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[RP] La place du Pilori, en intèrieur de la Cour

pnj
Raphaël Facchini, sur ordre du Sénéchal, avait pris le chemin du cimetière des Innocents. Il allait faire un petit tour d'inspection des lieux, histoire de voir si rien d'inhabituel du cimetière de base ne pointait le bout de son nom, ou le bout du dague...

Arrivés sur les lieux, il vit non loin l'église voisine, l'église des Saints Innocents, ainsi qu'une étrange statue placée dans une guérite de bois au centre du cimetière, qui lui fit froid dans le dos :




Sur l'écu, on pouvait lire :

Citation:
"Il n'est vivant tant soit plein d'art

Ne de force pour résistance

Que je ne frappe de mon dard

Pour bailler aux vers leur pitance

Priez le Très Haut pour les trépassés"


La Mort Saint-Innocent vous impressionne mon fils, n'est-ce pas ?, lui glissa un prêtre qui passait dans son dos

Je ne crains pas la mort, car celle-ci me fera atteindre l'état divin auquel j'aspire sans y parvenir, répondit Raphaël Facchini, néanmoins troublé par la statue en son sein.

Ci et là se trouvaient quelques religieux, badauds ou chiffonniers en train d'essayer de "récupérer" ce qui pouvait l'être dans les charniers frais ou les cercueils en mal de surveillance



En ce lieu dédié aux morts, le paladin put enfin voir une touche d'Aristotélicisme depuis la sordide Cour des Miracles. Il se signa et pria:

Christos, Que les âmes des fidèles défunts reposent en paix, par la miséricorde du Très Haut.
A Lui, Père de Christos et notre Père, vois nos parents, nos amis qui nous ont quittés. Ils ont cru en la Parole d'Aristote. Ils ont voulu vivre comme lui-même a vécu au milieu des siens.

Que leur espérance et la nôtre trouve son accomplissement. Qu'ils entrent dans ta gloire et deviennent des vivants en plénitude, comme Aristote, ou Christos. Amen!


Il se remit alors en route, observant les environs. Il ne voyait rien de particulier, selon lui...
---fromFRHagden
Hagden avait entendu les ordres et s'était remis dans le sens de la marche... Il éperonna Yakoute, qui fila comme l''éclair sur les pavés pourtant glissants. Il suivait les autres Teutoniques.

DEUS MANUM DUCIT !!! lança t-il...

Autour du Seneschall une rumeur se levait, des choses déboulaient, mais il n'en faisait aucun cas...

Il filait droit, vers ce but un peu flou, suivant l'Hocheister d'un oeil, décelant et évitant les embûches de l'autre. Sa jument l'impressionnait de vitesse et de précision. Elle paraissait animée d'une force et d'une déxtérité peu commune sur un terrain inadapté et dangereux pour une telle chevauchée. Et elle répondait à ses ordres, même murmurés, presque inaudibles...

_________________

Seneschall de L'Ordre Teutonique..."Deus Manum Ducit", Diacre de Villefranche-de-R...
pnj
De nouveaux ordres avaient été donnés. Pression des genoux sur les flancs de sa monture qui comprit la demande de son cavalier et partit au galop. Une tuile était passée devant le Ritter pour attérir sur la tête de la jument d'Hagden qui, heureusement, n'avait pas été blessée. Puis des tonneaux qui dévalent pas loin d'eux, mais tout de même trop éloignés pour les embêter. S'ils étaient visés, c'était raté.

Imladrik flatta l'encolure de Nanthromir. L'étalon aurait bien mérité une longue retraite à Melesse après toutes les aventures qu'il avait vécu. Mais pour le moment, il devait encore supporter son cavalier pour quelques jours. Après, tout serait finit. Une fois qu'ils auraient retrouvé cet imbécile de jeunot et qu'il aurait été corrigé par Aurore, tout rentrerait dans l'ordre...jusqu'à la prochaine alerte.
Ardath
Cour des miracles, une silhouette fragile sur un moellon perchée regarde les teutoniques s'affairer en bas avec autant d'ardeur que ses cheveux dansent dans le vent poisseux. Il n'est pas vraiment d'ici la Croquelune, mais elle ne peut pas s'empêcher de constater que ceux-là ne sont pas à leur place.

Rubans aux vents et livrée à carreaux il n'est qu'un humble Fol. Elle n'est qu'un bouffon le Croquelune. Pas assez miteuse pour avoir toujours vécu ici. Mais suffisamment comme eux pour sentir dans ses tripes la balafre que creusent ces chevaliers toutes croix dehors en violant la cour. Ils n'ont pas leur place ici!


