces trucs là ? Pas les femmes, la séduction. Kirinn n'avait jamais vraiment eu besoin d'en user, ou alors à l'insu de son plein gré. Pas qu'il soit doté d'un charme naturel mais il semblait que sa carrure imposante et son allure générale firent le travail à sa place. Ce qui lui paraissait toujours aussi surprenant.

Allez réfléchi Kirinn, réfléchi. " Haut de sept pieds pour un poids en équivalence, barbe fournie et cheveux longs d'un roux plus ou moins éclatant, je suis l'aîné d'une famille de huguenots lorrains. On compte dans nos rangs des traîtres à l'empire et des ivrognes blondes. Soldat de métier, j'ai pris ma retraite dans l'espoir de vivre une vie plus tranquille et fonder une famille. Malheureusement ou heureusement, j'ai croisé la route du couple Montjoye, ce qui m'a valu de reprendre du service. Ce soir, j'ai l'air d'un idiot à ne pas savoir comment faire connaissance avec une belle rousse, je suis, je suiiiis ? "


Je suis Kirinn de Warenghien.

Le-dit Warenghien s'inclina légèrement. Faire les choses dans les désordre, c'est tout un savoir-faire.

Comme l'indique probablement mon nom, je suis lorrain. C'est une belle soirée.

Oui voilà, c'était une belle soirée. Encore un peu et il dirait à Rosalinde que son père était un voleur, qu'il avait volé les étoiles du ciel pour les mettre dans ses yeux, blablabla. Pathétique.

Certains hommes n'ont vraiment pas de goût. Les titres ne font pas les personnes qui les portent.

Kirinn avala un morceau d'il-ne-savait-pas-trop-quoi. Son regard faisait des vas-et-vients entre la piste et la rousse qui lui faisait face. Puis il regarda ses pieds et regretta amèrement d'être fichu comme un de ces animaux trop maladroits pour pouvoir évoluer avec grâce. Il bu une gorgée de vin et reprit ce qu'il espérait être un début de conversation pas trop ennuyeuse.

Si vous pensez avoir le temps de m'apprendre quelques pas, nous pouvons toujours essayer de danser. Faites attention à vos pieds ceci dit. J'aurais en horreur d'estropier une personne aussi charmante. Sinon vous connaissez un peu la Lorraine ?

Arrête de ramer, t'attaques la falaise.
Linoa
Albin les avait présenté, pourquoi pas après tout, il était le porte parole de Touraine, juste le manque d'habitude qui rendait la scène légèrement étrange en plus du fait qu'il aimait bien dire ou écrire Maggion plutôt que Maggio, m'enfin, c'était pas si grave que ça.
Vêtues d'un bleu roy profond comme elle préférait faire lors de cérémonie de cet acabit, ils entrèrent donc tous les trois dans la grande salle qui se voyait célébrer l'entrée de la Lorraine au sein du Royaume de France.
Une autre raison étrange, cette guerre, quand le roy dernier s'était marié avec l'impératrice afin de se rapprocher, leur reyne actuelle était en guerre contre eux, comme quoi, tout pouvait arriver, bonne ou mauvaise chose, ce n'était pas à elle d'en juger mais si le peuple de Lorraine dans sa majorité voulait rejoindre la France, pourquoi pas?

Pour sûr, il y aurait du beau monde de présent.

Aemi prit un autre chemin peu après leur entrée, probablement qu'elle était plus habituée à ce genre d'évènements que la Valten qui pourtant y goutait de plus en plus.
Quelques têtes connues ça et là, pas de quoi faire une véritable discussion, le nom d'Acoma fusa pourtant non loin, encore de la famille lointaine?

Albin choisit ce moment pour s'excuser de devoir lui aussi se défaire du groupe, hum, à croire qu'elle serait seule à chaque évènement même en venant à plusieurs pour une fois. Un léger sourire accompagné d'un hochement du chef adressé à Albin pour lui confirmer qu'elle ne le retenait nullement et la duchesse reporta son attention sur le buffet afin de se saisir d'un verre.
Une première gorgée, suivie par l'entrée de la reyne non pas au bras de Crezus mais de Phelim, tient?
Une tête blonde traversa la salle en même temps, la faisant perdre le fil de ses pensées, seules compagnes à ses côtés, pour le moment espérait elle.

Une deuxième lampée, plus qu'à attendre la suite dans un soupire de fatalité.

