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[RP] Couronnement de Sa Majesté Angelyque

Sancte
Le regard du Capitaine se retrouve momentanément happé par l'entrée de la Régente de Guyenne accompagnée du Duc d'Ornon, seul couple sur terre pouvant lui laisser encore quelque espoir sur la possibilité d'un amour platonique. Mais cette distraction précède un signalement qui lui est glissé subrepticement par la Casas, ayant remarqué un type inconnu des officiels qui, maintenant son heaume sous le bras lors d'un couronnement, détonne aussi sûrement dans la foule aristocratique et bigarrée que ne le ferait une Charolaise sur une autoroute. Non. Contrairement, à la politique qui fut la sienne par le passé, cette Garde Royale là sait qu'elle a tout à gagner à faire preuve de discrétion. Car nul n'apprécie les esclandres. Et si esclandre il y a, c'est que la bonne tenue de l'événement pose déjà franchement un pied dans l'échec. L'essentiel, pour lui & ses hommes, romanichel comprise, est de demeurer optimistes. En réponse, il délivre sa prose, la voix basse sur une octave inférieure, suivant de son regard gris le tracé de la direction qu'on lui indique. Avec, parfois seulement, l'audace de glisser sur la cible.

« Vu. Il faut reconnaître la tendance qu'aurait le pauvre à ne pas ou peu faire de sport. Alors soit il n'est pas pauvre et feint de l'être. Soit il représente un risque. Mettez Elmer dessus. »
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Coldtracker
Lemerco a écrit:



Ils arrivèrent au Louvre.
Un regard à Anastriana, à Cold, à Anne-Solenn.


A votre avis, le poids total de la structure, ca fait combien de menhir?



Le colosse suivait derrière, tout vêtu de noir e et portant un baudrier d'un rouge vif qui portait son escarcelle, les fourreaux garnis de son éspée bâtarde qui faisait office de deux mains pour n'importe qui et de sa dague "Panzerstecher" .

Pour seul bijou, il ne portait que la bague de ses armoiries.
L'ancien Maréchal de Bretagne ne faisait pas dans le clinquant.

Un tueur avec un titre de Duc,

Le Duc de Rhuys avança donc ses presque deux mètres et fit un petit geste de sa main d'armes en répondant:
-"A vrai dire, ma Roué je n'en sais rien mais je connais bien les lieux, la dernière fois que je suis venu ici moi et mes hommes d'armes avons tué les trois quart des gardes et avons libéré le souverain Gomoz.
Elfyn était le capitaine de la garde Grand ducale à l'époque et j'en étais le mestre d'armes.
C'était quelque temps après ma victoire sur Héraklius en combat singulier...

Cela ne date pas d'hier."


Il pensa à la main tranchée qui trônait sur la cheminée à Rhuys...Relique de guerre d'un adversaire qui s'était montré à la hauteur.

Mais les temps n'étaient plus à la guerre mais à la diplomatie et le géant balafré en était plus que conscient.
Il était Mestre d'armes et mestre de guerre et exprimait son plein potentiel en campagne de guerre, pour autant il n'avait jamais été quelqu'un de belliqueux mais son devoir passait avant tout.

Il avisa le souverain qui ne répondit pas mais qui était résolu à aller à la chasse aux culottes...
Il regarda Anne-so et Ana , soupira et dit:
-"Et ce n'est que le début..."
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Ricco
Nouvelle souveraine, nouveau courronnement. Ricco connaissait parfaitement le Louvre tant il l'avait arpenté en tant que garde royale. Mais cette fois-ci c'est en vassal de la Reyne qu'il se présentait au couronnement. Il avait mis ses plus beaux apparat et ne portait que le collier de Lys émeraude comme seul bijoux.
Il s'adressa à un huissier pour savoir où il pouvait se placer.
- Ricco, Baron de Fresne-en-Maintois
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Vittoria
Le Premier Huissier observait la princesse Mélissandre et Spartacus s'activer dans tous les sens, dans une fluidité incroyable qui l'étonna agréablement.
Elle était fière d'eux deux, car vu le nombre de personnes qui arrivaient au fur et à mesure, elle trouvait qu'ils officiaient avec un grand professionnalisme.