Teutons à la cour, peuple soulève toi
Teuton à la cour, peuple défend toi


Des chevaliers au galop sur les pavés de la cour. Un peu de graisse ou même d'eau et les chevaux s'étaleraient de tout leur long. Image fugace de Noir, laissé aux portes de Paris, sa bien-aimée monture, gisant de tout son long et se faisant piétiner par une horde de boîtes de métal hurlant en latin le nom du Très Haut. Une idée repoussée.

Le Fol s'agrippe de sa main gantée au mur derrière lui, une glissade serait préjudiciable, surtout au milieu de ces épées au clair. Il regagne une balustrade. Elle cherche des yeux une mur dont il pourrait extraire des petits cailloux. Oh on, elle n'est pas violent le Fol mais il serait inconscient de laisser des teutoniques croire qu'ils sont les bienvenus à la Cour. Quelle que soit leur mission ils n'ont rien à faire ici. Des bruits courent qu'ils cherchent quelqu'un. Qu'ils le cherchent ailleurs, qu'ils attendent qu'il revienne, les pieds devant s'il le faut.

Un petit tas qu'il pose devant ses pieds. Aucune des pierres n'est assez grosse pour blesser un des importuns, elles ne sont là que pour faire passer un message: déguerpissez.

Les cailloux dansent en tombant sur les montures et leurs passagers héroïques. Sur que ces chevaux sont les dignes descendants de Pégase, des étalons fougueux ne faisant qu'un avec leur cavalier, le genre à répondre à la moindre solicitation à merveille, vivant alchimie. Sur que si Bellérophon avait eu pareille monture il n'aurait pas chu au pied de l'Olympe. Peut-être qu'un des équidés se révélera moins chimérique et enverra valser son meneur, c'est ce qu'espère Croquelune.

Et pleuvent les ritournelles comme les pierres.


Trois chevaliers s'en allaient en guerre, et ron et ron et patapon
Pour récupérer et récurer le fils d'un curaillon et ron et patapon
Ils paradaient au milieu des traînes misère et ron et patapon
Ils mériteraient tous la pendaison et ron et ron et patapon.


Dessous ils continuaient de s'invectiver les uns les autres, certains d'être dans leur bon droit. Quelque part le Fol se disait que les traînes savates devraient aller faire un tour chez les Teutoniques vérifier qu'un des leurs n'y était pas, on ne savait jamais. Ce serait instructif de voir comme les gens y réagiraient.

Mais elle ne tient pas en place Croquelune et sa folle tignasse trop claire se secoue, les toits l'attendent, il est temps de suivre le cortège de plus haut. Les gueux du bas devraient les ralentir. Entrechats, arabesque il a rejoint son mur. Fissure au bout des doigts, pierre mal ajustée sous la pointe du pied, elle est là haut. Toujours cet air poisseux qui colle à la peau comme à l'âme.
pnj
Caly, elle était pas batailleuse, elle cherchait jamais les embrouilles avec les gens. Sa vie, c'était sa vie, les autres, elle s'en foutait.

Mais la rumeur montait.

Sous la porte cochère qui lui servait de mirador, elle voyait bien que l'agitation enflait. La pagaille, c'était pas exceptionnel à la cour. Seulement là, il flottait une drôle odeur.

Cà sentait l'émeute.

La cour était envahie de sabots, d'armures, de gens propres..des croix..çà, Caly, elle n' aimait pas trop. Ça lui rappelait quelque chose, çà la rendait fébrile. Savait pas trop quoi faire. Un gus faisait le singe. Son arrogance lui plut. Lui au moins, il avait de la classe.

Pas ses affaires... se planquer, attendre que çà passe, qu'elle se dit, pas convaincue.

Regardait quand même, et ricanait. Ils étaient ridicules avec leurs armures, et leurs chevaux lourds comme des vaches au milieu des venelles éparpillées. Comme si on pouvait faire la guerre dans un labyrinthe. Ils avaient pas inventé l'eau chaude, ceux qui les commandait, à les envoyer tout raides se faire caillasser par des ombres furtives.

Le début d'une révolte dans son ventre, à les voir si fiers et si sûrs d'eux. De quel droit ces gens là venaient-ils envahir le seul endroit où ils n'avaient rien à faire? Cà, Caly, elle comprenait pas non plus. Qu'est ce qu'ils cherchaient? C'était pas normal. Ils ne pouvaient vouloir que répandre le sang. Peut-être même la chasser de chez elle? Peut-être même lui ôter le peu qu'elle a? Au fond d'elle, une crispation, çà y est, elle frémit, envie de les voir foutre le camp en appelant leur mère. Presque un sentiment patriotique.