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Namaycush
On s’affronte et on se traite de noms d’oiseaux, quotidiens des soldats, belliqueux de nature, ce qui est leur propre, sinon ils seraient missionnaires, diplomates ou encore bourgmestre.

Des rouges ont fait leur apparition, ils seront bientôt plus nombreux que les bleus… Il sourit…manquerait plus qu’un Crowsam ou un Bret et cela partirait vite en quenouilles.

Il s’amusa de la fripponerie de la Comtesse du Périgorg, amante à l’instant, sans se douter que dans quelques jours elle l’épouserait. Ou c’était lui qui l’épouserait… enfin qu’ils se marieraient.



Madame la Comtesse a bon goût. Cet assemblage a plus de corps…!Un peu de son sang de bouche s’y était dilué….

Il sourit à Scath…. Effectivement rouge et carmin, ce n’était pas le même bord … qui filait déjà et il ne ferait rien pour la retenir…

Tout en fumant son cigare, il en prit quelques-uns dans la poche intérieure de sa vareuse, en tendant à son entourage….



Qui veut un étron ? C’est un mélange de feuilles séchées roulées…. On peut y souffler des roues de fumée et cela fait tousser, c’est rigolo.


Il insista auprès d’Amédée, le baobab étant du coup il ne sait trop où, puis auprès des dames …. Pattricia et Keyfeya…. Dans la vérité, cela était juste pour observer la bouche arrondie de la noiraude qu’il imaginait déjà tirer sur le cigare…. Lorsque la reine arriva et se fit discrète…
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Rosalinde
Kirinn de Warenghien. Inconnu au bataillon, comme tout ce qui venait d'empire, ou ce qui y avait appartenu jusqu'à une récente date. Qu'on se le dise, Rosalinde était une royaliste convaincue, et tout ce qui n'était pas Français était si nettement inférieur qu'il ne méritait même pas qu'on s'intéresse à lui. Et s'il était Sparte, alors là... La déchéance était totale ; il n'y avait que le rejeton de Jean de Cetzes qu'elle tolérait, au sein de cette famille de dégénérés, car à coup sûr le sang de France chassait les impuretés apportées par ces consanguins de Franche-Comté.

Cela dit, la surprise était plutôt agréable, et elle finit par se dire que peut-être que la Lorraine avait peut-être été épargnée par la sévère épidémie de crétinisme qui sévissait indubitablement outre-Rhin. Kirinn de Warenghien le Lorrain, donc. Et elle ? Dilemme. Se présenter, ou entretenir encore un peu le mystère ?


- Et moi je suis... Enchantée !

La malice vint à nouveau se loger au coin de ses yeux tandis qu'elle souriait, pas mécontente à l'idée de le faire mariner un peu quant à son identité. Rosa est taquine, la chose est sue de tous ; certains s'en accommodent, d'autres — comme, au hasard, Elisabeth Stilton — non. Le compliment sur la soirée tomba également fort à propos. Elle se doutait certes qu'il ne parlait peut-être pas du bal en lui-même, mais puisqu'elle en était l'organisatrice, décida de l'entendre comme tel, et cela ne fit que la réjouir encore davantage.

Fourrant une nouvelle chose indéterminée dans sa bouche, elle ne put qu'opiner vivement du chef quand il affirma que certains hommes avaient de fort vilains goûts. Parler la bouche pleine, voilà qui ne se pouvait. Le temps que la bouchée soit avalée, il avait embrayé sur la danse, et ses mots la firent rire.


- Oh, avec une pavane mes pieds ne craignent pas grand chose ! C'est une danse très lente en réalité, et les pas de base sont bêtes comme chou.

Et c'est parti pour une leçon de danse improvisée ! Les bras à l'horizontale, et toujours sa coupe dans la main, elle se lança dans une petite démonstration, tout en fournissant en même temps les explications adéquates.

- Cela se danse côte à côte, et main dans la main. L'homme est à gauche, la femme à droite. Vous avancez le pied gauche, vous ramenez le pied droit. Puis vous avancez le pied droit, et vous ramenez le gauche. Ensuite, trois pas, en commençant par le pied gauche, et vous terminez en ramenant le droit. Vous refaites la même chose depuis le départ, mais cette fois en commençant par le pied droit. Ensuite, encore la même chose, mais à reculons. Pied gauche d'abord.

Arrivée là, elle but une gorgée de vin, avant de continuer sa petite improvisation, qui s'accordait avec le rythme joué par les musiciens.