Observant les portes des lieux, la Comtesse vit arriver un noble qui s'adressa à elle :


Mes salutations Baron Ricco.
Je vous invite à aller vous asseoir dans la rangée sur votre droite, derrière le premier rang. Il doit rester de la place très certainement.
Bonne cérémonie.


Elle lui sourit doucement et reporta son regard sur la porte d'entrée, voyant que des gens stationnaient devant sans pour autant pénétrer dans la salle.

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Gnia
Emanant de sous une tignasse rousse qu'elle ne connaissait que trop bien, un regard et un sourire attirèrent l'attention de la Saint Just, sourire auquel elle ne put que répondre.
Puisque son vassal ne daignait même pas la saluer, il n'y avait guère à squatter plus longtemps dans les parages, avant que mépris ne se fasse cuisant. Elle haussa légèrement une épaule avant de se faire un passage jusqu'à sa prochaine escale. Il y avait une chose de sûre avec le Flamand Rose, c'est qu'à un moment où un autre, leurs rencontres en marge de festivités finissaient toujours par trouver une issue plus ou moins imbibée, prélude à de quelconques conneries forcément toujours très drôles.

Elle arrivait en vue du couple Cassel d'Ailhaud lorsque ses azurs sombres se posèrent sur une petite silhouette bien familière. Elle détaillait la mise de son fils lorsque son regard avisa qu'il y avait une extension à son bras. Sourcils froncés, elle observa un instant le couple puis la langue claqua sur le palais, aussi discrètement que faire se peut.
La contrariété recommençait à poindre sur la trogne de l'Artésienne. Elle avait espéré, naïvement, que cette journée trouverait à s'émailler d'instants agréables, mais pour l'heure, les désagréments se succédaient.
Arrivée à hauteur de Deedlitt et Grégoire, elle les salua.


Votre Altesse Royale, Votre Grandeur, je suis heureuse de vous voir.

Même si son minois chiffonné semblait nuancer ce qu'elle venait de dire, les mots étaient sincères.
Elle baissa un instant la voix, sans quitter Lonàn du regard .


Avez-vous la moindre idée de qui peut bien être la perdrix qui se pavane au bras de mon fils ?
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Axelle
Si, tournant le dos à Sancte, le regard gitan se perd dans les soieries, le profil et surtout l’oreille de la Garde sont dévolus aux ordres murmurés du Capitaine. Plus que le menton, c’est les paupières qui se baissent en signe d’acquiescement. Pourtant, se fixant encore dans l’immobilité, les secondes s’écoulent tranquillement alors que les mirettes de chardon fouillent la masse grouillante jusqu’à débusquer le visage du frère d’armes.

D’un pas dégoulinant de normalité, affichant un fin sourire désinvolte sur sa tronche ambrée, la gitane se faufile aux cotés d’Elmer.


‘Jour ! Le ton est enjoué et le regard velouté, comédienne émérite qu’elle sait être quand, néanmoins, un amusement réel égaye sa bouche à la perspective de la petite pantomime à jouer pour n’attirer aucune attention. Se haussant sur la pointe des pieds, feignant de minauder à l’oreille d’Elmer jusqu’au déhanché naturel de toute donzelle amourachée digne de ce nom, elle souffle à l’oreille du brun des propos qui n’ont pourtant rien d’équivoques. T’peux en profiter pour renifler mon cou si tu veux, mais surtout, ne relève pas les yeux et ne le regarde pas. A droite du Capitaine. Un brun, foutrement grand. Un heaume sous le bras. Surveille-le avec toute la discrétion dont tu sais si bien faire preuve.
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Alix_du_vivier
La chaleur qui commençait à régner dans cet espace qui lui avait pourtant parut immense à son arrivée et si petit maintenant, devenait insoutenable.
Tant de monde et de toutes origines, Alix savait que la Garde Royale allait être active en ce jour, active et efficace comme à son habitude.
Nul doute pour elle, mais son oeil aguerri ne pouvait s'empêcher de regarder certaines personnes.
Là? par curiosité ou pas intentions belliqueuses, elle ne savait pas encore.

Néanmoins, elle put apercevoir ses officiers Royaux, ils étaient venus et représentaient parfaitement ce bel office dont elle était responsable.

Un signe de tête pour chacun d'entre eux, Leana, Ishtara, Didier, Wallerand et Orthon qui bien sur était toujours présent ou il fallait et quand il fallait.