Exaltée, elle court maintenant, jupon vite passé à la ceinture, cheveux rattachés vite fait. Prend la rue, qu'elle remonte, loin devant l'armée bien rangée. Glissant, dérapant sur les pavés, mais toujours moins qu'un cheval ferré. Ses jambes nerveuses et sures lui donnent juste le temps.. s'ils la rattrape, s'ils la rattrapent, elle se sauvera! Drôle d'éclaireuse qui reprend la chansonnette à peine entendue; à pleins poumons, pour éveiller la cour, pour prévenir, pour qu'ils aient le temps.


Teutons à la cour, peuple soulève toi
Teuton à la cour, peuple défend toi


Elle ajoute, moins poète que l'auteur :

Qu'il pleuve des armoires, sur leurs faces de cul bénit!
---fromFRSpoone
Assis à la fenêtre, il contemple la rue. Patience, qualité professionnelle. D'une main, il flatte l'encolure de son chien. De l'autre, il tient son arc, prêt.

Vicious, on sera pas payés aujourd'hui, mais j'ai bien envie de me faire un carton. Ca te dirait de manger du cheval ce soir ?

Sourire au chien, un épagneul, noir, splendide. Spoone, comme il aime à se faire appeler, remonte son foulard sur sa bouche. La signature, le protocole. Toujours la chaussette gauche comme disait un collègue. Les cavaliers commencent à s'exciter, les chevaux aussi et ... une pauvresse qui coure dans la rue. Sourire invisible derrière le tissu.

Au moins, j'aurais un témoin. Avancez, petits petits, venez rencontrer la mort à 200 mètres.

Et la bougresse de beugler :

Qu'il pleuve des armoires, sur leurs faces de cul bénit!

L'assassin sort une flèche du carquois posé contre la fenêtre et en humecte la plume du bout des lèvres. Puis l'encoche, chantonnant pour lui même, sur le même rythme :

Gentille allouette, je te plumerai la tête.

Arc bandé, inspiration, stop... une pensée, et un des chevaux de tête tombe, foudroyé.
---fromFRMammylou
Malou prit le temps de remettre ses bottes car elle se dit qu’elles lui seraient fort utiles. Si par hasard, elle si attendait un peu, il lui faudrait partir assez rapidement des lieux malsains où ils se trouvaient. Elle en eut la confirmation quand l’Hochmeister Arakiriman en donna l’ordre suivant.

Citation:
Teutoniques, au galop direction nos frères d'armes, nous ne sommes pas à l'abri. Le rythme pourra par contre nous protéger des éventuels autres projectiles ! DEUS MANUM DUCIT !!!!


Elle la vît ensuite partir devant au triple galop dans la ruelle. Malou sauta prestement en selle sur Indy et lui fît prendre la même direction dès qu’elle le put. Mieux valait se regrouper pour éviter les ennuis. Elle n’avait pas l’intention de manquer à son serment. Tout ce qui avait de l’importance à ses yeux était qu’elle devait retrouver le neveu de son Hochmeister Petit Louis qui leur en faisait voir de toutes les couleurs à cause de son inconscience. Que d’embûches ils avaient sur leur passage elle évita de justesse un tonneau qui dévalait la rue. Et grâce à son bouclier elle se protégea de son mieux contre les divers projectiles lancés de part et d’autres sur leur passage.

- Hé Ben dire que l’on est pacifique qu’est ce que ça serait si on faisait une invasion se dit-elle. Mais va-t-on finir par leur faire comprendre que nous ne venons que chercher qu’un gamin.

Malou entendait toutes sortes de choses tout au long du parcours et avait tous ses sens en alerte pour éviter les pièges tendus.

_________________


La vie est une roue qui tourne et qui te mène toujours plus loin.
pnj
La révolte semblait enfler dans la cour. De partout venait les sons des manants qui se réveillaient. De plus en plus d'appels retentissaient. Si les Teutoniques ne sortaient pas bien vite d'ici, ils ne partiraient pas sans dommage. Les projectiles pleuvaient: cailloux, tuiles, et même...flèches?

Bogenschützen! Bogenschützen auf den Dächern!*

Pourquoi? Pourquoi ne comprenaient-ils pas que tout ce qu'ils voulaient, c'était récupérer le jeune Louis? Pourquoi ces gens, à l'image des Suisses, croyaient-ils à une invasion dès que l'on passait chez eux? Imladrik talonna Nanthromir afin de rejoindre l'Hochmeisterin et l'OrdensMarschall.


Tiendront plus longtemps. Finiront par nous avoir.

[i]Il avait dit ça dans un souffle, tout ce que la vitesse permettait. Il ne devait pas tuer ça monture, mais par contre ils devaient au plus vite être à l'abri, ou au moins sur une place dégagée où ils pourraient manœuvrer.