- Vient le moment le plus compliqué, celui où il faut tourner. La femme refait la même chose, mais en avançant, l'homme en reculant, afin de pivoter. Pied droit d'abord. Puis tout le monde repart en avançant, pied gauche en premier, et on pivote à nouveau, l'homme en reculant et la femme en avançant, pied droit d'abord. Et on recommence !

Terminant sur ces mots, elle releva le visage vers lui, en souriant.

- Peu de risque pour les pieds de la partenaire, le tout est simplement de ne pas s'emmêler les pinceaux ! Mais enfin cette danse n'a rien de très... Excitant. Attendez de voir la volte !

Ça, c'était une autre paire de manches, et qui requérait par dessus le marché que la cavalière soit soulevée du sol par son partenaire. Shocking !

- Quant à la Lorraine, ma foi... Je n'y ai jamais mis les pieds.

Elle finit par un sourire, un de plus, envers l'aimable Warenghien.
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Milite pour la pénalisation de l'emploi du mot « pantine »
Kirinn
- Et moi je suis... Enchantée !

Il avait voulu la faire, celle-là. Seulement, il s'était dit que c'était comme le coup des étoiles dans les yeux, un peu trop bateau pour être honnête. Cependant, il trouva cette réplique nettement plus convaincante dans la bouche de la rousse. Étrangement. Puis vint le drame de la démonstration. Inévitablement, Kirinn se sentit obligé de suivre le mouvement. Agissant par une sorte de mimétisme animal, il avança un pied, puis l'autre. Il buvait les paroles de Rosalinde tout en éclusant le broc qu'il tenait toujours en main. Un pied en avant, le gauche. Puis le droit suivait le rythme. Encore une fois, puis une autre. Enfin il fallut pivoter. Et CRAC ... Un bruit étrange émana de derrière son dos. Etait-ce un bout de table qui n'avait pas supporter le choc des maux ? Ou bien simplement un plateau renversé qui avait entraîné une réaction en chaîne, papillon voletant à l'autre bout du monde et qui avait, par inadvertance, fait choir une quantité aléatoire de victuailles et de vin sur le buffet royal ?

Kirinn se mit à sourire, gêné à nouveau, pachyderme dans un magasin de préciosité. Le roux fit en sorte de se maintenir entre la ravissante rousse et le désastre dans son dos. Il bougeait les pieds maladroitement en terminant sa pavane maladroite.

La volte ? Rien que son nom est très engageant ... Heu ... Il faut tourner ?

Nan parce que là, en ce qui concerne les tours et les détours, faudra repasser.

Il faudra que vous m'appreniez tout ceci .. En terrain neutre et dégagé.

S'il fallait soulever la cavalière, elle visiterait certainement les étoiles à ce train là. Puis Kirinn décida de saisir la balle au bond.

Et si nous faisions un marché ? Vous venez en Lorraine pour m'apprendre à danser et je vous ferai visiter notre si beau duché. Qu'en dites-vous ?

Il fallait un début à toute chose et celui-ci lui convenait bien. Ne restait plus qu'à avoir la réponse de la française de souche. La distance, toujours la distance, un souci qu'il faudrait régler un jour, peut-être.
Barberine
Une fois annoncée, la blonde Vicomtesse avait fait d'un regard rapide, le tour de l'assemblée.

Peu de visages connus, et pour cause....

N'étant pas très encline à aller vers des inconnus, elle pensait se réfugier quelque temps devant le buffet, puis s'esquiver discrètement.

Deux événements l'en empéchent :

L'entrée de la Reyne de France. Elle en perd presque la respiration devant cette femme majestueuse qui accueillait les lorrains en France.
A l'instar des autres convives, elle s'incline respectueusement sur son passage.

Peu après, une main se pose sur son épaule, la faisant sursauter. Et le ton d'une voix la fait sourire.


Tim, quelle agréable surprise, moi qui me sentait perdue dans cette assemblée.

Etonnée de la présence de son filleul, peu habitué à fréquenter ces salons, mais après tout qu'en savait elle, ils avaient si peu l'occasion de se rencontrer.

Je suis vraiment ravie de vous voir ici, je commençait à me demander si j'allais devoir passer la soirée en tête à tête avec ce buffet.

Qu'on m'ait confié par le passé le gouvernement de la Lorraine et que je réside depuis quelque temps en Languedoc, me semblent deux bonnes raisons pour assister à ce bal.
Même si j'y suis venue seule.