Son regard balaya la salle tout en attendant la suite.
Ivanne
[ES]Fue un viaje largo, pero fue, al fin y al cabo, un viaje ameno. No cabía esperar otra cosa de los hombres con los que iba escoltada, aunque... ¿Quién era la escolta realmente?, si Ivanne parecía ser la madre de todos ellos. En ocasiones se miraban con inquina, otras veces jugaban a las indirectas, hasta que por fin la Josselinière se veía obligada a poner paz.
Estaban cansados, por otra parte. De las absurdas charlas de las que se habían provisto así como de la falta de descanso y los largos días de recepciones y presentaciones que debían hacer. La comitiva castellana era, cuanto menos, la más pintoresca de todas ellas: estaba conformada por muy pocas personas y todas ellas vestían un luto riguroso que, obviando la costumbre de la Corte, habían colmado de joyas, a fin de que pudiera entreverse la capacidad económica de los castellanos, porque ya se sabe que en este tipo de celebraciones uno va a lucirse y hacer amistades con el reino que embiste a su nuevo monarca.

Ivanne, francesa de nacimiento, había optado incluso por engalanarse con un abrigo de armiño en recuerdo de su fallecido Rey y padrino, al que le apodaban el Armiño de Morlaix. Aún estaba muy dolida por su muerte, de modo que su rostro y ánimo no era el mejor. Sin embargo, ello no impedía que opusiera resistencia al heredero al trono de Castilla, con quien también habían acudido.

« Estúpido... » -pensaba Ivanne cada vez que veía que Kossler quería adelantarse a ella; aceleraba el paso entonces, poniéndose a su nivel, pero el marqués de Alcañiz volvía a dar zancadas más grandes que las de Ivanne. Volvió a apresurar el paso hasta que, finalmente, decidió que lo más conveniente era apoyarse en el brazo de él y así frenar su marcha. La Princesa Regente de Castilla sonrió con suspicacia, creyendo que así le contendría.- « Querido, más nos vale reducir el paso si queremos que alguien nos atienda, de lo contrario pasaremos sin darnos cuenta hasta las cocinas y nos tomarán por viles sirvientes. - Le dijo con cierta templanza, creyendo usar las palabras más adecuadas para ordenarle que se detuviera.- Francia nos ha invitado a esta gran ceremonia, demostremos nuestro mayor respeto a su Reina e instituciones. Castilla sabe y debe comportarse. »



[FR]Ça a été un long voyage, mais ça a été, au bout du compte, un voyage agréable. Ne convenait pas d 'attendre une autre chose des hommes avec lesquels elle était escortée, bien que… Qu' est-ce qu' était l' escorte réellement ? , si Ivanne paraissait être la mère de tous. Parfois ils étaient surveillés avec aversion, d' autres fois jouaient à ce qui est indirectes, jusqu' à ce qu' enfin la Josselinière soit obligée de mettre de la paix.
Ils étaient fatigués, d' autre part. Des discussions absurdes dont ils étaient eus pourvu ainsi que du manque de repos et les longs jours réceptions et présentations qu' ils devaient faire. Le cortège castillan était, tout au moins, le plus pittoresque de toutes : elle était conformée par très peu de personnes et tous habillaient un deuil rigoureux que, en palliant la coutume de la Court Royale, ils avaient comblé de bijoux, afin qu' on puisse entrevoir la capacité économique de ce qui est castillans, parce qu' on sait déjà que dans ce type de cérémonies un va à être brillé et faire des amitiés avec le royaume qui charge à son nouveau monarque.

Ivanne, française de naissance, avait choisi même d' être décoré avec un abri de hermine en mémoire son Roi décédé et parrain, à auquel l' ils surnommaient la Hermine de Morlaix. Elle était encore très endommagée par son décès, de sorte que sa face et esprit ne soit pas le mieux. Toutefois, cela n' empêchait pas qu' elle oppose résistance à l' héritier au trône de Castille, avec lequel ils étaient aussi allés.