[*Archers! Archers sur les toits!][/i]
---fromFRAlun
L'Alun toujours dans la lune attendais le passage des chevaliers devant sa modeste boutique pour tirer, installer sur le toit il aurait le temps d'utiliser les deux arbalètes qu'il avait déjà bandé. Ensuite il connaissait suffisamment bien la rue du monte en l'air pour devancer les chevaliers et les attendre plus loin.
Arbalète en main et l'œil avisé il guette la rue observant l'avancée des chevaliers en attendant qu'ils soient a portée...

Soudain la colonne apparais, fonçant comme des damnées sur les pavés inégaux des ruelles de Paris, les lourds chevaux de batailles battant la charge.


Sombre crétins ! Ils vont tuer leurs montures sur ce sol inégal a cette allure, ils sont beaux ces chevaliers qui connaissent rien a leurs montures...

La surprise devant tant de bêtise avait été telle qu'il s'était relevé, l'arbalète a la main pour jurer a mi-voix, soudain un sifflement se fit entendre et le cheval de tête sombra, entraînant les chevaux qui le suivaient dans un joyeux chaos qui blesserais des cavaliers c'était sûr. Sans parler de ceux immobiliser au sol par leurs lourdes armures qui feraient des cibles rêvée pour les coupe-jarrets...

Il pesta à nouveau mais cette fois contre celui qui utilisait une flèche face a des chevaux caparaçonnés à grande distance, et mis son arbalète en joue, tenant à démontrer la supériorité de cette arme.
Il visa soigneusement et tira, la corde se tendis et le carreau siffla dans l'air droit vers un cavalier, heureusement pour celui ci le trait ne fis que lui longer le bras, ouvrant néanmoins une large entaille dans son armure avec un bruit d'ouvre-boîte. Le chevalier n'avais du subir qu'un faible blessure voire même ne pas être touché par le trait qui venais d'ouvrir une faille dans sa carapace.

_________________
~PNJ~
Armurier et specialiste des poudres et chimie a bord du côtre corsaire "le renard".
Un conseil ne mangez pas les plats qu'ils prépare...
---fromFRAnonymous
Il se laissa désarmer, tête haute, devant le teutonique, et ne lui répondit pas quand il tenta de le provoquer. Iurek, les mains jointes au dos, sur la croupe du cheval. Quand on le fit descendre, il vit un bien fier homme, au visage de noble guerrier, et courba la tête avec respect.

Un des Teutoniques le bouscula légèrement, il eut le droit à un regard glacial. Il redressa enfin la tête, et regarda Acar avec un air fier.


"Je suis Iurek d'Mettensis, M'ssire. Et j'ai croisé l'gamin qu'vous cherchiez. Il m'a été pris alors qu'j'etais en rout' pour tenter d'vous l'remettre."

Tête haute, regard fier, vers les Teutoniques. Aristote punira ceux qui le remettront en doute.

"Et maint'nant, c'est d'vnu personnel pour moi. J'laisserai pas un gamin seul et désarmé a la Cour. Surtout qu'l'est un peu flippant quand ses yeux d'viennent rouges."

Il sentit qu'on attendait un peu plus de lui. Alors, il s'agenouilla.

"Si M'ssire l'accepte, je vous aid'rai a r'trouver l'gamin."
Neocor
Neocor avançait, comme si rien d'autre ne comptait plus que cette messe, Ici... Il savait derrière lui la présence de ses gardes de l'OCF, il avait lâché ce bouclier Qu'on lui avait conseillé... Visiblement il était déconnecté de la réalité de ce qui se passait tout autour, seule la Gloire du Très Haut qui devait être célébrée icelieu lui importait. Il arrive enfin, il est rendu... Il s'adosse contre ce mur de torchis et son visage est levé vers le ciel, les mains décharnées projetées en avant ne tremblent point...

La double haie soldatesque est de parfaite tenue... Archers, arbalétriers, porteurs de masses d'armes ou d'épées, tous ont l'œil à tout et à tout le monde...


Frères et sœurs, l’immanente « Sans nom » nous oblige à une vigilance ragaillardie, avive en nous une espérance lucide. Lumière sera faite, proclame Christos, soyez sans crainte : « Tout ce qui est voilé sera dévoilé, tout ce qui est caché sera connu ». Une lumière qui fait le tri, crève les baudruches, nous émonde pour nous réduire à l’essentiel de ce que nous sommes : les fils adoptifs du Très Haut. Poussons un soupir de soulagement !