J'accepte avec joie, et soulagement , votre proposition de me servir de cavalier.

Pouvez vous me dire quelles bonnes raisons vous ont conduit à cette soirée. Et pourquoi une jeune et jolie demoiselle n'est pas pendue à votre bras?

Ensuite vous me parlerez de votre vie, je n'ai pas assez souvent,à mon goût, de vos nouvelles.

Un éclair de malice s'allume dans ses yeux, car elle le sait assez peu enclin aux confidences



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Helene.blackney
    Ah bon les plateaux allaient arriver mais pourquoi personne ne m'avait mise au jus. C'est décidé, j'allais organiser un trafic de biscuits sous le mantel. Comme venait de dire la déesse biscuitale, nous savions où étaient les cuisines en cas de grande faim. Je la laissais piocher des biscuits autant qu'elle le voudrait.

    Sa Majesté entra et je baissais la tête, rangeant un peu ma toilette qui avait quelques miettes dessus. Je sursautais lorsqu'on m'adressa la parole, c'était sa grâce Belmont. Prise la main dans le sac, en plein trafic de biscuits. Je fis la moue coupable.


    - Sachez Misenhor qu'il n'y a rien de prévu pour subvenir aux besoins alimentaires des danseurs, alors si vous voulez un biscuit vous savez qui venir voir

    Tu veux de la drogueeeeee, un rail de biscuit, t'inquiètes il y a Hélène pour ça. Revenant à la déesse biscuitale, je dis avec une pointe de jalousie:

    - Tu as amené un cavalier toi?

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Sartaze
C'était pourtant un réveil matinal comme tout les autres avant, depuis quelques mois.
Un réveil le visage vers le plafond... puis après l'avoir un peu tournée, un regard vers son Aimée encore endormie, pour éveiller son âme et son cœur à cette Dame et à la Vie qu'il partage avec Elle, l'Unique.


Et puis...


AH ! Crotte ! Zut !! Flûteeuh !

Un second réveil, en sursaut celui-là, et le suédois est debout sur ses deux pieds.

Mon Aimée, mon Aimée, nous allons être en retard !

Il la regarde faire et se lever prestement... et... et se marre, car c'était une plaisanterie

Hop là, la déconne est au rendez-vous, le voyage jusqu'à Paris va vite se passer, c'est une promesse.


Faut quand même pas qu'on soit trop lent... sinon le Duc et la Duchesse vont partir sans nous...

Un rayon de soleil qui baigne votre visage. .vous êtes encore à rêvasser , à la journée qui se prépare .une main.... sa main .. celle de son Aimé qui vous caresse doucement .. vous enlevant toute envie de vous lever alors que le jour est déjà bien en place
A l'appel de son Promis qui d'un bond s'est levé la pressant d'en faire autant
Le bagage est prêt .. les ablutions vite faites .. la coiffure remise au goût du jour oui ils vont au bal et ce n'est pas une mince affaire
Elle a du choisir une robe cachant son petit ventre qui s’arrondit chaque jour ..... des chausses qui lui feront le pied léger pour danser
Pour le reste , comme chaque jour quelques fleurs tressées en une couronne finiront la tenue ..


Oui oui !! je suis prête ... Enfin presque voyons il n'y a pas le feu

Quelques consignes à l'homme qui est chargé de faire arriver le tout à Paris et de leur trouver une auberge correcte afin de se préparer
Et hop .. un bras dessus dessous Elle et Lui .. Lui est Elle .. sont en partance pour le Bal un cheval pour deux tiré la plupart du temps par les rênes


Le voyage fut comme tout voyage...
Ah non, le Sartaze fut sage comme une image, enfin à peu près.
Aujourd'hui, pas d'arrêt tout les cent mètres pour cueillir des fleurs ou des plantes.
Pas trop de paroles échangées sur les sujets qui poussent à faire des choses qui pourraient les ralentir... l'Amour, les enfants, leur nouvelle Vie, etc...

Sartaze ne ce sera arrêté qu'une fois sur le bord de la route. Juste le temps de ramasser deux trois petits truc pour fabriquer, sur les coups de midi, la couronne de fleurs promise, comme chaque jour, à sa Promise.


Voilà, voilà ! Ceci est pour vous !
Sans me vanter, je dirai honnêtement que cette couronne est la plus belle que j'ai réussis ! Surement parce que les fleurs près de Paris sont les meilleures.