« Stupide… » - Ivanne pensait chaque fois qu' elle voyait que Kossler voulait avancer; elle accélérait le pas alors, en mettant à son niveau, mais le marquis d'Alcañiz donnait à nouveau des enjambées plus grandes que celles d' Ivanne. Elle a dépêché à nouveau le pas jusqu' à ce qu' elle ait décidé, finalement, que le plus nécessaire était d' être soutenue dans le bras de lui et ainsi freiner sa marche. La Princesse Regente de Castille a souri avec méfiance, en croyant qu' ainsi elle le contiendrait. - « Cher, sera mieux de réduire le pas si nous voulons que quelqu' un de nous s' occupe, dans le cas contraire nous passerons sans se rendre compte jusqu' aux cuisines et ils nous prendront par des domestiques méprisables. - elle l' a dit avec une certaine tempérance, en croyant utiliser les mots les plus adéquats pour lui ordonner qu' il s' arrête. - France nous a invité à cette grande cérémonie, démontrons-nous notre plus grand respect à sa Reine et institutions. Castille sait et doit être comportée. »
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Wallerand
Victoire ! Il y avait un autre membre de la Connétablie dans la place ! Un remerciement rapide fut adressé à Spartacus, qui dut bien vite retourner vaquer à son occupation, à coup sûr essentielle pour le bon déroulement de la journée. A coup sûr aussi, il en aurait plein les pattes à la fin de la journée... Mais déjà le Lieutenant d'Etat-Major déjà présent le saluait, et Wallerand lui répondit avec chaleur :

Bonjour, Sire Orthon ! Heureux de vous voir. Et vous avez raison, cet huissier a une mémoire remarquable.

De nouveau, à l'indication d'Orthon, le regard sombre parcourut la salle pour se poser sur l'alignement, qui commençait à se former, des Grand Officiers de la Couronne et, en particulier, sur la Connétable de France. Un sourire furtif de léger malaise se dessina sur les traits du Lieutenant au souvenir de ce dîner où il avait exprimé un compliment sincère autant que fichtrement maladroit, à en juger par la réaction de l'intéressée. Revenant à son homologue, il reprit :

J'ai cru apercevoir la Connétable, oui... J'espère juste que nous ne serons pas trop loin si elle devait... Enfin,vous comprenez.

L'éventualité de devoir assurer la sécurité d'Alix avait été mentionnée dans l'une des salles de la Connétablie mais, ne sachant trop ce qu'il fallait évoquer ou ne pas évoquer, le Beauharnais se contenta de cette simple allusion, témoignage de sa tendance à la défiance dans les lieux public. Déjà, le Maréchal de France de la zone d'oïl arrivait. Saluant Didier d'une légère inclinaison du buste, le Lieutenant lui adressa un sourire. Dans le ballet aux complexes figures mené par les Huissiers, il repérait parfois un visage connu ou croisé déjà, scrutait la foule et se demandait s'il rencontrerait là telle ou tel autre.
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Leana..
Alors qu'ils patientaient aux portes du salon, elle vit Spartacus qui guidait des personnes à leur place. Elle le salua d'un signe de tête au moment où une voix qui s'adressait à elle. Tournant son regard vers le son, elle sourit à Son Altesse Royale et la suivit à son siège.

Votre Altesse Royale, mercès à vous de m’accueillir en ce lieux. Le voyage fut long mais il c'est bien passé je vous en remercie. Je suis ravie de votre rencontrer en personne, c'est un honneur pour moi et ma famille d'être parmi vous pour cette cérémonie d'une très grande importance pour le Royaume.

Votre Altesse Royale, je vous présente mon époux Zacharys.


Elle se recula un petit peu pour laisser à son époux le loisir de saluer Son Altesse Mélissandre de Malemort puis elle s'inclina pour la laisser repartir vers les autres arrivants et prit place aux côtés d'Orthon, Didier et Wallerand. Son regard se tourna vers l'assistance au moment où la Connétable de France fit son apparition dans le salon. D'un signe de tête cette dernière les salua auquel elle répondit par un sourire puis se tournant vers ses collègues, elle les salua.

Maréchal, Lieutenants, bonjorn à vos.

Puis découvrant un peu son fils car la chaleur montait vite dans un tel endroit, elle offrit un sourire à son époux.
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Kossler
No estaba acostumbrado a las visitas de cortesía. Él jamás había sido un diplomático. Ahorrador, incluso en las palabras, no se le daba bien entablar amistades. Por eso no solía disfrutar rodeado de tanta gente. Pero tendría que acostumbrarse. Su ascenso al trono era casi un hecho y a su vuelta, tendría nueve reinos que atender y gobernar. La postrera voluntad del Rey, designándolo cómo heredero y Príncipe de Asturias le había facilitado mucho las cosas.

