Pao
[ Côtés teutoniques ]
Paris s'éveillait... Paris s'embrasait, toujours cette ambiance maussade, qui régnait dans ces rues, ces hurlements, ces grands bruits sourd venus des ténèbres, Pao observait silencieux...
Et c'est avec étonnement qu'il remarqua au croisement d'une rue, par dessus les toiles des marchands, moult bannières et flambeaux qui flottaient au vent... tant d'ordres étaient réunis en ce jour pour cet enfant...
Le bruder était fier d'être ici lieu en ce jour.
Silencieux, il resta auprès de ces frères, observant les lignes armées alliées, qui faisaient face à une foule déchaînée et violente, se servant de tout ce qui pouvait servir de projectile pour les lancer sur ces hommes de la foi !
Qui étaient-ils pour insulter nos couleurs ? Qui étaient-ils pour cracher sur nos uniformes ? La cour des miracles !
Pao eut du mal à accepter ces faits déplacés, mais il fut dans le devoir d'attendre les instructions.
Dans l'attente, sur le dos de son cheval, haubert à la taille, soulageant son bras du poids de son marteau, épée ceint par dessus sa tunique, Pao vint de sa main retirer la poussière qui était sur lui.
Dans les rangs il chantonnait tout bas, d'un air enfantin et doux des mots que l'on lui avait comptés :
Nous nous en remettons à Ta sainte volonté,
Pour la Paix et la Justice, la Vérité et le Bien.....
Pour la Foi et l'espérance, la Vertu et la Tempérance,
Par le verbe ou par le fer, accordes-nous la victoire!
Déploies Ton bras divin au-dessus de nous,
Rends-nous forts et valeureux d'esprit et de corps,
Permets-nous d'éclairer les ténèbres du sans nom,
Sois le témoin de notre loyauté à Ton service........
Mais il fut très vite coupé par les ordres venus d'Arakiriman, c'est alors qu'il se redressa, et cela eut effet très vite, car tous partirent sans perdre de temps...
Il enfonça de son poing l'haubert puis rajusta sa ceinture, tenant en main les rennes fermement ainsi que son marteau, il talonna prestement sa monture vers l'objectif reçu...
Paris s'éveillait... Paris s'embrasait, toujours cette ambiance maussade, qui régnait dans ces rues, ces hurlements, ces grands bruits sourd venus des ténèbres, Pao observait silencieux...
Et c'est avec étonnement qu'il remarqua au croisement d'une rue, par dessus les toiles des marchands, moult bannières et flambeaux qui flottaient au vent... tant d'ordres étaient réunis en ce jour pour cet enfant...
Le bruder était fier d'être ici lieu en ce jour.
Silencieux, il resta auprès de ces frères, observant les lignes armées alliées, qui faisaient face à une foule déchaînée et violente, se servant de tout ce qui pouvait servir de projectile pour les lancer sur ces hommes de la foi !
Qui étaient-ils pour insulter nos couleurs ? Qui étaient-ils pour cracher sur nos uniformes ? La cour des miracles !
Pao eut du mal à accepter ces faits déplacés, mais il fut dans le devoir d'attendre les instructions.
Dans l'attente, sur le dos de son cheval, haubert à la taille, soulageant son bras du poids de son marteau, épée ceint par dessus sa tunique, Pao vint de sa main retirer la poussière qui était sur lui.
Dans les rangs il chantonnait tout bas, d'un air enfantin et doux des mots que l'on lui avait comptés :
Nous nous en remettons à Ta sainte volonté,
Pour la Paix et la Justice, la Vérité et le Bien.....
Pour la Foi et l'espérance, la Vertu et la Tempérance,
Par le verbe ou par le fer, accordes-nous la victoire!
Déploies Ton bras divin au-dessus de nous,
Rends-nous forts et valeureux d'esprit et de corps,
Permets-nous d'éclairer les ténèbres du sans nom,
Sois le témoin de notre loyauté à Ton service........
Mais il fut très vite coupé par les ordres venus d'Arakiriman, c'est alors qu'il se redressa, et cela eut effet très vite, car tous partirent sans perdre de temps...
Il enfonça de son poing l'haubert puis rajusta sa ceinture, tenant en main les rennes fermement ainsi que son marteau, il talonna prestement sa monture vers l'objectif reçu...