Lui fait un grand sourire, puis remonte sur son cheval, et lui tend la couronne.

Après cela, Sartaze regarda devant lui, heureux et fier de... tout...
Et au loin, il aperçu...


Oh... Mais ne serait-ce pas Paris que nous voyons au loin, là-bas ?
C'est peut-être les murs qu'on discerne un peu... voyez ?... pile au-dessus des deux amoureux qui nous ont pas attendu.


Pointe de la main en direction de ce qu'il voit lui. Et regarde son Aimée.

Une couronne de fleur plus loin . Oui faut dire que son Aimé est toujours très proche de la nature . la moindre fleurette est à ses yeux merveille. aussi la tresse faites de celles ramassées le long du chemin menant à Paris n'échappent pas à la règles elles sont les plus belles comme elles sont cueillies aussi pour Elle .. c'est compréhensible aussi me direz vous
Petit chevauchement au loin les murs d'une ville .. de hauts murs qu'elle reconnaît pour les avoir vus par le passé , sur qu'elle s'en souvient . Son passage à Paris pour se faire reconnaître par le Roy

A l'arrêt son Aimé qui la questionne ...


Oui ce sont bien les abord s de Paris une petite merveille de construction
Un Epoux qui pointe son doigt dans une direction puis la regarde


Oui mon Tendre


Une main pour cacher le soleil qui l'aveugle

Mon Coeur ..

L'étonnement

Dites moi !! Que se ne sont point eux ?

Bah si c'est eux, voyons !
Après tout ce temps, on les a rattrapé, hé !


Rit doucement, et fait partir au pas son cheval.

Alors, allons-y. Va falloir entrer au bal en même temps qu'eux. Les Normands sont soudés !


Et après de multiples et complexes préparations de robes, de cheveux, de chaussures... et d'une couronne florale... les deux amoureux, l'un contre l'autre, arrivèrent au bal... toujours avec, allez !, 5 minutes de retard sur le Duc et la Duchesse de Normandie.


Thor Aïe ! comme y disaient dans le temps.




Après votre crise d'épilepsie, vous remarquerez j'espère que ce rp est écrit à deux
Neyco
A Ancelin mossieur le fiancé, plissant les yeux, rho il avait osé en public. Avec ce genre de geste elle pourrait pas la jouer oui j'ai amener un copain de biscuit. Pour sur que c'était un plan dans le genre très viril qui la marquait au fer rouge, t'es à moi les autres laissez tomber.
S'approchant de lui étant juste proche pour qu'il puisse espérer un baiser public, mais non. Le regard malicieux, elle chuchota.


Pas touche en public mossieur mon fiancé. Tu pourras t'amuser plus tard.


Et de se reculer vivement pour répondre à Hélène, pour sur qu'elles allaient prendre le monopole du biscuit dans le monde, et puis même qu'un jour il y aurai l'ordre sacré du biscuit reconnu. Mais si, comme disait son gamin de cinq ans, il faut y croire.


Ben vi, c'est mon biscuit. Et puis imagine si il faut danser, j'suis pas sure qu'il aurait apprécié que quelqu'un d'autre que lui pose ses mains sur moi.


Jetant un oeil à Ancelin en faisant un sourire en coin.


Quoique cela aurait pu être amusant.


Totalement complice.


Bon alors d'après toi combien de personnes vont mourir de faim et dans notre gloire au biscuit nous pourrions les sauver.


Après le trafic de biscuit, les filles se transformeraient en bookmaker.

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Pattricia
Kirinn s'éloigne au moment où le lynx se la joue Winston Churchill. La rousse fronce le museau à la proposition de Namay. Elle décline l'offre d'un geste de la main, perdue dans ses pensées et surtout la recherche du pénible que la foule vient d'engloutir "Pfff ! Il est passé où encore ?".

Veuillez m'excuser je reviens... ou pas

Laissant les deux qui, de toute manière, n'avaient pas du tout besoin de sa présence, comme celle d'aucun des invités, Patt fend la foule à la recherche de la silhouette qu'elle avait reconnue quelques minutes auparavant. "Si tu crois que tu vas m'échapper le pénible, tu te fiches le doigts dans l'œil.
C'est alors qu'elle l'aperçoit dans un coin un verre à la main. Elle fonce sûr lui tel un prédateur sur sa proie et se plante en face à face, dans toute la brillance de sa robe couverte de perles et de pierreries.