El tener a Ivanne consigo al salir de Castilla, también. Podía estar tranquilo. Estando fuera de Castilla no podría tramar nada contra él.

El de Castelldú vestía una armadura de cuero negra, con dos dragones enfrentados, rematados en hilo de plata, uno de tierra y otro de mar. En su pechera, el escudo de su casa y sobre el cuello sus medallas y condecoraciones. Llevaba la melena recogida en una coleta. En algún lugar le habían contado que últimamente las coletas arrasaban en las encuestas de popularidad y para él, ser popular suponía mayores facilidades para tomar el trono, que era suyo por derecho. Iba también armado, aunque no tenía muy claro si le obligarían a entregar o no su espada.

Mientras caminaba con la francesa, iba entonando una canción para distraerse. Daba largas, adelantando a la francesa, imponiéndose. Él era el protagonista allí. Luego miraba hacia atrás, de un vistazo rápido y de forma disimulada para ver su reacción. Ella apretujaba el paso para devolverle la jugada y Kossler respondía.

Aquella pequeña refriega duró apenas unos segundos, porque luego ella le cogió del brazo, evitando que continuara. Maldita fuera Ivanne, una y mil veces. No podía soltarla, al menos, si pretendía quedar bien.

-¿Por sirvientes? -El de Castelldú soltó una pequeña carcajada. -Podrían confundir a vuestro esposo con uno de ellos, pero no a mí.

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Il n'était pas habitué aux visites de courtoisie. Il avait jamais été un diplomate. Épargnant, même dans les mots, on ne lui donnait pas bien entamer des amitiés. C'est pourquoi il ne jouissait pas généralement entouré de tant de gens. Mais il devrait s'habituer. Sa promotion au trône était presqu'un fait et à son retour, aurait neuf royaumes qui s'occuper et régir. La dernière volonté du Roi, en le désignant comment héritier et Prince d'Asturies lui avait fourni beaucoup les choses.

Avoir à Ivanne avec elle en sortant de Castille, aussi. Il pouvait être tranquille. En étant hors de Castille il ne pourrait pas tramer rien contre lui.

Celui de Castelldú habillait une armature de cuir noire, avec deux dragons faits face, achevés en fil d'argent, une de terre et un autre de mer. Dans son devant, le blason de sa maison et sur le col ses médailles et décorations. Il portait la longue chevelure reprise dans une couette. Dans un certain lieu ils lui avaient compté que dernièrement les couettes lissaient dans les enquêtes de popularité et pour lui, être populaire il supposait de plus grandes facilités pour prendre le trône, qui était le sien par droit. Il était aussi armé, bien qu'il n'ait pas très clair s'ils l'obligeraient à livrer ou non leur épée.

Il marchait entretemps avec la français, il entonnait une chanson pour distraire. Il donnait tu lâches, en avançant à la français, en imposant. Il était le protagoniste là. Il surveillait ensuite en arrière, d'un coup d'oeil rapide et d'une manière déguisée pour voir sa réaction. Elle bloquait le pas pour lui restituer le jeu et Kossler répondait.

Cette petite bagarre a à peine duré secondement quelques, parce qu'elle l'a ensuite pris du bras, en évitant qu'elle continue. Malditoe et des mille fois était Ivanne. Il ne pouvait pas la détacher, au moins, s'il prétendait rester bien.

-Par des domestiques?
-Celui de Castelldú a détaché un petit éclat de rire. -Ils pourraient confondre à votre conjoint avec un d'eux, mais non moi.
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Annesolenn_wolback
La comtesse Anne essayait tant bien que mal de suivre le Grand Duc, mais la foule était de plus en plus dense et le bruit quasi insupportable. Dans sa hâte de ne pas perdre de vue son souverain, elle ne vit pas un noble Espagnol qui lui barrait la route et faillit entrer en collision avec son non moins noble postérieur. En passant elle murmura à sa presque victime quelques mots d'excuse dans sa langue maternelle.