Le vieillard essaie de lire sur les visages, ou plutôt sur les masques répugnants de cette faune malodorante…

Les siècles passés nous mettent en tête des horreurs infinies. Les millions et millions de morts qu’a charriés l’histoire, nous laissent sur une impression de néant si grande que nous nous sommes mis à douter de tout, et de notre bien fondé. La lumière incisive de Christos vient à point. Nous le savons : L’humain, issue d’une simple pensée du Très Haut est aujourd’hui ici en grand danger de décomposition. La frontière de l’homme et de l’animal tend à s’estomper, l’inviolabilité de l’âme personnelle fait hausser les épaules, la perte de spiritualité nous tire vers le bas, et son antithèse, le bonheur légitimement recherché a fait oublier trop souvent le salut.
Dans le magma des cruautés de siècles qui se chevauchent, dans l’avachissement des valeurs qui nous fait prendre des vessies pour des lanternes, l’argent, la vaine gloire et les plaisirs immédiats pour ce qu’ils ne sont pas : la porte de l’Astre Solaire, le Christ tranche par sa lumière sans fard, par sa lucidité qui nous met au large de tout autre chose. La merveilleuse nouvelle du Tout Puissant, dure en sa qualité de diamant, la voici : nous serons tous, un par un, mis à nu, réajustés à sa charité, car « même nos cheveux sont tous comptés », c’est dire le prix inestimable de notre personne pour Celui en qui nous sommes sans cesse pétris. L’histoire entière si inextricable sera dénouée, car l’Esprit ne la laisse pas à l’abandon. Elle ne part pas aux cloaques. Comme la Création « elle est dans les douleurs de l’enfantement ».
Non, je ne suis pas qu’un fétu emporté dans les remous d’époque, une marionnette de foule, aussi tiré à hue et à dia que je sois, et versatile. Plus profonde que tout, notre âme est inexorablement liée à son Auteur, qui l’appelle, l’invite par voix de conscience, et voie de conversion. Ne vends donc pas ton âme pour une bouchée d’arrogance, de pouvoir et de séduction aveugle, ou la frénésie de l’instant qui passe et va au trou. Vendre son âme à l’air du temps, à la vie superficielle, c’est donc avoir été acheté, comme on le dit de quelqu’un qui a perdu son honorabilité. La nôtre, frères, est d’être « à l’image du Très Haut », dont Christos en son humanité a dressé le portrait. Le culte du corps et de l’épanouissement personnel, qui imprègne nos royaumes, s’accompagne hélas trop souvent d’une âme inculte de son Créateur. Alors, réveillons-nous ! « Craignez plutôt celui qui peut faire périr dans la géhenne l’âme aussi bien que le corps », nous avertit Christos. Quel combat ! Une conversion de tous les instants. Dissous donc ta misère dans la lumière du Très Haut au lieu de t’y résoudre.
Il y a des premiers en ce monde qui seront les derniers en l’autre, et des derniers en ce monde qui seront les premiers dans l’amour éternel. Car la loi du Livre des Vertus prend tout le monde à rebrousse-poil. Elle est justice à rechercher, soutien du pauvre, compassion, impatience devant le mal, patience devant ses propres faiblesses, douceur brûlante de cet amour indéfinissable prêt à tous les pardons. Frères, notre Dogme ressort comme une pépite d’or. Il nous ramène à l’essentiel, il recadre les choses, comme on dit. On en a bien besoin ! Amen.


D’un revers de manche, le Prieur essuie la sueur emplie des humeurs de ce lieu de son front…

Ainsi, que vous le vouliez ou non, vous entendrez cette messe, et vous plus que tous autres allez commencer par une confession et une demande de Pardon conjointes…

Mes Sœurs, mes Frères, demandons le Pardon au Très haut pour les fautes que nous avons pu commettre...

Citation:
Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action. Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.


Grand moment pour vous, bannis de l'Eglise Aristotélicienne, résidus de toutes sortes que ce jour exceptionnel où nos âmes communient... Pour être dans la tradition, et afin de nourrir un tant soit peu votre entendement désespérément creux, je vais vous donner lecture qui vous propose une retour en arrière, avec la mort d'Oane...

Citation:
Oane était ravi que sa quête soit enfin arrivée à son terme. Il admirait la plaine du regard lorsqu’il s’effondra. Tous s’attroupèrent autour de lui pour lui venir en aide. Quelques-uns tentaient de le maintenir dans une position presque assise, mais il était clair pour tous qu’il vivait ses derniers instants. Mais, malgré le tragique de l’événement, alors que tous étaient effarés, Oane arborait un sourire plein de sérénité. Il dit: “N’ayez crainte, car ma mort n’est qu’un passage pour rejoindre Le Très Haut Tout Puissant. J’ai atteint la place qu'il m’a réservée dans le monde et ai accompli ce qu’Il attendait de moi. La mort n’est pas pour moi la perte de la vie mais le passage vers une autre, bien meilleure. Il en sera de même pour vous si vous savez vivre dans la vertu. Alors, que vos larmes ne soient pas de tristesse mais de joie, car le Très Haut me fait le plus beau des cadeaux. Aimez Le et Il vous aimera. Adorez-Le et Il vous bénira. Vivez dans la vertu et Il vous accueillera à Ses côtés.”
Alors, il rendit son dernier soupir. Et tous se regardèrent les uns les autres, ne comprenant pas cette sérénité qui s’affichait encore sur le visage de leur guide. Ils enterrèrent son corps au milieu de la vallée, là où ils vivraient dorénavant. Ils firent le serment que, chaque semaine, ils se réuniraient autour de sa tombe, afin qu’il les accompagne et les guide lorsqu’ils rendraient hommage au Tout Puissant.
Mais aucun ne comprit l’amour qu’avait Oane pour le Très Haut lui fasse accepter la mort avec autant de sérénité. Mais personne ne voulait lui faire le moindre reproche, à lui qui avait tant fait pour eux. En hommage à sa vie au service des humains et de Dieu, ils décidèrent de nommer la cité qu’ils allaient construire Oanylone, “la cité d’Oane”.