Moi aussi j'aimerais bien boire quelque chose...

Ajoutant le geste à la parole, elle lui agite son verre vide sous le nez.
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Milo
Le brun était resté au buffet, continuant de scruter la salle et les invités.
Essayant de se rappeler si les visages croisés lui revenaient en mémoire.
Si pour certaines personnes, il leur aurait volontiers sourit pour d'autres ce ne serait pas forcément le cas !

Il commençait même à se demander ce qu'il pouvait bien faire la, hormis boire quelques verres mais ce monde de paillettes n'était vraiment pas pour lui.
Certes, les dames portaient très bien les robes et les rendaient toutes belles à regarder. Il prenait ça comme un lot de consolation sans pour autant insister.

Puis arriva la Reyne qui eut un peu le mérite de ramener un peu de calme dans la salle.
C'était la première fois qu'il pouvait voir de si près un souverain, il resta un moment à la regarder se rendant compte qu'elle n'était qu'une femme finalement à ses yeux.
Autant il la respecterait, autant il en faudrait bien plus pour l'émouvoir.

Il se perdit à nouveau dans ses pensées sans se rendre compte que quelqu'un s'approchait de lui jusqu'à sentir réellement sa présence et surtout d'en reconnaître la voix.
Un léger mouvement de tête pour planter son regard dans le sien et de lui sourire, ne pouvant cependant pas s'empêcher de la zieuter de haut en bas sans pour autant vouloir la mettre mal à l'aise, quoique...

C'est qu'il avait plutôt l'habitude de la voir dans ses habits de tous les jours et même en armure alors la voir dans cette robe la changeait un peu.. beaucoup.
Il replongea ses yeux dans les siens dans un sourire déjà taquin parce que c'était plus fort que lui et qu'elle ne lui en voudrait pas.


Bonjour Patt ..

Alors qu'elle agite son verre vide et qu'elle réclame sa pitance, il ne trouve rien de mieux que de vider son verre et de lui tendre souriant en coin.

Mais je t'en prie, sers nous !

Il lui prit toutefois des mains pour aller en chercher deux autres à proximité, pourquoi se fatiguer à les remplir alors que d'autres verres n'attendaient qu'à être prit.
Il se tourna à nouveau vers elle pour lui remettre tout en lui adressant une légère courbette.


Madame..
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Pattricia
Elle l'observe... Deux joueurs rompus au jeu de l'autre. Elle suit son regard quand il l'a détaille guettant sur son visage ce qu'il pense du spectacle qui contemple, mais il reste égal à lui-même, peu lisible. Quand il lui tend son verre elle éclate de rire, ravie de voir que rien de changeait vraiment en fin de compte. Enfin rien... tout était relatif... Malgré sa rancœur, il était un des rares à qui elle avait fini par pardonner, on ne pouvait pas en dire autant de l'ours qui rêvait de mettre sa tête au bout d'une pique. Ayant fini de rire elle se contente d'un

Soif !

Deux têtes de mules, le jeu pourrait durer longtemps mais le pénible reprend les verres, s'en débarrasse et s'en procure d'autres. Quand il lui fait le coup de la courbette, pas gênée du tout par les invités présents, elle récupère son du et avance tout près afin de lui écraser le bout du pied. Je sais que ça ne te fait pas bien mal mais c'est pour le principe. Il savait très bien que les "Dames" et les courbettes l'exaspéraient au plus au point quand ça venait de lui et évidemment c'est fait exprès. Elle vient s'appuyer contre le mur couvert de tentures épaule contre épaule avec lui et observe les groupes qui se font et se défont.

Ça te dirait, quand nous partirons d'ici, que l'on fasse un bout de chemin jusqu'en AC ? T'as toujours le lapin n'est-ce pas ? Comme vont les choses, je ne vais pas rentrer avec Key, elle est... occupée. Et sincèrement ça me plairait bien que nous fassions la route ensemble, ça va rendre vert de rage l'ours quand il va l'apprendre et ça lui donnera une bonne leçon.

Vindicative elle était, vindicative elle resterait. Elle en rajoute une couche sachant très bien qu'elle ne serait pas crédible une seconde.

Tu n'oserais pas laisser une faible femme seule sur les chemins incertains du Royaume n'est-ce-pas ?

Ne pas sourire, ou alors juste innocemment ce qui, vu ses talent de comédienne, ne rendrait pas sa phrase plus crédible pour autant, tout au contraire.
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