Perdone, Señor, no le habia visto.*

Un sourire contrit et la voilà repartie à la poursuite du Grand Duc et de ses compagnons.
Les rattrapant enfin, elle entendit le soupir de Maël et son murmure.


Citation:
Et ce n'est que le début...


Un léger rire secoua la jeune femme, le début? Le début de quoi? De la chasse à la culotte? De la cérémonie? De la journée? De tout à la fois sans doute!

En se haussant sur la pointe des pieds pour se rapprocher de l'oreille du géant et se faire entendre dans le brouhaha ambiant, elle murmura :


Attendez le début du banquet... Je pense que ce sera pittoresque.

** Excusez moi, Seigneur, je ne vous avais pas vu.

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Orthon
Orthon aperçut dans la foule la venue de son duc. Le BA était ainsi bien représenté. Puis il répondit à Wallerand.

Hé bien, je suis fort aise de vous rencontrer, nos villes sont distantes mais nous travaillons dans le même but, protéger notre royaume. Ne sommes-nous pas hommes de terrains ? dit Orthon en souriant puis il salua Leana..

Dame, je suis content de vous connaître de visu mais j'aurai préféré vous rencontrer dans d'autres circonstances, non pas la faute à ce lieu, mais je pense à votre belle ville de Saintes tombée il y a quelques heures.

Il remarqua le petit enfant.

Il est charmant. Vous avez raison de le découvrir quelque peu. Il commence à faire chaud. J'espère que vous pourrez demander un verre d'eau si le début de la cérémonie devait tarder.

Orthon regarda vers Alix. Leur regard se croisa. Un signe de tête suffit à faire comprendre à la connétable que les LEMR veillaient sur sa personne.
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Coldtracker
Annesolenn_wolback a écrit:

Un léger rire secoua la jeune femme, le début? Le début de quoi? De la chasse à la culotte? De la cérémonie? De la journée? De tout à la fois sans doute!

En se haussant sur la pointe des pieds pour se rapprocher de l'oreille du géant et se faire entendre dans le brouhaha ambiant, elle murmura :


Attendez le début du banquet... Je pense que ce sera pittoresque.


La voix grave du colosse lui répondit en un sourire:
-"Ho, je n'ai aucun doute la-dessus...Je ne suis plus le garde du corps du souverain mais restons près de lui tout de même, c'est préférable"

Mais préférable pour qui?

Le Duc de Rhuys avait déjà identifié tout ceux qui étaient d'office en protection, un loup savait reconnaître une meute quand il en voyait une...

Il avait déjà différencié les anciens des novices..

Il ne fit pas d'effort pour sourire mais il était d'une courtoisie exemplaire, il ne lui servait à rien d'essayer de paraître mondain, son gabarit, sa balafre et sa réputation auraient mis se efforts à néant...

Trop de morts françoys à son actif...

Trop de guerres..

Les choses avaient bien changé et maintes provinces s'entendaient avec eux aujourd'hui et les contacts étaient nombreux.

Anne-Solenn était comme un poisson dans l'eau et avait ce don inné de la diplomatie .
Si lui l'avait aujourd'hui, cela n'avait pas été sans travail en regard où il brisait la nuque d'un homme à mains nues pour une insulte...

Il regardait déambuler les nobles et essayait de reconnaître certains visages pour les associer à des noms.

Il espérait passer un bon moment.
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Lucdelaribauderie
Par Deos que le Louvre était grand , voire même immense , et n'ayant eu l'occasion de m'y rendre que très rarement je m'étais bien entendu perdu dans toutes ses salles .
Heureusement pour moi j'avais fini par rencontrer une personne amicale qui m'avait indiquée la bonne direction et j'arrivais donc à la salle prévue .
Je commençais à chercher l'huissier Spartacus à qui l'on m'avait dit de m'adresser et finalement réussis à le repérer en entendant prononcer son nom , je fendis la foule pour arriver jusqu'à lui .


Bonjour Messire Huissier Spartacus , Je suis le Lieutenant d'Etat Major Royal Luc de la Ribauderie , la Connétable de France Alix du Vivier et plusieurs Lieutenants m'ont conseillé de m'adresser à vous pour savoir ou je devais me rendre pour les retrouver , pourriez vous avoir l'extrême amabilité de m'y aider ?
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