En est-il encore parmi vous à remettre en cause la résurrection ? Et quelle signification devons nous Lui donner ? S'agit-il d'un retour miraculeux à la vie physique par l'action du Très Haut Tout Puissant, ou bien doit-on y voir la victoire finale de la vie sur la mort en tant qu'œuvre rédemptrice effectuée par Christos pour le genre humain, les Apôtre nous ayant fait savoir que Celui-ci est venu pour que l'humanité ait la vie "en abondance"...

Et vous, bande de cloportes, nains haineux, meurtriers sans motif, Hubains, Malingreux, et Rifodés mes chers Frères et Sœurs, songez vous parfois aux temps derniers, cet instant où le Très Haut choisira ceux qui sont destinés au Salut de la vie éternelle et ceux qui seront voués à la damnation, la souffrance éternelle dans l'enfer lunaire...
Notre belle et Saincte Eglise nous enseigne que nous ne devons, en religion, jamais faire appel à quelque doctrine, forme de poison, qui voudrait nous laisser à penser que nous pourrions imaginer une quelconque adaptation alors qu'elle ne serait que le fruit imaginaire de quelque philosophe hérétique... Le Très Haut n'a besoin que d'une pensée... et la chose est !


Une pause, le moment est venu…

Nous sommes ici pour vous aider, c’est une certitude, mais nous y sommes parce que nous voulons que l’on nous rende Notre Cher Louis, fils du Grand Maître de l’Ordre des Chevaliers Francs
Seule la Créature sans nom, cette batarde, pourrait vous souffler à l'oreille de ne point obtempérer… Il est encore temps, même si notre patience n’est pas sans limite… La vérité, c'est dans la parole de nos deux prophètes, Aristote et Christos que nous la trouvons... Et nulle part ailleurs. Et cette vérité se résume en deux simples mots : Rendez Louis ! Allons fixons cette vérité là dans un ode joyeux en chantant le Credo que je vous conseille dorénavant de réciter chaque matin au lever, chaque soir en vous mettant dans vos draps en guenilles...


Citation:
Je crois au Très-Haut qui réside en toute chose et en toute vie, Créateur des mondes et des idées pérennes ou fugitives,
De la Lune putride et mortifère, et du Soleil radieux et ami,
Juge de notre âme et de nos siestes à l’heure des digestions lascives.
Et en Aristote, son premier et subtile prophète,
Enfant de Nicomaque et de Phaetis, et non d’une arbalète,
Bardé d’une vive sagesse sur tout et surtout sur les lois divines,
D’une sagesse à faire pâlir les nuits et enseignée sans combine.

Je crois encore au second et enthousiaste prophète Christos,
Surgi dans le foyer de Maria et de Giosep dans la plus ample allégresse,
Ardent illuminé braquant sur le chemin du Soleil sa torche sans cesse,
Et qui pour ce dévouement à sa mission, connut le fer sous Ponce,
Mourut en homme accompli et infini sans céder aux idées absconses,
Rejoignant le Soleil aux côté d’Aristote qui lui donna du « frère Christos » !

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Que la fulgurance d'Aristote nous accompagne !
Que l'extase de Christos nous transcende!
Que le Très-Haut nous garde !

Amen
!


Neocor fit signe à Tous que le moment de la distribution et du partage était venu... Il fait amener alors moult brioches et cruches de vin, imaginant la possibilité de faire le partage avec ce qui n’est encore qu’un tas d’immondices

Citation:
" Je vous ai enseigné avant tout, comme je l'avais aussi reçu, que Christos est mort pour nos péchés, selon les Écritures ; qu'il a été enseveli, et qu'il est ressuscité le troisième jour, selon les Écritures ; et qu'il est apparu à Céphas..."

