---fromFRshakka
Arkin avait du ressortir de la cité par l'île Nostre Dame afin de contourner les forces teutonique.
Le voyage se faisait de plus en plus aléatoire et la tension montait à vue d'oeil dans chez les gueux...
Le Semper s'arreta et fit le point.
Un messager n'avait aucune chance d'arriver jusqu'aux francs.Tous les points de passages les plus connus étaient vérrouillés par les sanctes armées.
Pour en avoir fait partie,il savait que si elles s'étaient déplacées,ce n'était surement pas pour rester passif.
Il n'avait aucune peine à imaginer l'impatience des soldats d'en découdre.Celà lui ramenait en mémoire les revues de troupes qui précedent les assauts...Combien de fois s'était il trouvé le mener?
Pour l'heure,il pataugeait dans l'infâme bouillie nauséabonde qui recouvrait tout ici.
Arkin n'arriverait pas à sa destination à temps.Chose qui en d'autres circonstances n'aurait point posé de problème se trouvait aujourd'hui le tracas du chevalier.
Seul et pris entre le marteau et l'enclume,il devait agir prestement.
Au loin,déja des bannières teutoniques...
Le battelier qui accepta de faire traverser la Seine était un truand...Mais fort bon en affaire,le bougre...
Il délesta Arkin d'un peu de férraille,ricanant niaisement en poussant sa barque à l'eau.
Barque qui n'inspirait d'ailleurs aucune confiance elle non plus...
Une fois sur l'autre rive,le Semper s'enfonça dans les ruelles esquivant ainsi le vérrouillage du carrefour principal.
il n'avait aucune envie de justifier sa présence.
Il progréssait en maugréant et en pestant contre le chancelier Franc...Qu'il lui était redevable d'une paire de bottes et on ne sait quoi d'autre pour l'avoir convié à venir patauger gaiement dans la bouillasse dont Arkin avait une sainte horreur.
Il sourit néanmoins en apercevant les flammes de l'ordre de Santiago.
Le Semper escalada prestement un escalier dérobé dans une arrière cour et se trouva à hauteur des toits.
par les éclats de voix il determina qu'il ne pouvais plus avancer...
Il tapa du poing sur le mur,exprimant son mécontentement.Ne sachant ni où celà se passerait ni où se trouvait exactement les troupes Franche,il progresserait encore à couvert essayant si possible de repasser les murrailles...
Le voyage se faisait de plus en plus aléatoire et la tension montait à vue d'oeil dans chez les gueux...
Le Semper s'arreta et fit le point.
Un messager n'avait aucune chance d'arriver jusqu'aux francs.Tous les points de passages les plus connus étaient vérrouillés par les sanctes armées.
Pour en avoir fait partie,il savait que si elles s'étaient déplacées,ce n'était surement pas pour rester passif.
Il n'avait aucune peine à imaginer l'impatience des soldats d'en découdre.Celà lui ramenait en mémoire les revues de troupes qui précedent les assauts...Combien de fois s'était il trouvé le mener?
Pour l'heure,il pataugeait dans l'infâme bouillie nauséabonde qui recouvrait tout ici.
Arkin n'arriverait pas à sa destination à temps.Chose qui en d'autres circonstances n'aurait point posé de problème se trouvait aujourd'hui le tracas du chevalier.
Seul et pris entre le marteau et l'enclume,il devait agir prestement.
Au loin,déja des bannières teutoniques...
Le battelier qui accepta de faire traverser la Seine était un truand...Mais fort bon en affaire,le bougre...
Il délesta Arkin d'un peu de férraille,ricanant niaisement en poussant sa barque à l'eau.
Barque qui n'inspirait d'ailleurs aucune confiance elle non plus...
Une fois sur l'autre rive,le Semper s'enfonça dans les ruelles esquivant ainsi le vérrouillage du carrefour principal.
il n'avait aucune envie de justifier sa présence.
Il progréssait en maugréant et en pestant contre le chancelier Franc...Qu'il lui était redevable d'une paire de bottes et on ne sait quoi d'autre pour l'avoir convié à venir patauger gaiement dans la bouillasse dont Arkin avait une sainte horreur.
Il sourit néanmoins en apercevant les flammes de l'ordre de Santiago.
Le Semper escalada prestement un escalier dérobé dans une arrière cour et se trouva à hauteur des toits.
par les éclats de voix il determina qu'il ne pouvais plus avancer...
Il tapa du poing sur le mur,exprimant son mécontentement.Ne sachant ni où celà se passerait ni où se trouvait exactement les troupes Franche,il progresserait encore à couvert essayant si possible de repasser les murrailles...