_________________
Abbé de l'Ordre des Chevaliers Francs, archevêque émérite.
Acar
Je suis Iurek d'Mettensis, M'ssire. Et j'ai croisé l'gamin qu'vous cherchiez.
Il m'a été pris alors qu'j'etais en rout' pour tenter d'vous l'remettre."


Le chancelier de l'Ordre des Chevaliers Francs observa de pied en cape celui qui reprenait forme humaine, se déployant de tout son long.

Ainsi, l'homme avait rencontré l'enfant, mais aussi, céans il ne savait où il était, assurément.

Il fronça les sourcils et l'homme reprit :


Et maint'nant, c'est d'vnu personnel pour moi. J'laisserai pas un gamin seul et désarmé a la Cour. Surtout qu'l'est un peu flippant quand ses yeux d'viennent rouges.

Instinctivement il se gratta le menton... entendre que l'homme ne voulait point laisser en la cour le jeune Louis l'étonna.
En effet, il attendait plutôt parlementeur et demande de rançon immédiate, moins un sauveur.

Acar lui tendit la main pour que reprenne le cours de son flot, mais à son grand étonnement, encore une fois, le porteur de nouvelle s'agenouilla.


Si M'ssire l'accepte, je vous aid'rai a r'trouver l'gamin.

Ainsi, l'homme ne venait parlementer mais aider, voila chose étrange...

Mon ami, j'accepte bien entendu vostre aide, bien volontiers si vous m'assurez que vous êtes homme de confiance, car je ne peux risquer la vie des hommes ici présents, juste sur vostre parole.

Néanmoins, je vous sens juste, franc... dites m'en plus quant à vos intentions et nous verrons comment procéder.

Mais l'homme dut attendre... montait la voix du frère Neocor, entamant grande messe, chose quasiment irréelle en ce lieu.

Les gardes réunis formaient bonne carapace et l'homme de foy put donner le crédo... alors, Acar s'agenouilla, comme l'était encore le futur allié et récita le crédo, sans ouvrir le bon livre, car ceci était en lui :


Je crois au Très-Haut qui réside en toute chose et en toute vie, Créateur des mondes et des idées pérennes ou fugitives,
De la Lune putride et mortifère, et du Soleil radieux et ami,
Juge de notre âme et de nos siestes à l’heure des digestions lascives.
Et en Aristote, son premier et subtile prophète,
Enfant de Nicomaque et de Phaetis, et non d’une arbalète,
Bardé d’une vive sagesse sur tout et surtout sur les lois divines,
D’une sagesse à faire pâlir les nuits et enseignée sans combine.

Je crois encore au second et enthousiaste prophète Christos,
Surgi dans le foyer de Maria et de Giosep dans la plus ample allégresse,
Ardent illuminé braquant sur le chemin du Soleil sa torche sans cesse,
Et qui pour ce dévouement à sa mission, connut le fer sous Ponce,
Mourut en homme accompli et infini sans céder aux idées absconses,
Rejoignant le Soleil aux côté d’Aristote qui lui donna du « frère Christos » !

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Que la fulgurance d'Aristote nous accompagne !
Que l'extase de Christos nous transcende!
Que le Très-Haut nous garde !

Amen !

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Sabotin
Sabotin avait laissé son entourage pour se rendre dans un des beaux quartiers de la capitale et y régler une affaire de la plus haute importance. Quelques heures plus tard, il était de retour dans le dédale des rues malodorantes,jonchées de détritus et s’engagea avec son escorte dans la longue rue qui menait à la place pour retrouver les francs et l’armée bressane

Le Grand Maistre faisait la mesure des lieux, les ruelles étaient devenues désertes, un calme précaire semblait y régner et laissait deviner que tout pouvait dégénérer d’un instant à l’autre.

Le monde souterrain semblait soudain engourdi, seul un chien vint à leur rencontre cherchant à se mettre quelque chose sous la dent.

Le plan du Chancelier Acar fonctionnait à merveille, le quartier était verrouillé,. Il ralentit la marche des chevaux à l’entrée de la Place du Piloris où flottaient les étendards et au milieu de laquelle s’élevait une croix .

Son arrivée fut marquée par une brève et éclatante sonnerie de cor. Il avança jusqu’aux premiers rangs près de ses frères et mit pied à terre:


- Paix à vous mes frères, que tout le monde se rende à l’office de Monseigneur Neocor

Sabotin avait l’air réservé comme s’il était en train de mûrir quelque projet dont il ne tenait pas révéler la teneur. Sans plus de cérémonie, il s’agenouilla aux côtés du Chancelier Acar qui le regarda avec grande attention. Il lui glissa quelques mots à l’oreille :

- Tout est en ordre mon frère, je vous mettrai au courant de tout cela, lorsque le temps sera venu de le faire…

Puis il baissa la tête et pria avec la communauté des frères présents, en proie à une grande inquiétude pour son fils, pour son salut et sa délivrance.

Citation:
Je crois au Très-Haut qui réside en toute chose et en toute vie, Créateur des mondes et des idées pérennes ou fugitives,
De la Lune putride et mortifère, et du Soleil radieux et ami,
Juge de notre âme et de nos siestes à l’heure des digestions lascives.
Et en Aristote, son premier et subtile prophète,
Enfant de Nicomaque et de Phaetis, et non d’une arbalète,
Bardé d’une vive sagesse sur tout et surtout sur les lois divines,
D’une sagesse à faire pâlir les nuits et enseignée sans combine.

Je crois encore au second et enthousiaste prophète Christos,
Surgi dans le foyer de Maria et de Giosep dans la plus ample allégresse,
Ardent illuminé braquant sur le chemin du Soleil sa torche sans cesse,
Et qui pour ce dévouement à sa mission, connut le fer sous Ponce,
Mourut en homme accompli et infini sans céder aux idées absconses,
Rejoignant le Soleil aux côté d’Aristote qui lui donna du « frère Christos » !

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Que la fulgurance d'Aristote nous accompagne !
Que l'extase de Christos nous transcende!
Que le Très-Haut nous garde !

Amen !

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Pao
Tout allait si vite, les Teutons faisaient parler d'eux au sein de la cour et excitait la populace qui ne mit pas long feu à se rassembler dans les alentours de leur position! De par les fenêtres et les toits, des habitants braillait, des insultes et des menaces qui résonnaient encore et encore... Comme lorsque le glas retentit dans les esprits et attriste les coeurs. Pao n'aimait pas cela....

Et rapidement vint ce joindre à ce bruit des pierres et tout autres objets insignifiant... Pao gardait sa position, mais détacha rapidement son ecus attaché à sa selle pour venir se protéger des projectiles.

Les chevaux semblaient être visés, mais ces derniers avait été soigneusement protégés au préalable, par une lourde carapace de fer...

Pao ne manqua cependant pas de rassurer Alziane, sa jument, qui trépignait, apeurée par cette température inquiétante qui montait en ces lieux.

Soudain l’Hochmeister leur donna l'ordre de quitter leur position pour rejoindre nos frères d'armes. C'est alors que les cavaliers partirent sans perdre de temps, ne voulant s'exposer plus longtemps à la menace qui guettait sur eux.


DEUS MANUM DUCIT !!!! Voilà ce qui sortit de la bouche de tous....

Pao talonna alors sa monture et c'est derrière son frère Hagden qu'il se retrouva. Son cheval paraissait plus rapide qu'Alziane, mais cette dernière avait de la volonté et s'accrochait... Les rues étaient étroites, et le galop ici n'était pas adapté à ce milieu, mais il ne fallait traîner...

De temps à autre il levait les yeux, tout en gardant l'écu au dessus de lui... Qu'allait-il se passer?
---fromFRBastien_de_Louhans
Le Capitaine de la garde Bressane, ayant eu l'ordre de son Maistre le Duc Leg DiCésarini de se mettre aux ordre du Chancelier Acar, suivait et faisait suivre les instructions a ses hommes.

Il comptait sur son sergent Mathieu a qui peu de choses échappait tant son regard et sa vivacité était.

En voyant Monseigneur Néocor faire son prêche, Bastien fit signe a deux de sa garde d'être prêt a toute éventualité, l'un a sauter sur Monseigneur Néocor pour le plaquer au sol et faire bouclier de son corps, et l'autre arc et flèche prête.

Puis Bastien fit comme tous ceux présent :

Il se mit prier avec ferveur ...


Citation:
Je crois au Très-Haut qui réside en toute chose et en toute vie, Créateur des mondes et des idées pérennes ou fugitives,
De la Lune putride et mortifère, et du Soleil radieux et ami,
Juge de notre âme et de nos siestes à l’heure des digestions lascives.
Et en Aristote, son premier et subtile prophète,
Enfant de Nicomaque et de Phaetis, et non d’une arbalète,
Bardé d’une vive sagesse sur tout et surtout sur les lois divines,
D’une sagesse à faire pâlir les nuits et enseignée sans combine.

Je crois encore au second et enthousiaste prophète Christos,
Surgi dans le foyer de Maria et de Giosep dans la plus ample allégresse,
Ardent illuminé braquant sur le chemin du Soleil sa torche sans cesse,
Et qui pour ce dévouement à sa mission, connut le fer sous Ponce,
Mourut en homme accompli et infini sans céder aux idées absconses,
Rejoignant le Soleil aux côté d’Aristote qui lui donna du « frère Christos » !

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Que la fulgurance d'Aristote nous accompagne !
Que l'extase de Christos nous transcende!
Que le Très-Haut nous garde !

Amen !

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